cours 12.1 et 12.2 Flashcards
Concepts
que disent Goldstone & Kersten sur les concepts?
- Humains ont une tendance forte à voir toute “chose” comme “quelque chose”
- Mettre des objets ensemble dans des groupes organisés est un processus nommé: “catégorisation”
- Créer une représentation mentale pour une catégorie spécifique est un processus nommé: “apprentissage de concepts”
quelle est la définition du mot concept?
“Un concept est une représentation mentale d’une classe (ensemble) ou d’un exemplaire (objet unique) et est concerné par ce qui est représenté et comment cette info est typiquement utilisée durant la catégorisation.”
Fonctions des concepts (Goldstone & Kersten, 2003)
quelles sont les 4 fonctions des concepts?
1. Filtrage
- Fournit des façons informatives / diagnostiques (pédictives) de structurer le monde naturel (pcq on a pas accès au monde direct, c’est filtré par les concepts = traitement descendant)
2. Économie cognitive (mémoriser des concepts au lieu de chaque entrées brutes)
- Économie dramatique pour l’espace de stockage requis
- TR plus rapides en identification d’objets
3. Prédiction
- Nous permet de généraliser nos expériences avec certains objets à d’autres objets de la même catégorie
4. communication
- Lorsque les gens partagent des concepts, qu’ils communiquent, well on sais de quoi ils parle, de quels concept
- plus facile à propos du monde naturel
Pourquoi est-ce difficile parfois de reconnaitre un bhay? (animal vert dans la vidéo)
well,
* On pourrait avoir besoin d’une représentation mentale descriptive des propriétés catégorielles requises, pour savoir si ce nouvel objet peut être pairé avec une catégorie donnée
* Connu comme “approche classique” ou “approche définitionnelle” des concepts
Approche classique des concepts (Bruner, Goodnow, & Austin)
qu’est ce que eux stipule sur les représentations sommaires?
représentations sommaires (qui résume) = Représentation d’un concept : c’est une description sommaire d’une classe entière (s’applique à tous les exemplaires spécifiques également)
ex de représentation sommaire = oiseau
oiseau ca implique rouge gorge, moineau etc.
Approche classique des concepts (Bruner, Goodnow, & Austin)
Les concepts doivent avoir des caractéristiques nécessaires et suffisantes (basé sur règle), c’est quoi?
1. les caractéristiques qui représentent un concept sont individuellement nécessaires (chaque caract. qui défini le concept doit se trouver sur l’objet pour faire partie de la catégorie) et conjointement suffisantes (ET) (si l’objet a tt les caract du concept, suffisant pour faire partie de catégorie)
2. Concepts ne sont jamais disjonctifs (OU) (objet doit avoir caract 1 ET 2 ET 3 et non 1 OU 2 OU 3)
- Individuellement nécessaire = besoin de tout Conjointement suffisantes= pas besoin de plus
ex : carré =
- Figure fermée
- 4 côtés égaux
- 4 angles égaux
Approche classique des concepts (Bruner, Goodnow, & Austin)
Les concepts doivent avoir l’inclusion des caractéristiques dans les relations de sous- ensemble, ça veut dire quoi?
Si concept X est un sous- ensemble de concept Y, alors les caractéristiques définitoires de Y sont incluses dans X
ici carré hérite les caractéristiques du rectangle + 4 cotés égaux
VOIR PIC
Apprentissage par réseau sémantique hiérarchique (Collins & Quillian)
illustre l’apprentissage par réseau sémantique hiérarchique
VOIR PIC
Appr. par réseau sémantique hiérarch. (Collins & Quillian)
quelles sont les 2 propriétés inspirées de l’approche classique et 2 ajouts par rapport à l’approche classique?
inspirées :
1. Inclusion
- Si concept X est sous-ensemble de concept Y, alors caractéristiques définitoires de Y sont dans X
2. Caract. nécessaires et suffisantes et concepts conjonctifs
- Différence: on peut « annuler » des caract.
ajouts :
1. Représentation hiérarchique des sous-ensemble = Avantage : Économie cognitive! (ps devoir répété que oiseau vole)
- Carac. stockées une seule fois et héritées
2. Propagation de l’activation
- Si un nœud (catégorie genre oiseau) est activé, l’activation se propage vers les nœuds associés (autruche)
- ça explique l’amorçage sémantique (ça préactive le mot de la catégorie)
Approche par réseau sémantique hiérarchique, Collins & Quillian
quel est le but de cette étude?
But:
Montrer la validité de l’approche par réseau sémantiques
- Hiérarchie & principe d’inclusion
- Héritage
Tâche:
Technique de vérification de phrases
- “X est un Y” (un canari est un oiseau) / ”X montre propriété P” (un canari a des ailes) (Oui / Non)
Variable: Temps de réaction
Postulat de base:
Opérations dans le réseau sémantique prennent du temps
- Récupérer une propriété pour un noeud
- Monter / descendre d’un niveau dans la hiérarchie pour déterminer l’appartenance
Approche par réseau sémantique hiérarchique, Collins & Quillian
quelles sont les 2 types de phrases dans les essais?
