cours8 examen final Flashcards

1
Q

intro

Avant Bandura, l’être humain était perçu comme étant ____, la personne était vue comme un ___ sur lequel on agit.

A

avant humain passif, la personne était vue comme un objet,

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2
Q

intro

Après Bandura, l’être humain est perçu comme un _____ actif, capable d’influencer son propre processus d’______.

A

un apprenant actif, capable d’influencer son propre processus d’apprentissage

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3
Q

Quel a été le génie de Bandura?

A

Le génie de bandura a été donné une clé d’intervention précise et accessible à tous, pour favoriser l’apprentissage et l’acquisition de nouveaux comportements. Cette clé, c’est le concept du sentiment d’efficacité personnelle. Si un individu arrive à ressentir qu’il est capable de réussir une tâche, il y a de fortes probabilités qu’il y parviendra.

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4
Q

intro

Quelle est l’idée centrale de la théorie sociocognitive?

A

L’idée centrale de la théorie Socio cognitive est d’affirmer, preuve à l’appui, que les comportements et les émotions d’un individu dans une situation donnée peuvent toujours se comprendre par la manière dont ils pensent. Ce n’est donc plus les stimuli externes qui influencent la manière dont l’individu agit. Mais bien ces cognitions.

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5
Q

intro

V ou F : La théorie cognitive présente une philosophie scientifique basée sur les données probantes?

A

vrai

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6
Q

intro

Qu’est-ce que le déterminisme réciproque?

A

Bandura convenait que l’environnement détermine le comportement, mais il prétendait que le comportement pouvait aussi déterminer l’environnement

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7
Q

intro

Quelles ont été les contributions de la théorie sociocognitive pour les domaines suivants :
- Psychologie du travail;
- En clinique (pratique);
- Scientifique.

A
  1. psycho du travail : programmes d’orientation de nouveaux employés qui ont à s’adapter à un tout nouvel environnement. Dans des situations de supervision où un gestionnaire veut que ses employés assument de tout nouvelles responsabilités ou relèvent des défis d’importance ou bien dans des formations destinées à l’apprentissage, mais non seulement l’apprentissage, mais à l’application des nouvelles technologies. Où finalement, dans des situations de changement organisationnel ou de transition de carrière où les rôles, les tâches sont redéfinis et par conséquent nécessitent une adaptation pour les maîtriser
  2. en clinique (pratique) : thérapie cognitive comportementale
  3. scientifique : psychologie sociale, avec l’étude des cognitions qui sont propres au fonctionnement social de l’individu, la psychologie cognitive qui s’intéresse au fonctionnement cognitif, comme les schémas qui influencent. Notre manière de traiter l’information de façon automatique et même la neuropsychologie. En effet, dans le traitement des troubles de l’attention par exemple, on retrouve des thérapies qui visent à modifier les cognitions du patient de manière à ce qu’ils soient plus attentifs et qu’ils s’organisent mieux dans son quotidien
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8
Q

intro

V ou F : La théorie sociocognitive est synonyme de rigueur et d’efficacité?

A

vrai

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9
Q

intro

Qu’est-ce qui nous permet de maintenir nos engagements?

A

la notion d’auto-efficacité (le fait qu’on va réussir ce que l’on entreprend)

on a une démonstration scientifique que le fait de produire des résultats constructifs conduit à une amélioration du bien-être

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10
Q

structure

L’être humain possède des compétences et des capacités mentales _____ qui font en sorte qu’il peut diriger ______ sa vie et _____ son comportement au-delà des influences du moment.

A

des capacités mentals supérieures et diriger activement et réguler ses comportements

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11
Q

structure

Quel est l’outil permettant à l’être humain d’être actif et de s’extraire des contingences ayant agis dans le passé?

A

processus cognitifs

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12
Q

structure

Pourquoi des régularités s’observent lorsque l’on regarde les variations situationnelles du comportement chez les individus sur une certaine période de temps?

