7. Memory encoding Flashcards

1
Q

Définition encodage

A

Processus d’acquisition et transformation d’information dans la mémoire (à long terme), on stocke les informations

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Q

Définition codage

A

La forme de représentation (visuelle, phonologique, significative), comment l’information est représenté

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3
Q

Est-ce que les mots codage et encodage varient?

A

Oui, ils varient selon les auteurs, ce n’est pas universel

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4
Q

Définition récupération dans la mémoire

A

Retrouver des informations encodées et stockées au préalable

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5
Q

Est-ce que les processus d’encodage et de récupération sont indépendants?

A

Non, ils ne sont pas indépendants, l’encodage détermine si on arrive à récupérer l’information

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6
Q

Quelles sont les différentes techniques d’encodage?

A
  • Répétition mentale de maintien

- Répétition mentale d’élaboration

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7
Q

Qu’est-ce que la répétition mentale de maintien?

A

On maintient l’information dans la MCT, mais inefficace pour transférer l’information à la MLT. Dès qu’on arrête, on oublie l’info

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8
Q

Qu’est-ce que la répétition mentale d’élaboration?

A

On établit des connexions entre l’item à mémoriser et des connaissances existantes, donner un sens à l’item; meilleurs résultats que par répétition mentale de maintien. On cherche des infos sur le mot/sujet qu’on a déjà dans la mémoire à long terme, on améliore le rappel

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9
Q

De quoi dépend la mémoire ds la théorie des niveau de traitement ?

A

De la profondeur de traitement qu’un item reçoit

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10
Q

Définition traitement superficiel ds la théorie des niveau de traitement

A

Peu d’attention à la signification; attention est focalisée sur les caractéristiques physiques, par ex. lettres minuscules/majuscules, nombre de voyelles, sonorité; se produit dans la répétition de maintien

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11
Q

Définition traitement profond ds la théorie des niveau de traitement

A

Attention focalisée sur la signification d’un item et ses relations avec d’autres objets/situations; se produit dans la répétition élaboratrice

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12
Q

Quel traitement entraine une meilleure capacité mnésique, ds la théorie des niveau de traitement ?

A

Le traitement profond
Plus le traitement est profond, meilleurs sont les résultats
Mais l’idée de profondeur ne peut pas vrmt être définie.

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13
Q

Quelle sorte de tâche nécessite un traitement plus profond, ds la théorie des niveau de traitement ?

A

Une tâche de remplissage des blancs plutôt qu’une tâche de rime ou une tâche sur les caractéristiques physiques des lettres

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14
Q

Quelles sont les problèmes de l’approche ds la théorie des niveau de traitement ?

A
  • La définition de profondeur
  • Comment est-ce qu’on sait que la tâche de remplissage des blancs résulte en un traitement plus profond que la tâche de rime? Une réponse possible serait de dire que la tâche de remplissage résulte en une meilleure performance de rappel et c’est pourquoi le traitement est plus profond.
  • Raisonnement circulaire: La tâche est plus profonde parce qu’elle améliore la mémoire et la mémoire est meilleure parce que le traitement est profond
  • Il manque une définition de la profondeur qui est indépendante de la mémoire.
  • Même si le terme «niveaux de traitement» est rarement utilisé aujourd’hui, l’idée que le rappel est déterminé par la façon dont un item est encodé est toujours d’actualité
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15
Q

Étude sur la formation d’images mentales

A

Gordon & Winzenz (1979) – présentation d’une liste de 15 paires de mots (p. ex. bateau-arbre) chaque paire pendant 5 secondes
o Tâche d’apprentissage de paires associées: lors du rappel, le premier mot de la paire est donné et le sujet doit indiquer le deuxième.
o Deux groupes avec des consignes différentes: (1) répétition silencieuse (2) formation d’une image mentale dans laquelle les deux items interagissent
o Résultat: meilleure performance dans le groupe (2)

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16
Q

Que peut-on dire des mots relier à soi-même?

A

Si on peut lier le mot avec qch de notre vie, ça facilite encore plus la mémorisation.
Les mots qui se réfèrent au sujet sont mieux retenus.

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17
Q

Qu’est-ce que l’effet d’autoréférence de Rogers?

