COURS 18 : la perspective humaniste de la motivation Flashcards

1
Q

Le rôle de l’autodétermination : L’étude de DECI (1971)

A
  • les participants travaillent sur une tâche de créativité- modeler les figures en pate (“baseline”=tout le monde peut joueur)
  • MANIPULATION : ils sont informé qu’ils recevront une rémunération monétaire (1$/figure) pour continuer VS. pas d’informations–>pas payé (“task phase”)
  • Après exécution de la tâche, ils peuvent continuer à modeler des figures (“free activity”)

-MESURE : le temps passé à modeler des figures

  • RESULTATS: la récompense monétaire peut contrôler le travail à court terme mais diminue l’effet une fois que on est libre
  • on remarque que ceux qui sont payés ont + de productivité dans la task phase MAIS il y a une chute de la productivité une fois entré dans la free activity phase alors que ceux qui étaient pas payé ont la même (voir une meilleure) performance.

→ renforcer ça marche à court termes mais dès que on stop de récompensé on voit une chute de la productivité

  • DECI : selon une méta analyse de 128 expériences, l’effet “post reward” a une taille d’effet modérée (d=-.36)
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2
Q

La théorie de l’autodétermination : DECI et RYAN (1985)

A

A GARDER EN TÊTE :pour humaniste, l’humain n’est pas un animal car il a des capacités et des besoins spécifiques à l’humain et chaque individu veut être motivé par lui même. Les humanistes avancent le fait qu’il faut laisser humains être libre.

  • Il y a 3 besoin psychiques centraux chez humains :
    1. Autonomie
    2. Compétence
    3. Attachement
    → si les 3 besoins sont satisfait tout est parfait
  • En général les gens cherchent et préfère l’autodétermination →c.à.d la MOTIVATION INTRINSEQUE qui entraine de bonnes perf et un niveau de bien être élevé
  • LA MOTIVATION INTRINSEQUE: se rapporte à l’intérêt d’exécuter un acte sans renforcement extérieur et produit une performance élevée à long terme
  • Les événements de l’environnement qui sont pertinents pour l’initiation et la régulation du comportement (p ex les récompenses, des ordres, les menaces) peuvent avoir des effet différents
  • Sous théorie : tout les évènements peuvent avoir une fonction de contrôle ou d’information (info par rapport à ce que nous faisons la manière dont nous agissons)
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3
Q

Les effets de l’évaluation cognitive

A
  • selon la théorie de l’évaluation cognitive de DECI et RYAN (1985), tous les évènements de l’environnement peuvent avoir une fonction de contrôle ou une fonction d’information
  • INFORMATION : les évènement de l’environnement favorisent la croyance que l’individu a de la compétence et du contrôle sur les résultats → augmentation de l’intérêt
  • CONTRÔLE: les évènements signalent que l’individu manque de compétence et de contrôle→ diminution de l’intérêt
  • EXEMPLE d’évênements qui diminuent l’intérêt :
    1. les récompenses
    2. la surveillance
    3. la competition
    4. les échéances
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4
Q

RYAN et al. : la taxonomie des motivations

A
  • Si je suis libre dans mes action alors ca se passe bien
  • Si on a la sensation que ce que je fais a une importance ca se passe bien
  • Motivation itnrinsèque = quand on arrive à satisfaire les 3 besoins de manière autonome(en réalité c’est méga rare)
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5
Q

l’effet de récompense sur les préférences des tâches selon la théorie de l’auto-détermination

A
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6
Q

HARACKIEWICZ et al. : l’effet d’une récompense contingente

A
  • les participants jouent au flipper (tâche relativement interressante)
  • MANIPULATION : 3 groupes reçoivent de différentes information sur la performance
    1. il y aura un feedback par rapport à la performance
    2. la performance sera surveillée et jugée
    3. il y a une récompense (Billet de cinema)pour une bonne réponse
    (une récompense de billet de cinema permet de ne pas se dire que on est contrôlé et on pense que cela donne info sur nos capacité, contrairement à une rémunération financière qui elle peut être perçue comme une tentative de contrôle de la part des expérimentateurs)
  • Après cette tâche on peut jouer au flipper à volonté

-MESURE : le nombre de jeux que on joue à volonté

  • RESULTATS : les récompenses qui sont contingentes par rapport à la performance et donc sous contrôle de l’individu me diminuent pas l’intérêt
  • CONCLUSIONS : c’est pas toutes les récompenses qui font diminuer la motivation. Seules les récompenses percue comme contrôlée par l’individu et pas par autrui, et qui sont contingentes avec le résultat ne diminue pas la motivation.
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7
Q

GOSWAMI ret URMINSKY (2017) : l’effet des récompense à long terme

A
  • Après une période de baseline (Round 1), les participants choisissent 22 fois entre une tâche de mathématiques intéréssante et un clip vidéo
  • MANIPULATION : au cours de 10 essais (Round 2), ils reçoivent unne petite récompense pour choisir la tâche de math
  • puis, il y a 11 essais sans récompenses (Round 3)

-RESULTATS : l’effet de la corruption se montre à court terme ( au cours des quatre premiers essaies sans récompense). Puis disparait

