cours 12.1 et 12.2 Flashcards

1
Q

Concepts

que disent Goldstone & Kersten sur les concepts?

A
  • Humains ont une tendance forte à voir toute “chose” comme “quelque chose”
  • Mettre des objets ensemble dans des groupes organisés est un processus nommé: “catégorisation”
  • Créer une représentation mentale pour une catégorie spécifique est un processus nommé: “apprentissage de concepts”
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

quelle est la définition du mot concept?

A

“Un concept est une représentation mentale d’une classe (ensemble) ou d’un exemplaire (objet unique) et est concerné par ce qui est représenté et comment cette info est typiquement utilisée durant la catégorisation.”

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Fonctions des concepts (Goldstone & Kersten, 2003)

quelles sont les 4 fonctions des concepts?

A

1. Filtrage
- Fournit des façons informatives / diagnostiques (pédictives) de structurer le monde naturel (pcq on a pas accès au monde direct, c’est filtré par les concepts = traitement descendant)
2. Économie cognitive (mémoriser des concepts au lieu de chaque entrées brutes)
- Économie dramatique pour l’espace de stockage requis
- TR plus rapides en identification d’objets
3. Prédiction
- Nous permet de généraliser nos expériences avec certains objets à d’autres objets de la même catégorie
4. communication
- Lorsque les gens partagent des concepts, qu’ils communiquent, well on sais de quoi ils parle, de quels concept
- plus facile à propos du monde naturel

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Pourquoi est-ce difficile parfois de reconnaitre un bhay? (animal vert dans la vidéo)

A

well,
* On pourrait avoir besoin d’une représentation mentale descriptive des propriétés catégorielles requises, pour savoir si ce nouvel objet peut être pairé avec une catégorie donnée
* Connu comme “approche classique” ou “approche définitionnelle” des concepts

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Approche classique des concepts (Bruner, Goodnow, & Austin)

qu’est ce que eux stipule sur les représentations sommaires?

A

représentations sommaires (qui résume) = Représentation d’un concept : c’est une description sommaire d’une classe entière (s’applique à tous les exemplaires spécifiques également)

ex de représentation sommaire = oiseau
oiseau ca implique rouge gorge, moineau etc.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Approche classique des concepts (Bruner, Goodnow, & Austin)

Les concepts doivent avoir des caractéristiques nécessaires et suffisantes (basé sur règle), c’est quoi?

A

1. les caractéristiques qui représentent un concept sont individuellement nécessaires (chaque caract. qui défini le concept doit se trouver sur l’objet pour faire partie de la catégorie) et conjointement suffisantes (ET) (si l’objet a tt les caract du concept, suffisant pour faire partie de catégorie)
2. Concepts ne sont jamais disjonctifs (OU) (objet doit avoir caract 1 ET 2 ET 3 et non 1 OU 2 OU 3)

- Individuellement nécessaire = besoin de tout Conjointement suffisantes= pas besoin de plus

ex : carré =
- Figure fermée
- 4 côtés égaux
- 4 angles égaux

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Approche classique des concepts (Bruner, Goodnow, & Austin)

Les concepts doivent avoir l’inclusion des caractéristiques dans les relations de sous- ensemble, ça veut dire quoi?

A

Si concept X est un sous- ensemble de concept Y, alors les caractéristiques définitoires de Y sont incluses dans X

ici carré hérite les caractéristiques du rectangle + 4 cotés égaux
VOIR PIC

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Apprentissage par réseau sémantique hiérarchique (Collins & Quillian)

illustre l’apprentissage par réseau sémantique hiérarchique

A

VOIR PIC

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Appr. par réseau sémantique hiérarch. (Collins & Quillian)

quelles sont les 2 propriétés inspirées de l’approche classique et 2 ajouts par rapport à l’approche classique?

A

inspirées :
1. Inclusion
- Si concept X est sous-ensemble de concept Y, alors caractéristiques définitoires de Y sont dans X
2. Caract. nécessaires et suffisantes et concepts conjonctifs
- Différence: on peut « annuler » des caract.

ajouts :
1. Représentation hiérarchique des sous-ensemble = Avantage : Économie cognitive! (ps devoir répété que oiseau vole)
- Carac. stockées une seule fois et héritées
2. Propagation de l’activation
- Si un nœud (catégorie genre oiseau) est activé, l’activation se propage vers les nœuds associés (autruche)
- ça explique l’amorçage sémantique (ça préactive le mot de la catégorie)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Approche par réseau sémantique hiérarchique, Collins & Quillian

quel est le but de cette étude?