A

– La mémoire est meilleure quand il est demandé de relier le mot à soi-même.
– Interprétation: Le soi fournit des indices qui peuvent être liés au mot.

• En général, les déclarations qui résultent en une représentation plus riche et détaillée améliorent la rétention.

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18
Q

Qu’est-ce que l’effet de production?

A

o Les sujets devaient étudier une liste de mots de deux manières différentes.
o Dans le groupe lecture, les sujets devaient lire des mots: Par exemple, king-crown; horse-saddle; lamp-shade;
o Dans le groupe production, les sujets devaient générer le deuxième mot de la paire en se basant sur deux lettres données: Par exemple, king-cr___; horse-sa____; lamp-sh___; Le deuxième mot est généré par le sujet, il doit s’occuper de la signification du mot.
o Ensuite, tous les sujets ont été testés en leur présentant le premier mot de la paire.
o Les sujets du groupe production se rappelaient de 28% de mots en plus que le groupe lecture.

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19
Q

Qu’est-ce que l’indice de récupération?

A

Un mot ou un stimulus qui aide une personne à se rappeler d’une information gardée en mémoire. Le chemin d’accès vers l’info recherchée.

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20
Q

Expérience sur l’organisation de l’information?

A

• Jenkins & Russell (1952): Les sujets ont tendance à rappeler les mots d’une liste d’après leur similitude (d’après des catégories). Qd on présente une liste de mots au sujet, les gens ne suivaient pas l’ordre de la présentation de la liste, mais ils l’organisaient pour que ce soit dans des listes significatives pour eux.
• Bower et al. (1969):
o Mots à apprendre sont présentés (1) dans un ordre hiérarchique (un arbre): minéraux, animaux, vêtements, transports (2) dans une hiérarchie aléatoire
o Résultats: meilleure performance avec les mots présentés d’une façon organisée (73 vs. 21 mots rappelés)
o Les catégories représentent des indices au rappel

Une fois on présente la liste de mots à retenir (ceux avec le point noir) ds qch qui a un sens et une autre fois, on mettait les mots de manière aléatoire. On avait pas le fil conducteur qui conduisait ds la mémoire. Le lien n’est pas ordonné. Qd l’info était organisé, le rappel de mots était meilleur. Car on a des indices de récupération de l’information.

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21
Q

Quels facteurs aident l’encodage?

A
  • L’imagination
  • Les liens à soi même
  • Les informations générales
  • Les catégories
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22
Q

Que peut-on dire du cadre significatif?

A
  • « Si les ballons éclataient, le son ne s’entendrait pas, car ce serait trop loin de l’étage … »
  • Chaque phrase du texte est correcte, mais l’ensemble n’a pas de sens. Avec l’image, par contre, on arrive à donner un sens au texte.
  • Les sujets qui voyaient l’image avant la lecture se souvenaient de deux fois plus d’informations que les sujets qui voyaient l’image après avoir lu le texte.
  • Le texte fournit un cadre mental qui aide le lecteur à relier une phrase à l’autre pour créer une histoire qui a du sens.
  • L’organisation qui en résulte rend la compréhension et la mémorisation plus facile. La mémorisation sans compréhension est impossible. Qd on comprend rien et qu’on doit apprendre par cœur, c’est très dur.
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23
Q

Que peut-on dire de la valeur de survie?

A
  • Comprendre le fonctionnement en tenant compte de sa fonction parce que notre mémoire a été formée pour augmenter nos chances de survie.
  • Relier des mots à la survie améliore le rappel par rapport à compter les voyelles, création d’images mentales, relier des mots à soi-même et la production d’informations. La question de survie est important ds notre évolution, alors ça rend encore plus mémorable.
  • L’interprétation est débattue, mais il est généralement accepté que relier des mots à quelque chose de significatif ou pertinent, comme la survie, améliore la mémoire.
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24
Q

Que peut-on dire de la pratique du rappel?

