cours 9.1 et 9.2 Flashcards

1
Q

qu’est ce que l’imagerie visuelle?

A

l’habileté à recréer le monde visuel dans notre esprit, en l’absence d’un stimulus physique
(cmt fonctionne l’Imagerie mentale? Sa utilise tu les mm partie du cerveau que la perception visuelle?)

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2
Q

MANUEL
qu’est ce que la paired-associate learning et la conceptual peg hypothesies?

A

paired-associate learning: on montre 2 mots ensembles, on te montre 1 des 2, tu dois te rappeler de l’autre
conceptual peg hypothesies: c les noms concrets qui réfère à des images dans vrai monde permet a l’autre mot de s’y accrocher (donc si je tai montré boat-hat, pis qd qu’on te montre boat, + facile de rapporter hat, pcq tas vu image de boat)

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3
Q

Transformations mentales: Rotation mentale

quels sont les buts, la tâche et la variable clé de cette étude?

A
  1. Déterminer si imagerie visuelle fonctionne comme la perception
  2. Étudier les limites de l’imagerie visuelle
    tache: déterminer si 2 dessins en perspective proviennent de la figure 3D (figure de droite est tu une rotation de celle de gauche? Les 2 dessin sont la mm figure?)

variable-clé: temps de réaction

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4
Q

rotation mentale

quelles sont les conditions de cette expérience?

A

conditions change a chaque essai
1. le lego est soit mm ou diff que original
2. soit rotation sur le plan de l’image (comme si je tourne page (2d)) ou rotation en profondeur (3d)

Hypothèse: + grande différence angulaire implique plus grand TR (donc respecte caract. de la perception dans le vrai monde)

VOIR PIC 9 AVRIL

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5
Q

rotation mentale

quels sont les résultats (pour les 2 types de rotation)?

A

résultats paires (mm) pr 2 types de rotation:
1. forte relation linéaire entre la différence angulaire et le TR
2. Pas d’impact du «type de rotation» sur les TR (si profondeur ou image)
3. si paires diff : 1sec de + plus lents que la moyenne (on fait rotation complète dans tête, puis on fait décision)
→ il semble avoir une limite a la rotation… en degré par seconde, donc une limitation mentale de rotation mentale qu’on px faire
voir pic 2 digrm 10 avril

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6
Q

rotation mentale

quelle est l’interprétation des résultat de cette étude?

A
  1. Robustesse dans la linéarité des résultats
    - Cohérent avec proposition selon laquelle les participants utilisent une version interne similaire à une rotation externe pour rendre les objets congrus/identiques
    - Processus analogue peut être réalisé à un taux limite maximal de rotation
  2. Participants performent des opérations mentales en 3D analogues = interprétation (le dessin est en 2d, mais j’interprète en 3d) + rotation
  3. Soutien pour représentations figuratives (analogues a cmt je perçois dans vrai monde, représentation qui respecte skon utiliserais en perception visuelle dans le vrai monde: angles, le 3D)
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7
Q

balayage mental

Dans cette étude, quelle est la question que Kosslyn veut répondre?

A

Si l’imagerie est semblable (analogue) à la vision, est-ce qu’on peut se concentrer sur des parties d’un objet imaginé?

jpx tu faire focus sur partie d’un objet que jsuis entrain d’imaginer (bateau)

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8
Q

balayage mental

En quoi consiste cette expérience?

A

phase 1 : (étude)
- Regarder dessins de contours
- Réussir à reproduire les dessins

phase 2 : (test)
- Entendre nom d’un objet
- Imaginer
❖ Condition 1: Objet complet (bleu)
ou bien
❖ Condition 2: Focus sur une extrémité spécifiée (rouge)
- Entendre nom de la partie, then ask : Partie est-elle sur l’objet? (Si t’utilise pas l’image et tu t’utilise d’autre connaissances, sa fera pas de différencede TR, si t’utilise acc l’imagerie dans ta tête, sa sera plus long de checker l’autre extrémité de l’objet)

mesure : TR

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9
Q

Kosslyn (1973) balayage mentale

quelles sont les hypothèses de Kosslyn sur cette étude?

