cours 4.2 Flashcards

1
Q

À quelle question répond l’attention?

A

Comment le système cognitif sélectionne-t-il l’information qui sera traitée par la suite?

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2
Q

selon Sternberg, qu’est ce que l’attention?

A
  • L’attention est le moyen grâce auquel nous traitons activement une partie (sélection de l’info + capacité limité du traitement de l’info) de l’énorme quantité d’info provenant de nos sens, de notre mémoire, et d’autres processus cognitifs
  • implique processus conscients et inconscients
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3
Q

quelle est la différence entre l’attention et la conscience

A

Concepts qui se chevauchent mais différents
❖ Attention = Traiter une quantité d’info limitée, soit par choix (consciemment) ou automatiquement (inconsciemment)
❖ Conscience = Inclut le sentiment de traiter le contenu

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4
Q

Selon Sternberg, quelles sont les 3 fonctions de l’attention consciente?

A
  1. Attention sélective: Porter attention à certains
    stimuli/en ignorer d’autres
  2. Attention divisée: Distribuer de façon prudente les ressources attentionnelles disponibles dans le but de coordonner la performance à plus d’une tâche à la fois
  3. Détection de signal: Détecter l’apparence d’un certain stimulus (inclu tâche de Vigilance / Recherche visuelle)
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5
Q

que sont des exemples de tâches de vigilance VS tâche de recherche visuelle?

A

→ Vigilance
❖ Position constante de l’attention
❖ Attente pour cible (ex radar avk cible)

→ Recherche visuelle
❖ Position changeante de l’attention
❖ Recherche active pour cible (ex : où est Charlie)

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6
Q

Attention sélective en perception auditive

❖ Comment ignorons-nous l’information auditive indésirable?
❖ Comment concentrons-nous notre attention sur l’information désirée?

c’est ca que Cherry a voulu répondre dans son expérience, quelle est-t-elle?

A
  1. Habileté à porter attention à un message entrant et ignorer tous les autres
  2. Tâche courante
  3. Filtrage grâce aux différences physiques :
    ❖ Sexe/Genre de l’interlocuteur (pcq tonalité de voix diff)
    ❖ Intensité / Volume
    ❖ Vitesse de parole / Accents
    ❖ Emplacement de l’interlocuteur, etc.
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7
Q

Tâche « d’ombrage » (Shadowing: Cherry)

qu’est ce que les participants doivent faire dans cette tâche?

A

Participants doivent répéter à voix haute un message parlé diffusé à une oreille, parfois en ignorant un 2e message diffusé à l’autre oreille = écoute dichotique (Message différent dans chaque oreille)

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8
Q

quels sont les resultats de base de la Tâche «d’ombrage»? (Shadowing: Cherry)

A

Message « ombragé » (shadowed message) :
❖ Tâche relativement difficile
❖ Rétention du sens relativement bonne

Message ignoré : (si on change le msg entre à mi-chemin entre voix d’hommes et voix femme, ils le remarquent, mais pas ce qui est relié à la sémantique et la linguistique)
❖ Caractéristiques physiques distinctives->OK
❖ Sexe/Genre
❖ Fréquence haute vs. basse
❖ Langage vs. Tonalité pure
❖ Langage vs. Bruit blanc
❖ Changement linguistiques → non remarqués (changer de langue→ du msg ignoré)
❖ Contenu/sens du message → non retenu
❖ Moray (1959): il constate que mots répétés jusqu’à 35x dans le canal ignoré ne sont pas mémorisés also

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9
Q

Rapport divisé (Broadbent, 1954)

quelle est la tache du rapport divisé?

A

❖ Écoute dichotique (2 stimuli auditifs distincts dans chaque oreille)
❖ on diffuse des nb dans 2 oreilles (simultané)

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10
Q

Rapport divisé (Broadbent, 1954)

quelles sont les deux façons de rapporter les chiffres dans la **tache du rapport divisé?

A
  1. par oreille (rappel de 65%)
    ou
  2. en ordre (rappel de 20%) (+ difficile passer oreille à l’autre)

CONCLUSION :
Passer constamment d’un canal à l’autre = très difficile

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11
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958)

quel est le but de la théorie du filtre, sur quel modèle repose-elle?