A

But:
Montrer la validité de l’approche par réseau sémantiques
- Hiérarchie & principe d’inclusion
- Héritage

Tâche:
Technique de vérification de phrases
- “X est un Y” (un canari est un oiseau) / ”X montre propriété P” (un canari a des ailes) (Oui / Non)

Variable: Temps de réaction

Postulat de base:
Opérations dans le réseau sémantique prennent du temps
- Récupérer une propriété pour un noeud
- Monter / descendre d’un niveau dans la hiérarchie pour déterminer l’appartenance

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Approche par réseau sémantique hiérarchique, Collins & Quillian

quelles sont les 2 types de phrases dans les essais?

A

1. Phrases Super-ensemble (S) : Déterminer que X est un Y
- S0: « Un requin est un requin »
- S1: « Un requin est un poisson »
- S2: « Un requin est un animal »

2. Phrases Propriété (P) : Déterminer si X montre propriété P
- P0: « Un requin peut mordre »
- P1: « Un requin peut nager »
- P2: « Un requin mange »

VOIR PIC

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Approche par réseau sémantique hiérarchique, Collins & Quillian

quelle est la prédiction pour la Phrases Super-ensemble (S)?

A
  • que les temps de réaction sont additifs

VOIR PIC

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Approche par réseau sémantique hiérarchique, Collins & Quillian (1969):

quelle est la prédiction de la Phrases Propriété (P)?

A
  • que les temps de réaction sont additifs
    ici P + long que S car on fait une vérification des propriétés, which means, sa prend plus de temps pr réfléchir si un requin → peut mordre
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Approche par réseau sémantique hiérarchique, Collins & Quillian

Quels sont les résultats/Interprétation?

A

1. Nb de niveaux entre X et Y: est facteur dans le TR
2. Vérifier une propriété est toujours plus long que de déterminer l’appartenance catégorielle
3. Processus additif (pr vérifier propriété plus haute dans le réseau, faut voyager dans le réseau, THEN vérifier la propriété)
- Lignes “parallèles”
4. Soutien pour approche hiérarchique en réseau

VOIR GRAPHIQUE avk du rose

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Propagation de l’activation, Meyer & Schvaneveldt

quel est le but de cette étude?

A

1. But: Tester pour une dépendance pour l’accès à la mémoire entre deux décisions sémantiques
2. Tâche: Décision lexicale
Est-ce que paire d’items contient deux mots?
3. Mesure: Temps de réaction
VOIR PIC tableau vert

propagation du mot: le fait le quand on lit le mot du haut, sa prépare le brain à traiter le mot du bas, alors c’est plus rapide

donc, si les 2 mots sont sémantiquement relié, devrait être plus vite que 2 non relié à cause de = propagation du mot

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Propagation de l’activation, Meyer & Schvaneveldt

Quelles sont les prédiction et résultats de cette étude?

A

Prédiction: Si les mots font partie d’une organisation sémantique qui:
- Associe les mots ensemble selon le sens
- Active les mots associés lorsqu’un mot est récupéré → (Propagation de l’activation)

alors plus rapide de juger si 2 items sont des mots lorsqu’ils sont sémantiquement associés

résultats :
1. Prédiction confirmée
2. Soutien pour le principe de la propagation de l’activation

voir pic dgrm bleu et orange

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Problèmes théoriques pour l’approche classique

quels sont les 3 problèmes avec l’approche classique?

A

1. Représentations sommaires sont trop restrictives pcq :
- Exceptions pour la plupart des catégories
- Certains sous-ensembles d’objets peuvent montrer des caractéristiques distinctives → Rouge-gorge vs. Autruche (vole pas)

2. Définitions avec carac. suffisantes et nécessaires sont :
- Difficile à trouver
- Ex : qu’est-ce qu’un jeu? (pas capable de le définir)

** 3.** Concepts disjonctifs existent :
- Ex: Cuillères (petites et en metal OU grandes et en bois)
- Ex: Prise (baseball)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Rosch, Problèmes empiriques pour l’approche classique

quel est le but de cette étude?

A

But: Montrer que le postulat “tous les exemplaires sont égaux” est erroné (approche classique)
- Montrer le caractère plus flou des catégories

Tâche: Jugements de “typicité”
- Liste de mots d’une catégorie spécifique
- Doit indiquer à quel point chaque item est typique de la catégorie sur une échelle de 1 à 7 (1 = très typique, 7 = peu typique)

Rationnel
- Selon l’approche classique, tous les exemplaires d’une catégorie devraient être également typiques…le sont-ils?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Rosch, Problèmes empiriques pour l’approche classique

Quels sont les résultats / Interprétation de l’étude?