1. Phrases Super-ensemble (S) : Déterminer que X est un Y
- S0: « Un requin est un requin »
- S1: « Un requin est un poisson »
- S2: « Un requin est un animal »
2. Phrases Propriété (P) : Déterminer si X montre propriété P
- P0: « Un requin peut mordre »
- P1: « Un requin peut nager »
- P2: « Un requin mange »
VOIR PIC
Approche par réseau sémantique hiérarchique, Collins & Quillian
quelle est la prédiction pour la Phrases Super-ensemble (S)?
- que les temps de réaction sont additifs
VOIR PIC
Approche par réseau sémantique hiérarchique, Collins & Quillian (1969):
quelle est la prédiction de la Phrases Propriété (P)?
- que les temps de réaction sont additifs
ici P + long que S car on fait une vérification des propriétés, which means, sa prend plus de temps pr réfléchir si un requin → peut mordre
Approche par réseau sémantique hiérarchique, Collins & Quillian
Quels sont les résultats/Interprétation?
1. Nb de niveaux entre X et Y: est facteur dans le TR
2. Vérifier une propriété est toujours plus long que de déterminer l’appartenance catégorielle
3. Processus additif (pr vérifier propriété plus haute dans le réseau, faut voyager dans le réseau, THEN vérifier la propriété)
- Lignes “parallèles”
4. Soutien pour approche hiérarchique en réseau
VOIR GRAPHIQUE avk du rose
Propagation de l’activation, Meyer & Schvaneveldt
quel est le but de cette étude?
1. But: Tester pour une dépendance pour l’accès à la mémoire entre deux décisions sémantiques
2. Tâche: Décision lexicale
Est-ce que paire d’items contient deux mots?
3. Mesure: Temps de réaction
VOIR PIC tableau vert
propagation du mot: le fait le quand on lit le mot du haut, sa prépare le brain à traiter le mot du bas, alors c’est plus rapide
donc, si les 2 mots sont sémantiquement relié, devrait être plus vite que 2 non relié à cause de = propagation du mot
Propagation de l’activation, Meyer & Schvaneveldt
Quelles sont les prédiction et résultats de cette étude?
Prédiction: Si les mots font partie d’une organisation sémantique qui:
- Associe les mots ensemble selon le sens
- Active les mots associés lorsqu’un mot est récupéré → (Propagation de l’activation)
alors plus rapide de juger si 2 items sont des mots lorsqu’ils sont sémantiquement associés
résultats :
1. Prédiction confirmée
2. Soutien pour le principe de la propagation de l’activation
voir pic dgrm bleu et orange
Problèmes théoriques pour l’approche classique
quels sont les 3 problèmes avec l’approche classique?
1. Représentations sommaires sont trop restrictives pcq :
- Exceptions pour la plupart des catégories
- Certains sous-ensembles d’objets peuvent montrer des caractéristiques distinctives → Rouge-gorge vs. Autruche (vole pas)
2. Définitions avec carac. suffisantes et nécessaires sont :
- Difficile à trouver
- Ex : qu’est-ce qu’un jeu? (pas capable de le définir)
** 3.** Concepts disjonctifs existent :
- Ex: Cuillères (petites et en metal OU grandes et en bois)
- Ex: Prise (baseball)
Rosch, Problèmes empiriques pour l’approche classique
quel est le but de cette étude?
But: Montrer que le postulat “tous les exemplaires sont égaux” est erroné (approche classique)
- Montrer le caractère plus flou des catégories
Tâche: Jugements de “typicité”
- Liste de mots d’une catégorie spécifique
- Doit indiquer à quel point chaque item est typique de la catégorie sur une échelle de 1 à 7 (1 = très typique, 7 = peu typique)
Rationnel
- Selon l’approche classique, tous les exemplaires d’une catégorie devraient être également typiques…le sont-ils?
Rosch, Problèmes empiriques pour l’approche classique
Quels sont les résultats / Interprétation de l’étude?
1. Tous exemplaires ne représentent pas également les catégories (pomme + typique comme fruit que olive)
2. Structure catégorielle: Floue au lieu de “tout-ou- rien”
**3. l’appartenance à une catégorie serait basée sur la ressemblance globale ou typicité au concept, et non définitions strictes (pomme=fruit)
4. Ne peut être expliqué par approche classique
VOIR DGRM BLEU!
Effets de typicité et approche par réseau sémantique hiérarchique
quel est le but de cette étude?