A

Leur comportement varie selon des patrons qui ne sont pas aléatoires, qui sont assez stables selon les types de situations. La théorie socio-cognitive nous aide à comprendre pourquoi. C’est parce que nos croyances et attentes sont spécifiques à des situations précises que nos actions fluctuent dans ces mêmes situations. C’est le concept de la spécificité situationnelle qui est au cœur de l’approche socio cognitive. Notre comportement est ainsi le résultat de notre capacité à discriminer entre les situations et d’y réagir différemment en fonction de variables psychologiques activées par ces situations.

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13
Q

structure

Que signifie le concept d’empreintes comportementales?

A

. Mais ce que cette étude a surtout mis en lumière, c’est que les individus ont des modes distinctifs de relations, situation, comportement, ce qu’ils ont appelé des empreintes comportementales. En d’autres mots, 2 individus peuvent présenter le même niveau moyen d’agression, mais différer quant au type de situations où s’exprime l’agressivité.

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14
Q

structure

nomme les 4 composantes-clé associées à la structure dans l’approche sociocognitive

A
  1. croyances et attentes
  2. objectifs personnels
  3. norme d’auto-évaluation
  4. compétences et habiletés concrètes
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15
Q

explique les croyances et les attentes (composantes-clé associées à la structure) et un exemple

A

qui témoignent de la façon dont vous concevez l’avenir (sentiment d’efficacité personnelle)
ex : Quelles sont les probabilités qu’une chose ou un scénario précis se concrétise dans une situation donnée? Par exemple, obtenir un A dans ce cours et être admis l’an prochain dans un programme de votre choix au cycle supérieur. Si vous êtes confiant à 99% que vous obtiendrez 1 A et que vous croyez que cette note vous ouvrira les portes du programme d’études supérieures convoitées. Vous ferez sans doute les actions et efforts nécessaires pour que ce scénario se concrétise. Au contraire, si vous estimez qu’il n’y a aucun lien entre la réussite à secours et votre projet d’étude ou professionnelle, ce qui correspond à une faible l’instrumentalité ou bien que vous estimez que votre capacité à obtenir un A est inférieur à 10%, ce qui correspond à un faible sentiment d’auto efficacité. Alors il y a de bonnes chances pour que votre comportement reflète ce fait au niveau d’attente par rapport au cours.

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16
Q

explique les objectifs personnels (composantes-clé associées à la structure)

A

objectifs que je poursuis (Visualiser cet objectif ultime vous permettra de faire des choix alignés avec celui-ci)

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17
Q

explique les normes d’auto-évaluation (composantes-clé associées à la structure) et un exemple

A

norme d’auto-évaluation que vous utilisez pour juger de vous-même
il faut surtout retenir que les individus sont en mesure de fixer pour eux-mêmes des normes personnelles qui stipulent ce qui est bien ou moins bien, notamment en fonction de leurs attentes et objectifs. Répondre à ces normes personnelles peut ainsi constituer un auto renforcement de son comportement qui vient de l’interne et non de l’externe.
ex : si obtenir un B est suffisant pour vous pcq pas tres lié à objectifs futurs, alors pas trop de reactions, mais si avoir A est important, avoir moins = emotion snegatives vs avoir A+ = emotions positives

IMPORTANT : cets l’interpréation des événements plutôt que les événements eux-mêmes qui influencent les réactions des gens

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18
Q

explique les compétences et habiletés concrètes (composantes-clé associées à la structure) et un exemple

A

les aptitudes, compétences de la personne dans diverses situations, cela va influencer son comportement. si super calé dans un sujet, situation avec ce sujet = confiant et parle bcp. mais autre situation où pas compétent = + réservé et ecoute

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19
Q

dit en résumé les 4 composantes-clé associées à la structure

A

résumé : qui structure le comportement de la personne, c’est une multitude de micro perceptions spécifiques par rapport à des comportements X ou à des résultats y. Ainsi, l’attente de résultats, c’est-à-dire l’Instrumentalité, c’est à quel point je crois que si X se produit, y surviendra. L’attente d’auto efficacité ou le sentiment d’efficacité personnelle? C’est à quel point je suis effectivement confiant de pouvoir produire X. Les objectifs personnels concernent la question à savoir si je veux ou j’aspire à produire X ou y. Évidemment, ceci dépendra en bonne partie des normes d’auto-évaluation qui déterminent si ces objectifs sont jugés comme étant souhaitables ou non par moi-même et mon entourage. Enfin, la compétence habilitée réfère au savoir et savoir-faire que je possède et que je peux mobiliser concrètement pour agir selon les objectifs poursuivis.