A

Roediger & Karpicke (2006):
• Lecture de textes durant 7 minutes
• Pause de 2 minutes remplie de problèmes de maths
• On demande aux sujets, soit d’écrire tout ce qu’ils ont retenu dans n’importe quel ordre (test de rappel), soit de relire le texte (7 minutes dans les deux conditions).
• Après un délai de 5 minutes, 2 jours ou une semaine, les deux groupes sont priés de passer le test de rappel.
2 jours, le rappel de la matière (comme un cours d’histoire ou un cours sur le cerveau et le comportement») était meilleur dans le groupe qui s’est testé après la lecture.
Donc, pratiquer le rappel améliore la mémoire par rapport à une relecture de l’information.

25
Q

Que faut-il faire pour mémoriser?

A

Il faut être actif et faire des manipulations sur le contenu qu’on souhaite mémoriser (relire ne suffit pas).

26
Q

Que faut-il faire avant que le contenu encodé puisse être utilisé?

A

Il faut le récupérer

27
Q

Prq est -ce que la récupération est importante?

A

Car la plupart des défaillances mnésiques sont des problèmes de récupération d’une information qui est stockée en mémoire à long terme:

28
Q

Qd est-ce que la récupération est la plus facile?

A

Qd on retourne à l’endroit où on l’a formé.
Revenir à l’endroit de l’acquisition des souvenirs fournit des indices de récupération (d’autres exemples: odeurs, une chanson). Il faut créer des situations d’apprentissage où on a un maximum d’indices de récupérations qui nous permettra de se rappeler.

29
Q

Quels sont les types de rappel?

A
  • Rappel libre

- Rappel indicé

30
Q

Qu’est-ce que le rappel libre?

A

On demande au sujet de rappeler les stimuli (par exemple, des mots présentés par l’expérimentateur ou des événements de la vie).

31
Q

Qu’est-ce que le rappel indicé?

A

On donne des indices au sujet qui aident à récupérer les stimuli présentés au préalable. C’est plus facile de retrouver l’information qd on a un indice.

32
Q

Quel est le meilleur rappel?

A

Le rappel indicé

33
Q

Qu’est-ce que l’indice auto-géré?

A

Les indices individuels qui viennent de sa propre mémoire à long terme –> ce sont les plus efficaces

34
Q

Qd est-ce que le rappel est meilleur?

A

Qd les conditions au rappel correspondent aux conditions de l’encodage

35
Q

Quelles sont les différentes manières d’établir une correspondance entre conditions au rappel et conditions à l’encodage?

A
  • Spécificité d’encodage
  • L’apprentissage dépendant de l’état de la personne
  • Le traitement approprié au transfert
36
Q

Que peut-on dire de la spécificité de l’encodage?

A

Le contexte du rappel et de l’encodage correspondent.

37
Q

Que peut-on dire de l’apprentissage dépendant de l’état de la personne?

A

L’humeur correspond entre le rappel et l’encodage.

38
Q

Que peut-on dire du traitement approprié au transfert?

A

La tâche impliquée dans l’encodage correspond à la tâche au rappel.

39
Q

Expérience sur la spécificité d’encodage

A

o un groupe apprend une liste de mots sous l’eau (équipé de lunettes de plongée, scaphandre, etc.), un autre groupe apprend la liste au sec; Ensuite, la moitié de chaque groupe a été testée sous l’eau et l’autre au sec.
o Etre au même endroit à l’encodage et au rappel améliore la performance.
• Conclusion: Il est mieux d’étudier dans les mêmes conditions que celles du test.
• Par exemple, il est avantageux de reproduire dans sa chambre quelques conditions de la salle de cours/examen

Il y avait deux conditions d’apprentissage : sous l’eau, à terre. Qd on apprend une liste de mots sous l’eau, on mémorise les mots, mais aussi le contexte (eau, masque sur les yeux), de manière automatique c’est enregsitré avec l’info cible.
Et ensuite chacun des deux groupes feront moitié du test sous l’eau, moitié du test sur la terre. Ce qui produit les meilleures performances : qd on se rappelle du contexte. Qd on a appris sous l’eau, les apprentissages sont meilleures que ceux appris sur la terre qd on fait le test ds l’eau. Et on apprend mieux sur la terre qd le test se fait sur la terre. Il y a une interaction entre le contexte et le test.

