COURS 12 : l'apprentissage social et cognitif Flashcards
étude de TOLMAN et HONZIK (1930)
- des rats sont mis dans un labyrinthe à 10 reprises
- deux groupes :
1. groupe toujours renforcé à chaque fois qu’ils trouvent la sortie
2. groupe pas renforcé - à partir du 11 eme essai :
la moitié du groupe qui n’a jamais reçu de récompense reçoit une récompense
-MESURE : le nombre d’erreur en cherchant la sortie
-RESULTATS: les rats renforcé pour la première fois trouvent la sortie avec la même efficacité que les rats qui ont été renforcé de manière continue
Critique de la théorie de AL
- dans cette expérience, les rats ne sont pas renforcé avant le 11 eme essai, cependant ils obtiennent le même succès que les rats renforcés continuellement
Le behaviorisme est défié : TOLMAN
- Selon TOLMAN les rats dans son étude avaient construit des CARTES COOGNIITIVES - c.à.d des REPRESENTATION MENTALES du labyrinthe
- Les rats non renforcés ont montré de L’APPRENTISSAGE LATENT :
→ l’apprentissage a eu lieu mais il ne se manifestait dans le comportement qu’en présence d’une incitation - Les rats ont donc formée et établit une ATTENTE d’incitation
-REFORMULATION cognitive du modèle de HULL: le comportement (la tendance de la performance) est une fonction de l’attente, du drive et de la valeur d’incitation
Tendance de la performance= f(Attente,Drive,valeur d’Incitation)
Exemple de la reformulation cognitive du modèle de Hull
- Attente :de trouver bouffe,
- Drive : motivation
- Valeur d’indication : qqch qui a une valeur pour rat (bouffe bonne ou non)
→ humain sont capable de créer des attentes et des cartes mentales sans être renforcer
→ BIG NEWS on apprend sans être renforcée
Etude de TOLMAN et GLEITMAN (1949)
→purposeful behavior
- après établissement des cartes cognitive et des attentes, le comportement est dirigé par l’anticipation et ses conséquences
- Il semble que les rats prennent une décision AVANT le comportement
→ purposeful behavior
ETUDE:
- Phase a :rat dans labyrinthe en t ou il y a une chambre sombre
- Phase b: rat dans petite boite sombre ou il reçoit choc électrique
- Phase c : on remet rat dans labyrinthe en t et on regarde son comportement
- RESULTATS : le rat ne va pas dans la chambre sombre car peur du choc électrique
- Propuseful behavior : processus cognitif : prise de décision avant le comportement
Conditionnement et cognition
-D’après TOLMAN le behaviorsime radical doit sérieusement être remis en cause. Le concept d’attente permet de mieux rendre compte de l’apprentissage d’un comportement complexe que le concept d’assoications:
: Stimulus → COGNITION→ Réaction
Plutôt que
Stimulus→ réaction
- Resclora (1988): au cours du conditionnement classique, l’organisme apprend une relation CAUSALE plutôt que d’établir une seule association. Le S.C+ prédit le S.I : on attend donc le SI (→ APPRENTISSAGE S-S)
-Rappel : preuve par le fait que le conditionnement anticipé est bcp + efficace que les conditionnements simultanée ou rétrograde
L’apprentissage social ROTTER (1954)
- Selon ROTTER : le choix d’exécuter un comportement manifeste et cognitif est une fonction de l’attente et de la valeur d’un renforçateur (c.a.d d’un but)
- Le concept de l’attente est central dans apprentissage social : le comportement est le produit d’un choix d’exécuter un comportement spécifique basé sur 2 variable:
1. l’attente du renforçateur (attente d’être récompensé ou puni suite à une action)
2. et la valeur du renforcateur (importance pour nous du comportement)
: POTENTIEL DU COMPORTEMENT: f(Attente d’un renforçateur, Valeur du but)
Les 2 types d’attentes dans l’apprentissage social de ROTTER
- l’attente spécifique concernant une situation spécifique (ex. chaque exa nous crée un attente différente)
- l’attente généralisées concernant bcp de situations
L’attente, la valeur et le comportement
- L’ATTENTE GENERALISEE est le produit de L’HISTOIRE DE L’APPRENTISSAGE d’une personne. +une situation est nouvelle, + l’importance de l’attente généralisée est grande
- LA VALEUR DU RENFROCEMENT décrit le degrés de PREFERENCE pour un renforçateur spécifique comparé aux autres. Elle est connectée avec les BESOINS d’une personne qui se répartissent en 6 catégories:
- reconnaissance-statut, dominance, indépendance, protection-dépendance, amour et affection, confort physique
- DETERMINANTION DU COMPORTEMENT : le potentiel pour un comportement spécifique dans une situation spécifique est une fonction de l’attente qu’un renforçateur spécifique apparaîtra ainsi que la valeur de ce renforçateur.