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20
Q

processus

quest ce que l’autorégulation

A

Capacité de modifier son comportement.

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21
Q

processus

l’individu est un agent … de son comportement

A

actif

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22
Q

selon Bandura, comment un individu parvient à s’autoréguler?

A

c’est par la mise en œuvre de processus cognitifs qui détermine son comportement. Pensons ici aux objectifs que l’on définit pour soi et aux attentes par rapport aux futurs qui constituent des guides pour ajuster ces actions. De même, les sentiments d’efficacité personnelle, Les normes d’auto-évaluation constituent des barèmes internes et des forces motivationnelles qui expliquent que l’on redouble ou non d’effort lorsque la situation n’est pas celle que nous souhaiterions

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23
Q

processus

Quels sont les 3 éléments mis de l’avant par le déterminisme réciproque?

A

la personne, l’environnement et le comportement sont en interaction constante et se déterminent l’un et l’autre. (donc cest pas juste environnement qui influence compt. tous s’interinfluencent)

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24
Q

processus

V ou F : Certaines contingences sont plus fortes que d’autres?

A

vrai,
ex : rouler passer la limite de vitesse. dhabitude je fais du charme au policier (contingence comportementale) et jai pas de ticket. mais la on dit aux policiers d’être impartials, donc la contingence environnementale ++ forte sur le comportement de depasser limite de vitesse (je vais prob pu le faire)

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25
Q

croissance

Alors que les béhavioristes mentionnent que l’on apprend par apprentissages ___, Bandura mentionne que l’on peut apprendre par la simple _____ de modèles.

A

stimuli-recompense (renforcement)
bandura - par la simple observation

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26
Q

quest ce que l’apprentissage vicariant et ses caractéristiques

A

Apprentissage de façons d’être et d’agir par l’observation d’autrui
Selon cette proposition, nous sommes en mesure de développer des représentations mentales du comportement observé et d’y référer par la suite à travers ce processus, nous pouvons emmagasiner dans notre répertoire mental les actions que nous avons observées, des conséquences associées à ces actions ainsi qu’une panoplie de commissions ou de réactions émotives observées chez autrui en lien avec le comportement

27
Q

croissance

Décrivez l’expérimentation de la poupée Bobo. (3 résultats)

A

. Dans cette étude, Bandura a exposé les participants à 3 conditions d’apprentissage différentes. Dans la première condition, les participants ont observé un modèle dont les comportements d’agression ont été récompensés. Dans la 2nde condition, les participants ont observé un modèle dont les comportements d’agression ont été punis. Enfin, à la 3e condition, les participants ont observé un modèle où il n’y avait aucune conséquence. Associée à l’émission de comportement agressif. Ensuite, Bandura a observé la quantité de comportement agressif des participants dans 2 situations dans une première où il n’y avait pas d’incitatif ou de renforcement particulier associé à l’émission, des comportements agressifs et dans une 2nde où il y en avait.

Les résultats de cette étude ont montré 3 choses.
- Premièrement, les renforcements directs augmentent la fréquence d’émissions de comportement agressifs. Ceci est conforme à la prédiction des baies yoris.
- Deuxièmement, l’observation d’un modèle récompensé plutôt que puni fait aussi une différence. Quant à la manifestation de comportements d’agression, dans le cas où il n’y a pas d’incitatif particulier à la violence.
- Mais c’est surtout le 3e constat qui a constitué une découverte importante, le niveau d’agression dans les 3 groupes était le même lorsque les comportements d’agression étaient encouragés, Que les gens aient observé un modèle récompensé, puni où n’ayant subi aucune conséquence ne changeait rien. BanDura a conclu que peu importe les conséquences associées au comportement agressif, tous ont acquis les comportements agressifs dans leur répertoire mental par simple exposition

28
Q

croissance

Selon Bandura, comment les gens ont-ils intégré des comportements agressifs dans leur répertoire mental?