A

But : expliquer les résultats en attention sélective (en écoute dichotique)
❖ Modèle de sélection hâtive (sélectionne le message qui doit être répété avant de comprendre sa signification→ Théorie du goûlot)
❖ DONC infos sont sélectionnée selon caractéristiques physiques (avant d’interpréter le message)

(voir pic 7 mars)

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12
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958)

explique la 1e étape de la Théorie du filtre

A

❖ 2 messages, provenant de canaux distincts
❖ Stimuli atteignent mémoire échoïque (garde stimuli pour courte période de temps car mémoire sensorielle)
→ Pas d’interprétation
→ Transfert à la prochaine étape
(voir pic 8 mars)

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13
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958)

explique la 2e étape de la Théorie du filtre

A

❖ Info atteint un filtre sensoriel
→ BLOQUE certains canaux
→ Sélection selon caractéristiques physiques pertinentes
→ Message choisi: Caractéristiques physiques filtrées

(mémoire très courte, si on interrompt participants ça se peut qu’il dise info de voix ignorée)

voir pic 8 mars

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14
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958)

explique la 3e étape de la Théorie du filtre

A

❖ Message auquel on porte attention atteint un canal à capacité limitée (ou « détecteur »)
Traite l’info restante (telle que le sens)
→ Relié à mémoire à long terme (pour déterminer sens)
→ Lié à un système de réponse (répéter le msg)

(voir pic 8 mars)

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15
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958)

explique la 4e étape de la Théorie du filtre

A

Sens est déterminé à l’aide de la mémoire à long terme, seuls stimuli auxquels on porte attention activent connaissance dans MLT

(voir pic 8 mars)

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16
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958)

explique la 5e étape de la Théorie du filtre

A

❖ Production d’une réponse
Ex : Répéter le message entendu sur le bon canal (tâche d’ombrage)

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17
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958) Problèmes

Quelles sont les 5 problèmes de la théorie du filtre?

A
  1. 33% des participants entendent leur prénom dans le canal à ignorer
    2. Si le message à suivre passe d’un canal à l’autre, les participants le suivent pour qql mots
    3. Un mot « biaisant » dans le canal à ignorer peut changer l’interprétation du message à répéter (comme on traite le sens de la phrase dans le canal a ignorer, px pas être de la sélection hâtive pck ça ça se fait avant d’avoir accès au sens des msg)
    4. Des synonymes diffusés dans le second canal peuvent ralentir la tâche d’ombrage, pk? pcq on traite le sens dans le canal à ignorer (synonyme) donc px pas être de la sélection hâtive
    5. Des mots conditionnés aux chocs diffusés dans le canal à ignorer peuvent produire une réponse électrodermale, ex nom de ville MTL associé à choc ou NN = réponse éléctro
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18
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958) Problèmes

explique le 1er problème (33% des participants entendent leur prénom dans le canal à ignorer)

A

Well c’est bizz pcq ça veut dire que tu comprends le sens du canal a ignoré

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19
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958) Problèmes

explique le 2eme problème (Si le message à suivre passe d’un canal à l’autre, les participants le suivent pour quelques mots)

A

well t’aura tendance à suivre le sens du message dans le canal ignoré si ca fait + de sens avec le canal à écouté

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20
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958) Problèmes

explique le 3e problème (Un mot « biaisant » dans le canal à ignorer peut changer l’interprétation du message à répéter)

A

donc participant traite le sens du canal ignoré et cela influence le sens du canal écouté

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21
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958) Problèmes

explique le 4e problème (Des synonymes diffusés dans le second canal peuvent ralentir la tâche d’ombrage)

A

ya un traitement qui se fait au niveau du sens dans le canal ignoré pcq le fait qu’on a 2 mots qui sont synonyme ca surcharge le système qui nous ralentit, on le constate pck les mots diffusés en même temps que des synonymes sont répétés plus lentement
voir pic 9 mars

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22
Q

Théorie du filtre (Broadbent, 1958) Problèmes

explique le 5eme problème (Des mots conditionnés aux chocs diffusés dans le canal à ignorer peuvent produire une réponse électrodermale)

A

pendant une tâche d’ombrage ou on diffuse un message à écouter, les noms de ville augmentait conductibilité de la peau (dans canal ignoré) (si ya préalablement eu un choc dans canal écouté) = signifie qu’on interprète sens du canal ignoré

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23
Q

Modèle d’atténuation (Treisman)

quel est le but du modèle d’atténuation?

A

❖ But : expliquer les résultats en attention sélective, expliquer pk le msg qu’n doit PS répéter a accès à la mémoire à long terme pr déterminer le sens, et qu’on connais le sens de ce msg
❖ Modèle de sélection hâtive = on sélectionne le bon msg avant d’avoir accès au sens des msg en mémoire à long terme et on se base sur caract physiques)
(Théorie du goûlot)
❖ Info sélectionnée selon caractéristiques physiques

voir pic 9 mars

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24
Q

Modèle d’atténuation (Treisman, 1964)

Quelle est la 1ere étape du modèle d’atténuation?

