Definitions Importantes Flashcards

1
Q

Psychologie cognitive

A

= se réfère a tous les processus par lesquels l’input sensoriel est transformé, réduit, élaboré, stocké, rappelé et utilisé.
–> comprendre la cognition a l’aide de l’observation (comportement et physiologie).

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2
Q

Chronométrie mentale

A

= temps qu’il faut pour prendre une décision (~100ms). La réponse mentale doit être inférée.

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3
Q

Inférence inconsciente

A

= quelques perceptions perceptions/cognitions sont le résultat d’hypothèses inconscientes sur la structure de notre environnement. Une grande partie de ce que nous savons sur le monde est inférée.

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4
Q

Perception

A

= expérience consciente qui résulte de la stimulation de nos sens. Pas simple car ce qu’on perçoit n’est pas la même chose que ce qu’on voit!

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5
Q

Attention

A

= processus permettant de se focaliser sur certaines caractéristiques de l’environnement, sur certaines pensées ou activités. Peut être interprété comme la progression d’infos a l’intérieur d’un système sous la forme d’étapes.

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6
Q

Mémoire

A

= processus impliqué dans la rétention, la récupération et l’utilisation d’informations sur les stimuli, les images, les événements, les idées et les capacités lorsque les informations originales ne sont plus présentes. Elle est utilisée en permanence sans que l’on s’en rende compte! Il faut une période de consolidation (= temps nécessaire pour renforcer les souvenirs) pour rendre les souvenirs plus permanents. Elle est déterminée par des entrées et des facteurs additionnels qui peuvent défigurer l’information (elle n’est pas un magnétoscope!) C’est un avantage car on a pas besoin de se rappeler de tout les détails, ça évite de surcharger le système (notre mémoire sélectionne que ce qui est important!)

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7
Q

Mémoire sensorielle

A

= rétention des effets de la stimulation sensorielle pour une courte période. (Un peu ambigüe, surtout la mémoire visuelle!)
Elle stocke presque toutes les infos de nos récepteurs (large capacité) pendant moins de 1 sec (rétention très limitée).

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8
Q

MCT (mémoire a court terme)

A

= notre fenêtre sur le présent, essentielle pour nos pensées, la compréhension du langage, etc. Codage phonologique est prédominant, codages visuels et sémantiques sont possibles. Propriétés: capacité (restreinte) et durée (durée de rétention = ~ 15-20 sec notamment a cause des interférences!).

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9
Q

Mémoire de travail

A

= (sorte de MCT) système de capacité limitée pour le stockage temporaire et la manipulation de l’info pour des tâches complexes comme la compréhension, l’apprentissage et le raisonnement. Elle a 3 composantes: 1) boucle phonologique (garde infos verbales et auditives, partie passive –> stockage bref et partie active –> répétition), 2) système visuo-spatial (garde info visuelle et spatiale) et 3) système exécutif central (coordination de 1 et 2, focalise l’attention sur un aspect d’une tâche et reporte l’attention entre plusieurs aspects, tire de l’info de la MLT).

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10
Q

MLT (mémoire a long terme)

A

= archive qui stocke des infos récentes et anciennes. Elle contient des souvenirs (les plus récents sont souvent mieux détaillés) qui s’effacent avec le temps. Elle est en interaction avec la mémoire de travail pour créer notre conscience courante. Codage sémantique est prédominant, codages visuels et phonologiques sont possibles. Différents type de MLT: 1) mémoire déclarative = consciente contenant la mémoire épisodique (événements personnels) et la mémoire sémantique (faits, connaissance) et 2) mémoire implicite = inconsciente contenant les effets d’amorçage et la mémoire procédurale. Transfert d’infos a la MLT par encodage (= processus d’acquisition et transformation dans la MLT), codage (= forme de représentation visuelle, phonologique ou significative) et récupération dans la mémoire (= retrouver des infos encodées et stockées au préalable).

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11
Q

Mémoire déclarative (consciente)

A

= nos souvenirs conscients d’événements ou faits qu’on a vécus ou appris dans le passé.