But
- Voir si les effets de typicité invalident la structure du modèle hiérarchique par réseau sémantique
- Déterminer si la structure mnésique est analogue à la structure logique
Tâche:
Technique de vérification de phrases
- “X est un Y” (un exemplaire est membre d’une catégorie)
- Catégories :
1.Oiseaux/Animaux/Mammifères/ Autos / Véhicules
2.Oiseaux: Rouge-gorge/Geai bleu/ Canard
3.Mammifère: Ours/Chien/Cochon
Effets de typicité et approc, he par réseau sémant. hiérarch., Rips, al
quelles sont les prédictions de cette étude?
1. oiseau vs animal
prédictions collins et al. = temps réaction S1 < S2
- il dis que c plus rapide de détérminer que X (rouge gorge) est un oiseau que c’est un animal, pcq monte de 2 coche
2. mammifère vs animal
prédictions collins et al. = temps réaction S1 < S2
- il dis que c plus rapide de détérminer que X (baleine) est un mammifère que c’est un animal
voir dgrm rouge et bleu
il dis que c plus rapide de détérminer que X (rouge gorge) est un oiseau que c’est un animal
Effets de typicité et approc, he par réseau sémant. hiérarch., Rips, al
quels sont les résultats?
VOIR PIC DGRM
- ça marche la prédiction mais juste pr les oiseau!
- pour les mammifères, c’est plus rapide de dire que baleine c un animal que de dire que baleine c un mammifère, pk? À cause des effet de typicité!
Effets de typicité et approc, he par réseau sémant. hiérarch., Rips, al
quelle est l’interprétation?
1. On voit les chiens et les cochons comme plus typiques des animaux que des mammifères = Résultats de jugement de typicité
2. Effets de typicité ont une influence sur temps de réaction pour catégorisation
→ Plus typique = catégorisation plus rapide
3. Approche par réseau sémantique hiérarchique de 1e génér. est donc invalide
Le problème du niveau de base, Rosch et al.
quel est le but de cette étude?
But: Montrer la supériorité des catégories de base dans des taxonomies organisées hiérarchiquement
3 niveaux de catégories = superordonné, base, subordonné
VOIR PIC schema avec branche
Le problème du niveau de base, Rosch et al. exp1
quelle est l’expérience #1?
Exp. 1: Nommer des caractéristiques
- À l’aide des noms de catégories, on doit lister un max de caractéristiques en 90 secondes
rationnel :
Si l’approche par réseau sémantique a raison (base + important), participants devraient lister de plus en plus de carac. en descendant dans le réseau
- Postulat d’héritage / Processus additif
voir pic bleu pale
Le problème du niveau de base, Rosch et al. (1976): exp 1
quels sont les résultats de l’étude?
- Superordonné: nb plus bas de propriétés, suivi du niveau de base (comme prédit)
- Pas d’ajout d’information significatif entre niveau de base et subordonné
voir graphique gris
Le problème du niveau de base, Rosch et al. (1976): exp 7
en quoi consiste l’expérience 7?
Exp. 7: Classer objets (on montre objet, doit dire c quel catégorie)
- Participants voient photos d’images, et doivent décider si l’objet fait partie d’une catég. spécifique
- Tous niveaux de catégorie testés pour chaque objet
Rationnel:
Si l’approche par réseau a raison, participants prendront moins de temps à déterminer l’appartenance au niveau subordonné
- Postulat Nb de niveaux (TR = S0 < S1 < S2)
voir pic avk poisson
Le problème du niveau de base, Rosch et al. (1976): exp 7
quels sont les résultats?
- Avantage pour niveau de base (plus rapide)
- Le plus long: Décider si un objet fait partie d’une catégorie subordonnée!
voir pic graphique en V
Le problème du niveau de base, Rosch et al. (1976): exp 7
quelle est l’interprétation?
1. Avantage psychologique ou privilège pour les catégories du niveau de base
2. Ne peut être expliqué par approche logique
- Approche classique: Représentations mentales “tout ou rien” (pas de niveaux)
- Approche par réseau sémantique: Niveau le plus élevé devrait être le plus inclusif
3. Rosch: Niveau de base = niveau optimal d’info
- Base à superordonné: bcp d’info perdue
- Base à subordonné: pas bcp d’info perdue (on ne gagne rien à à spécifier pcq pas plus d’infos que niveau de base)
- Niveau de base = niveau où les items sont les plus similaires les uns aux autres tout en étant distinctifs
Les experts vont-ils automatiquement au niveau de base? Tanaka & Taylor
quel est le but de cette étude?
But
- Vérifier si l’avantage du niveau de base se retrouve chez les experts dans les listes de propriétés (chiens et oiseaux)
Tâche (Exp. 1):
Lister des propriétés
- Résultat de Rosch: y’a plus de nouvelles caractéristiques entre superordonné et base qu’entre base et subordonné (attention caract comptent seulement si elles sont nouvelles pour un niveau)