A

Hypothèses : c équivalent au traitement visuel
❖ Si on regarde objet complet, TR moyen ne dépendra pas de la position de la partie (ne devrais pas faire de différence si jsuis au milieu du bateau sur le temps de réaction)
❖ Si on doit se concentrer sur une partie (ou «zoomer»), TR sera en fonction de la distance entre l’emplacement de l’extrémité et la propriété testée (si je teste composante loin de mon focus = plus de TR)
❖ si j’utilise pas l’image pr faire tâche = aucune différence pck pas besoin de bouger sur l’Image

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10
Q

Kosslyn (1973) balayage mental

quels sont les résultats et l’interprétation de cette étude?

A

bleu : objet complet = pas de différence de TR
rouge : se concentrer sur une partie = TR différent, et augmente + on s’éloigne du focus

DONC soutien pour représentations figuratives
voir pic 10 avr

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11
Q

Critiques de Pylyshyn

quelles sont les critiques que Pylyshyn a fait sur l’expérience de Kosslyn?

A

1. introspection pas fiable
- regarder dans l’esprit spa fiable, participants pourrait dire ce que expérimentateur vx entendre
- Ne vx pas dire qu’il s’agit d’un phénomène courant

2. impénétrabilité cognitive
- Humains conscients de peu de processus mentaux
- Faire l’expérience de l’image ne signifie pas nécessairement utiliser l’image

3. Pk y’aurait-il une image?
- Image pourrait être un épiphénomène (une coïncidence)
- Représentation / Processus est non-spatial / non-visuel (pour calculer distance entre qc-mtl et ott-mtl, tu peux faire carte mentale, mais aussi juste connaissances, pas besoins de représentations)
- Image pourrait être produite après le traitement (simulation post-décision) (pour confirmer réponse)

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12
Q

Critiques de Pylyshyn

quelle est l’hypothèse de Pylyshyn qui appuie sa critique envers kosslyn?

A

→ lui il émet l’hypothèse de connaissance TACITE (sans être des représentations spatiales ou visuelles)
- on utilise le savoir déjà acquis à propos de l’environnement pour accomplir tâche
- Mémoire de la structure des objets / du monde réel
❖ Relations entre parties d’objets
❖ Distances entre monuments/villes

  • si jvx déterminer = en partant de mtl, qc ou ott plus proche? Well jpx me souvenir du chemin visuellement then me promener dans ma tête a vol d’oiseau pr savoir = représentation figurative
  • sinon je compare avk mes connaissance accumulé des distance = jsais que sa prend 2h etc
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13
Q

au lieu de se représenter visuellement l’image d’un objet, explique la représentation alternative.

A

représentations propositionnelles
- Propriétés des stimuli sont représentées symboliquement (comme lorsque mots du langage représentent objets et relations entre objets)
- Pourrait expliquer le balayage mental

en gros une liste de faits non-imagés qui me dit l’hélice est.. la cabine est..

MAIS dépend comment ta connaissance est organisé
voir pic 10 avr

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14
Q

donne un exemple de représentations propositionnelles

A
  • VOIR PIC 10 AVR
  • je choisi parmi des choix dans ma tête, plus ya de choix plus c long
  • le nb de choix utilisés explique le TR
  • aucune image est nécessaire
  • thats why sa ma pris plus de temps que la first time SANS utiliser d’image
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15
Q

balayage mental expérience 2

Kosslyn fait une 2e expérience, explique la.

A

But : Déterminer si l’information spatiale métrique est préservée dans la mémoire de stimuli visuels
Procédure : Paradigme de balayage mental (Se «promener mentalement» sur l’image)
Variable-clé: Temps de réaction

  • on permet pas d’utiliser autre chose qu’une image, pck sinon c trop dinfo a retenir all at once
  • balayage mental = on se promène sur notre image
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16
Q

balayage mental expérience 2

quelle est la méthodologie?

A
  • On demande aux participants de mémoriser et redessiner la carte (à gauche) en se concentrant sur 7 endroits-clés: une hutte, un arbre, un puits, un lac, une plage, un rocher, et un champ, ils doivent se souvenir de l’emplacement de ces lieux then il doivent les mettre au bon endroit