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12
Q

Mémoire épisodique

A

= mémoire pour des événements spécifiques qui sont arrivés a la personne qui a ces souvenirs; mémoire marquée par une date et un lieu spécifique.

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13
Q

Mémoire sémantique

A

= mémoire pour la connaissance du monde qui n’est pas liée a une expérience personnelle (par ex: des faits, le vocabulaire, les nombres, les concepts, etc.)

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14
Q

Mémoire implicite (inconsciente)

A

= mémoire des expériences qui influencent notre comportement sans que nous en soyons conscients. Souvent utilisée dans la pub et la propagande.

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15
Q

L’amorçage de répétition

A

= la présentation initiale d’un stimulus a un effet sur la réponse du sujet impliquant le même stimulus quand celui-ci est présenté plus tard.

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16
Q

Mémoire procédurale

A

= pour l’exécution d’aptitudes bien pratiquées qui sont difficiles a expliquer verbalement (par ex: faire du vélo, faire ses lacets, lire, etc.) Elle est intacte chez quelques amnésiques.

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17
Q

Mémoire autobiographique

A

= forme de mémoire qui concerne les événements et les expériences rattachés directement a une personne donnée (les histoires de la vie), une partie de la mémoire épisodique, la durée des souvenirs autobiographiques s’étend de plusieurs minutes jusqu’à plusieurs années –> 3 niveaux de connaissances: 1) spécifiques a des événements (minutes/heures) 2) événements généraux (jours, semaines, mois) 3) périodes de vie (plusieurs années).

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18
Q

Souvenir flash

A

= souvenir d’une situation dans laquelle vous avez, pour la 1ère fois, fait l’expérience d’un événement très surprenant et propre a déclencher une émotion (par ex: 11 septembre 2001), souvenirs très détaillé et vifs, comme une photo résistant a l’effacement. Lié a une émotion forte (lien entre émotion, mémoire et amygdale), souvent répétitifs (souvenirs intenses mais souvent faux!)

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19
Q

Souvenir

A

= construction a partir d’expérience réelles, se dégrade avec le temps et le cerveau comble les trous donc on croit de rappeler mais en réalité ce n’est pas le cas! En général, on se souvient mieux des événements positifs. Quand on ne se souvient plus, on invente –> la mémoire est constructive! Les inférences mentales sont des sources d’erreur!

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20
Q

Surveillance de la source

A

= processus qui indique l’origine d’un souvenir, d’une connaissance ou d’une croyance. Source de la familiarité est mal attribuée.

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21
Q

Schéma

A

= structure générale de connaissance (a propos d’un objet ou d’un événement) acquise au cours d’expériences passées, connaissance de ce qui est impliqué dans une expérience particulière. C’est un modèle qu’on a dans la tête de comment ça devrait être. Fait partie de la mémoire sémantique. Source d’erreur potentielle.

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22
Q

Script (type de schéma)

A

= conception d’une séquence d’actions qui constitue une expérience particulière. Fait partie de la mémoire sémantique. Source d’erreur potentielle.

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23
Q

Tendance égocentrique

A

= tendance des gens a se voir sous un jour aussi favorable que possible. Aspect émotionnel qui est un facteur générant des erreurs. Les gens ont tendance à se conformer a une représentation mentale. Source d’erreur potentielle.

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24
Q

Tendance de cohérence

A

= tendance a percevoir les attitudes et les comportements fondamentaux comme restant consistants. Source d’erreur potentielle.

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25
Q

Tendance du changement positif

A

= tendance a percevoir que les choses s’améliorent. Les gens ont tendance a sous-estimer l’état antérieur par rapport a l’état dans lequel ils sont maintenant. Source d’erreur potentielle.

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26
Q

Effet de mésinformation

A

= le compte-rendu d’un fait contient des erreurs commises par le témoin oculaire qui, entre-temps, a reçu une info erronée (info erronée après-coup = IEAC). IEAC peut modifier ce que les sujets se rappellent ou les conclusions de la situation a mémoriser –> mémoire peut être modifiée par suggestion! (Par ex: accident de voiture). Il faut se méfier des mots qui peuvent changer notre perception des choses.

