cours6 Flashcards

1
Q

V ou F : Dans sa conception de la dualité pulsionnelle, Freud a étudié le corps?

A

FAUX, Freud n’étudie pas le corps lui-même, mais plutôt la pulsion, qui est conçue comme un concept frontière. Entre le psychique et le somatique

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2
Q

V ou F : Les neurosciences consistent en la seule science qui s’intéresse aux relations entre le corps et l’esprit. justifiez

A

FAUX, les chercheurs sur le tempérament (établissent des liens entre des tendances affectives et comportementales d’une part, et les différences individuelles dans la maturation cérébrale. Durant le développement de l’enfant), les psychologues évolutionnistes (s’intéressent à l’origine des comportements humains en termes de sélection naturelle des mécanismes psychologiques les plus favorables pour résoudre les problèmes adaptatifs qu’à rencontrer l’homme durant son évolution), la génétique du comportement (S’intéresse aux déterminants génétiques, c’est-à-dire aux gènes qui déterminent tout le reste de la chaîne causale de la personnalité. En effet, on peut concevoir cette chaîne causale comme allant de la sélection naturelle des gènes jusqu’au mécanisme neurophysiologique, qui représente le dernier niveau de fonctionnement avant le fonctionnement psychologique)

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3
Q

Quel est l’objet d’étude de l’approche biologique de la personnalité?

A

L’approche biologique ne s’intéresse pas juste à la relation correspondît, mais prend aussi comme objet d’étude le corps, le somatique, la constitution physique, les gènes et le cerveau. On peut donc dire qu’avec l’approche biologique, on entre plus directement dans le domaine des sciences naturelles, c’est-à-dire les sciences qui s’intéressent aux aspects physiques de la réalité

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4
Q

Quelles sont les 3 possibilités que permet la réalité physique comme objet d’étude?

A
  1. D’abord, la vérification des hypothèses de recherche sur la structure et processus de la personnalité peut se faire à un niveau objectif et observable par tous.
  2. En étant basé sur des faits objectifs, les hypothèses de l’approche biologique peuvent servir de guide dans l’élaboration, la conception et même la modification des hypothèses émises par les autres approches de la personnalité
  3. la dernière possibilité couvre l’approche biologique est l’utilisation des technologies pour étudier le cerveau qui se développe à un rythme fulgurant et qui permettent de faire des observations qui n’étaient pas possibles de faire il y a quelques décennies
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5
Q

V ou F : Les processus psychologiques émergent de l’activité cérébrale sans être réduits à cette activité?

A

VRAI

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6
Q

Qui est le pionnier de la théorie de l’évolution?

A

charles darwin

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7
Q

Qu’est-ce qui nous différencie des grand singes?

A

la taille de notre cerveau, notamment toutes les parties responsables des fonctions exécutives, c’est-à-dire de la planification, c’est nettement plus développé que chez les grands singes et c’est ce qui fait qu’on est des Homo sapiens.

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8
Q

V ou F : Les émotions de base ont une source uniquement biologique?

A

FAUX,Ils sont pas seulement d’origine biologique, on les voit chez les petits, mais lorsqu’ils se manifestent à l’âge adulte, selon les cultures. Selon les sexes selon les races, on s’en voit, on s’aperçoit qu’il y a une très grande différence en ce sens-là. Le contexte social a médiatisé cette donnée biologique

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9
Q

V ou F : La culture module la génétique?

A

VRAI

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10
Q

V ou F : Le contexte social peut influencer la diversité génétique?

A

VRAI, C’est qu’il y a une diversité génétique plus grande que ce qu’on avait pensé et que dans un contexte social où la diversité peut s’exprimer, alors on s’aperçoit que cette diversité génétique peut beaucoup plus s’exprimer et que elle peut s’exprimer essentiellement. Parce que le milieu le permet.

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11
Q

V ou F : Des gènes spécifiques sont associés à des traits spécifiques de la personnalité?

A

FAUX,nous sommes très loin d’être capables d’identifier des gènes précis associés à ces facteurs spécifiques de la personnalité

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12
Q

Sous quels angles l’approche biologique aborde-t-elle la plasticité?