PAS de connaissances de cette carte, donc ca enlève la possibilité d’utiliser la représentation propositionnelle

then
1. Les participants doivent s’imaginer la carte complète
2. Ils entendent un mot dénotant un lieu sur la carte et doivent se concentrer sur ce lieu
3. 5 sec plus tard, un autre nom de lieu est diffusé
4. Ils doivent balayer la carte et indiquer lorsqu’ils atteignent le 2e lieu
❖ «Point» se déplaçant en ligne droite le plus vite possible (pas le temps d’apprendre les relations entre les endroits)

basically
- une fois carte appris et reproduit les lieux, on ferme les yeux et met écouteur, then on nomme 1 lieu sur la carte, then en nommant un second lieu, on demande d’imaginer un point rouge sur le premier lieu et le déplacer en ligne droite le plus vite possible jusqu’au prochain lieu
- si t’utilise la carte mentale = plus la distance est grande sur ta carte mentale plus sa prend de temps a peser le bouton
- pr arriver au résultat que plus la dist grande plus sa prend de temps sans utiliser image de carte = faut savoir les distance sur l’image de chaque bhay so c too much info
- so ppl acc used une image pr apprendre ça

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17
Q

balayage mental expérience 2

quel est le rationnel et l’hypothèses de cette 2e étude?

A

rationnel : Si l’image mentale de l’île est réellement une copie analogue (ou figurative), cette copie devrait préserver les relations en termes de distance

hypothèses :
1. + y’a de distance entre deux cibles = + TR long
2. Relation linéaire entre distance et TR
❖ justement causé par représentation figurative

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18
Q

balayage mental expérience 2

quels sont les résultats et l’interprétation?

A

résultats:
❖ Temps de balayage augmente linéairement avk la distance (corrélation linéaire forte!)
❖ Corrélation quasi-parfaite entre distance et TR lorsque les 2 objets sont présents

interprétation:
❖ Distances métriques représentées de la même façon que lorsque carte visuellement perçue
❖ Soutien pour représentations figuratives

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19
Q

Analyse structurelle

que dit Kosslyn sur le fait que l’imagerie fonctionne comme la perception?

A

«Si l’imagerie fonctionne comme la perception visuelle, les mêmes facteurs devraient influencer la facilité à classifier une partie d’un percept ou d’une image»

ex : taille du lapin
objets + gros = + détaillés perceptuellement
(plus les objet en vrai vie sont près de nous, plus sont bien détailler, plus c facile nommer les partie de l’objet)

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20
Q

qu’est ce que le overflow (dépassement) dans le champ visuel?

A
  • lorsque tu t’approches trop, tu vois pas tout l’objet (ex les bout de l’éléphant qui dépasse du champ visuelle)
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21
Q

Kosslyn Expérience 1-analyse structurelle

explique cette étude

A

tâche :
1. Créer image mentale d’un éléphant ou d’une mouche (taille réelle, donc pas d’overflow)
2. then imaginer un second animal (ex: lapin) à côté
3. Juger si une propriété est appropriée ou non pour le second animal so le moins détailllé (ex : est ce que lapin a oreille pointu)

mesure : Temps de réaction 2e animal
variable d’intérêt :Taille relative entre animaux

prédiction:
❖ 1er animal plus gros → Laisse moins de place au 2e
❖ Donc 2e animal plus petit et + loin → Plus lent à juger

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22
Q

Kosslyn Expérience 1 analyse structurelle

quels sont les résultats (éléphant / mouche lapin)?

A

❖ Taille relative influence le temps nécessaire pr juger de la présence d’une propriété
❖ Si éléphant = 1er animal
- 2e animal (ex: lapin) prend moins de place
- Jugement plus lent
❖ Si mouche = 1er animal
- 2e animal (ex: lapin) prend plus de place
- Jugement plus rapide
❖ Soutien pour représentations figuratives (connaissances tacite n’explique pas l’effet!)

SI tu faisais de la représentations propositionnelles, TR devrait être égal, pcq tu fais pas d’images

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23
Q

Imagerie visuelle

donc comment sont les représentations figuratives?

A
  1. Imagerie mentale « imiterait » la perception visuelle
  2. Préservent les caractéristiques physiques des stimuli qui les génèrent (distance, taille, relation entre parties)
  3. pourrait expliquer:
    ❖ Transformations mentales (rotation)
    ❖ Balayage mental
    ❖ Analyse structurelle
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24
Q

Faire appel au cerveau pour résoudre le débat représentationnel

on remarque quoi sur les neurones pour savoir si y’a une imagerie ou non?