A

1. Tous exemplaires ne représentent pas également les catégories (pomme + typique comme fruit que olive)
2. Structure catégorielle: Floue au lieu de “tout-ou- rien”
**3. l’appartenance à une catégorie serait basée sur la ressemblance globale ou typicité au concept, et non définitions strictes (pomme=fruit)
4. Ne peut être expliqué par approche classique

VOIR DGRM BLEU!

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Effets de typicité et approche par réseau sémantique hiérarchique

quel est le but de cette étude?

A

But
- Voir si les effets de typicité invalident la structure du modèle hiérarchique par réseau sémantique
- Déterminer si la structure mnésique est analogue à la structure logique

Tâche:
Technique de vérification de phrases
- “X est un Y” (un exemplaire est membre d’une catégorie)
- Catégories :
1.Oiseaux/Animaux/Mammifères/ Autos / Véhicules
2.Oiseaux: Rouge-gorge/Geai bleu/ Canard
3.Mammifère: Ours/Chien/Cochon

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Effets de typicité et approc, he par réseau sémant. hiérarch., Rips, al

quelles sont les prédictions de cette étude?

A

1. oiseau vs animal
prédictions collins et al. = temps réaction S1 < S2
- il dis que c plus rapide de détérminer que X (rouge gorge) est un oiseau que c’est un animal, pcq monte de 2 coche

2. mammifère vs animal
prédictions collins et al. = temps réaction S1 < S2
- il dis que c plus rapide de détérminer que X (baleine) est un mammifère que c’est un animal
voir dgrm rouge et bleu

il dis que c plus rapide de détérminer que X (rouge gorge) est un oiseau que c’est un animal

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Effets de typicité et approc, he par réseau sémant. hiérarch., Rips, al

quels sont les résultats?

A

VOIR PIC DGRM
- ça marche la prédiction mais juste pr les oiseau!
- pour les mammifères, c’est plus rapide de dire que baleine c un animal que de dire que baleine c un mammifère, pk? À cause des effet de typicité!

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Effets de typicité et approc, he par réseau sémant. hiérarch., Rips, al

quelle est l’interprétation?

A

1. On voit les chiens et les cochons comme plus typiques des animaux que des mammifères = Résultats de jugement de typicité

2. Effets de typicité ont une influence sur temps de réaction pour catégorisation
→ Plus typique = catégorisation plus rapide
3. Approche par réseau sémantique hiérarchique de 1e génér. est donc invalide

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Le problème du niveau de base, Rosch et al.

quel est le but de cette étude?

A

But: Montrer la supériorité des catégories de base dans des taxonomies organisées hiérarchiquement

3 niveaux de catégories = superordonné, base, subordonné

VOIR PIC schema avec branche

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Le problème du niveau de base, Rosch et al. exp1

quelle est l’expérience #1?

A

Exp. 1: Nommer des caractéristiques
- À l’aide des noms de catégories, on doit lister un max de caractéristiques en 90 secondes

rationnel :
Si l’approche par réseau sémantique a raison (base + important), participants devraient lister de plus en plus de carac. en descendant dans le réseau
- Postulat d’héritage / Processus additif

voir pic bleu pale

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Le problème du niveau de base, Rosch et al. (1976): exp 1

quels sont les résultats de l’étude?

A
  • Superordonné: nb plus bas de propriétés, suivi du niveau de base (comme prédit)
  • Pas d’ajout d’information significatif entre niveau de base et subordonné

voir graphique gris

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Le problème du niveau de base, Rosch et al. (1976): exp 7

en quoi consiste l’expérience 7?

A

Exp. 7: Classer objets (on montre objet, doit dire c quel catégorie)
- Participants voient photos d’images, et doivent décider si l’objet fait partie d’une catég. spécifique
- Tous niveaux de catégorie testés pour chaque objet
Rationnel:
Si l’approche par réseau a raison, participants prendront moins de temps à déterminer l’appartenance au niveau subordonné
- Postulat Nb de niveaux (TR = S0 < S1 < S2)

voir pic avk poisson

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Le problème du niveau de base, Rosch et al. (1976): exp 7

quels sont les résultats?

A
  • Avantage pour niveau de base (plus rapide)
  • Le plus long: Décider si un objet fait partie d’une catégorie subordonnée!

voir pic graphique en V

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

Le problème du niveau de base, Rosch et al. (1976): exp 7

quelle est l’interprétation?

