cours 9 Flashcards
Les troubles anxieux
Qu’est-ce qui défini un trouble?
- L’anxiété est à la source d’une souffrance majeure
- Altération importante du fonctionnement
- Perdure dans le temps
- Il ne semble pas y avoir une autre cause identifiable
(Éliminer tt autre cause possible c une tache difficile) (chronique)
que peut on dire sur les troubles anxieux?
- Les plus prévalents de tous les troubles psychiatriques!
- Prévalence élevée à travers le monde
- Prévalence stable dans le temps (kkl en souffrira pendant plusieurs années si l’a et non adressé)
c’est quoi les différents type de troubles anxieux dans le DSM?
Caractéristique principale: Peur excessive et disproportionnée face à une situation X (= cmt on définis et differencie chaque trouble well c la situation ou objet qui cause détresse) :
* Trouble d’anxiété de séparation
* Mutisme sélectif
* Phobie spécifique
* Anxiété sociale (phobie sociale)
* Trouble de l’anxiété généralisée
* Trouble panique
* Attaque de panique
* Agoraphobie
* Trouble anxieux induit par une substance ou un médicament
* Trouble anxieux dû à une autre affection médicale
* Autre trouble anxieux spécifique
* Trouble d’anxiété non-spécifique
PRÉVALENCE
vrai ou faux, À l’âge adulte, 10 à 14% de la population répond aux critères diagnostiques des troubles anxieux (tous troubles confondus). Prévalence plus élevées chez les 18 à 25 ans.
Les plus fréquentes sont:
Phobie spécifique
Anxiété sociale
Trouble panique
Agoraphobie
vrai
quelle est la définition du trouble anxieux dans le DSM?
« Les troubles anxieux se distinguent les uns des autres par le type d’objets ou le type de situations qui induisent la peur, l’anxiété ou le comportement d’évitement et le raisonnement cognitif associé. Ainsi, les troubles anxieux ont tendance à être hautement comorbides entre eux mais ils peuvent être différenciés par une analyse fine des types de situations craintes ou évitées et par le contenu des pensées ou croyances associées. »
C rare que personne n’a que 1 seul trouble anxieux, usually comorbide avec d’autre trouble anxieux
TROUBLE ANXIEUX
Qu’est ce que Trouble d’anxiété de séparation?
- Plus fréquent chez les enfants (début environ 6 ans) mais aussi observé chez les adultes
- Émotions/cognitions: Peur ou anxiété irréaliste et persistante de la séparation ou de la perte de la figure d’attachement (ou d’événements indésirables qui leur arriveraient)
- Sx physiques: cauchemars, détresse
- Comportemental: Résistance à la séparation avec la figure d’attachement, ce qui nuit au fonctionnement social, scolaire ou autre (crise de larme chez kids)
- Durée des sx: plus d’un mois chez les 4 ans et plus jeune, durée de plus de 6 mois chez les 4 à 18 ans
vrai ou faux, Selon une étude (n = 38,993 adultes) de 18 pays, la prévalence est de 4.8%. Dans 43.1% des cas, le trouble a débuté après l’âge de 18 ans
Une autre étude américaine (n = 5692) a démontré que 36.1% des adultes avec ce trouble l’ont développé à l’enfance et il s’est maintenu jusqu’à l’âge adulte, alors que dans 77.5% des cas le trouble est apparu à l’âge adulte
Certains facteurs de risques: genre féminin, avoir vécu de l’adversité précoce, avoir vécu des événements traumatiques
ask c tu possible de dev un trouble danxiété de separation a lage adulte = OUI
Causes? = presentement ya pas 1 seul cause identifiable, soit juste anxieux quand etait jeune, then dev anxiété de separation, mais pas de cause unique for now, et a lage adulte can be avec coloc, conjoin, amis tres proche, pas necessairemernt avec parents, figure maternelle et paternelle uk
vrai
les comportements (chez l’adulte) du trouble d’anxiété de séparation?