A
  1. Existence de neurones pour l’imagerie – Simple présentation
  2. y’a des neurones uniques communs pour perception et imagerie (qu’on imagine ou qu’on vois acc objet = active mm neurone, correspondance imparfaite)

on voit que lorsque on regarde, 1 neurone s’active pour la balle, pas pour le visage. puis si on s’imagine, la dame vs la balle, 1 neurone s’active juste pour la balle (moins activé, mais tendance quand mm)

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25
Q

Faire appel au cerveau pour résoudre le débat représentationnel

Quelle est l’autre expérience faite sur les neurones et l’imagerie?

A

❖ Mesure de l’activation dans le cortex visuel primaire – Simple présentation
Aires cérébrales communes pour perception et imagerie (encore correspondance imparfaite)

  • activation pour imagerie (moins forte que perception mais quand mm)
  • on regarde activité éléctrique quand on présente les stimulus visuellement, et quand on demande d’imaginer active mm air que regarder
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26
Q

Faire appel au cerveau pour résoudre le débat représentationnel

démontre une autres expérience faite sur l’activation du cerveau dans l’imagerie

A

❖ Mesure de l’activation dans le cerveau entier – Présentation + Questions à propos d’un objet vu ou imaginé (Arbres est tu plus large ou haut?)
❖ Aires cérébrales communes pour perception et imagerie

mm activation aire imagerie que perception (mais vision + activation pour perception (make sense)

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27
Q

MANUEL

transcranial magnetic stimulation : si on fait une stimulation magnétique dans le cortex visuel, les résultats du TR pour la perception et l’imagerie sont tu + grands, égales, ou + faibles que sans stimulation?

A

+ grands (donc temps de réaction plus lents), ce qui signifie qu’on a besoin du cortex visuel pour la perception ET l’imagerie

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28
Q

EXAM Lésions cérébrales Similarités

qu’est ce que la tâche de la marche mentale?

A

Estimer la distance à un objet lorsque cet objet arrive aux limites de notre champ imaginatif (qui serait analogue à notre champ visuel)
VOIR PIC 10 AVR

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29
Q

EXAM Lésions cérébrales Similarités

si il y a lésions, comment est la marche mentale?

A

un retrait du cortex visuel rétrécit le champ visuel ET imaginatif et augmente taille relative de l’objet (comparativement au champ total) en vision et en imagerie
- mécanismes en commun pcq si je coupe lobe occ j’affecte les 2 bhay

30
Q

EXAM Lésions cérébrales Similarités

dans L’Étude de la perception des couleurs en vision et en imagerie, si les patients ont agnosie visuelle (pas capable de reconnaitre objet), ca touche la perception seulement ou l’imagerie aussi?

A
  • ca touche perception ET imagerie = donc processus communs touchés**
  • si je montre un tracé de broccoli je leur dis skoi les couleur = pourront pas le dire

agnosie visuelle

31
Q

EXAM Lésions cérébrales Similarités

qu’est ce que l’héminégligence et l’étude d’héminégligence?

A

Ignorance d’un côté (perceptuelle et motrice)

- héminégligence : perception et imagerie = processus communs

32
Q

EXAM Lésions cérébrales Différences

pour l’habileté à dessiner, les processus sont ils communs ou distincts pour la perception et l’imagerie?

A

si
perception : peut identifier bonnes couleurs , recopier objets présentés en dessinant
mais
imagerie : peut pas dessiner objets de mémoire, difficile de répondre à questions qui demande un haut niveau d’imagerie (ex : qu’est ce qui est + gros en melon d’eau ou raisin, très facile) (faible imagerie est ++ abstraite et si tes pas capable imagerie, t’as pas de problème, ca arrive)

DONC c’est des mécanismes distincts

33
Q

EXAM Lésions cérébrales Différences

pour la reconnaissance d’objets, la perception et l’imagerie sont ils des processus communs ou distincts?

A
  • processus distincts
    perception : difficile de nommer objets devant lui (agnosie visuelle)
    imagerie : est capable de nommer quelle couleur, lequel + gros, dessiner
34
Q

EXAM Lésions cérébrales Différences

dans étude d’héminégligence, les sont processus distincts ou communs entre la perception et l’imagerie?

A
  • processus distincts
  • perception : pas d’héminégligence
  • imagerie : rapporte juste bâtiments à droite si imagine (donc héminéglience en imagerie)
35
Q

EXAM
EN RÉSUMÉ,
si tu px pas faire un sans l’autre (imagerie / perception) = mécanismes communs.
Si tu peux faire un sans l’autres = mécanisme distincts

A

vrai

36
Q

Critique la plus récente de Pylyshyn (2003)

que dit Pylyshyn sur les mécanismes distincts ou communs de l’imagerie et de la perception?