A

1. Avantage psychologique ou privilège pour les catégories du niveau de base

2. Ne peut être expliqué par approche logique
- Approche classique: Représentations mentales “tout ou rien” (pas de niveaux)
- Approche par réseau sémantique: Niveau le plus élevé devrait être le plus inclusif
3. Rosch: Niveau de base = niveau optimal d’info
- Base à superordonné: bcp d’info perdue
- Base à subordonné: pas bcp d’info perdue (on ne gagne rien à à spécifier pcq pas plus d’infos que niveau de base)
- Niveau de base = niveau où les items sont les plus similaires les uns aux autres tout en étant distinctifs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

Les experts vont-ils automatiquement au niveau de base? Tanaka & Taylor

quel est le but de cette étude?

A

But
- Vérifier si l’avantage du niveau de base se retrouve chez les experts dans les listes de propriétés (chiens et oiseaux)

Tâche (Exp. 1):
Lister des propriétés
- Résultat de Rosch: y’a plus de nouvelles caractéristiques entre superordonné et base qu’entre base et subordonné (attention caract comptent seulement si elles sont nouvelles pour un niveau)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

Les experts vont-ils automatiquement au niveau de base? Tanaka & Taylor

quels sont les résultats de l’expérience 1?

A
  1. Novices: Base > Subordonné (Prédit par Rosch)
  2. Experts: Base = Subordonné!!!
  3. Preuve que les experts organisent les concepts au niveau subordonné (connaissent plus de bhay, quand il vois oiseau dans le ciel le classe comme rouge-gorge, et nn comme un oiseau)
    donc expert ne classe pas comme un oiseau, mais comme un carouge donc ne bénéfie pas du niveau de base (pcq capable de dire autant de nouvelles infos pour surbordonné que base)

voir graphique en V

32
Q

Les experts vont-ils automatiquement au niveau de base? Tanaka & Taylor, exp 3

quel est le but de cette expérience 3?

A

But
- Vérifier si l’avantage du niveau de base se retrouve chez les experts lorsqu’ils catégorisent des items (chiens et oiseaux)

Tâche (Exp. 3): Classer des objets = on montre un objet et doit dire c quelle catégorie (X est un Y)

Mesure: Temps de réaction

Hypothèse
- Les novices montreront un avantage du niveau de base par rapport au niveau subordonné mais pas les experts (pcq eux leur niv privilégié c le niv subordonné)

33
Q

Les experts vont-ils automatiquement au niveau de base? Tanaka & Taylor

quels sont les résultats de l’expérience 3?

A
  1. Novices: plus rapide de classer au niv de Base que Subordonné (Prédit par Rosch)
  2. Experts: Base = Subordonné!!! (pas de diff dans le temps de classer ca ou ca pcq expert privilégie niv subordonné)
  3. Preuve que les experts organisent les concepts au niveau subordonné (connaissent plus)

conclusion : le niveau de base est privilégié dépendemment de l’expertise de qql

VOIR GRAPHIQUE

34
Q

Conclusions

quelle est la conclusion sur l’approche classique et l’approche par réseaux?

A

Plusieurs arguments et résultats empiriques vont à l’encontre de l’approche classique et de l’approche par réseau, qui sont toutes deux des approches basées sur la logique:
 Postulats trop stricts
 Pas de définitions claires
 Concepts disjonctifs
 Effets de typicité
 Supériorité du niveau de base

Mais alors, si on ne se base pas sur des règles logiques et des définitions pour catégoriser, sur quoi se base-t-on?

35
Q

12.2
Approche classique

quel est le problème principal avec l’approche classique?

A
  • manque de propriétés nécessaires et suffisantes
  • Tt les items d’une catégorie doivent partager propriétés, or, il existe bcp de catégories qui ne partagent pas les mm propriétés (cuillère mais une en plastique, bois etc)
36
Q

Ressemblance familiale (Wittgenstein)

explique c’est quoi la Ressemblance familiale

A

 Tous les “frères” se ressemblent beaucoup
Pas de propriété unique commune
Pas de propriétés nécessaires
 Pourtant, on les classerait dans la même famille (catégorie)
Ressemblance familiale est basée sur le nb de propriétés partagées par les membres d’une catégorie
voir pic bonhomme

37
Q

Ressemblance familiale, Rosch & Mervis

quel est le but de cette étude?