A

L’approche biologique n’en traite que sous l’angle de l’hérédité et du fonctionnement du cerveau.

À titre d’illustration, notre production de sérotonine, un neurotransmetteur associé à la stabilité de l’humeur et à l’hostilité, et oui, affecté par notre hérédité ou par des mécanismes biologiques. À preuve, on peut améliorer considérablement les troubles de l’humeur par la prise de médicaments agissant directement sur la sérotonine. Cela dit, des facteurs sociaux peuvent aussi agir sur ce neurotransmetteur, notamment le fait de ne pas avoir eu de relation de soins avec une mère en bas âge, avoir subi de l’intimidation répétée dans l’enfance ou de l’adolescence, ou même un changement dans une hiérarchie sociale ont tous été trouvés comme pouvant être associés à une modification du niveau de sérotonine. Et parfois même de certaines structures cérébrales pour rendre compte de ces changements.

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13
Q

quest ce que le tempérament

A

Le tempérament réfère à l’ensemble des caractéristiques individuelles qui déterminent les tendances de l’individu sur les plans affectif, motivationnel et comportemental.

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14
Q

V ou F :
- Ces caractéristiques apparaissent tôt dans la vie de l’enfant?
- Ces caractéristiques demeurent relativement stables tout au long de la vie?
- - Ces caractéristiques ont une base biologique et son héréditaires?

A

TOUT EST VRAI

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15
Q

Que signifie le terme phénotype?

A

c’est-à-dire les caractéristiques observables déterminées par les gènes, mais dont la forme finale dépendra de l’environnement durant le développement

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16
Q

Causes immédiates versus causes fondamentales… qu’est-ce qui les différencie?

A

Les causes immédiates ont trait au processus biologique qui ont cours dans l’organisme au moment où on on observe le comportement et font partie du domaine des neurosciences et de la génétique du comportement.

les causes fondamentales ou originelles sont des explications associées à l’évolution, C’est-à-dire aux raisons d’être. Et aux fonctions adaptatives de l’évolution d’un comportement donné. Elle s’appuie sur la théorie de l’évolution de Darwin selon laquelle les organismes qui s’acquittent avec succès de leurs tâches adaptatives grâce à leurs caractéristiques physiques ou psychologiques arrivent plus facilement à survivre et à transmettre leurs gènes.

17
Q

quest ce que la psycho évolutionniste tente de comprendre

A

l’origine de nos comportements et de nos traits de perso

18
Q

V ou F : Selon la théorie évolutionniste, les mécanismes psychologiques évolués seraient le résultat de processus évolutifs?

A

VRAI

19
Q

Quelles sont les caractéristiques des mécanismes psychologiques évolués selon l’approche évolutionniste?(4)

A
  1. ont une valeur adaptative dans la mesure où ils ont assuré la survie des individus et leur reproduction
  2. Mécanismes ayant une valeur adaptative à quand on était cueilleur et chasseur donc certains sont pas utile aujourd’hui (préférence pour le gras avant pour la survie pcq rare, mais mtn pas rare = surconsommation
  3. ont donc des buts particuliers et par conséquent, ils ne sont pas adaptés à toutes les situations, ils sont plutôt spécifiques à un domaine, à un contenu particulier et il s’active de manière implicite dans un contexte précis (ex : . L’être humain nest pas craintif en général, mais il ressent de la peur au bon moment.)
  4. On peut concevoir ou on peut les concevoir comme des algorithmes de raisonnement

ex : Dans la mémoire procédurale. Par exemple, l’échange social est important dans l’histoire de l’humanité et dans ce type d’échange, il est essentiel de ne pas se laisser tromper. Alors un des mécanismes psychologiques évolués serait donc la détection de la tricherie dans le dans le contexte d’un échange social entre 2 partenaires où chacun s’attend à donner à l’autre mais aussi à recevoir de l’autre

20
Q

Pourquoi, selon la théorie de l’investissement parental, les femmes investissent davantage dans leur progéniture que les hommes?

