ethique moral Flashcards

1
Q

definition morale

A

ensemble valeurs et principes de conduite d’une société
elle comporte des elements universels et immuables
elle est commune aux normes et à l’obligation

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2
Q

definition ethique

A

englobe la notion de comportement de manière d’être. c’est surtout ce qui nous permet d’apprécier et de dinstinguer le bien du mal : c’est un questionnement

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3
Q

differences ethique et moral
morale
5 termes

A
  • La Morale n’intègre pas les contraintes de la situation.
  • La Morale ignore la nuance : elle est donc binaire
  • A une connotation religieuse
  • Elle comporte une notion de contrôle imposée de
    l’extérieur
  • Elle nous interpelle, crée des obligations.
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4
Q

differences ethique et moral
ethique
5 termes

A
  • Au contraire l’Ethique n’a de sens que dans une situation
  • Au contraire, l’Ethique admet la discussion, l’argumentation et les paradoxes
  • Est plutôt de nature Laïque
  • Elle comporte une notion d’autocontrôle. Elle part de
    l’intérieur de la personne
  • Elle nous fait réfléchir et nous responsabilise
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5
Q

ethique théorique

A

► Ethique Théorique : S’occupe des fondements de la morale et des principes éthiques généraux
de ce qui est éthiquement juste

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6
Q

ethique appliquée

A

► Ethique appliquée : Traite des problématiques éthiques d’intérêt immédiat pour la pratique.
Elle comprend la bioéthique et l’éthique médicale ainsi que l’éthique économique, politique, juridique,
l’éthique de l’environnement et des médias…

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7
Q

ethique et droit

A

L’éthique passe avant le droit car ses lois en vigueur peuvent être condamnables.
Les lois ne sont pas par essence éthique.
Elles peuvent très bien ne pas être éthiques, c’est arrivé partout dans le monde

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8
Q

Questionnement ethique
3 discussion

A

Discussion des Faits
Discussion des valeurs
Discussion des Devoirs

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9
Q

Discussion des Faits :
differentes discussions

A
  • Les arguments éthiques
  • Questions Éthiques discutées au sujet de soin, traitement, acte de recherche sont évalués par la HAS
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10
Q

Discussion des Faits :
differents arguments ethique

A
  • Revues de littérature (revues littéraires françaises internationales, institutionnelles, ouvrages, rapports,
    littérature grise (journaux)
  • Études de terrains
  • Forums internet et sites d’association
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11
Q

Discussion des Faits :
HAS qui
propose plusieurs solutions en fonction des situations :

A
  • L’intervention vise-t-elle des personnes en situation de vulnérabilité et/ou des personnes dont le
    consentement est difficile à obtenir ?
  • L’intervention peut-elle être contestée au nom du respect de la dignité humaine ?
  • L’intervention peut-elle être contestée au nom du respect de l’intégrité du corps humain ?
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12
Q

2) Discussion des valeurs

A

Conflits moraux avec la balance Bénéfice/Risques (ne pas faire un acte est considéré comme un risque)

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13
Q

3) Discussion des Devoirs

A
  • Principisme : Bienfaisance, non malfaisance, Autonomie et justice : Ces 4 principes guident mais ne sont
    pas nuancés.
  • il y a des conflits persistants. La discussion des devoirs est un conflit de valeur qui se présente au sein
    d’une situation donnée.
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14
Q

3) Discussion des Devoirs
Pour arriver à une décision, on va regarder plusieurs choses
7 trucs

A
  • Les principes liés au morales religieuses, sans forcément les suivre mais en tenir compte
  • Les désaccords qui sont raisonnables
  • Les arguments qui sont légitimes
  • Les conflits qui sont persistants
  • Les valeurs positives
  • Les règles déontologiques
  • Les règles juridiques
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15
Q

bioethique def

A

Ce terme a été crée en 1970 par Van Rensselear Potter
► Bioéthique : La bioéthique étude les comportements engendrés par les sciences du vivant, la
pratique médicale et la recherche en biologie

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16
Q

ethique medicale def

A

► Éthique medicale : C’est une réflexion sur le comportement médical en général et plus
spécialement sur le comportement du médecin/chirurgien-dentiste à l’égard des patients