40
Q

Expérience sur le bruit sur la spécificité d’encodage

A

o Tous les sujets portaient des casques.
o Un groupe apprenait la liste de mots en silence, l’autre apprenait les mots pendant qu’on présentait du bruit (cafétéria à l’heure du déjeuner).
o Ensuite, la moitié de chaque groupe a été testée avec bruit, l’autre moitié sans bruit.
o Meilleur rappel quand le contexte s’accordait entre l’apprentissage et le rappel.
o Donc, il vaut mieux étudier dans le silence, car l’examen sera également dans le silence

41
Q

Expérience sur l’apprentissage dépendant de l’état sur les humeurs

A

o Induction d’humeurs: On demande aux sujets d’avoir des pensées positives quand la musique est joyeuse ou d’avoir des pensées déprimantes quand la musique est mélancolique.
o Les sujets indiquent leur humeur sur une échelle. L’humeur cible est atteinte après 15-20 min.
o Ensuite, ils apprennent une liste de mots.
o Deux jours plus tard, l’induction d’humeur est répétée et quand l’humeur cible est atteinte, les sujets se rappellent des mots.
o La correspondance de l’état interne (humeur ou conscience) à l’encodage et au rappel améliore la performance

42
Q

Expérience sur le traitement approprié au transfert

A

Correspondance entre encodage et test, ça aide. Plus c’est profond, mieux c’est. La correspondance entre test et apprentissage prime.
o Encodage: Présentation auditive d’une phrase avec un blanc. Après 2 secondes, un mot cible est présenté et les sujets doivent indiquer s’il convient. Dans deux conditions, un traitement différent est induit.
• Dans la condition signification, le jugement est basé sur le sens du mot cible.
• Dans la condition rime, le jugement est basé sur le son du mot cible.
o Rappel (plusieurs conditions, on ne présente qu’une):
• Test de rime: les sujets indiquent si le mot de test rime avec un des mots cibles.
o Le rappel est meilleur quand la tâche de rappel correspond à la tâche d’encodage (traitement approprié au transfert): meilleure performance si l’encodage focalisait sur la rime.
o Ce résultat va à l’encontre des prédictions de la théorie des niveaux de traitement: Une meilleure performance avec un traitement plus profond (encodage avec focus sur la signification) est prédite

Lors du test, on propse une question de rime. On doit décider si un des mots cibles de l’encodage rimait avec deux autres mots.
Le rappel est un test de rime. L’encodage avec le focus sur signification est inférieur avec l’encodage avec la rime. Mais aussi que vu qu’on fait apprentissage rime et qu’ensuite on fait test sur rime. C’est normal qu’on soit meilleur. Mais de toute façon l’encodage est meilleur quand c’est avec des rimes.

43
Q

Que peut-on dire du lien entre la récupération et l’encodage?

A

Il y a un décalage entre les personnes qui ont eu le même événement, mais ils n’auront pas les mêmes souvenirs car ce qui reste dans la mémoire est propre à chacun. La mémoire est sélective. Mais c’est qch de complexe, donc on va s’intéresser à comment ça va ds la mémoire à long terme.

44
Q

Définition de la consolidation?

A

Le processus qui transforme les souvenirs d’un état fragile, où ils peuvent être perturbés, à un état plus stable, où ils résistent à la perturbation.

45
Q

Que montre l’expérience de Müller et Pilzecker sur la consolidation?

A
  • Deux groupes de participants apprennent deux listes de syllabes sans sens. Ils ont manipulé le temps de qd il allait apprendre les listes.
  • Groupe immédiat: L’apprentissage de la deuxième liste suit l’apprentissage de la première sans interruption.
  • Groupe délai: L’apprentissage des deux listes est séparé de 6 minutes ce qui améliore la performance.
  • Conclusion: La présentation immédiate de la deuxième liste a interrompu la formation de souvenirs stables de la première liste.

La performance était meilleure quand ils avaient une pause entre les deux listes.
La consolidation de la 1er liste (processus qui rend les souvenirs stables) ont été interrompu ds le groupe où il n’y avait pas de délai. Qd on consolide un souvenir, il y a l’apprentissage de la 2e liste qui est venu et donc a arrété la consolidation de la 1er. Dans l’autre cas, il y a assez de temps pour consolider la 1er liste

46
Q

Quels sont les 2 mécanismes responsables de la consolidation?