A

parce qu’elles peuvent transmettre leurs gènes à un nombre moins grand de descendants en comparaison aux hommes. Pour cette raison, les femmes seraient plus sélectives dans le dans ses choix de partenaires et auraient des critères de sélection différents de ceux des hommes.

21
Q

Pourquoi, selon la théorie de l’investissement parental, les femmes sont plus sélectives dans leur choix de partenaire que les hommes?

A

parce qu’elles peuvent transmettre leurs gènes à un nombre moins grand de descendants en comparaison aux hommes. Pour cette raison, les femmes seraient plus sélectives dans le dans ses choix de partenaires et auraient des critères de sélection différents de ceux des hommes.

22
Q

Pourquoi, selon la théorie de l’investissement parental, les femmes sont plus sélectives dans leur choix de partenaire que les hommes?

A

parce qu’elles peuvent transmettre leurs gènes à un nombre moins grand de descendants en comparaison aux hommes. Pour cette raison, les femmes seraient plus sélectives dans le dans ses choix de partenaires et auraient des critères de sélection différents de ceux des hommes.

23
Q

Théorie évolutionniste : Que recherchent les hommes versus les femmes lorsqu’il est temps de choisir son partenaire amoureux?

A

elle serait plus sensible à la capacité du partenaire à fournir des ressources et à assurer une protection durant la grossesse et aussi durant les soins donnés à l’enfant. Quant à eux, n’ayant pas à subir ces inconvénients biologiques, les hommes ne chercheraient pas la protection. Mais serait davantage intéressé au potentiel reproductif de sa partenaire et il serait ainsi plus sensible à la jeunesse et à la beauté de sa partenaire, car ses qualités seraient des indicateurs biologiques du potentiel reproductif.

24
Q

La théorie de probabilité de parentalité… Pourquoi l’homme s’occupe plus de ses rivaux sexuels que la femme et qu’il accorde plus d’importance à la fidélité de sa partenaire?

A

elle a toujours la certitude que son enfant est bien le sien. Toutefois, pour l’homme, il ne peut en être certain et cela comporte le risque de s’investir dans un enfant qui n’est pas le sien. Pour cette raison, l’homme se préoccuperait davantage de ses rivaux sexuels que la femme et accorderait une plus grande valeur à la fidélité de sa partenaire. En plus, les hommes seraient plus touchés par l’infidélité sexuelle qui affecte la probabilité de parentalité, alors que les femmes seraient plus touchées par l’infidélité émotionnelle qui menace les ressources.

25
Q

V ou F : Il existe un lien direct entre les gènes et le comportement?

A

FAUX, il n’y a pas de lien direct entre les gènes et le comportement et il n’y a pas qu’un seul gène associé à des comportements ou des traits de personnalité.

26
Q

V ou F : La génétique du comportement tente d’identifier et de localiser les gènes sur un chromosome?

A

FAUX, Contrairement à la génétique moléculaire, la génétique du comportement ne cherche pas à identifier les gènes et les localiser sur un chromosome. La génétique du comportement s’intéresse plus à départager l’influence génétique de l’influence de l’environnement.

27
Q

V ou F : La génétique du comportement tente d’identifier et de localiser les gènes sur un chromosome?

A

FAUX, Contrairement à la génétique moléculaire, la génétique du comportement ne cherche pas à identifier les gènes et les localiser sur un chromosome. La génétique du comportement s’intéresse plus à départager l’influence génétique de l’influence de l’environnement.

28
Q

Quelles sont les 3 sortes d’études auxquelles a recours la génétique du comportement pour évaluer l’apport génétique dans les comportements?