A

❖ Résultats en neuroimagerie ne sont pas clairs
❖ Correspondance entre perception et imagerie n’est pas parfaite
- Exemples de phénomènes visuels qui n’apparaisse pas en imagerie mentale (ex oiseau qui est un lapin si tu flip la page)

37
Q

donc quels sont les conclusions?

A
  • Pylyshyn: Participants pourraient utiliser
    de multiples sources de connaissance pour résoudre problème dans expériences d’imagerie
    ❖ Représentations figuratives ET propositionnelles
  • Mécanismes de perception / imagerie correspondent dans le cerveau, mais partiellement
    ❖ Expliquerait la plupart des différences
38
Q

MANUEL

qu’est ce la méthode de loci?

A
  • imagine toi un endroit familier, et met les choses a te rappeler dedans
  • méthode selon laquelle les choses à retenir sont placés à différents endroits dans l’image mentale d’un certain endroit
    ex :
  • Imagine a location in which you take an imaginary walk (like a house)
  • In each location (ex: your kitchen, your bathroom) you put something you want to remember
39
Q

MANUEL

quelle est la technique de Pegword?

A

au lieu de s’imaginer visuellement les items dans endroit (méthode de loci) tu associes les mots en créant une image bizarre, ou des mots ensembles :
1) Create a list of nouns (ex: one-bun, two-shoe, three-tree, four-door)
2) Pair each things to remember with a pegword by creating a vivid image in your head

40
Q

MANUEL

qu’est ce que le spatial imagery effects et le object imagery effects?

A

spatial imagery effects: capacité à imaginer les relations spatiales
object imagery effects: capacité à imaginer des détails visuels

41
Q

MANUEL

qu’est ce que le paper folding test (PFT) et le vividness of visuel imagery questionnaire (VVIQ) et le lien entre les 2?

A

paper folding test (PFT): mesure le spatial imagery : papier folded in two, et on perce avec stylo, où les trous seraient quand on unfold

vividness of visuel imagery questionnaire (VVIQ): mesure le object imagery : ils doivent rate le vividness d’une image qu’ils créent dans leur tête

si high PFT = low VVIQ
si low PFT = high VVIQ

42
Q

MANUEL

qu’est ce que le degraded picture task et le mental rotation task et le lien avec le spatial or objet imagery?

A

degraded picture task: image avec pas toutes les lignes
mental rotation task: 2 objets pareil (mm si différents angles)

spatial imagers ++ meilleure perfo en mental rotation task
object imagers ++ meilleure perfo en degraded picture task

43
Q

MANUEL

en posant des questions d’imagerie spatiale sur un problème de physique,
70% des personnes ayant une imagination spatiale élevée ont répondu correctement, mais seulement 18% des personnes ayant une imagination spatiale faible ont donné la bonne réponse. Ça veut dire quoi?

A

La capacité spatiale est liée à la résolution de nombreux types de problèmes de physique.

44
Q

9.2 rappel Le modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin

quelles sont les caractéristiques de la MLT et de la MCT?

A

MLT
❖ Capacité illimitée (en fait, incommensurable)
❖ Très longue durée (quasi-permanent)
❖ Oubli dû à interférence
❖ Connaissances abstraites

MCT
❖ Capacité limitée
❖ Courte durée
❖ Oubli dû à interférence

45
Q

Le modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin

qu’est ce qu’on sait pas encore sur la MLT et le lien entre MCT et MLT?

A
  1. Processus de transfert principal: c la répétition en MLT ou nn?
  2. c 2 systèmes indépendants ou nn?
46
Q

rappel : Tâche de rappel libre

explique la courbe pour l’apprentissage

A

❖ Items entrent dans la MCT
❖ Items sont répétés
❖ Quand item est assez répété, c transféré (encodé) en MLT, sinon, c perdu
❖ Plus item est répété, plus sa trace est solide en MLT, plus il est facile à récupérer
❖ Les derniers items entendus sont encore en MCT

47
Q

Rappel: Courbe de position sérielle

montre moi la courbe et les 2 hypothèses

A

VOIR PIC 10 AVR

48
Q

L’importance de la répétition pour la MLT

explique l’expérience de Rundus.