- Réticence à postuler à un emploi ou à rechercher une promotion
- Éviter de participer à de nouvelles activités ou d’aller dans des endroits sans la personne aimée (apprecier, amical, amoureux etc)
- Refus de passer du temps seul
- Cauchemars
- Utilisation excessive des congés de maladie
- Ne peut pas se rendre seul à des événements
(donc Certaines consequences de ce trouble peuvent être ces choses là)
trouble anxieux
Qu’est ce que le mutisme séléctif?
- Plus fréquent chez les enfants (début environ 5 ans et moins)
-
Émotions/cognitions: Ne pas parler dans des situations où c’est attendu (ex. école), malgré la présence des compétences linguistiques requises pour le faire
Peut s’appliquer à certaines situations/contextes mais pas d’autres - Sx physiques: aucun
- Comportemental: Le trouble interfère avec les résultats (scolaires) ou la communication sociale
- Durée des sx: plus d’un mois (au-delà du premier mois scolaire)
Ici c vrm chez l’enfant là qu’on parle
Parfois si parent invite ppl a la maison, tante oncle, pas juste limité a 1 endroit
Donc c pas que le kid a pas les competence de parler, c pas un deficit au niv de sa caapcité de communiquer
Vont parler dans certain context
Sphere psychosocial la plus impacter
On dx pas au debut de son integration scolaire, après le premier mois là on parle de dx
mutisme séléctif
vrai ou faux,
- Moins de 1 % de la population est atteinte de mutisme sélectif. Le trouble ne va pas nécessairement nuire au développement complet de l’enfant, peuvent tout de même développer des compétences adaptées à leur âge
- Peut aussi être observé chez les adolescents (plus difficile à traiter)
-C rare
- Definit pas personnalité ni rien, nuit pas au dev complet, certain vont lire a la maison, parent impliquer et tt mais depend de lenviro dan lequel kid grandit
vrai
Vrai ou faux
Les gens qui vivent des attaques de panique vont fort probablement développer un trouble panique
FAUX
Si nous avons vécu plus qu’une seule attaque de panique dans notre vie, nous avons sûrement un trouble panique
FAUX
Si nous avons une attaque de panique à chaque fois que nous sommes à proximité d’un chien, nous avons sûrement un trouble panique
FAUX
Les gens souffrant d’autres troubles anxieux aient des attaques de panique
VRAI
C lanticipation, peur de faire des attaque qui caarctérise le trouble panique, lanxiété face a en vivre c ca qui determine si ta le trouble panique I think
ok
est ce que l’attaque de panique est un trouble?
Une attaque de panique n’est pas considéré un trouble psychologique!
* Peut survenir éventuellement au courant de la vie (jusqu’à 22% des gens)
* Survient occasionnellement chez 3-5% de la population
* Présence dans le DSM pour identifier sa présence dans d’autres troubles
* Pas tous les gens qui vivent des attaques de panique vont développer un trouble
Qu’est ce que l’attaque de panique?
Une montée brusque de crainte intense ou de malaise intense qui atteint son acmé en quelques minutes, avec la survenue de 4 (ou plus) des sx suivants:
- Palpitations, battements de cœur ou accélération du rythme cardiaque.
- Transpiration.
- Tremblements ou secousses musculaires.
- Sensations de « souffle coupé » ou impression d’étouffement.
- Sensation d’étranglement.
- Douleur ou gêne thoracique.
- Nausée ou gêne abdominale.
- Sensation de vertige, d’instabilité, de tête vide ou impression d’évanouissement.
- Frissons ou bouffées de chaleur.
- Paresthésies (sensations d’engourdissement ou de picotements).
- Déréalisation (sentiments d’irréalité) ou dépersonnalisation (être détaché de soi).
- Peur de perdre le contrôle de soi ou de « devenir fou ».
- Peur de mourir.
Qu’est-ce qui déclenche une attaque de panique?
- Peuvent survenir en l’absence de toute cause ou de déclencheur (donc inatendu pour la plupart)
- Dans d’autres cas, les crises de panique peuvent être déclenchées par des facteurs de stress externes (stresseur perçu comme plus grave que la menace réelle qu’il représente)
- Certaines substances / activités peuvent mener à des symptômes semblables à une attaque de panique ou même une attaque de panique complète
(Le café px definitivement causer des sx qui sapparente a une attaque, et certain en commenceront pcq la sensation physique leur rappelle leur sx dattaque, lexercice physique aussi)
comment se déroule une attaque de panique?
voir pic!