A

But: Montrer la validité de l’approche des ressemblances familiales

Rationnel: Items les plus typiques d’une catégorie sont ceux qui partagent le plus grand nb de caractéristiques (qui ont le plus grand degré de ressemblance familiale) avec les autres membres de la catégorie

Tâches
- Phase 1: Jugements de typicité (1 = Bas; 7 = Haut)
- Phase 2: Lister propriétés pr chaque catégories
(Scores de ressemblance familiale)

38
Q

Ressemblance familiale, Rosch & Mervis (1975)

explique la phase 2 : liste de propriétés

A
  • Tâche: Lister toutes les propriétés connues (fourrure..) pour différents exemplaires (chien, chat)
  • Propriétés nécessaires ou non-nécessaires (caractéristiques)

Score de ressemblance familiale pour un item :
- Nb d’autres items (chien, chat) pr lesquels une propriété spécifique est partagée
- Somme pour toutes propriétés de l’item étudié

voir pic tableau jaune

39
Q

Ressemblance familiale, Rosch & Mervis (1975)

donne exemple de la phase 2

A

items en rouge = 1er à lequel je pense quand je pense animal

score RF = somme des chiffres en parenthèse

VOIR TABLEAU JAUNE

40
Q

Ressemblance familiale, Rosch & Mervis

Quelles sont les résultats de la phase 1 et 2?

A

y’a haute corrélation entre jugements de typicité et la mesure de ressemblance familière pour tt catég.
→ Item plus typique partage plus de propriétés avec autre membres de catégorie (et moins avec membres d’autres catégories)
DONC : plus un item est typique d’une catégorie (chat), plus le score de RF augmente, so si un chat est très typique de sa catégorie, well ca partage aussi bcp de caract avc membre de sa catégo et moinss avc les membres de catégo opposé

ex : chat très typique et partage bcp de caract de la catégorie

41
Q

Ressemblance familiale, Rosch & Mervis

quelle est l’interprétation de cette étude?

A
  • les ressemblances familiales sont utilisées dans le processus de catégorisation
  • On utilise propriétés “non-nécessaires” ou caractéristiques (habitué de voir caract sur items, mais si pas caract sur items ca veut pas dire que c’est pas un membre de la catégorie)
  • Lorsqu’un item montre le plus grand score RF, on dit que c’est le prototype de la catégorie

voir pic cuillère

42
Q

que stipule la ressemblance familiale?

A

1. Similarité détermine catégorisation

2. Si l’objet à classer possède assez de propriétés en commun avec une représentation mentale donnée (il est assez similaire), alors il est classé comme un membre de cette catégorie

3. 2 modèles basés sur la similarité =
- Approche prototypiste
- Approche exemplariste

43
Q

Approche prototypiste

explique l’approche prototypiste

A

1. Les concepts sont des prototypes
- Représentation abstraite et sommaire dérivée en “moyennant” tous les exemplaires rencontrés d’une catégorie donnée

2. “Moyennage”
- Choisir la valeur la plus commune pour chaque propriété → Lorsque propriétés peuvent être identifiées
- Moyenne mathématique → Lorsque propriétés ne peuvent être identifiées
- Un prototype peut ne pas être identifiable!

3. Règle de classification:
Si objet possède assez de propriétés en commun avec (ou est “assez similaire au) prototype, alors il est classé comme un membre de cette catégorie

44
Q

quelle est la différence entre l’approche classique VS l’approche prototypiste avec les frères?

A

1. Approche classique: Ne peut classer les frères ensemble car pas de caractéristiques nécessaires partagées
2. Approche prototypiste: Suppose que l’expérience avec les frères mène à la composition d’un concept qui est la moyenne des membres de la famille

d’ailleurs, le prototype permet la classification de membres de la famille jamais vus auparavant… et l’exclusion des non-membres
voir DEUX picc

45
Q

Que veut dire le besoin de catégories artificielles?

A

Jusqu’à maintenant, nous avons étudié des catégories naturelles ou concepts “langagiers”, où les propriétés et étiquettes sont verbalisables

les catégories désignées par les mots des langues naturelles présentent l’avantage (pour les étudier) qu’ils ont évolué et apparaissent dans un véritable usage par l’humain; toutefois, ils ont le désavantage de montrer des variables d’intérêt non-contrôlées et non- analysables en conjonction avec d’autres variables et d’autres facteurs externes.”

46
Q

Le besoin de catégories artificielles

pourquoi aurait-on besoin de catégories artificielle?