A

❖ Deux messages, provenant de canaux distincts
❖ Stimuli atteignent mémoire échoïque
- Pas d’interprétation
- Transfert à la prochaine étape

25
Q

Modèle d’atténuation (Treisman, 1964)

quelle est la 2e étape modèle d’atténuation?

A

❖ Info atteint un atténuateur
Atténue mais ne bloque PAS certains canaux
❖ Sélection selon caractéristiques physiques pertinentes
voir pic 9 mars

26
Q

Modèle d’atténuation (Treisman, 1964)

quelle est la 3e étape du modèle d’atténuation?

A

❖ Message auquel on porte attention atteint un canal à capacité limitée
- Traite l’info restante (telle que le sens)
- Relié à mémoire à long terme
- Lié à un système de réponse

27
Q

Modèle d’atténuation (Treisman, 1964)

quelle est la 4e étape du modèle d’atténuation?

A

Sens est déterminé à l’aide des analyseurs hiérarchiques (mémoire à long terme) = cuz on
part des syllabes / Mots / Grammaire / Sémantique (1 à la fois, 1 après l’autre)
❖ dans l’unité dictionnaire, les mots ont des seuils d’activation dans l’analyseur

  • seuil d’activation = déterminé par contexte, si l’activation du msg dépasse le seuil, il sera traité pour définir le sens (pour cela que des fois on a accès au canal ignoré)
  • prénom? a un seuil d’activation faible, donc facilement activable
  • mémoire long terme = unité dictionnaire
    (voir pic 9)
28
Q

Modèle d’atténuation (Treisman, 1964)

quelle est la 5e étape du modèle d’atténuation?

A

❖ Production d’une réponse
Ex : Répéter le message entendu sur le bon canal (tâche d’ombrage)
voir pic 9 mars

29
Q

Modèle de pertinence (Norman, 1968)

qu’est ce que le modèle de pertinence et comment sont les infos sont-elles sélectionnés?

A

❖ Modèle de sélection tardive (on sélectionne APRÈS avoir eu accès au sens du msg en MLT))
❖ l’info est sélectionnée d’après l’importance momentanée de l’info (pertinence), causée par des facteurs permanents ou temporaires
voir pic 10 mars

30
Q

Modèle de pertinence (Norman, 1968)

quelle est la 1ere étape du Modèle de pertinence?

A

❖ Deux messages, provenant de canaux distincts
❖ Stimuli atteignent mémoire échoïque
→ Pas d’interprétation
→ Transfert à la prochaine étape

info A et B vont direct à MLT (caract physique ou sens)
voir pic 10 mars

31
Q

Modèle de pertinence (Norman, 1968)

quelle est la 2e étape du Modèle de pertinence?

A

❖ Sélection de l’entrée d’après la pertinence

pertinence :
→Basé sur attentes futures selon les propriétés présentes du canal d’information
→ Pré-determiné : précédemment (tu dois écouter A ou B ex) ou mtn (il va falloir que t’écoute lui qui a un thème de jardinage)
→ Certaines entrées : niveau élevé permanent
Ex: Votre prénom
voir pic 10 mars

32
Q

Modèle de pertinence (Norman, 1968)

dans la 2e étape, comment on peut choisir le bon canal?

A

si ton mécanisme de pertinence sait que c’est canal A (Canal A est pertinent à cause des instructions expérimentales)

33
Q

Modèle de pertinence (Norman, 1968)

dans l’étape 2, comment se fait l’activation du canal à écouté?

A

❖ Chaque message active une représentation en mémoire à long terme (ascendant)
❖ Pertinence active représentations (descendant)
❖ Activation finale = Activation sensorielle + Pertinence (+ pertinent que B, pcq précédement on avait dit répète A)
voir pic 10 mars

34
Q

Modèle de pertinence (Norman, 1968)

explique la 3e étape du Modèle de pertinence?

A

❖ Activation finale pour A est plus élevée
❖ A est sélectionné et on y porte attention (pour répéter)

voir pic 10 mars

35
Q

Modèle de pertinence (Norman, 1968)

explique la 4e étape du Modèle de pertinence?