A

Bandura a conclu que peu importe les conséquences associées au comportement agressif, tous ont acquis les comportements agressifs dans leur répertoire mental par simple exposition. Par contre, l’exécution des comportements d’agression, elle s’est avérée dépendre des contingences de renforcement

29
Q

croissance

Comment expliquer que les gens exécutent des comportements d’agression?

A

AVOIR EU DES MODÈLES NÉGATIFS VIOLENTS DANS LEUR VIE SANS AVOIR EU DE MODÈLES POSITIFS (surtout si ces contingences sont renforcées)

30
Q

croissance

Soulevez des domaines où des comportements complexes bénéficient de l’apprentissage par observation.

A

apprendre à conduire, cuisiner, sport, peindre, dessiner

31
Q

croissance

Selon Bandura, nos réactions émotionnelles peuvent avoir été développées suite à l’observation ____ d’un modèle.

A

observation répétée

32
Q

croissance

Soulevez un exemple de conditionnement émotionnel vicariant.

A

Imaginons que votre mère a une terrible peur des serpents. Et à chaque fois qu’elle en voit un, même en image, elle se met à paniquer. L’exposition à cette association serpent panique chez votre mère et suffisante pour que cette association se forme chez vous et que vous, en veniez à ressentir des émotions négatives à la vue des serpents

33
Q

psychopatho

De quoi résulte la psychopathologie selon la théorie sociocognitive?

A

résulte de croyances irréalistes ou inadaptés. De façon générale, les approches thérapeutiques dans cette approche visent à corriger les distorsions cognitives et à les remplacer par des cognitions plus réalistes et plus adaptées.

34
Q

psychopatho

Quels sont les facteurs-clé entraînant les réactions problématiques?

A

On présume ici que les croyances et les attentes par rapport au futur seront les facteurs clés qui entraînent les réactions problématiques qui tendent à se perpétuer ou se généraliser à différentes sphères de vie. D’où l’intérêt d’agir directement sur ces croyances pour améliorer la situation du client

35
Q

psyhcopatho

Selon Ellis, qu’est-ce qui doit être éliminé dans le discours interne des individus pour favoriser leur bien-être?

A

ce sont les croyances absolues qu’il faut éliminer dans le discours interne des gens pour favoriser leur bien-être et un meilleur ajustement à leur environnement.

36
Q

psyhcopatho

Selon Beck, qu’est-ce qui cause problème, pouvant même mener à la dépression?

A

c’est le fait que le discours interne dénote une vision négative de soi du monde et du futur qui causent problème

37
Q

psychopatho

Familiarisez-vous avec les 3 vagues…

A

1ere vague : béhaviorisme centrée sur la modification des contingences pour changer les comportements
2eme vague : les approches cognitives sont venues compléter ces thérapies, belly orales par la prise en compte des processus de pensée, les pensées automatiques, les schémas, les croyances irrationnelles, le sentiment d’efficacité personnelle. Ont été davantage intégrés pour intervenir plus efficacement auprès des patients appelez cognitivo-comportemental.
3eme vague : centrée sur les emotions

38
Q

psychopatho

Quels sont les éléments-clé qui caractérisent les approches cognitivo- comportementales? (4)