- Attaque débute très rapidement, pente très élevé, on atteint le top, peak (paroxysme) à environ +/- 10 min, le peak dure environ 5 à 10 min, varie d’une prsn a l’autre et d’une crise à l’autre, donc mm pr une mm prsn spa tjr la mm chose
- Varie d’une crise et d”une personne a lautre, la derniere pente aussi depend, genre du paroxysme vers la normal, depend prsn et attaque, px prendre 1h se de remmettre de ce paroxysme comme ca px prendre 20 min
trouble anxieux
Qu’est ce que le trouble panique?
La peur de vivre des attaques de panique ou que quelque chose de grave nous arrive (à cause de l’attaque de panique) (Ici c vrm la notion d’anticipation, la peur d’avoir peur, peur de vivre cette episode de sensation physique qui nous terrifie, paralyser par la peur d’en vivre d’autre. Doit arriver plus qu’une fois dans vie de la prsn)
A. Attaques de panique récurrentes et inattendues. Une attaque de panique est une montée brusque de crainte intense ou de malaise intense qui atteint son acmé en quelques minutes, avec la survenue de quatre (ou plus) des symptômes suivants: (symptômes que nous avons vus)
B. Au moins une des attaques a été suivie par une période d’un mois (ou plus) de l’un ou des deux sx suivants :
1. Crainte persistante ou inquiétude d’autres attaques de panique ou de leurs conséquences (p. ex. perdre le contrôle, avoir une crise cardiaque, « devenir fou »).
2. Changement de comportement significatif et inadapté en relation avec les attaques (p. ex. comportements en lien avec l’évitement du déclenchement d’une attaque de panique, tels que l’évitement d’exercices ou de situations non familières) (well souvent on va voir ado qui vont skip cours dedu pcq sa leur rappel trop les sx physique de lattaque, c trop dur a autoreguler pr pas que sa declenche du attaque de panique)
C. La perturbation n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance
D. INNATENDU!
→ En gros, a retenir c que = c’est innatendu !! C tout!!
EXAMM!
Dans le trouble panique, Qu’est-ce qui se passe dans le corps?
→ Activation importante du système nerveux autonome
→ Pas d’activation de l’axe HHS (mais l’anxiété d’anticipation oui)
Possiblement expliqué par le rôle du cerveau dans l’évaluation de la menace
EXAM:
L’anticipation et la peur davoir attaque de panique = activation HHS, anticipation mène qd mm a la prod de cortisol, c au moment de l’attaque de panique, qd c innatendu et que ps de menace identifiable que ya PAS de production de cortisol, donc pas d’activation de l’axe HHS
(Une attaque de panique en soi n’active pas laxe HHS (hypophyse, glande pituitaire) pk = si le danger est innatendu et non identifiable well hypothalamus px tu enclencher la reponse de stress si le cerveau n’a pas été capable de percevoir la menace? UKk)
quelles sont les causes potentielles du trouble panique?
Suffocation False Alarm Theory
- Le cerveau entre en état d’alarme suite à la détection d’un niveau jugé excessif de CO2
- Sensibilité excessive au CO2 (et au changement de pH associé) des chimiorécepteurs du cerveau comme origine
- theorie très physio qui se penche sur la qté d’oxygene dans le cerveau, une question pt dinterpreteation de co2 dans lenviro qui causerais une attaque de panique innatendu (trouble panique)
Conditionnement intéroceptif
- Une variété de sensations internes est associée aux attaques de panique et les précipites
- Erreur d’interprétation catastrophique de sensations banales
- dire que pt ya certaines prsn ou sensation qui sont banale, syst digestive, qui sont mal interpreter par notre corps et genere cette response de notre syst nerveux alors qu’on est pas du tt en situation de danger
est ce que le trouble panique c’est la même chose que la peur?