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27
Q

Confabulation

A

= des souvenirs erronés et bizarres sont créés et les patients les croient même s’ils admettent qu’ils sont bizarres. Cela se passe souvent après des lésions des lobes (pré-)frontaux qui interviennent dans l’évaluation de la nature raisonnable des souvenirs et qui nous aident à combler les vides de manière sensée.

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28
Q

Concept

A

= représentation mentale utilisée pour une multitude de fonctions cognitives, y compris la mémoire, le raisonnement, la compréhension du langage.

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29
Q

Catégorisation

A

= fonction du concept. Place un objet dans une catégorie. Catégories sont des pointeurs vers la connaissance. On met dans une même catégorie les objets qui répondent a la définition de cette catégorie mais parfois pas tout les objets ont les même caractéristiques de la catégorie en questions (par ex: chaise -pouf). Les connaissances et la culture peuvent influencer la catégorisation (les gens n’ont pas tous les mêmes niveaux de base).

30
Q

Ressemblance de famille

A

= objets dans une catégorie ressemblent l’un a l’autre ce qui permet une certaine variabilité dans une catégorie (pas de critères stricts).

31
Q

Prototype

A

= représentation standard de la catégorie, représentant typique. Formé en faisant la moyenne des membres de la catégorie rencontrés dans le passé (c’est qqch de propre a notre expérience qui est influencé par notre vécu). Permet de décider qu’un objet appartient ou non a la catégorie qu’il représente. Objets prototypiques sont nommes en premier, très vite identifié, influencés par l’amorçage. Attention: les membres d’une catégorie varient en typicalité.

32
Q

Exemplaire

A

= membre d’une catégorie que la personne a rencontré dans le passé. Peut facilement englober des exceptions (par ex: manchot).

33
Q

Organisation hiérarchique

A

= les catégories sont divisées en catégories plus petites et spécifiques. Différents niveaux: supérieur (le plus général), de base, subordonné. Le niveau de base est le niveau privilégié de catégorie car présente plus de ressemblances avec les autres membres, permet de reconnaître immédiatement une catégorie abstraite.

34
Q

Réseaux sémantiques

A

= les concepts sont arrangés en réseaux qui représentent la manière dont les concepts sont organisés dans le cerveau. Nœuds représentent des catégories ou des concepts. Arc –> relation entre 2 nœuds, sont de différents types (avoir, appartenir, etc.) Ils représentent un économie cognitive car l’info est stockée au niveau le plus élevé, sauf les exceptions stockées au niveau inférieur. Donc pour récupérer une caractéristique, il faut parcourir le réseau (temps de réaction augmente avec la distance a parcourir dans le réseau). MAIS il y a un effet de typicalité (réponses plus rapides pour membres typiques d’une catégorie). De plus, il se peut que les caractéristiques soient stockées au nœud représentant le concept. Révision du concept: abandon de la structure hiérarchique et degré de proximité sémantique entre 2 concepts représenté par longueur de chacun des arcs.

35
Q

Diffusion de l’activation

A

= activité diffusée le long des arcs connectés a un nœud activé. Résultat: les concepts qui reçoivent cette activation diffusée sont amorcés (activés) et peuvent être récupérées plus facilement.

36
Q

Réseau connexionniste

A

= modélisé d’après les réseaux neuronaux dans le cerveau. Il met bcp de temps pour apprendre un concept (réaliste pour enfant qui apprend) mais d’autres chose s’apprend plus rapidement. Pourquoi? Hypothèse: apprentissage en multiples essais –> cortex cérébral vs en un seul essai –> hippocampe (arguments pour et contre).

37
Q

Codage distribué

A

= objet/concept est représenté par le pattern d’activité des circuits neuronaux.

38
Q

Connexionnisme

A

= distribution des traitements parallèles (DTP) qui est le contraire de la représentation locale (un nœud pour un concept). La force des connexions peut être ajustée (inhibitrice = poids négatif et excitatrice = poids positif).