A

❖ Message est transféré en mémoire à court terme
❖ Répétition / Production de réponse (Répéter)
voir pic 10 mars

36
Q

Modèle de pertinence (Norman, 1968)

Que ce passe-t-il si dans le canal à ignoré, on dit ton prénom à la 1e étape?

A

Si votre prénom est diffusé sur le canal à ignorer, le signal va activer la représentation de votre prénom en MLT
voir pic 10 mars

37
Q

Modèle de pertinence (Norman, 1968)

Que ce passe-t-il si dans le canal à ignoré, on dit ton prénom à la 2e étape?

A
  • la pertinence pour votre prénom est élevée en tout temps (cuz on additionne traitement ascendant + descendant = activation +++)
  • donc l’activation du mécanisme de pertinence pour notre prénom est + haute
38
Q

Modèle de pertinence (Norman, 1968)

que ce passe-t-il si dans le canal à ignoré, on dit ton prénom à la 3e étape?

A

❖ Canal à ignorer est sélectionné temporairement
❖ Vous entendez votre prénom

39
Q

Théorie du filtre(Broadbent, 1958)

récapitule cette théorie.

A

Selon Broadbent, la sélection précède tjr le traitement sémantique (sélection hâtive)

VOIR PIC 10 MARS

40
Q

Modèle de pertinence (Norman, 1968)

récapitule ce modèle.

A

Selon Norman, la sélection suit tjr le traitement sémantique. (sélection tardive)
VOIR PIC 10 MARS

41
Q

Johnston & Heinz (1978)

Eux ils disent que y’a un problème avec les théories de Broadbent et Norman, explique

A

❖ Modèles statiques d’attention → PROBLÈME!
❖ c’est sois la Sélection hâtive ou tardive, c’est problématique pck y’a des résultats empiriques qui supportent partiellement les 2

42
Q

Johnston & Heinz (1978)

comme ces derniers disent que les 2 théories sont problématique, que vont il dire sur l’attention?

A
  • eux il disent que l’attention EST DYNAMIQUE
    ❖ Peut être concentrée sur les propriétés physiques
    et / ou sémantiques
    du msg (continuum)

❖ Postulat-clé: Flexibilité
1. Attention consomme de la capacité de traitement
2. Consommation augmente lorsque l’on se déplace sur le continuum de l’attention (de physique jusqu’aaa → → → sémantique)

43
Q
A
43
Q

Quelle est la théorie que propose Johnston & Heinz?

A

le modèle multimode (VOIR 4 PIC DU 10 MARS)
pic 1 : Le modèle est flexible… donc si y’a indice physique, ça aide le syst a traiter, mais c’est pas suffisant pour faire la sélection, l’info sera dirigé vers MLT then pertinence puis sélection
pic 2 : mais la flexiblité a un coût, plus l’on doit se fier de plus en plus sur les propriétés sémantiques des messages (pcq + compliqué de comprendre sens que juste séparer selon signaux physiques) plus les ressources de traitement disponibles sont réduites

44
Q
A
44
Q

Pour démontrer le modèle multimode de Johnston & Heinz on a utilisé les 2 tâche multiple (simultanée), c’est quoi?

A

Tâche 1: Vigilance
❖ Réponse à un signal visuel apparaissant aléatoirement
❖ Mesure: temps de réaction
❖ Utilise partie d’une capacité générale de traitement
❖ Fournit mesure de base des ressources disponibles

Tâche 2 : Écoute binaurale / Ombrage
❖ Messages: Listes de mots/Passages du Reader’s digest
❖ Mesure: taux d’exactitude
❖ Utilise partie d’une capacité générale de traitement

45
Q
A
45
Q

modèle multimode : Tâche visuelle et capacité de traitement limitée

explique la tâche 1 : vigilance

A
  • il est impossible de prévoir quand le point rouge va pop
  • si porte pas attention à la tâche = temps réponse élevé = on utilise juste mini partie de la capacité de traitement limité
  • si porte attention à la tâche = temps réponse faible = on utilise la totalité de la capacité de traitement limité

SO temps de réaction permet de déterminer à quelle point on utilise la capacité de traitement limité
VOIR PIC 10 MARS

46
Q

L’attention consomme la capacité de traitement durant les tâches multiples. Si on fait 3 tâches en mm temps (vigilance, ombrage et attention sélective→ choisir msg), que ce passe-t-il avec la capacité de traitement et le temps de réponse?

A

La capacité de traitement est full et est divisé entre chaque tâche donc le temps de réponse est de + en + élevé
voir pic 10 mars

47
Q

À quoi ressemble le taux d’erreurs selon si tâche c’est vigilance + ombrage
ou
vigilance + ombrage + attention sélective?