A
  • Consolidation synaptique (implique changement structuraux de la synapse)
  • Consolidation systémique (implique plusieurs neurones)
    Ces processus se produisent en même temps et ils ne s’excluent pas parmi.
47
Q

Que peut-on dire de la consolidation synaptique

A

• Hebb (1948): Apprentissage et mémoire sont représentés par des changements physiologiques à la synapse.
• Une expérience particulière est représentée par des changements dans des centaines de milliers de synapses qui sont activées en même temps par l’expérience (cf. codage de population 02-12).
– Un neurone A transmet son potentiel d’action au neurone B par l’émission de neurotransmetteurs à la synapse  Qd ils ont regardé la structure : ils ont vu que le PA arrivait ds le neurone présynaptique et produisait un certain nombre de PA, mais pas bcp bcp. La connexion est faible.
– L’activation fortifie la synapse par changements structurels, une émission plus grande de neurotransmetteurs, et plus de décharges  Ensuite, le PA arrive de manière répété  produit changements structuraux, la synapse change et qd il y a un PA qui arrive, il y a bcp plus de décharge de l’autre côté = PA à long terme  le PA répété rend un PA plus efficace.

– Potentialisation à long terme (LTP): activation d’une synapse aboutit à une augmentation de l’activation dans la cellule postsynaptique

48
Q

Que peut-on dire de la consolidation systémique?

A

• Le cas de H.M. montre que l’hippocampe est nécessaire pour la formation de nouveaux souvenirs.  l’hippocampe joue un grd rôle.
• Le modèle standard de la consolidation:
o L’information entrante produit une activation de plusieurs aires sensorielles et cognitives dans le cortex.
o L’hippocampe coordonne l’activité des aires cérébrales qui, à ce moment, ne sont pas encore connectées (a).
o Le mécanisme principal de la consolidation est la réactivation. L’hippocampe reproduit l’activité neuronale associée au souvenir. L’activité dans le réseau hippocampecortex aide à établir des connexions directes entre les aires du cortex (b).
o Finalement, les connexions entre l’hippocampe et le cortex disparaissent dans la mesure où les connexions corticales sont renforcées (c).

Toutes les sensations sont reliées par l’hippocampe. Il met ensemble les diff parties qui de base étaient indépendantes. Et avec le temps, les relations entre les aires corticales et l’hippocampe  vont diminuer et les relations entre le cortex (souvenirs)  ça va se renforcer. Le rôle de l’hippocampe diminue pour qu’il y a plus de place pour les aires corticales et leurs connexion entre eux et comme ça, ça amène le souvenir

On voit sur l’image qu’au début, il y a bcp de liens entre hippocampe et cortex, puis peu à peu diminue, puis ensuite diminue complètement et les connexions se font que entre le cortex

49
Q

Qu’est-ce que l’amnésie rétrograde?

A

les événements avant la blessure et peut s’étendre sur des minutes, heures, ou mêmes des années, selon la nature et gravité de la blessure.

50
Q

Par quoi est causée la diminution graduelle de l’oubli (typique que l’amnésie rétrograde)?

A

par un changement des connexions entre l’hippocampe et les aires corticales

51
Q

Selon le modèle standard, qd est-ce que l’hippocampe est activé?

A
  • Quand les souvenirs sont formés et rappelés au début, mais son implication diminue quand les souvenirs sont consolidés. Finalement, les connexions corticales sont suffisantes pour récupérer des souvenirs anciens.
  • Les choses plus proches de l’accident sont oubliés plus facilement et ce qui est ds le passé, les souvenirs sont plus intactes. Les souvenirs ds le passé lointain, n’ont plus besoin d’aide avec l’hippocampe et le cortex. Et donc les souvenirs lointains ont plus besoin de l’hippocampe. Alors que vers l’accident, les souvenir sont proches et on a encore besoin de l’hippocampe pour avoir le souvenir = amnésie rétrograde (concerne les événement avant le choc). Il y a un gradient vu que les souvenirs du présent sont plus touchés que les souvenirs anciens.
    Quand il y a un choc, c’est les connexions hippocampe et cortex qui sont le plus touchés.
52
Q

Que montre le modèle de multiples traces de la consolidation?