A

1. Bcp de variables des catégories naturelles ne peuvent être contrôlées :
- savoir cmt les catégories sont apprises
- la fréquence d’usage des exemplaires et catégories (oiseau bcp plus familier pr expert que regular prsn)
- Familiarité
- Facteurs culturels
2. Pour comprendre comment on crée / apprend des concepts, il faut créer des stimuli jamais vus / classifiés avant
3. En construisant les catégories selon certaines variables, on peut contrôler tt les facteurs, isoler des effets spécifiques et faire des prédictions

47
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele

quel est le but de cette étude?

A

But:
Montrer cmt les « idées abstraites » (prototypes) pourraient être acquises et utilisées

Tâche:
Induction catégorielle (apprentissage par exposition d’exemplaires)

Matériel:
Patrons de points aléatoires (Catégories artificielles) =
- 3 catégories (A, B, C) générées selon 3 prototypes
- Chaque catégorie composée de 4 distorsions
- 12 exemplaires au total

Mesures: Taux d’exactitude / Temps de réponse que ça prend pr classer les exemplaire

so, on montre 1 exemplaire a la fois, et va falloir le classer dans la bonne catégorie, puis en voyant les différent exemplaire et en obtenant de la rétroaction sur la décision catégorielle on fini par acc apprendre quelle exemplaire va dans quelle catégorie

48
Q

Créer des exemplaires (distorsions)

comment on crée les exemplaires?

A

on va déplacer les points du prototype original soit de bcp ou de pas tant bcp de leur endroit original (version prototype)

voir 3 pic, distortion forte/faible

49
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele

quelle est la procédure (2 phases) de cette étude?

A

VOIR PIC

1.phases d’induction (apprentissage): où on apprend a classer les exemplaires dans leur catégorie avec rétroaction
→ Stimulus c une distortion d’un prototype, then tu dois dire quand quelle catégorie tu vx classer cet item (a,b,c) then t’a une retroaction. Tu sais ps vrm ce que tu fais until t’a la bonne réponse then t’acquérit info pr bien classer les bhay
→ on vois PAS les actual prototype!

2. phase test: classer avec exactitude anciens et nouveaux exemplaires dans la bonne catégorie sans rétroaction (classer mm les prototypes jms vu)

50
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele

Quelles sont les hypothèses / prédictions pour les anciennes distorsions (exemplaires déja vu)?

A

1. Anciennes distorsions (exemplaires)
comme on les a classées 36 fois chacune durant apprentissage :
- Temps de réponse bas
- Taux d’exactitude élevé
- Effet de pratique

51
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele

Quelles sont les hypothèses / prédictions pour les nouveaux items? (possibilité 1)

A

VOIR PIC!!
Possibilité 1: si y’a effet de pratique
well :
- Seuls les anciens items ont été appris
- Nouveaux items: jamais vus
- Tous les nouveaux items (en rouge) sont classés de façon moins exacte (au hasard) et plus lentement que les anciens items
- Pas de raison de croire qu’on trouvera une différence entre les différents types de nouveaux items (entre les dgrm en rouge)

52
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele

Quelles sont les hypothèses / prédictions pour les nouveaux items? (possibilité 2)

A

VOIR PIC dgrm
Possibilité 2: si y’a un effet de prototypes

1. Représentations mentales prototypiques ont été développées même si prototypes jamais présentés (On ferais un moyenne des distorsions qu’on aurait vu, which means on créer des prototypes mm si on les a jms vu, on a juste vu les distorsions (prototype modifié)

2. Prototypes jamais vus seront classés avec exactitude et rapidement DONC Pairage avec la bonne représentation mentale pour chaque catégorie (Les prototypes qu’on a jms vu seront classé rapidement, aussi bien que les distorsions qu’On a vu 36 fois avant)

3. Autres nouveaux items: performance dépendra de la similarité aux prototypes acquis
donc c pr ca que dans le graphique, les nouvelle distortions qui sont faible (semblable aux ancienne) seront classé mieux et plus vite que les distortion forte (très différente des aciennes distortions)

53
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele

quels sont les résultats de l’étude?

A
  1. Anciens exemplaires classés avec exactitude et rapidité tel que prédit
  2. MAIS les prototypes catégoriels aussi, même si jamais vus à l’apprentissage
  3. Performance pour autres nouvelles distorsions est une fonction de leur similarité au prototype catégoriel
    → Plus similaire = plus grande exactitude / TR plus bas

voir pic pr t’aider

54
Q

Testons l’approche prototypiste (encore), Posner & Keele

quel est le but de l’étude?

A

But: Est-ce que la mémoire des prototypes est durable?