A

Les erreurs augmentent plus on rajoute des tâches

48
Q

Capacité de traitement limitée

qu’est ce qu’on réalise sur la capacité de traitement limitée (et le nbr de tâches à faire simultanément)

A

À mesure que le nb de tâches concurrentes augmente ..
1. y’a moins de capacité de traitement restante par tâche :
❖ TR plus élevés pour vigilance…
❖ Taux d’erreur plus élevé pour ombrage…

2. Pr utiliser de la capacité pour une tâche, il faut la « voler » à une autre :
❖ Tt les tâches utilisent la mm capacité de traitement commune
❖ Cette capacité est limitée

49
Q

sélection hâtive

la sélection obligatoire entre 2 messages a un impact sur les autres tâches :
- Temps de réaction plus élevés (vigilance)
- Taux d’erreur plus élevés (ombrage)
donc, les messages peuvent seulement être distingués selon les propriétés strictement physiques, donc un mode de sélection hâtive (Broadbent) existe

A

vrai

50
Q

Tâche 2.2: Attention sélective 4 conditions

En gardant les tâches 1.1 (vigilance) et 2.1 (ombrage) constantes, on peut varier 2.2 (attention sélective) et étudier des conditions différentes

A

voir pic 10 mars

51
Q

si on a une voix différente, mais le mm sujets,comment on traite et que remarque t-on sur temps de réaction et le taux d’erreurs?

A
  • on peut SEULEMENT sélectionner selon les propriétés physiques (voix), donc un mode de sélection hâtive (Broadbent) existe
  • La sélection obligatoire entre deux messages a un impact sur les autres tâches
    ❖ Temps de réaction plus élevés (vigilance)
    ❖ Taux d’erreur plus élevés (ombrage)
52
Q

si on a la mm voix mais des sujets différents, comment on traite et que remarque-t-on sur temps de réaction et le taux d’erreurs?

A
  • on peut SEULEMENT sélectionner selon les propriétés sémantiques (sujet/sens), donc un mode de sélection tardive (Norman) existe
  • prend + de capacité de traitement car sémantique = sélection tardive

Sélection obligatoire entre deux messages a un impact sur les autres tâches
❖ Temps de réaction plus élevés (vigilance)
❖ Taux d’erreur plus élevés (ombrage)

53
Q

donc quel est le coût lié à l’utilisation des propriétés sémantiques?

A

+ tu utilises les propriétés sémantiques, + tu fais d’erreurs dans les tâches d’ombrage et + le temps de réponses sera élevé dans la tâche de vigilance PCQ ça demande + de capacité de traitement de sélectionner selon la sémantique (par rapport au physique)

SO
Utilisation croissante des propriétés sémantiques pour la sélection provoque :
1. Augm des temps de réaction (vigilance)
2. Augm des taux d’erreur (ombrage)
donc utilisation croissante des propriétés sémantiques utilise une plus grande proportion de la capacité de traitement limitée (comparé à utilisation des propriétés physiques)
voir pic comparaison 10 mars

54
Q

en conclusion, les résultats démontre qu’on utilise quels modes de sélection?

A
  1. Deux modes de sélection: hâtif et tardif
  2. Utilisation croissante des propriétés sémantiques pour la sélection provoque
    ❖ Augmentation des temps de réaction (vigilance)
    ❖ Augmentation des taux d’erreur (ombrage)
  3. Utilisation croissante des propriétés sémantiques utilise une plus grande proportion de la capacité de traitement limitée (comparé à utilisation des propriétés physiques)
55
Q

En conclusion, les résultats supportent-ils le modèle multimode de l’attention et ses postulats?

A

oui,
❖ l’attention utilise capacité de traitement limitée
❖ l’attention est flexible (sélection hâtive et/ou tardive)
❖ Utilisation du sens du message pour la sélection requiert plus de capacité de traitement

56
Q

pourquoi les résultats sur l’attention sélective auditive sont important?

A

Car ils permettent de proposer un modèle plus complet de l’attention sélective auditive en contredisant :
1. Broadbent
❖ Sélection tardive devrait être impossible
❖ Mais participants sélectionnent selon propriétés sémantiques
2. Norman
❖ Sélection hâtive devrait être impossible
❖ Taux d’erreurs et temps de réaction ne devraient pas différer entre conditions de “sélection attentive” (voix VS sens du msg)
❖ Mais les participants n’attendent pas tjr les indices sémantiques