**Arguments contre: **
* Baisse de l’activité parasympathique plutôt qu’activation du système sympathique (c pas necessairement que laxe sam est plus active, mais le parasympathique regule pas assez bien le sam, donc pas que un pas active mais lautre defaillant, 1 narrive pas a regular lautre, le parasympathique doit calmer l’axe SAM)
* Indépendant de l’axe HPA
* « Air hunger » rare dans la réponse de peur
* Symptômes physiques et impression de mort/danger surviendraient avant la peur
**Arguments pour: **
* Similarités avec le circuit de la peur
* Similarités dans les autres réactions
trouble anxieux
Qu’est ce que La phobie spécifique?
A. Peur ou anxiété intenses à propos d’un objet ou d’une situation spécifique (p. ex. prendre l’avion, hauteurs, animaux, avoir une injection, voir du sang). N.B. : Chez les enfants, la peur ou l’anxiété peut s’exprimer par des pleurs, des accès de colère, des réactions de figement ou d’agrippement.
B. L’objet ou la situation phobogène provoque presque toujours une peur ou une anxiété immédiate.
C. L’objet ou la situation phobogène est activement évité(e) ou vécu(e) avec une peur ou une anxiété intense.
D. La peur ou l’anxiété est disproportionnée par rapport au danger réel engendré par l’objet ou la situation spécifique et par rapport au contexte socioculturel.
E. La peur, l’anxiété ou l’évitement sont persistants, habituellement d’une durée de 6 mois ou plus.
F. La peur, l’anxiété ou l’évitement causent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
G. Le trouble n’est pas mieux expliqué par les symptômes d’un autre trouble mental, comprenant la peur, l’anxiété et l’évitement de situations associés à des symptômes semblables aux symptômes de panique ou d’autres symptômes d’incapacité (comme dans l’agoraphobie), des objets ou situations liés à des obsessions (comme dans le trouble obsessionnel-compulsif), des souvenirs d’événements traumatiques (comme dans le trouble stress post-traumatique), une séparation de la maison ou des figures d’attachement (comme dans l’anxiété de séparation) ou des situations sociales (comme dans l’anxiété sociale).
Forte comorbidité entre les troubles, ce qui implique que pt trop de distinctions faite entre les troubles.. Leurs critère differenciel jsp si sont adequate uk
(jsp quoi retenir de tt ca..)
exammmmm!!
la phobie spécifique peut être le résultat de conditionnement classique et opérant, explique
- Un stimuli neutre peut devenir l’objet d’une peur par association avec une situation effrayante (CC)
- L’évitement de ce stimuli fait momentanément diminuer la peur et participe ultimement au maintient de celle-ci (CO)
Ex : phobie des chiens
Événement : tu te fais mordre par un chien dans un parc.
➜ Conditionnement classique : chien (SN) + morsure (SI) = peur (RI)
➜ Le chien devient SC → maintenant, juste voir un chien = panique (RC)
Plus tard : tu évites les parcs ou les maisons avec chiens
➜ Tu te sens soulagé (réduction immédiate de l’anxiété)
➜ Conditionnement opérant : l’évitement est renforcé négativement → la phobie se maintient
!! = Un nombre important de personnes phobiques n’ont pas d’expérience compatible avec la théorie du conditionnement, DONC y’on pas necessairement été mordu par chien mais phobie specifique s’installe qd mm
phobie spécifique
vrai ou faux, Une étude de OMS Santé mentale mondiale (n = 112,507) a observé une prévalence à vie de 7%
D’autres études rapportent entre 3-15%
Apparaissent souvent durant l’enfance, mais prévalence est plus élevée vers milieu de vie et pendant la vieillesse
La majorité des personnes phobiques ont plus d’une peur (~70%)
Certaines phobies sont plus fréquentes que d’autres (animaux, hauteur, prendre l’avion)
On va en voir chez les plus jeunes mais plus grand cest 30-40ans ou persn plus agée
Usually plus que 1, spider, snake, cats, etc
Plus tu vieillit plus t’a dexperience de vie qui fait en sorte que tu px dev des phobie specifique
vrai
trouble anxieux
qu’est ce que l’agoraphobie?