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8
Q

La motivation humaine selon la perspective humaniste

A
  • le comportemnt des êtres humains est détemriné par d’autres besoins et d’autre processus que le comportement des animaux
  • Il y a des caractéristiques spéciales. P. ex la recherche des raisons de l’existence, la réflexion de soi, la responsabilité morale et les intentions
  • Les être humains cherchent l’autonomie et l’autoréalisation dans leurs but personnels et désirent réaliser le but de s’améliorer continuellement
  • il y a des forces interne qui poussent les individus à croître et à se développer vers des buts ultimes ; L’autoréalisation et l’amélioration de la valeur de soi
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9
Q

L’individu pleinement fonctionnel : ROGER (1951, 1961)

A
  • l’ensemble des expériences d’un individu ainsi que sa perception de ces vécus engendrent son CONCEPT DE SOI.
  • Une fois la personne a formé ce concept, il y a une RECHERCHE CONSTANTE visant à accroître et à protéger la valeur personelle qui est le résultats d’une tendance innée a S’AUTO ACTUALISER
  • l’individu cherche L’AUTOREALISATION qui est atteint si LE “SOI REEL” correpond au”SOIT IDEAL”. La conséquence est le fonctionnement complet.
  • Le succès du projet de l’autoréalisation dépend du regard positif des autres qui est nécessaire pour une image positive de soi (=incitation pour le développement)
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10
Q

L’importance des réactions sociales

A
  • Pour atteindre le fonctionnement complet l’individu a besoin d’un regard positif inconditionnel de la part des autres.
  • LE REGARD POSITIF INCONDITIONNEL: l’environnement accepte et aime la personne peu importe ce qu’elle fait.

-LE REGARD POSITIF CONDITIONNEL : l’environnement accepte l’individu seulement quelquefois → Le soi réel est un mensonge, l’auto réalisation n’est pas possible

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11
Q

Le processus d’auto- actualisation :MASLOW(91943,1968,1969)

A

-Le besoin de développer ses potentiels et de s’autoactualiser est un principe de base de la motivation humaine

  • 3 Principes pour comprendre le comportement humain ;
    1. Il faut examiner les comportements de l’individu de façon GLOBALE.
    Un comportement spécifique peut servir plsueirs besoin à la fois.
    2. il faut comprendre le BULT ULTIME de l’individu -idéalemenz l’autoactualisation
    3. Il y a une HIERARCHIE DES BESOINS : avant d’atteindre le but d’auto-actualisation, il faut satisfaire les besoins inférieurs
  • Ce n’est pas le regard positif inconditionnel des autres mais la satisfaction des besoins qui est nécessaire pour le développement personnel.
  • Si le niveau ultime des besoin est atteint, un besoin d’existence (being need) remplace les besoins inférieurs
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12
Q

La hiérarchie des besoins : La pyramide

A

-Il y a des besoins activés par la privation (deprivation needs) et un besoin d’existence (being need) activé par le désir de croissance et de se développer.

  • En général, la satisfaction du besoin d’existence n’est pas possible avant la satisfaction des besoins inférieurs
  • Néanmoins, il est possible de satisfaire un besoin partiellement pour accéder au niveau supérieur
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13
Q

Le besoin utlime : l’auto actualisation

A

il y a 3 caractéristiques des individus auto actualisés :
1. l’expérience d’une perte mmomentanée de l’autoperception
2. recherche de satisfaction dans la fin et dans les moyens.
3. focalisation sur des problèmes spécifiques

  • L’auto-actualisation facilite le réalisme, l’adaptation, l’acceptation, de soi et des autres, la créativité, la spontanéité et une attitude ouverte.
  • MAIS seulement 1 % des individus atteignent l’auto-actualisation
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14
Q

KENRICK et al. (2010) : une pyramide rénonvée

A
  • REFORMULATION de la théorie de Maslow en considérant les besoins suggérés par la psychologie évolutionnaire
  • Le but ultime n’est pas l’auto actualisation, mais la reproduction

-L’auto actualisation est remplacée par les buts d’accouplement et la reproduction

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14
Q
A
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15
Q

Le besoin de compétence

A

-WHITE (1959): les individus ont un besoin inné de chercher à maîtriser leur environnement (= le besoin “d’effectance”) qui régit le comportement humain sauf pendant les “crise homéostatique”.

  • Le but du besoin d’effectance est la COMPETENCE - le contrôle sur l’environnement

-DeCHARMS(1968): il y a deux croyances qui peuvent devenir des traits de personalité

  1. Un “ORIGINE” croît qu’il est l’agent causal de son environnement
  2. Un “PION” croît que son comportement est contrôlé par des forces extérieures.
16
Q

Les standards de la compétence

A
  • MEYER (1973): Pour déterminer leur niveau de compétence, les
    individus peuvent utiliser deux STANDARD comme sources d’information:
  1. Le standard SOCIAL: Comparaison avec les autres.
  2. Le standard PERSONNELou temporel: Comparaison avec son propre niveau de
    performance antérieur.

ETUDE
- RUBLE et FLETT (1987): Des enfants de 7 ans utilisent naturellement le
standard personnel. Mais au cours du développement, il y a une
différentiation à 10 ans:

RESUTATS:
- Les enfants aux capacités élevées préfèrent le standard personnel.
- Ceux aux capacités basses préfèrent le standard social.

  • On peut entraîner les individus aux capacités basses à utiliser le
    standard personnel pour l’autoévaluation à amélioration du concept des
    capacités (MEYER, 1986)