A
  • Le point de désaccord est la conclusion que l’hippocampe n’est pas impliqué dans les souvenirs anciens. Si on récupère un souvenir de l’enfance devrait être que avec l’aide de l’activation corticale. Mais en fait, on a trouvé que l’hippocampe s’active qd même.
  • Nadel & Moskovitch (1997) proposent dans le modèle de multiples traces de la consolidation que l’hippocampe est impliqué dans la récupération de tous les souvenirs épisodiques, même anciens. L’hippocampe joue aussi un rôle avec les souvenirs épisodiques que les souvenirs soient anciens ou récents.
  • Gilboa et al. (2004): L’hippocampe s’active quand on présente des photos du sujet lui-même datant du passé récent et lointain (à l’âge de 5 ans).
53
Q

Comment est l’implication de l’hippocampe ds la mémoire épisodique, à travers une étude?

A

Viskontas et al (2009):
– Les sujets regardaient des paires d’images à mémoriser et on leur demandait d’imaginer une interaction entre les objets présentés.
– Dans deux tests, on regardait qd ils se rappelaient mieux des paires : un après 10 minutes, l’autre après 1 semaine, on leur présente les paires originales et des nouvelles paires.
– Options de réponse:
• souvenir (R), «Je me rappelle de la paire quand elle a été présentée initialement»
• savoir (K), «La paire semble familière, mais je ne me souviens pas quand je l’ai vu initialement»
• « Je ne me souviens pas de l’avoir vu avant. »
– Sémantisation de la mémoire: Plus de « souvenir » que de « savoir » après 10 minutes, mais l’inverse après une semaine.
– Activation de l’hippocampe pour des souvenirs qui restent épisodiques après une semaine (RR), mais pas d’activation pour des souvenirs qui ont perdu leur caractère épisodique (RK)  L’activation de l’hippocampe est importante pour garder en mémoire les souvenirs épisodiques.

Après 10min, les gens ont encore des bons souvenir des paires. Après une semaine ça s’inverse :
Souvenir qd on est sûr : plus rare
Sentiment de familiarité : ça augmente.

Les gens ont garder des traces dans leurs mémoire épisodiques. Pour les souvenirs restés en mémoire épisodiques, on voit une activation de l’hippocampe que ce soit pour 10min ou 1semaine. La bleu : sémantisation : on voit.
Pour le même stimulus avec la même image à l’écran : on voit plus l’activation de l’hippocampe : transfert entre mémoire épisodique et sémantique est accompagné d’un manque d’action de la part de l’hippocampe. Il n’y a plus d’activation de l’hippocampe.

54
Q

Que peut-on dire de la consolidation et du sommeil?

A

• Le processus de réactivation associé à la consolidation est particulièrement fort durant le sommeil. L’avantage de travailler le soir : durant le sommeil, il y a une consolidation des souvenirs qui est plus forte que si on reste réveillé.
• Gais et al. (2006)
– Des élèves devaient apprendre des listes de 24 paires de mots anglais-allemand.
– Le groupe «réveillé» apprenait les mots et attendait 10 heures avant de se coucher.
– Le groupe «sommeil» apprenait les mots et se couchait durant les 3 heures qui suivaient l’apprentissage.
– Test après 24 à 36 heures avec plusieurs contrôles pour l’heure du jour, etc.
– Les élèves dans le groupe «sommeil» oubliaient moins de mots.

55
Q

Prq faut-il s’adapter aux nvelles situations?

A

Car si on garde l’ancien souvenir, on retournera ds l’impasse, il faut donc mettre à jour le nouveau souvenir.

56
Q

Qu’est-ce que la reconsolidation?

A
  • Au moment où un souvenir est récupéré, il devient fragile, comme lors de sa création, nécessitant une nouvelle consolidation, un processus appelé reconsolidation. On peut mettre à jour le nouveau souvenir, mais l’habitude est aussi qch de présent. Alors qd on fait qch, on ne réfléchit pas et donc on fait ce qu’on a l’habitude et on n’utilise pas le souvenir reconsolidé, mais si on se trompe encore, alors peu à peu, l’habitude va changer
  • Donc, la récupération d’un souvenir ouvre la possibilité de sa modification et ensuite le remettre ou de son effacement.
57
Q

Que se passe-t-il avec les troubles stress post-traumatique?