39
Q

Imagerie mentale

A

= expérience d’un impression sensorielle en l’absence d’entrées sensorielles. Images dans toutes modalités sensorielles (visuelle, acoustique, tactile, gustative, olfactive). Partage bcp de propriétés avec la perception (analogies spatiales du stimulus, correspondance entre plan spatial dans imagerie mentale et perception, etc.) mais plus facile de percevoir un objet que se l’imaginer et plus difficile de manipuler des images mentales que des images perceptives. Influence notre perception. Majorité des chercheurs pensent qu’elle implique des représentations spatiales, sauf Pylyshyn. Mots concrets plus facilement visualisable que mots abstraits. Image mentale active l’aire visuelle primaire (V1). Problèmes perceptifs ont des répercussions dans l’imagerie.

40
Q

Balayage mental

A

= quand notre regard mental se ballade afin de s’imaginer des objets en mouvement ou non.

41
Q

Épiphénomène

A

= qqch qui accompagne le mécanisme réel mais qui ne fait pas partie de ce mécanisme.

42
Q

Représentation propositionnelle

A

= les relations peuvent être représentées par des symboles comme des mots du langage. Ressemble aux réseaux sémantiques ce qui implique que pour arriver a un lieu distant, on met forcément plus de temps.

43
Q

Promenade mentale

A

= la distance minimale avant que l’image mentale remplisse le champ visuel varie selon la taille de l’objet.

44
Q

Traitement dans le domaine visuo-spatial

A

= dépend de 2 phénomènes: 1) talon visuel –> responsable de l’expérience consciente des images et 2) scribe intérieur –> responsable de la manipulation des images dans le tampon visuel.

45
Q

Encodage élaboré

A

= formation de connexions avec d’autres informations –> l’imagerie peut améliorer la mémoire!

46
Q

Méthode des loci

A

= les objets à mémoriser sont placés dans des lieux différents (dans un ordre fixe) dans une image mentale d’un plan spatial (alors qu’il suffirait de les imaginer au même endroit pour mieux s’en souvenir).

47
Q

Méthode des mots-clefs

A

= associations de mots dans un ordre fixe avec des mots a mémoriser (création d’une liste ordonnée. Le fait de visualiser cristallisé l’info).

48
Q

Langage

A

= système de communication utilisant des sons et des symboles qui nous permettent d’exprimer nos sentiments, nos pensées, nos idées et nos expériences. Outil le plus puissant que possèdent les humains pour transmettre des idées, des sentiments, du savoir d’une personne a l’autre. Langage est créatif car grande possibilité dans la manière de transmettre l’info. Il est hiérarchique et régit par des règles. Langage humain VS langage animal. Son rôle premier est la communication.

49
Q

Psycholinguistique

A

= permet de découvrir les processus psychologiques par lesquels les humains acquièrent et traitent le langage. 3 intérêts majeurs: compréhension, production et acquisition.

50
Q

Phonème

A

= les plus petites unités du langage représentant les sons que l’on prononce quand on lit les lettres composant un mot. C’est le plus petit segment d’un discours, s’il est changé, le sens du mot change.

51
Q

Morphème

A

= les plus petites unités du langage ayant une signification définissable ou une fonction grammaticale. Unités porteuses de sens et d’infos. Les marques du pluriel et du participe passé sont des morphèmes.

52
Q

Effet de restauration phonémique

A

= on ne remarque pas le phonème manquant parce qu’on le remplace en se basant sur le contexte produit par la phrase et la portion de mot présentée. Il peut être influencé par le sens des mots qui suivent le phonème manquant.

53
Q

Speech segmentation

A

= processus de percevoir les mots séparés dans un flot sonore continu (car mot a l’oral ne sont pas séparés comme les mots a l’écrit).

54
Q

Fréquence du mot

A

= usage relatif d’un mot dans une langue naturelle. Lexique d’un adulte est composé d’environ 50000 mots et certains sont plus accessible que d’autres: on répond plus rapidement a un mot de haute fréquence qu’à un mot de basse fréquence.

55
Q

Ambiguïté lexicale

A

= les mots ont souvent plus qu’un seul sens. Le contexte permet de lever l’ambiguïté très rapidement et on en a pas conscience!