Tâche: Induction catégorielle
Matériel:
Patrons de points aléatoires =
- 4 catégories (A, B, C, D) générées selon 4 prototypes
- Chaque catégorie composée de 4 distorsions
- 16 exemplaires au total

Mesures = Taux d’exactitude / Temps de réponse

Conditions = Phase test immédiate ou avec délai (1 semaine) (pour voir si durable)

Procédure: Identique

donc mm expérience que avant, mais on fait test direct après, THEN on leur dis de revenir faire test 1 sem après

55
Q

Testons l’approche prototypiste (encore), Posner & Keele

quels sont les résultats de l’étude?

A
  1. Avantage pour anciens items disparait avec temps (distortion forte apprise, barre verte, ca diminue après 1 sem pcq oubli)
  2. la performance pour les prototypes est élevée et stable mm après 1 semaine (donc pas bcp d’oubli après 1 sem)
  3. la performance pour les nouveaux exemplaires dépend encore de la similarité aux prototypes après une semaine (si distorsion faible = meilleure perfo, si distortion forte = - bonne perfo) donc ceci = effet de prototype

VOIR DGRM

56
Q

Testons l’approche prototypiste (encore), Posner & Keele

Quelle est l’interprétation de l’étude?

A

1. Selon Posner et Keele, les prototypes (des moyennes des exemplaires vus pendant l’apprentissage) sont développés comme représentations catégorielles (des concepts)
2. Ces représentations sont durables (rappel mm après 1 sem, on a tjr l’effet de prototype)
3. pcq on a utilisé des stimuli et catégories artificielles (des images qu’on a jms vus), y’a pas de variables externes qui peuvent expliquer les résultats (comme la fréquence d’utilisation ou la culture)
4. Soutien pour l’approche prototypiste

57
Q

Approche exemplariste

que stipule l’approche exemplariste?

A

1. Les concepts sont l’ensemble ou le sous-ensemble de tt les exemplaires rencontrés précédemment
2. les concepts sont pas des représentations sommaires (comme règles / prototype)
3. Si un objet à classer est assez similaire à des exemplaires mémorisés, alors il est classé comme membre de la catégorie de ces exemplaires

Selon le modèle exemplariste, le nouveau frère sera comparé à tous les frères mémorisés. Il sera classé dans la mm catégorie que le frère auquel il est le plus similaire.

donc approche prototypique = notre concept d’un chien c’est le chien moyen
approche exemplariste = l’ensemble des chiens qu’on a rencontré auparavant, similarité

voir pic bonhomme!

58
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer

quel est le but de cette étude?

A

But: Montrer que la classification se fait exclusivement sur la base des exemplaires mémorisés

Tâche: Induction catégorielle

Matériel: Formes géométriques
- Construits avec 4 propriétés binaires (2 valeurs)

Procédure
- On montre 9 exemplaires à classer dans l’une de deux catégories pour jusqu’à 16 blocs (ou jusqu’à
deux blocs sans erreur)
- Apprendre à classer les stimuli dans l’une de deux catégories à l’aide de rétroaction

59
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer

explique la procédure (étape 1)

A

voir pic!! boule rouge et bleu
- 2 possibilités de propriétés donc binaire (binaire pcq 2 choix)

60
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer

explique la procédure (étape 2)

A
  • on met en 1 ou 0
    voir pic!
61
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer

explique la procédure (étape 3)

A
  • si on change juste 1 propriété va changer le stimulus
    voir pic!!
62
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

montre la structure catégorielle qu’on crée à partir stimulus et propriété

A

Cette structure catégorielle célèbre se nomme la “5-4” (nb d’item)
voir pic tableau bleu

63
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

quelle serait les 2 prototypes d’une structure catégorielle 5x4?

A

voir pic!

64
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer

Quel est l’hypothèses / Prédictions de l’étude?

A

1. Si les prototypes sont acquis, alors les exemplaires hautement similaires au prototype devraient être appris plus facilement (taux d’erreur plus bas)

2. Si c juste les exemplaires qui sont mémorisés, alors les exemplaires hautement similaires à d’autres exemplaires dans la mm catégorie, et dissimilaires aux exemplaires de l’autre catégorie, devraient être appris plus facilement

65
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer

Si l’approche prototypiste est correcte, … (voir pic)

A

voir pic

66
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer

Si l’approche exemplariste est correcte, … (voir pic)

A

voir pic

67
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer

l’approche exemplariste…

A

exemplaire 2 devrait être appris plus facilement qu’exemplaire 1.
Exemplaire 2 est hautement similaire à deux autres membres de sa propre catégorie… …mais pas à des exemplaires de l’autre catégorie.
Tandis que l’exemplaire 1 est hautement similaire à seulement un autre membre de sa catégorie… …mais hautement similaire à deux exemplaires de l’autre catégorie.