17
Q

A quel moment, les questions éthiques se posent-elles ?
9 situations

A
  • Aux extrêmes de la vie
  • Quand il n’y a plus d’espoir
  • Quand la pathologie ou les thérapeutiques engagent ou pèsent sur la qualité de vie.
  • Quand la personne (et/ou son entourage) ne peut donner d’indications pour elle-même.
  • Quand on considère qu’une limite est atteinte
  • Quand un choix s’impose
  • Quand il engage l’avenir
  • Quand une différence culturelle ou religieuse détermine une autre conception du bien
  • Quand des raisons autres que le bien de la personne sont présentes
18
Q

Les fondements de l’éthiques

A
  • ne représente pas un simple sentiment, c’est une démarche intellectuelle et qui s’acquièr
  • Hippocrate = précurseur de l’éthique médicale
19
Q

Les fondements de l’éthiques
2nd guerre mondiale

A

Durant la 2ème Guerre Mondiale, c’est au nom de l’expérimentation que la médecine a dérapé.
A la fin de la guerre :
- Le 9 décembre 1946 : Le conseil de Nuremberg
- Le 20 aout 1947 : Procès des médecins nazis,

20
Q

base de l’ethique

A

le code de Nuremberg :
Ce code élabore un texte en 10 points qui propose que la recherche menée sur l’homme respecte des règles éthiques impératives :
▪ consentement volontaire
▪ validité scientifique
▪ protection des sujets,

21
Q

Principaux textes en éthique

A
  • Code de Nuremberg :
  • Serment de Genève,
  • La Déclaration universelle des droits de l’homme
  • L’AMM élabore une charte qui sera adoptée en 1964 :
    -> Évaluation de la balance bénéfice/risque
    -> L’avis d’un comité d’éthique est capital.
    -> Consentement libre et éclairé
22
Q

Les trois courants majeurs de la bioéthique

A

1) 1er courant :Le principisme de Beauchamp et Childress
2) 2ème courant éthique : T.Engelhardt : fonder la bioéthique dans la philosophie morale
3) 3ème courant : Les approches politico-sociales

23
Q

Le principisme de Beauchamp et Childress

A

C’est une première tentative de théorisation en 1979 : Principles of biomedical ethics.
Quatre principes permettraient de résoudre les dilemmes :
1) Principe d’autonomie reposant sur l’information et le choix rationnel
2) Principe de bienfaisance : évaluer le rapport risque/bénéfice
3) Principe de non-malfaisance : ne pas nuire
4) Principe de justice distributive : un traitement égal pour tous.
On peut résumer le principisme comme une éthique appliquée à partir d’un cadre formel universel.
On parle de PRINCIPE ETHIQUE et non pas règle éthique

24
Q

T.Engelhardt : fonder la bioéthique dans la philosophie moral

A

Tient compte du pluralisme, sensible à :
- la recherche de l’accord librement consenti,
- la bonne volonté des partis,
- le respect mutuel

  • repose sur un principe d’autonomie (très important), le respect de la liberté individuelle.
  • Nul ne peut contraindre autrui au nom du principe de Bienfaisance.
  • Les soignants ne peuvent imposer la conception qu’ils ont du bien des patients.
  • Il s’agit d’une éthique pluraliste et séculière, d’inspiration kantienne
25
Q

Les approches politico-sociales

A

D’inspiration utilitaristes, elles se soucient davantage du contexte et des conséquences politiques et sociales que de
la qualité morale des actions.

26
Q

Les grands principes fondateurs de la bioéthiqu

A

bienfaisance
non malfaisance
secret medical
justice

27
Q

bienfaisance c’est a dire

A

C’est promouvoir l’obligation éthique de la recherche du bien autrui

28
Q

non malfaisance c’a d

A

Consiste à s’abstenir de commettre des actions dont les conséquences nuiraient à autrui

29
Q

secret med c a d

A

Avant que ça soit une notion de droit c’était une notion d’éthique. Hippocrate disait qu’il ne divulguera jamais ce
qu’il a vu dans la maison des hommes (soins à domicile).
Le secret est immuable ; c’est éthiquement correct de divulguer des informations confidentielles lorsque le patient a consenti ou lorsqu’il existe une menace réelle et imminente et que cette menace peut-être neutralisée
uniquement en rompant la confidentialité (extrêmement important). Cependant, sur le plan du droit, c’est
absolument interdit

30
Q

justice c’ a d

A

Elle correspond au devoir de traiter chacun justement et équitablement.
Il existe une obligation éthique de répartir les biens ou les ressources de manière équitable.
Ce principe fait appel à la notion de vertu et d’équité.
Il faut donc se tenir à l’écart de toute corruption et veiller à la non-discrimination.