A

But: Étudier la relation entre répétition et la primauté /récence
Rationnel: Répétition devrait être seulement reliée à performance en MLT
❖ Corrélé avec effet de primauté
❖ Pas avec effet de récence
Procédure:
❖ Tâche de rappel libre (20 mots peu reliés) (pas facile à chunker)
- Présentation visuelle – 5 secondes par mot
❖ Participants doivent répéter à voix haute (pour voir comment ca fonctionne dans tête)
❖ On compte nombre de répétitions pour chaque mot lors d’un essai

(Plus je repète un mot souvent = plus de chance de le rapporter quand liste terminer, mais devrais pas faire de diff avc effet de récence pcq pas j’ai répéter à la fin)

49
Q

Rundus Expérience 1

quelles sont les 2 hypothèses de cette étude?

A
  1. Effet de primauté: Contenu de la MLT
    - «Gros bon sens»: Répétition a lieu
    - Premiers mots peuvent être répétés plus souvent
    - Performance élevée pour premiers mots
    - nb de répétitions (voix haute) prédit performance de rappel pour les premiers mots (primauté)
  2. Effet de récence: Contenu de la MCT
    - Pas le temps de répéter, mais performance élevée quand même
    - nb de répétitions (voix haute) non-reliée à performance pour derniers mots
50
Q

Rundus Exp. 1

quels sont les résultats de cette étude?

A

❖ Probabilité de rappel pour début de la courbe est directement liée au nombre de répétitions (so nb de rep prédit force de la trace mnesique en MLT)
- Montre que répétition a un effet sur la « force » de la trace en MLT, et donc c’est un processus nécessaire
❖ Pas de relation pour fin de la courbe…
- Pas besoin de répéter, les items sont encore en MCT

51
Q

Rundus Exp. 1:

quelle est l’interprétation de cette étude?

A

1. Répétition (avec organisation subjective) : Processus principal utilisé par participants
2. répétition nécessaire pour maintenir l’effet de primauté
❖ Donc répétition renforce traces mnésiques en MLT
❖ Taux de répétition → mesure de force de la trace
❖ Alors, pour rappel, récupération doit venir de MLT
3. Pas de répétition nécessaire pour effet de récence
❖ Fin de liste→ mots souvent non répétés
❖ Donc les mots sont déjà dispo pour le rappel pcq ils sont dans la MCT
4. so y’a une différence entre MCT et MLT (syst distinct)

52
Q

Le modèle modal de mémoire d’Atkinson et Shiffrin (1968)

qu’a-t-on montré avec l’expérience 1 de Rundus?

A

que le processus de transfert principal entre la MCT et la MLT est la : répétition

53
Q

Montrer l’indépendance des systèmes avec une double dissociation

comment montrer l’indépendance de 2 système (MCT / MLT) et quel est le but de l’étude?

A

Utiliser l’effets de primauté / récence pour montrer l’existence et indépendance de deux systèmes

si on peut montrer que 2 processus cognitifs A et B dépendent de systèmes cognitifs / aires cérébrales indépendants s’il est possible d’influencer le processus A sans affecter le processus B ET d’influencer le processus B sans affecter le processus A = double dissociation

but général : Trouver conditions ayant un effet sur chaque partie de la courbe (primauté / récence) séparément

54
Q

Glanzer & Cunitz

qu’est ce qu’ils veulent montrer?

A

des expériences ont été effectuées pour tester l’hypothèse selon laquelle la courbe de position sérielle bimodale est le produit des items provenant de 2 mécanismes d’enregistrement: à court terme et à long terme

leur but : Prouver la relation entre
❖ effet de récence et MCT
❖ effet de primauté et MLT

Proposition de conditions pour satisfaire la logique des doubles dissociations

55
Q

Glanzer & Cunitz Exp. 1 (Délai)

quel est le but de leur expérience 1?

A
  1. But: Éliminer l’effet de récence, maintenir l’effet de primauté
  2. Rationnel: Si l’effet de récence dû aux mots enregistrés en MCT, alors imposer un délai entre fin de liste et l’indice de rappel devrait réduire l’effet
  3. Procédure:
    ❖ Tâche de rappel libre (15 mots)
    ❖ 3 conditions: Standard / Avec délai (2)
    voir pic 11 avr
56
Q

Glanzer & Cunitz: Exp. 1 (Délai)

quels sont les résultats de cette expérience?