VOIR 3 PICS TABLEAU JAUNE

68
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer

Quels sont les résultats / Conclusion de l’étude?

A

si
Prototype = exemplaire 1 appris plus vite pcq il ressemble au prototype
Exemplariste = exemplaire 2 appris plus vite pcq il est très similaire à d’autre exemplaire de la mm catégorie

**résulats :
l’exemplaire 2 est plus facile à appr. que l’exemplaire 1
- y’a un plus haut taux d’exactitude tout au long de l’apprentissage

  • Medin et Schaffer furent les premiers à montrer des preuves soutenant un modèle exemplariste au détriment d’un modèle prototypiste
  • Depuis, bcp de recherche / modélisation faite pour montrer que les représentations prototypistes et exemplaristes peuvent tt deux expliquer certains résultats (qui a raison??)
69
Q

Quelle est la capacité de la MLT visuelle?, Brady et al.

quel est le but de cette étude?

A

But: Démontrer une capacité minimale pour la mémoire des exemplaires distincts

Tâches
- Étude: Regarder des images, noter les doublons
- 10 blocs de 20 minutes pour l’étude
- 2896 images, présentées durant 3 secondes chacune
- Test: Reconnaissance (2 images côte à côte)

Durée de l’expérience: 5h30!!!

70
Q

Quelle est la capacité de la MLT visuelle?, Brady et al.

quels sont les résultats ? (noter doublons)

A
  • Étude: Tâche de détection de doublons
  • Lorsque les items répétés sont séparés par plus de 1000 items, on détecte les doublons 79% du temps quand mm!
  • ça ça vx dire qu’on a une mémoire visuelle à long terme trèss précise et qui retient bcp de détails par rapport aux objets
    voir pic dgrm barre grises
71
Q

Quelle est la capacité de la MLT visuelle?, Brady et al. (2008):

quel est le matériel utilisés pour le test de reconnaissance ?

A
  • on montre 2 item / images, et faut dire lequel avait été présenté parmi les 2986 image montré avant
  • y’a 3 conditions des 2 images qu’on montre:
    1. Catégorie (2 images de catégories différente, Novel)
    2. Exemplaire (2 image d’exemplaires de la mm catégorie)
    3. État (2 images du mm objet dans différent etat)

(2 et 3 c’est plus dur pcq faut se rappeler des détails de l’état de l’Objet que t’avait vue, quelle exemplaire, gateau avc bcp ou peu de glacage)

72
Q

Quelle est la capacité de la MLT visuelle?, Brady et al.

quels sont les résultats pour le test de reconnaissance?

A

Résultat: Performance près de 90% peu importe la condition, après 2896 images!!!

voir pic dgrm gris!

73
Q

Quelle est la capacité de la MLT visuelle?, Brady et al.

Quelle est la conclusion de l’étude?

A
  1. Notre cerveau enregistre tout ce qu’on voit!
  2. Le niveau de détail de nos souvenirs d’exemplaires est excessivement précis (pcq on est still capable de déterminer si un exemplaire avait été présenté dans un état X ou Y après 5h)
  3. Capacité minimale du cerveau calculée: 228 000 représentations distinctes
  4. Soutien solide pour modèles exemplaristes
74
Q

Quelles sont les Arguments théoriques contre les modèles exemplaristes?

A

1. Modèles exemplaristes font du sens dans le cadre d’expériences contrôlées avec des petites catégories mal définies, mais dans la vraie vie?
2. Certains exemplaires sont plus importants que d’autres Ex: Votre propre chien est + important que les autres, et donc modèle exemplariste ps capable d’en prendre compte
3. On ne peut pas représenter une structure hiérarchique (Rosch) avec un modèle exemplariste (mais on peut avec un modèle prototypiste)
4. N’explique pas l’avantage du niveau de base
5. Ne tient pas compte des effets de contexte, ou des croyances à propos d’un domaine
6. On ne peut pas généraliser à partir d’un exemplaire
7. N’explique pas le dév conceptuel, etc.

75
Q

manuel

quels sont les effets de la prototypicality?

A

voir pic tableau gris, en anglais!

76
Q

manuel

c’est quoi le spreading activation?

A

activity that spreads out along any link that is connected to an actived node