A. Peur ou anxiété marquées pour deux (ou plus) des cinq situations suivantes :
Utiliser les transports en commun (p. ex. voitures, bus, trains, bateaux, avions).
Être dans des endroits ouverts (p. ex. parking, marchés, ponts).
Être dans des endroits clos (p. ex. magasins, théâtres, cinémas).
Être dans une file d’attente ou dans une foule.
Être seul à l’extérieur du domicile.
B. La personne craint ou évite ces situations parce qu’elle pense qu’il pourrait être difficile de s’en échapper ou de trouver du secours en cas de survenue de symptômes de panique ou d’autres symptômes incapacitants ou embarrassants (p. ex. peur de tomber chez les personnes âgées, peur d’une incontinence).
C. Les situations agoraphobogènes provoquent presque toujours une peur ou de l’anxiété.
D. . Les situations agoraphobogènes sont activement évitées, nécessitent la présence d’un accompagnant, ou sont subies avec une peur intense ou de l’anxiété.
E. La peur ou l’anxiété sont disproportionnées par rapport au danger réel lié aux situations agoraphobogènes et compte tenu du contexte socioculturel.
F. La peur, l’anxiété ou l’évitement sont persistants, durant typiquement 6mois ou plus. G. La peur, l’anxiété ou l’évitement causent une détresse ou une altération cliniquement significative du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.
(C incapacitant dans la vie de tt les jours)
. Si une autre affection médicale (p.ex. maladie inflammatoire de l’intestin, maladie de Parkinson) est présente, la peur, l’anxiété ou l’évitement sont clairement excessifs.
I. La peur, l’anxiété ou l’évitement ne sont pas mieux expliqués par les symptômes d’un autre trouble mental; par exemple, les symptômes ne sont pas limités à une phobie spécifique, de type situationnel, ne sont pas uniquement présents dans des situations sociales (comme dans l’anxiété sociale) et ne sont pas liés exclusivement à des obsessions (comme dans le trouble obsessionnel-compulsif), à des perceptions de défauts ou d’imperfections dans l’apparence physique (comme dans l’obsession d’une dysmorphie corporelle), à des rappels d’événements traumatiques (comme dans le trouble stress post-traumatique) ou à une peur de la séparation (comme dans l’anxiété de séparation)
= sa px pas etre genre ah jai peur de prendre lavion, c pas specifique a 1 seule situ, c le fait deter dans une foule qui est important, sasurrer que spa la phobie specifique, c vrm agoraphobie
N.B: L’agoraphobie est diagnostiquée indépendamment de la présence d’un trouble panique. Si la présentation clinique d’une personne remplit les critères pour un troublepanique et une agoraphobie, les deux diagnostics doivent être retenus.
Quelle est le lien entre l’agoraphobie et la perte de sécurité?
- Certaines personnes développent le trouble suite à la perte d’un proche significatif
- Déséquilibre entre danger et accès à la sécurité
- Prédisposition chez les personnes anxieuses et dépendantes dans leurs relations interpersonnelles
- Le sentiment d’auto-efficacité est une cible pour le traitement
(Considérant la présence d’attaques de panique, on adresse généralement celles-ci avant l’agoraphobie) - C pas necessaire que kkl fasse des crise de panique pr avoir le dx d’agoraphobie
- C la facon quon estime qu’on est capable d’être en securité si on sort en foule ou jsp, ex si decès dans unaccident voiture, nous on dev agoraphobie de pas être pris dans une foule, pas de lien entre les 2 mais c l’accès a la sécurité le pts clé
- Retrouver une securité de se trouver dans une foule et avoir accès a secours si on a besoin
- Favoriser le sentiment deter capable de chercher de l’aide et envers nos propres capacité de chercher de l’aide
exammmmm!!!
