Cours 10 - Techniques d'études Flashcards

1
Q

Les techniques d’étude sont utilisées quand?

A

Utilisées lors de la mémorisation lorsque le contenu à mémoriser est organisé et plus complexe.

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2
Q

Il y a 3 techniques d’études principales. Lesquelles?

A

La prise de note
L’étude distribuée
L’autoquestionnement

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3
Q

En quoi consiste la prise de note?

A

Prendre des notes lors de l’encodage.

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4
Q

En quoi consiste l’étude distribuée?

A

Insérer des intervalles entre les périodes d’étude.

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5
Q

En quoi consiste l’autoquestionnement?

A

Se poser des questions sur le contenu à mémoriser.

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6
Q

L’étude de Peper et Mayer (1986) sur la prise de notes et l’encodage a pour objectif de vérifier l’effet de la prise de notes sur l’encodage. Quelle est la procédure?

A

Écoute d’une vidéo sur le fonctionnement d’un moteur.

Groupe A : Prise de notes pendant l’écoute de la vidéo

Groupe B : Aucune prise de notes

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7
Q

L’étude de Peper et Mayer (1986) est divisée en 3 types de tests. Lesquelles?

A

Reconnaissance mot à mot
Rétention de faits
Résolution de problèmes

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8
Q

Dans l’étude de Peper et Mayer (1986), lors du test, le participant a-t-il droit à ses notes?

A

Non

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9
Q

Dans l’étude de Peper et Mayer (1986), quels sont les principaux résultats?

A

– Le groupe qui a pris des notes est meilleur dans le test de résolution de problèmes que le groupe qui n’a pas pris de notes.

– Le groupe qui n’a pas pris de notes est meilleur dans le test de reconnaissance mot à mot que le groupe ayant pris des notes.

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10
Q

L’étude de Peper et Mayer (1986) permet de conclure quoi?

A

La prise de notes favorise l’intégration de l’information aux connaissances en MLT.

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11
Q

L’étude de Peper et Mayer (1986) permet de conclure que la prise de notes favorise l’intégration de l’information aux connaissances en MLT.

Pourquoi est-ce qu’elle favorise l’intégration?

A

– Cette forme d’élaboration permet de décontextualiser l’information et de la transférer à d’autres domaines lors de la résolution de problèmes.

– Permet de transformer et de réorganiser l’information selon la structure en MLT, ce qui rend difficile la reconnaissance mot à mot.

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12
Q

Dans l’étude de Slotte et Lonka (1999) sur la quantité et la qualité des notes, les chercheurs se demandent si la qualité et la quantité de notes sont des facteurs importants pour la mémorisation et le rappel. Quelle est la procédure?

A
  • Prise de notes pendant l’étude d’un texte suivie d’une période de révision.
  • Une cote est attribuée en fonction de la qualité et de la quantité de notes prises par le participant.
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13
Q

Dans l’étude de Slotte et Lonka (1999) , comment évalue-t-on la quantité de notes?

A
  • Faible (1 à 96 mots)
  • Moyenne (97 à 150 mots)
  • Élevée (151 à 327 mots)
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14
Q

Dans l’étude de Slotte et Lonka (1999) , comment évalue-t-on la qualité des notes?

A
  • 0 : mot à mot (le participant recopie mot à mot le contenu du texte)
  • 1 : résumé point par point (le participant fait un résumé pour chaque partie du texte)
  • 2 : résumé du contenu global (le participant fait un résumé de l’ensemble du texte, de l’idée générale)
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15
Q

Dans l’étude de Slotte et Lonka (1999) , il y a deux tests. Lesquels?

A

Définitions : rappel mot à mot des définitions présentées dans le texte.

Synthèse : test qui exige de faire des liens entre les concepts présentés dans le texte.

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16
Q

Dans l’étude de Slotte et Lonka (1999), quel est le principal résultat concernant la quantité de notes? (performance et type de test)

A

Plus le participant prend de notes, plus sa performance est élevée.

  • Plus le participant prend de notes, plus il a d’informations disponibles lors de sa révision.
    – Le type de test importe peu.
17
Q

Dans l’étude de Slotte et Lonka (1999), quel est le principal résultat concernant la qualité des notes? (performance et type de test)

A
  • La performance augmente en fonction de la qualité des notes, surtout pour le test de synthèse.
18
Q

Dans l’étude de Slotte et Lonka (1999), La performance augmente en fonction de la qualité des notes, surtout pour le test de synthèse.

Qu’est-ce que ce résultat permet d’interpréter?

A

La qualité des notes serait reliée à la quantité d’élaboration, ce qui permet de faire des liens entre les parties du contenu.

19
Q

Dans l’étude de Slotte et Lonka (1999), La performance augmente en fonction de la qualité des notes, surtout pour le test de synthèse.

Pourquoi ce n’est pas le cas pour les tests de définition?

A

L’élaboration du contenu est peu pertinente dans un test de définitions où le participant doit faire un rappel de l’information par cœur et où la compréhension des notions n’est pas nécessaire.

20
Q

L’étude de Keppel (1964) sur l’étude distribuée cherche à savoir si plusieurs apprentissages distribués permettent une meilleure mémorisation qu’un seul, long apprentissage. Quelle est la tâche du participant?