A
  • le délai affecte / annule la récence (donc touche la MCT) sans toucher la MLT (effet primauté pas impacté!)
    voir pic 11 avr!
57
Q

Glanzer & Cunitz: Exp. 1 (Délai)

quelle est l’interprétation de cette expérience?

A

1. En demandant aux participants de compter entre fin de la liste et rappel :
❖ Non-disponibilité, alors items en MCT sont oubliés
❖ Effet de récence + faible (10 sec.) ou absent (30 sec.)
2. Premiers items sont bien rapportés
❖ Car transférés dans un entrepôt plus permanent (MLT) suite à répétition suffisante
❖ Effet de primauté inchangé
3. Dissociation entre MCT et MLT

58
Q

Glanzer & Cunitz: Exp. 2 (Espacement)

quel est leur but de leur 2e expérience?

A

1. But: ↑ effet de primauté, maintenir l’effet de récence
2. Rationnel: Si l’effet de primauté est dû à des ressources de mémorisation supplémentaires (ex répétition) pr mots initiaux, alors lire la liste plus lentement améliorera l’effet (+ de temps pr répéter mots)
3. Procédure:
❖ Tâche de rappel libre (15 mots)
❖ 3 conditions: Standard / Espacé (2)
voir pic 11 avr

59
Q

Glanzer & Cunitz: Exp. 2 (Espacement)

quels sont les résultats de cette 2eme étude?

A
  • on remarque que l’espacement améliore la primauté! (sans avoir d’impact sur l’effet de récence, donc double dissociation)
    VOIR PIC 11 AVR
60
Q

Glanzer & Cunitz: Exp. 2 (Espacement)

quelle est l’interprétation de cette 2eme étude?

A

1. une présentation plus lente («espacement») entre chaque mot augmente la capacité de rappel
2. ça affecte l’effet de primauté (MLT), mais pas l’effet de récence (MCT)
❖ pcq la répétition est pas utilisée pour le matériel récent
❖ Reflète seulement la capacité courante
3. Dissociation double entre la MCT et MLT

61
Q

Glanzer & Cunitz

quelle sont les conclusion de cette 2eme étude?

A

❖ Double dissociation obtenue
❖ Preuves supportant le principe de 2 systèmes de mémoire indépendants
VOIR PIC 11 AVR

62
Q

avec les 2 expériences de Glanzer & Cunitz : qu’a-t-on enfin démontré?

A
  • Que la MLT et la MCT sont 2 systèmes indépendants
  • que le processus de transfert principal vers la MLT est la = répétition
63
Q

Taxonomie des systèmes de la MLT

quelles est la caractéristique de la MLT et les sous-caractéristiques qui en découle?

A

la mémoire explicite (en opposition à mémoire implicite) : capacité de rappel conscient des faits et événements :
1. est affecté en amnésie
2. permet la comparaison et le contraste du matériel remémoré (comparé les souvenirs et les contrasté)
- supporte encodage en termes de relations entre de multiples items / événements
3. représentationnelle (faits et événements, souvenir, mémoire = jpx me les représenter et j’utilise ma connaissance pour faire un modèle et je teste si vrai ou faux que jai vu kkl chose ou non)

voir pic 11 avr

64
Q

Épisodique vs. Sémantique Tulving

Quelle est la différence entre la mémoire épisodique et sémantique?

A

mémoire Épisodique
❖ Événements spécifiques (trudeau annonce uni fermé)
❖ Expérience personnelle unique
❖ Événements concrets (c riche, souvenir du moment avk contexte de l’acquisition)
❖ Encodé avec contexte (spécificité de l’encodage)
❖ Acquis immédiatement (ici et maintenant)
❖ Permet «voyage dans le temps mental» (acquis STAT avk tt les détails du contexte dans le ici et mtn, permet de voyager dans le conscient, la où se passe le truc au moment spécifique)
❖ Info temporelle
❖ Relations spatio-temporelles
→ Se souvenir

mémoire Sémantique
❖Faits généraux/signification (ciel est bleu)
❖ Non lié à l’expérience (émotions / pensées / sensation)
❖ Connaissance abstraite
❖ Extrait du contexte
❖ Acquis progressivement dans de multiples contextes
❖ Ne le permet pas
→Savoir

VOIR PIC 11 AVR

65
Q

Se souvenir VS Savoir, Knowlton et Squire

quel est le but de leur expérience?