A
  • Premièrement, elle vise des cibles précises, des cognitions, des comportements précis à modifier sont identifiés comme cible d’intervention. L’intervention vise les causes actuelles plutôt que les causes du passé lointain. Ainsi, on se centre sur ce qu’on peut travailler ici et maintenant avec les clients et sur ce qu’on peut lui faire apprendre, par exemple, de nouveaux modes de pensée.
  • Deuxièmement, la démarche est structurée et de courte durée. Une fois la cible du changement identifié, l’objectif est de recourir à une méthode structurée afin d’arriver à atteindre la cible visée. Typiquement, ceci consiste à décomposer la tâche en sous tâche, à apprendre des techniques spécifiques pour atteindre l’objectif, à passer en revue les difficultés rencontrées et à identifier des moyens pour y faire face. Enfin, le succès est évalué et chaque étape de la démarche est documentée de façon scientifique. La démarche peut ainsi être reproduite avec d’autres clients si elle avait été efficace.
  • Troisièmement, cette démarche requiert la collaboration entre le thérapeute et le client. Selon bandura, c’est le client qui indique ce qu’il veut améliorer et c’est de là que part le thérapeute pour proposer un objectif et des moyens pour l’atteindre. Une alliance s’établit alors sur l’objectif et les méthodes de travail. Thérapeute deviennent des partenaires dans la démarche et prennent ensemble les meilleures décisions possibles pour favoriser le changement Désiré.
  • Enfin, les clients doivent jouer un rôle actif dans la démarche pour assurer son succès. Ceci est un facteur clé car c’est en disant ce qu’il pense et ce qu’il ressent que le thérapeute peut mieux saisir. Les cognitions du client et ajuster ses interventions. Aussi, l’approche est centrée sur l’action car les petites réussites sont, selon bandura, l’une des meilleures façons d’augmenter le sentiment d’efficacité personnelle et d’amener des changements durables dans la vie des gens.
39
Q

psychopatho

Quels sont les objectifs thérapeutiques visés selon Bandura?

A

Les objectifs sont de faire apprendre de nouveaux modes de pensée et des nouveaux comportements pour améliorer la situation du client. C’est une approche graduelle où on focalise sur l’apprentissage de tâches précises que l’on vise à maintenir dans le temps et qu’on vise à généraliser afin de permettre à l’individu de s’ajuster à diverses situations similaires. Pour que de tels changements durables se produisent, Bandura met de l’avant qu’il est nécessaire d’effectuer des changements dans le sentiment d’efficacité personnelle pour rehausser la confiance que l’individu peut faire face à la situation problématique.

40
Q

psychopathp

Quelles sont les 2 modalités d’intervention proposées par Bandura?

A

le modelage et la participation guidée qui étaient nouvelles par rapport aux approches comportementales existantes.

41
Q

Sur quoi s’appuient ces 2 modalités d’intervention? (modelage et participation guidée) et chacun cest quoi

A

Ces 2 modalités s’appuient sur le principe d’apprentissage vicariant.
- Dans le modelage les clients observent un modèle qui exécute les tâches qu’on souhaite lui faire apprendre. Il peut ainsi acquérir le comportement à prendre les conséquences associées à ce comportement et éventuellement répliquer le comportement.
- Dans la participation guidée, une composante s’ajoute. Pour le modelage le thérapeute propose d’abord une démonstration du comportement à apprendre, mais ça va plus loin. Dans cette modalité, l’intervenant guide verbalement les clients dans la réalisation des tâches, un peu comme un coach, il permet au client de développer un discours interne positif face à la tâche à accomplir. Pour qu’il réussisse la tâche, il permet à celui-ci de vivre une expérience de maîtrise face à la tâche. Les conditions optimales sont ainsi réunies dans la modalité participation guidée pour rehausser le sentiment d’efficacité personnelle et ainsi rehausser la performance attendue pour la tâche ciblée

42
Q

psychopatho

Laquelle de ces 2 modalités d’intervention produit les meilleurs effets sur la performance? Pourquoi? (participation guidée ou modelage)

A

participation guidée car la hausse accrue du sentiment d’efficacité personnelle dans cette condition. La recherche montre que la hausse du sentiment d’efficacité personnelle s’est généralisée à des situations différentes

43
Q

psychopatho

Quelles sont les conditions à mettre en place pour augmenter le sentiment d’efficacité personnelle?(5)