A

Le participant doit apprendre 4 listes de 4 paires de mots.

21
Q

L’étude de Keppel (1964) sur l’étude distribuée cherche à savoir si plusieurs apprentissages distribués permettent une meilleure mémorisation qu’un seul, long apprentissage.

Le participant doit apprendre 4 listes de 4 paires de mots.

Quels sont les 2 conditions (types d’apprentissages)?

A

Apprentissage massif : 8 fois successives (la même journée).

Apprentissage distribué : 2 fois par jour pendant 4 jours.

22
Q

L’étude de Keppel (1964) sur l’étude distribuée cherche à savoir si plusieurs apprentissages distribués permettent une meilleure mémorisation qu’un seul, long apprentissage.

Le participant doit apprendre 4 listes de 4 paires de mots.

Quand est-ce que s’effectue le rappel?

A

Le rappel s’effectue le lendemain, ou après 8 jours.

23
Q

Quel est le principal résultat de l’étude de Keppel (1964)?

A

L’apprentissage distribué mène à une meilleure performance que l’apprentissage massif, peu importe que le délai soit de 1 ou 8 jours.

24
Q

Dans l’étude de Keppel (1964), on trouve que l’apprentissage distribué mène à une meilleure performance que l’apprentissage massif.

Pourquoi l’apprentissage distribué est-il plus efficace que l’apprentissage massif ?

A
  • Lors de l’apprentissage, le participant effectue un traitement de l’information afin de pouvoir la maintenir.

– Cet apprentissage peut être plus ou moins efficace, selon le type de traitement.

– Si l’apprentissage n’est pas efficace, l’information sera oubliée rapidement.

  • Si le 2e apprentissage est le lendemain (apprentissage distribué), l’information moins bien apprise aura eu le temps d’être oubliée.

– Le participant peut alors utiliser d’autres stratégies afin de mieux mémoriser cette information.

– Cet apprentissage devient très résistant à l’oubli.

  • Si le 2e apprentissage suit immédiatement le 1er (apprentissage massif), l’information n’aura pas eu le temps d’être oubliée et le participant ne pourra pas constater que l’apprentissage n’a pas été efficace.

– D’autres stratégies ne seront pas utilisées.

25
Q

L’étude de Frase et Schwartz (1975) sur l’autoquestionnement étudie l’effet de l’autoquestionnement.

Ils se demandent si l’élaboration de questions sur le contenu d’un texte et la lecture du texte en tentant de répondre à ces questions sont-elles des stratégies utiles afin de mieux mémoriser le contenu.

Quelle est la tâche du participant?

A

Les participants doivent lire un texte à l’aide de questions qu’ils ont formulées ou de questions formulées par un autre participant.

26
Q

L’étude de Frase et Schwartz (1975) sur l’autoquestionnement étudie l’effet de l’autoquestionnement.

Les participants doivent faire l’étude d’un texte en 3 partie, et il y a deux groupes expérimentaux. Lors de la partie 1 et 2, que doivent faire les groupes?

A

Groupe A : élabore les questions pour étudier la partie 1 (condition autoquestion) et utilise les questions du groupe B pour étudier la partie 2 (condition question).

Groupe B : élabore les questions pour étudier la partie 2 (condition autoquestion) et utilise les questions du groupe A pour étudier la partie 1 (condition question).

27
Q

L’étude de Frase et Schwartz (1975) sur l’autoquestionnement étudie l’effet de l’autoquestionnement.

Les participants doivent faire l’étude d’un texte en 3 partie, et il y a deux groupes expérimentaux. Lors de la partie 3, que doivent faire les groupes?

A

Partie 3 : les deux groupes étudient cette partie sans question (condition étude).

28
Q

L’étude de Frase et Schwartz (1975) sur l’autoquestionnement étudie l’effet de l’autoquestionnement.

Que doivent-faire les participants lors du test?

A

Test sur les éléments couverts et non couverts par les questions des participants.

29
Q

L’étude de Frase et Schwartz (1975) sur l’autoquestionnement étudie l’effet de l’autoquestionnement.

Quels sont les principaux résultats?

A
  • Le questionnement (ou autoquestionnement) favorise le rappel comparativement à l’étude sans question.
  • Il n’y a pas de différence entre le fait de générer soi- même les questions ou d’utiliser des questions formulées par quelqu’un d’autre.
  • Avantage restreint à la matière couverte par les questions.
30
Q

L’étude de Frase et Schwartz (1975) sur l’autoquestionnement étudie l’effet de l’autoquestionnement.

Le résultat indique que le questionnement (ou autoquestionnement) favorise le rappel comparativement à l’étude sans question.

Pourquoi est-ce le cas?

A

Le questionnement permet l’intégration de l’information à nos connaissances.

31
Q

L’étude de Frase et Schwartz (1975) sur l’autoquestionnement étudie l’effet de l’autoquestionnement.

Le résultat indique un avantage restreint à la matière couverte par les questions.

Pourquoi est-ce le cas?

A

– Le questionnement permet d’élaborer le contenu traité par la question seulement.

– Il est important de couvrir tout le contenu à étudier lors de l’élaboration des questions.