COURS 10: Behaviorisme IIIb : la théorie de la réduction du drive II Flashcards
les études de MILLER, la théorie du drive dans le cadre de la théorie de HULL ne résout pas certains problèmes
EXPERIENCE:
- rats placé dans shuttle box avec 2 compartiment : un blanc un noir
- dans pièce blanche le rat recoit un choc (drive) et peut d’échapper dans pièce noir
- EFFET : le rat apprend a s’enfuir de + en + vite après avoir été mis dans pièce blanche. le rat apprend donc à éviter plutôt qu’à fuir.
- par la suite on met une porte entre 2 pièces et le rat doit apprendre un nouveau comportement (p. ex tourner une roue) pour s’enfuir mais il n’y a plus de choc
RESULTATS INEXPLICABLE DANS THEORIE DE HULL:
- malgré absence de choc le rat apprend à ouvrir la porte avec une vitesse croissante (normalement cela ne devrait pas arriver car il n’y a plus de drive mais on constate que si–> pourquoi ?)
RESOLUTION : il y a des DRIVE APPRIS -les rats ont associés la peur du choc (S.I) avec la pièce blanche (S.C)
DRIVE PRIMAIRE vs DRIVE SECONDAIRE
Drive primaire : directement présent
Drive secondaire : drive appris
SPENCE : l’anxiété et l’apprentissage
IDEE : anxiété =drive appris et fonctionne comme tous les autres drives biologique dans théorie de HULL. L’anxiété évoque le besoin de sécurité. Il s’accumule avec la force d’une stimulation aversive
Le calcul de l’anxiété : TAYLOR
LE MAS (manifest anxiety scale) est une échelle pour mesurer l’anxiété des individus crée par TAYLOR
ex d’item : “j’éprouve de la difficulté àà me concentrer sur une seule chose)
- on calcul un score d’anxiété par l’addition de réponse oui aux 28 questions
ETUD de SPENCE et TAYLOR
-ETUDE de l’effet de anxiété sur le conditionnement du clignement des yeux (souffle d’air dans oeil)
- 2 groupes d’anxiété selon MAS (élevé vs basse)
- 2 degrés de force de souffle d’air (S.I) dirigé sur l’oeil (0.6lb ou 2lb)
- habitude est la formation de l’association S.N (lumière)- S.I (souffle) : intervalle S.N-S.I =520
- HYPOTHESE: anxxiété et force du souffle d’air (douleur= affectent la force du drive au courd du conditionnement quand l’habitude devient + forte
- MESURE : nnb de réaction conditionnées (clignement anticipatoire) correctes
RESULTATS : la force du souffle ET le niveau d’anxiété déterminent la force du drive
Le rôle de l’incitation selon CRESPI
rats mis sur une piste et obtiennent boulettes de nourritures comme récompenses à l’arrivée
- MANIPULATION : quantité de boulettes (c.a.d de l’incitation= 1 vs 16 vs 256 boulettes à l’arrivée
-Après 20 eme essai, tous les rats obtiennent 16 boulettes à l’arrivée
- MESURE : vitesse de courses juqu’a l’arrivée
RESULTATS :
augmentation du nb de boulettes→ accélération (xeux qui recevait normalement boulette à l’arrivée et soudain au 20eme essai on leur donne 16 boulettes : les rats accélèrent)
diminution du nb de boulettes → ralentissement(ceux qui recevait normalement 256 boulettes et qui soudain au 20eme recoivent que 16 ralentisse drastiquement )
Modification de la théorie: HULL (1951)
- sur la base des études de MILLER il y a 2 sources de drive
1. Les DRIVE PRIMAIRES induit pas la privations
2. Les DRIVES SECONDAIRES induit par associations- tous stimuli (par ex pièce blanches) peuvent acquérir les même caractéristiques qu’un drive (par ex douleur d’un choc). La peur est donc un drive secondaire - les forces des drive (par ex anxiété et la faim ) S’ACCUMULENT
- sur la base des études de CRESPI sur les effets des modifications du renforcement sur la performance, le concept d’incitation (incentive) a été intégré dans la théorie:
1. la valeur de l’incitation dépend des caractéristiques d’un but- par ex la taille ou la saveur- et doit être apprise- l’incitation TIRE l’organisme vers un but: le drive le POUSSE vers un but
- donc la formule de la motivation:
Behavior = Drive x Habit x Incentive
drive, habit, incentive
→ caractéristiques