A

L’étude de croisement sélectif, l’étude des jumeaux et l’étude d’adoption.
1. L’étude de croisement sélectif est utilisée avec les plantes et les animaux, mais pas avec les humains. Par exemple, les chercheurs qui étudient le trait impulsif de la personnalité utilisent des souris qui sont dites impulsives suite à un processus de sélection par accouplement sur plusieurs générations
2. étudiée à la fois les jumeaux monozygotes et des jumeaux dizygotes permettent d’évaluer les effets des environnements différents sur le même génotype. Ainsi que les effets des génotypes différents. S’exprimant dans le même environnement ou dans des environnements similaires. (ex : si 2 organismes sont génétiquement identitiques, toute différences est lié à l’environnement. Si 2 organismes génétiquement différents dans un mm environnement, les différences sont lié à la génétique (coefficiant d’héritabilité aussi))
3. l’étude d’adoption qu’on parle les enfants adoptés à la fois avec leurs parents biologiques et leurs parents d’adoption afin de déterminer l’importance des gènes et de l’environnement. Dans l’étude d’adoption, lorsque les parents adoptent et éduquent un enfant avec lequel ils ne partagent pas les gènes, toute similitude entre parents adoptifs et enfants doit être attribuable à l’environnement. À l’inverse, toutes similitudes entre l’enfant et ses parents biologiques avec qui il n’a pas grandi devrait être attribuable au facteur génétique.

29
Q

quest ce le coefficiant d’héritabilité

A

une estimation statistique qui touche une population déterminée et décrit la variance entre les individus qui composent la population. Une composante héréditaire peut etre modifié (ccest pas déterminisme), lenvironnement a un role a joué

30
Q

quest ce la génétique moléculaire

A

quels gènes sont associés à quels traits de personnalité

31
Q

quelles sont les 3 types d’interactions nature-culture

A
  1. Les mêmes expériences environnementales peuvent avoir des effets différents sur des individus au bagage génétique différent. Donc une mm expérience sur frere et sœurs (ne vont pas réagir de la mm facon) = interaction passive (car l’individus subit passivement les événements environnementaux)
  2. Individus au babge génétique différent suscitent des réactions différentes dans un mm environnement (enfant irritable vs enfant joyeux suscitera pas les mm reactions du parents) (Les effets des envionemments non partagés (oui comment la famille traite son enfant va avoir impact, mais souvent la génétique de l’enfant va susciter chez le parent un comportement différent (traitement différent entre chaque freres et sœurs)
  3. Les individus aux constitutions génétiques diff choisissent et créent des environnements différents. (ncihe-picking)
32
Q

explique les études du tempérament selon les époques (hippocrate, Gall, Darwin et Mendel, Pavolov)

A

Le tempérament chez hippocrate : les différences des caractéristiques psychos sont dû aux variations de fluides corporel (humeur): sang = sanguin, bile noire = mélancolique, bile jaune = colérique, phlegme(lymphe)= flegmatique

La phrénologie de Gall : soutient que certaines zones du cerveau sont responsables de foncrions émotionnelles et comportementales.

Charles Darwin et Gregor Mendel : fondement de la science biologique moderne et croisement de pois avec transmission génétique (fondement de la génétique moderne)

Pavlov ; théorie sur le degré de fonctionnement du système nerveux en présence de stimuli/stress

33
Q

explique les études longitudinales

A

Les études longitudinales nécessaires pour évaluer le tempérament à long terme
1ère étude : 3 types de tempérament infantile : bébé facile ( enjoué et s’adapte rapidement), bébé difficile (négatif et s’adapte difficilement), bébé lent à démarrer (faible degré de réactivité et qui réagit lentement)
2ème étude : évaluations parentales du comportement de leur enfant (jumeaux), enfants jumeaux ont tempéraments constants (mais faute car pas de mesure objective, cest les parents qui dit)

34
Q

parle des enfants inhibés vs non inhibés

A

Les enfants inhibés(réservé, évitement) et non inhibés(spontané face à la nouveauté) (Kagan) : observation des enfants dans un labo. Constance dans le tempérament mm si environnement diff. Peut arriver de changer, mais plutôt rare. Ce sont des catégories (cest pas dimensionnel)

Régions du cerveau lié à l’inhibition : amygdale et cortex frontal (fonctionnement est inné et acquis). Enfant inhibé (adulte aussi) présente réactivité + grande de l’amygdale face à nouveau stimuli