Quelle est le trouble :
Julien adore voyager, mais ces derniers mois, il évite de plus en plus les transports en commun et les centres commerciaux. Lorsqu’il s’y trouve, il ressent une forte panique, des vertiges et une sensation d’étouffement. Il craint de ne pas pouvoir s’échapper ou de ne pas recevoir d’aide en cas de malaise. Même accompagné, il se sent anxieux et préfère rester dans des endroits familiers
EXCELLENT PR LEXAM, ALSO DEXPLIQUER GENRE QUELLE CRITÈRE
- agoraphobie et possiblement trouble panique si capacité de faire des attaque…
Quelle est le trouble :
Marie, 32 ans, est en couple et vit avec son conjoint, mais chaque fois qu’il s’absente pour un voyage de travail, elle devient envahie par l’angoisse. Elle craint constamment qu’un accident lui arrive ou qu’elle ne puisse pas faire face seule. Dès qu’il part, elle a du mal à dormir, se sent agitée et vérifie constamment son téléphone. Lorsqu’il revient, son anxiété disparaît presque instantanément
trouble de separation adulte (anxiété de séparation)
Quelle est le trouble :
Léa, 27 ans, ressent une peur intense et incontrôlable chaque fois qu’elle doit prendre l’ascenseur. Même si elle sait que c’est irrationnel, elle préfère monter plusieurs étages à pied plutôt que de s’y enfermer. Rien que l’idée d’y entrer lui provoque des sueurs froides et un rythme cardiaque accéléré. Cette peur la pousse à refuser des opportunités professionnelles dans des immeubles à plusieurs étages.
phobie spécifique (pt clostrophobie)
Quelle est le trouble :
Antoine, 24 ans, a parfois des épisodes soudains où son cœur s’emballe, il se met à transpirer et il a l’impression de perdre le contrôle. Ces crises surviennent sans raison apparente, même lorsqu’il est chez lui en train de regarder la télévision. Il a tellement peur qu’elles se reproduisent qu’il surveille constamment ses sensations corporelles et évite de s’éloigner trop de l’hôpital
trouble de panique
Qu’est ce que l’infodémie?
avez-vous déjà entendu parler de l’infodémie ?
- Cette épidémie silencieuse se propage à une vitesse alarmante, et ses conséquences sont bien réelles.
- À l’échelle internationale, les regards se tournent enfin vers ce fléau, mais en France, la prise de conscience tarde encore
Qu’est-ce que l’infodémie ?
- c la surabondance de fausses informations en santé.
- L’OMS a récemment alerté sur ses dangers.
- Les réseaux sociaux sont le principal vecteur, diffusant des conseils non vérifiés sur la nutrition, la santé mentale, les traitements miracles ou l’aromathérapie…
L’impact sur la santé mentale
- Bien que la santé physique soit touchée, la santé mentale l’est également.
- Des créateurs de contenu sans formation en santé se présentent comme des experts, proposant des solutions simplistes à des problèmes complexes et alimentant l’infodémie sur les réseaux sociaux.
Astuce : Posez-vous des questions sur la crédibilité de l’information. Est-elle étayée par des faits vérifiables ?
le marketing en santé mentale amplifie ce phénomène
Il est plus vendeur de prétendre que vos problèmes viennent d’un “système parasympathique mal activé” ou d’une “particularité unique”, plutôt que de reconnaître que les difficultés mentales sont souvent liées à un ensemble de facteurs.
Astuce : Sensibiliser son entourage : Encouragez vos proches à adopter les mêmes bonnes pratiques
Conséquences de la désinformation :
- Retard de prise en charge : suivre de mauvais conseils peut retarder une consultation médicale nécessaire
- Traitements inadaptés : recours à des remèdes non éprouvés
- Stigmatisation accrue : les fausses infos renforcent les préjugés sur les troubles mentaux
Comment se protéger de l’infodémie ?
- Vérifiez les sources : privilégiez les infos provenant d’organismes reconnus
- Soyez critique : méfiez-vous des solutions “trop belles pour être vraies”
- Consultez des professionnels : en cas de doute, adressez-vous à un médecin ou un psychologue qualifié
Astuce : Signalez les fausses informations : utilisez les outils de signalement des plateformes pour lutter contre la désinformation