- drive =ce qui pousse individu à agir
- incentive =ce qui tire l’organisme vers un but
- habit=module la vitesse de réaction et définit la réaction dominante
Un modèle de conflit : MILLER
→ conflit de conséquences aversives vs agréables
- Si il y a une réaction a des conséquences incompatibles - agréables vs aversives- il y a un conflit du type “APPROCHE-EVITEMENT” :
- par ex : un rat pour lequel la nourriture est connecté avec un choc électrique - Les tendances à l’approche ou à évitement sont déterminées par la force des drives (p.ex faim, peur) X la force de l’habitude (renforcement)
- La force de l’habitude est + élevée proche du but, parceque l’action est immédiatement renforcée. :
Grande distance au but → renforcement tardif
tendance d’évitement ou d’approche en fonction de la distance du but
- loin du but : tendance d’approche > tendance à éviter
- proche du but : tendance d’évitement > tendance à approcher
- L’APPROCHE : seule la force de l’habitude augmente avec la proximité du but
-EVITEMENT : les force de l’habitude et du drive augmentent, parce que l’anxiété est un drive appris
Les tendances à l’approche et a l’évitement selon MILLER
- Tendance à approcher :
→Dépend uniquement de l’habitude
→Drive biologique ne change pas de force mais les habitudes si - Tendance a éviter
→dépend de l’habitude et du drive biologique
La résolution de conflits selon MILLER
- quand le drive d’approche > drive d’évitement
- En cas de conflit un comportement d’approche à proximité d’un but est donc seulement possible si la force du drive dans la tendance à l’approche est + forte que la force du drive dans la tendance à l’évitement:
- cela signifie que pour qu’un chat passe au delà du choc électrique pour atteindre une nourriture, le drive d’approche ( dans ce cas la privation de nourriture) doit être + important que le drive d’évitement (ici la peur du choc)
((Ex:
- Au début le chat cours mais s’arrête violement sur le choc et revient en arrière, à ce moment il est proche du choc (temporellement) donc il va avoir une forte tendance d’évitement du choc (car il vient juste de se faire électrifié)
- MAIS
Avec le temps qui passe, le chat va avoir de + en plus faim et donc va avoir + tendance a s’approcher de la nourriture ( et ce même si y’a le choc car cela fait un moment qu’il a le choc et qu’il a de + en + faim))
L’étude des conflits de BROWN(1948)
- L’HABITUDE : des rats apprennent à courir sur une piste vers un but pour obtenir de la nourriture
- Un groupe privé de nourriture pendant 46h obtient nourriture de la nourriture (approach), l’autre reçoit un choc (avoidance) au but.
- MESURE : les rats sont connectés à un ressort pur mesurer la force de traction sur la piste en fonction de la distance du but (30 cm VS 170cm) dans l’essai qui suit
- RESULTATS : comme prédit, la force de traction pour éviter un choc > force de traction pour d’approcher de la nourriture
Etude de la force du choc dans l’étude de brown
- Un groupe obtient un choc fort, l’autre un choc faible
- MESURE : la force de traction sur la piste en fonction de la distance du but (30 vs 170cm) dans l’essai qui suit
- RESULTATS: La force de traction pour éviter le choc est + élevée après le choc fort (car le drive d’évitement est +élevé que le drive d’approche)
Brown et FARBER : un modèle de la frustration
- la frustration résulte de L’INTERFERENCE avec le comportement d’approche vers un but (p.ex une barrière ou une habitude contradictoire)
- La frustration fonctionne comme un drive et se multiplie donc avec l’habitude. Selon MILLER, la force de l’habitude augmente avec la réduction de la distance par rapport à autrui
- CONSEQUENCE : pour le cas d’une interruption: Moins la distance par rapport au but est grande, + le résultat comportemental de la frustration (souvent d’agression) est intense
→ + on est proche du but lorsque il y a une interruption + la frustration augmente