A
  • Premièrement, il faut choisir des modèles auxquels le client peut s’identifier en termes de caractéristiques sociodémographiques ou par exemple en termes d’habitabilité perçue par rapport à la tâche à apprendre. Avec cette identification, il sera plus facile d’arriver à ce que le client prête, attention au modèle et qu’il se dise finalement que lui aussi peut être capable de réussir la tâche.
  • Deuxièmement, il est bénéfique de structurer méthodiquement les tâches en une série d’étapes de plus en plus difficile. Ceci demande d’analyser une activité et de la décomposer en soutage. Ensuite, avec l’aide du client, on peut ordonnancer le degré de difficulté afin de s’attaquer aux sous-tâches les plus faciles. En débutant.
  • troisièmement il faut s’assurer dans la démarche d’apprentissage de faire vivre de petits succès aux clients en milieu contrôlé, par exemple dans sa clinique ou dans un environnement où on peut monitorer les comportements du client. Ce type d’environnement est idéal afin d’offrir des conditions permettant la participation guidée notamment, d’offrir la rétroaction au client et de le guider en temps réel lors de l’acquisition du nouveau comportement.
  • quatrièmement, Une fois le comportement établi, il est bon de fournir des occasions de pratique en milieu contrôlé, que ce soit à travers des jeux de rôle ou à l’exposition, à des mises en situation légèrement différentes de la situation initiale. Ceci permet de consolider le sentiment d’efficacité personnelle des personnes à faire face. Types de situations
  • cinquièmement, il faut favoriser une autonomie croissante chez le client dans la régulation de ces comportements. Cela suppose qu’il en vienne lui-même à s’autoréguler dans l’accomplissement de tâches en dehors du milieu contrôlé, ce qui suppose la maîtrise de son discours interne et de ses émotions, selon des situations. Il est alors recommandé d’indiquer au client qu’on demeure disponible pour le soutenir et le guider s’il en a besoin de Façon ponctuelle ou plus soutenue dans la réalisation indépendante de ces nouveaux apprentissages. Au fur et à mesure que la démarche progresse, le thérapeute passe donc d’un rôle d’enseignant qui dirige les efforts à un rôle de conseiller qui facilite le processus d’autorégulation chez le client.
44
Q

livre structure

definition de la compétence

A

unité structurelle de la théorie sociocognitive qui témoigne de l’aptitude individuelle à résoudre des problèmes et à accomplir les tâches nécessaires à l’atteinte d’objectifs. (DONC les variations entre individus sont dues aux différentes aptitudes de chacun et non par des émotions ou pulsions différentes). Ex : certaines personnes se comportent de facon réservée pcq elle sont dépourvues d’habiletés sociales

45
Q

livre structure

quelles sont les 2 types de compétences

A
  1. Connaissances déclaratives : connaissances que l’on peut formuler avec nos mots
  2. Connaissances procédurales : aptitudes cognitives et comportementales sans vrm etre capable de l’expliquer ex : etre capable de remonter le moral de qqun (tes pas vrm capable d’expliquer comment tu le fais)
46
Q

livre structure

quelles sont les 2 Implications de la compétences

A
  1. Spécificité contextuelle : notion selon laquelle une variable donnée de personnalité est mise à contribution dans certains contextes, mais pas dans tous, ce qui explique la variation systématique du comportement individuel d’un contexte à l’autre
  2. Changement psychologique : les compétences s’acquièrent par les interactions sociales et l’observation du monde social
47
Q

livre structure

def croyances et attentes

A

Croyances : pensées sur ce qu’est réellement le monde
Attentes : pensées par rapport à l’avenir (anticipation ou prédiction d’un résultat attendu par l’individu dans une situation précise) (le principal déterminant de nos actions et de nos émotions) (les attentes sont selon les situations, on aura pas les mm attentes dans une eglise vs une reception, un concert)

48
Q

livre structure

comment la théorie sociocognitive voit le comportement vs les béhavioristes

A
  • béhaviorisme concoit le compt. comme le résultat de renforcements et de punitions du milieu externe,
  • théorie sociocognitive explique le compt. sous l’angle des attentes à l’égard des récompenses et punitions du milieu externe
49
Q

livre structure

def le soi et le sentiment d’efficacité personnelle

A

perception de sa propre aptitude à composer avec des situations précises.