A
  • Dans le trouble de stress post-traumatique (TSPT), la personne a des «flashbacks» de l’événement traumatisant, souvent accompagné d’anxiété extrême et de symptômes physiologiques. Ils revivent les souvenirs traumatisants et ils sont vrmt bcp anxieux. On a des souvenirs que qd on les récupère, il y a des conséquences négatives sur le bien-être de la personne.
  • Brunet et al. (2008): La réactivation des souvenirs, suivi par la reconsolidation, peut atténuer la TSPT.
58
Q

Quelle est l’idée de thérapie pour les troubles stress post-traumatique?

A

• Idée de thérapie : remettre ds la situation traumatisante, ils auront bcp d’anxiété et en même temps leur donner un médicament qui va bloquer la réaction de stress. Ils vont alors écouter le récit traumatisant, sans avoir peur car ils prennent un médic qui bloque la peur. Alors ils peuvent reconsolider un souvenir mais sans le stress qui normalement accompagne cet épisode. On modifie alors les souvenirs de l’événement original. On ouvre le fichier et on modifie la peur extrême puis on ferme le fichier et les gens vont mieux.
o Les patients écoutent un récit de l’événement traumatisant de 30 secondes. Dans un groupe, la réactivation est accompagnée par le médicament Propranolol qui bloque l’activation des récepteurs de l’hormone de stress dans l’amygdale. L’autre groupe reçoit un placebo.
• Une semaine plus tard, les deux groupes écoutent à nouveau le récit et s’imaginent l’événement traumatisant. Le groupe avec Propranolol montre des augmentations plus faibles de la pression artérielle et de la conductivité de la peau.
• Donc, le blocage du stress par le médicament lors de la réactivation réduit la réaction émotionnelle liée aux souvenirs du trauma. Cet effet peut persister durant des mois.

59
Q

Quelles sont les manières d’étudier efficacement?

A

• Les techniques les plus populaires pour la préparation d’un examen (souligner et relire le texte/ses notes) sont plutôt inefficaces parce qu’il s’agit souvent d’un traitement automatisé et passif. Mais ça améliore pas le rappel
• Élaboration: Lier la matière aux connaissances existantes pour créer des liens. Plus on a appris, plus facile sera la création de liens.
• Générer et tester (cf. diapos 06-09 et 06-14): se tester est une manière de traiter la matière de manière active.
– «Test Yourself» dans le livre, ds les manuels mtn il y a bcp ça.
– Inventer des questions ou s’imaginer qu’on devra répondre à des questions plus tard améliore le rappel.
– Se tester sert à (1) vous informer sur ce que vous savez. (2) améliorer votre capacité de vous rappeler ce que vous avez appris, tester est la meilleure façon d’apprendre
• Organisation:
– Création d’un cadre qui vous aide à relier les informations entre elles et qui rend la matière plus significative, ce qui va renforcer l’encodage
– Par exemple, organisation des détails dans des hiérarchies ou listes qui regroupent des faits ou principes similaires.
– Relié au phénomène de «chunking».
• Faire une pause
- Grâce à ça, la concentration s’améliore
– L’effet de l’espacement: La mémoire est meilleure quand l’apprentissage est distribué sur plusieurs séances courtes, au lieu d’une seule séance plus longue.
– Dormir après avoir étudié peut améliorer la mémoire.
• Eviter l’illusion d’apprentissage
– Relire le texte/les notes augmente l’aisance de la lecture, ce qui crée l’illusion que la matière a été acquise. En réalité, le rappel à l’examen peut être impossible. Un sentiment de familiarité : on a lu à plusieurs reprises le même texte, alors on a plus de facilité à le lire car on l’a déjà lu, mais en fait ça veut pas dire qu’on l’a appris. C’est juste qu’on a plus de facilité à le lire. Ça n’aidera pas lors du rappel.
– En plus, relire peut augmenter la familiarité. La familiarité donne l’impression que vous connaissez la matière, mais le rappel plus tard peut être impossible