Une des raisons des troubles psychique (attente, valeur et comportement)
- une des raisons des troubles psychique peut résider dans le fait d’avoir peu d’attentes concernant un but de haute valeur
→ex Si renforcateur est très important pour moi mais mes attentes sont faibles, alors il y a un trouble : si uni est très importante pur moi mais que je pense ne pas être capable de réussir alors ca me créer un trouble
→ peut également expliquer également la délinquance : ex tel important mais je pense pas être capable de me le payer alors je le vole
Différence interindividuelles dans la responsabilité personnelle (le locus de contrôle)
- ROTTER : il y a des différences interindividuelles par rapport à une attente généralisée : LE LOCUS DE CONTROLE
-Il existe des différences individuelles dans le sentiment de responsabilité individuelle : le locus de contrôle:
EXEMPLE
→ je pense que exa dépend uniquement de mes compétences (locus interne)
→ exa dépend pas que de moi mais aussi du prod( locus externe)
→ a quel point le fait d’obtenir le renforçateur dépend de moi ou de facteurs externes ?
- La croyance d’avoir du contrôle sur
l’occurrence d’un renforçateur ou non : mesure avec l’échelle I-E
La méta analyse de TWENGE et al (2004) : Le locus de contrôle devient + extrême
Y=locus de contrôle
BAS: locus interne
HAUT : locus externe
CONSTAT : Au fur et a mesure des années, le locus devient de + en + externe
- cette croyance est liée au trouble dépressif :croyance que la personne n’a aucun contrôle sur sa vie
MAIER, SELIGMAN et OVERMEIR : La résignation apprise- PHASE I
- Entrainement à la résignation généralisée
-PHASE I: pendant une journée des chiens reçoivent des chocs electrique de façon répétée - 3 groupes
1. groupe expérimental est harnaché et ne PEUT PAS s’échapper (entraîné)
2. groupe n’est pas harnacher et peut s’échapper
3. groupe contrôle n’obtient pas de chocs - Paradigme expérimental pour voir si on arrive a créer un état dépressif( la résignation apprise) chez les chiens
→On apprend au chien qu’ils n’a plus aucun pouvoir sur sa vie - L’EFFET D’ENTRAINEMENTAL : d’abord les chiens harnachés essayent de s’échapper et hurlent de douleur, puis finalement ils abandonnent - un comportement de qui fait penser à la dépression humaine
-RESULTAT: Il y a une sorte d’abandon lorsque le chien peut pas s’échapper : il apprend qu’il n’a plus aucun contrôle sur sa vie : cela s’appelle la résignation apprise (le chien se résigne a souffrir)
MAIER, SELIGMAN et OVERMEIR : La résignation apprise- PHASE II: la généralisation ?
- les jours suivant. les chiens sont mis dans une shuttle box ou ils peuvent facilement s’échapper aux choc qui sont signalés par un S.C (son)
- Est ce que les trois groupes seront capables d’apprendre à éviter le choc dans la nouvelle situation ?
-RESULTATS: contrairement au groupe contrôle, les chiens entraînés ne font aucun effort pour éviter le choc =une généralisation de la résignation
- le groupe contrôle et le groupe qui pouvaient s’échapper on appris à éviter le choc rapidement
- alors que je groupe entraîné n’évite pas les chocs dans les 60 sec de la présentation du S.C et du choc
L’apprentissage vicariant
- imitation de ce qu’un modèle fait
- théorie : il est possible d’apprendre pas modelage(=APPRENTISSAGE VICARIANT)