50
Q

livre structure

quels sont les 4 mécanismes du comportement qui subissent l’influence du sentiment d’efficacité personnelle :

A
  1. Décider de s’attaquer à des tâches difficiles
  2. Persévérer
  3. Rester calme pendant la tâche
  4. Organiser leurs idées de façon analytique
51
Q

livre structure

différence entre estime de soi et sentiment d’efficacité personnelle

A

estime de soi = croyance générale liée à pls contextes (ne depend pas de la performance) vs sentiment d’efficacité personnelle = perception qui est lié à un contexte donné (dépend de la performance)

52
Q

livre structure

quelles sont les Attentes relatives à l’efficacité personelle vs Attentes relatives aux résultats

A
  • Attentes relatives à l’efficacité personnelle : croyances relatives aux capacités de la personne à accomplir des actions (dicte +++ le comportement)
  • Attentes relatives aux résultats : croyances relatives aux recompenses/punitions qu’entraineront des actions données
53
Q

livre structure

def objectifs personnels

A

événement souhaité qui motive la personne sur de longues périodes et lui permet de transcender les influences du moment, : représentation mentale du but d’une action ou d’une conduite.

54
Q

libvre structure

de quoi peut dependre les objectifs (3)

A

Objectifs peut dépendre
1. de la difficulté de la tache,
2. la proximité des objectifs (court vs long terme, court terme meilleur pcq long terme permet le relachement dans le moment présent),
3. selon la signification subjective attribuée à l’activité.

55
Q

livre structure

def normes d’évaluation

A

permet d’évaluer la valeur d’une personne ou d’une chose. Les normes par lesquelles une personne évalue ses propres actions font partie de la régulation du comportement et de l’expérimentation d’émotions comme la fierté, la honte, la satisfaction et l’insatisfaction personnelles.

56
Q

livre structure

que sont des réactions d’autoévaluations

A

nous évaluons nos propres actions puis nous réagissons par une émotion de satisfaction ou d’insatisfaction envers nous-mêmes. (cest de l’autorenforcement, cest necessaire au maintien du compt. sur de longues périodes)

57
Q

livre structure

Quest ce que le désengagement des normes d’évaluation

A

: lorsque qqun se désengage de ses normes morales lorsqu’elles trouvent un avantage à le faire. Ex : tricher à un examen, tout le monde le fait donc pas grave

58
Q

livre processus

quest ce que le Déterminisme réciproque

A

le comportement, les caractéristiques de la personnalité et l’environnement influent les uns sur les autres (voies bidirectionnelles entre chacun) (cest un rejet des autres perspectives théoriques)

59
Q

livre

quel concept est mesuré dans expérience marshmallow

A

Concept de la gratification différée est mesurée, mais mesure-t-on autre chose aussi comme la confiance, la capacité à envisager le futur et à avoir confiance dans le futur ou mm l’intelligence.

60
Q

livre

quels sont les résulats de letude si lexpérience du marshmallow evalue + que maitrise de soi (3)

A
  1. Les divers concepts liés à la maitrise de soi et les mesures qui en sont faites ont des liens entre eux mais ne sont pas identiques
  2. Le concept de maitrise de soi se distingue de l’intelligence ou du statut socio-économique
  3. Les mesures de la maitrise de soi qui sont faites ont un grand pouvoir prédictif concernant le fonctionnement futur dans des domaines comme l’ecole, la vie professionnelle, la santé physique, le casier judiciaire
    Mais maitrise de soi génétique ou apprise : possible de cultiver la maitrise de soi!
61
Q

livre

def gratification différée

A

report du plaisir à un moment optimal ou opportun : concept clé lié à la capacité d’auto-régulation dans la théorie sociocognitive

62
Q

livre

que ce passe-t-il si enfant voit recompense vs ne la voit pas

A

enfant capable d’attendre + longtemps si ne voit pas la recompense
MAIS facteur clé = si enfant utilise stratégie cognitive pour se distraire

63
Q

livre

Si enfant capable gratification différée, capable aussi à ladolescence?

A

Oui! Et le fait d,avoir de meilleurs resultats de la gratification différée = moins de risque enbonpoint, + réussite scolaire, - consommation d’alcool, drogues.

64
Q

livre croissance et dev

comment est la croissance et dev selon théorie sociocognitive et à quoi s’oppose théorie sociocognitive

A

on apprend par l’observation, je fais comportement dependement de si le compt. observé avait eu recompense/punition

Théorie sociocognitive s’oppose aux conceptions fondées sur des stades fixes de dev et sur des facteurs généraux de la perso.