A

But: Montrer une différence dans l’oubli pour
❖ la mémoire épisodique (se souvenir)
❖ la mémoire sémantique (savoir)

Tâche: Étudier 36 mots (2 secondes chacun) pour être testé plus tard (intention d’apprendre donc organisation subjective)
Test: Tâche de reconnaissance
❖ 36 mots vus / 36 mots non-vus (je te montre mots, est ce que il était montré avant)
❖ 2 réponses possibles: Se souvenir (dire détails du contexte) VS Savoir (peut pas dire contexte)
❖ 2 tests: après 10 minutes / après une semaine

donc
- si tu te souvient du mot = tu sais à quoi le mot ressemblais physiquement, a quelle moment yer apparu etc
- si tu pense savoir = ta pas les détail genre le milieu, le début ou la fin ou l’apparence physique

66
Q

Knowlton et Squire

quels sont les résultats de cette étude?

A
  • y’a une baisse de discriminabilité (la capacité de déterminer si mots étaient dans la liste avant) plus marquée pour les réponses «Se souvenir» que «Savoir»

les faits sont + solides, mais les souvenirs partent en premier → sémantisation des mémoires (je me souviens devient je sais = perte de détails épisodiques pour les souvenirs d’événements lointains)

dans le diagramme, en jaune (se souvenir) ca diminue plus que en bleu (savoir)
VOIR PIC 11 AVR

67
Q

Knowlton et Squire

quelles sont alors les conclusions de cette étude?

A

❖ Les réponses «Se souvenir» (mémoire épisodique) ont un patron d’oubli différent des réponses «Savoir» (mémoire sémantique → est plus robuste)
❖ c un indice que nous avons donc 2 types de mémoire explicite séparés avec des caractéristiques différentes (quantité d’oubli)

68
Q

Se souvenir vs. Savoir (2) Petrican et al.

quel est le but de cette étude?

A

But: Montrer une différence dans l’évolution de
❖ la mémoire épisodique (se souvenir)
❖ la mémoire sémantique (savoir)
Participants:
❖ Personnes moins âgées (58-69 ans)
❖ Personnes plus âgées (74-85 ans)
Tâche: 150 événements réels (1952-2001)

  • Réponses possibles :
    ❖ Se souvenir
    ❖ Savoir
    ❖ Ne pas savoir
69
Q

Petrican et al.

quels sont les résultats de cette étude?

A

On «se souvient» de moins en moins
❖ Mémoire épisodique (Dégénérescence de l’hippocampe)
On « sait » de plus en plus avec l’âge
❖ Mémoire sémantique → (Accumulation de faits et « sémantisation » des souvenirs épisodiques)

donc à court terme : baisse faits sémantiques
long terme : baisse souvenirs et augmentation fais (en lien avec 2 études)

SO AVEC L’AGE, ON SE SOUVIENT DE MOINS EN MOINS DES DETAILS ET DES EVENEMENT

VOIR PIC 11 avr

70
Q

Petrican et al. (2010)

Quelle conclusion peut on tirer de cette étude?

A

1. Les 2 types de réponse demandés évoluent différemment avec l’âge
❖ Moins de mémoire épisodique
❖ Plus de mémoire sémantique
2. Un type de réponse est sensible à la dégénérescence de l’hippocampe et du cortex frontal (se souvenir = mémoire épisodique)
3. Autre indice selon lequel nous avons donc 2 types de mémoire explicite séparés avec des caractéristiques différentes (évolution avec l’âge)

71
Q

MANUEL
Vrai ou faux,
- Lorsque la mémoire épisodique est présente, la mémoire sémantique est améliorée.

  • Lorsque la mémoire épisodique est absente, l’avantage créé par des faits personnellement pertinents disparaît.
A

vrai

72
Q

MANUEL

Qu’est ce que la familiarité VS la remémoration?

A

Familiarité : la personne semble familière et pourrait se souvenir du nom, mais ne peut pas se rappeler les détails d’expériences spécifiques → mémoire sémantique car elle n’est pas associée aux circonstances dans lesquelles la connaissance a été acquise.

Remémoration : se souvenir d’expériences spécifiques liées à la personne → mémoire épisodique car elle inclut des détails sur ce qui se passait lorsque la connaissance a été acquise.