56
Q

Sémantique

A

= signification des mots et des phrases. Associé au potentiel évoqué N400 (qui diminue quand le sens de la phrase est surprenant).

57
Q

Syntaxe

A

= règles de combinaison des mots en phrases. Associé au potentiel évoqué P600 (qui augmente quand il y a une faute de syntaxe).

58
Q

Parsing (ou analyse grammaticale)

A

= un des processus central pour déterminer la signification. Son but est de déterminer le message de la phrase, lui-même déterminé par le sens des mots dans une phrase et par l’organisation de la phrase.

59
Q

Parser (ou analyseur)

A

= mécanisme responsable de ce qui détermine le sens de la phrase. Il détermine le sens des phrases par l’analyse de la façon dont les mots sont regroupés en “phrases”.

60
Q

Principe de Late Closure

A

= quand une personne rencontre un nouveau mot, le parser suppose que ce mot fait partie de l’expression en cours. Mais parfois phrases = “garden path” ou “cul-de-sac” car nous met sur une piste qui n’est pas la bonne! Dans ce cas, la syntaxe ne permet pas de comprendre alors on comprend grâce a la sémantique.

61
Q

Approche interactionniste

A

= le fait que les phrase apparaissent dans un contexte est très important pour la lecture car les phrases font en général partie d’un texte ou d’une histoire.

62
Q

Inférence

A

= processus par lequel les lecteurs créent pendant qu’ils lisent de l’info qui n’est pas explicitement présentée dans le texte.

63
Q

Inférence anaphorique

A

= ingérence qui connecte un objet ou une personne dans une phrase a un objet ou une personne dans une autre phrase. Les lecteurs sont capables de faire des inférences anaphoriques même dans des conditions défavorables parce qu’ils apportent des infos venants de leurs connaissances du monde aux infos fournies dans le texte.

64
Q

Inférences instrumentales

A

= inférences au sujet des outils et des méthodes.

65
Q

Inférences causale

A

= inférences nous permettant de conclure que l’événement décrit dans une phrase a été causé par des événements qui se sont passé dans une phrase précédente. Elles créent des liens essentiels pour créer de la cohérence dans le texte. Elles peuvent aussi impliquer de la créativité de la part du lecteur.

66
Q

Modèle de situation

A

= représentation mentale de ce sur quoi est basé le texte (représentation de la situation en terme de personnes, d’objets, de lieux et d’événements décrits dans l’histoire). Cela permet de prédire que l’info a propos des objets ou des événements qui sont difficiles d’accès au protagoniste le seront aussi pour le lecteur.

67
Q

Erreurs de discours (lapsus)

A

= sont rares (1 a 2 sur 1000 mots), ne sont pas aléatoires, suivent des règles reflétant l’importance des échanges entre unités sonores spécifiques (règle consonnes/voyelles) et des échanges de parties du discours (noms et verbes –> règle de catégorie syntaxique). Elles sont influencées par de nombreux facteurs relatifs a la structure de base du langage et au savoir antérieur de la personne.

68
Q

The given-new contract

A

= lors d’une conversation, les émetteurs devraient construire des phrases contenant des infos données (que le récepteur connait déjà) et des infos nouvelles (que le récepteur entend pour la 1ère fois). Donner une nouvelle info qui vient compléter la phrase d’avant.

69
Q

Amorçage syntaxique

A

= entendre un énoncé avec une construction syntaxique particulière augmente les chances qu’une phrase sera produite avec la même construction. Il peut amener les gens a coordonner la forme grammaticale de leurs énoncés pendant une conversation. Les émetteurs sont sensibles au comportement linguistiques des autres émetteurs et ils ajustent leur propre comportement pour le faire correspondre.

70
Q

Perception catégorique

A

= quand des stimuli d’une même catégorie sont plus difficiles a discriminer d’un autre stimulus que le sont les stimuli de différentes catégories.

71
Q

Cognition

A

= comprend l’acquisition, le stockage, la transformation et l’utilisation des connaissances et inclut un large éventail de processus mentaux qu’on met en œuvre (perception, attention, mémoire, imagerie mentale, langage, résolution des problèmes, raisonnement et prise décision).