Coralie Côté Flashcards
mécanismes de régulation de l’homéostasie
rétro-inhibition et rétroactivation
rétro-inhibition
- homéostasie
- stimulus: provoque un écart (à la hausse ou à la baisse) d’une variable par rapport à sa valeur de référence (déséquilibre homéostatique)
- récepteurs
- centre de régulation
- effecteurs, réponse: s’effectue dans le sens opposé au stimulus initial pour ramener la variable à sa valeur de référence
- retour homéostasie
- processus visés: phénomènes fréquents, ajustement continu
rétroactivation
- homéostasie
- stimulus: phénomène physiologique inhabituel provoque une réponse initiale
- mécanorécepteurs
- centre de régulation
- effecteurs, réponse: une boucle positive entretient et intensifie la réponse initiale tant que le stimulus est présent
- retour homéostasie
- processus visés: phénomènes peu fréquents, ajustement plus sporadique
structure de la peau
- épiderme: couche externe, mince, pas de structures lymphatiques ou vasculaires, nourri par circulation passive du derme, 5 couches distinctes, cellules épithéliales (kérationocytes) = 90% des cellules épidermiques
- derme: tissus conjonctif (3 types -> collagène, fibres réticulaires, fibres élastiques) sous l’épiderme, très vascularisé, contient vaisseaux sanguins/nerfs/vaisseaux lymphatiques/follicules pileux/glandes sébacées et des cellules spécialisées, cellules principales derme = fibroblastes. 2 couches (papillaire superficielle mince et réticulaire plus épaisse)
- hypoderme: sous le derme, formé de tissu conjonctif lâche et de cellules adipeuses qui agissent comme un isolant/coussin protecteur/régulateur de température/réserve d’énergie. Tissu sous-cutané relie la peau aux tissus sous-jacents (muscles, os). Varie en fonction du sexe, hérédité et état nutritionnel
fonctions de la peau
- protéger les tissus sous-jacents du corps contre le milieu externe
- agit comme une barrière contre l’invasion microbienne (ou autre facteur environnemental nocif)
- empêche perte excessive d’eau
- graisse de l’hypoderme isole le corps + protège contre traumas
- permet la perception sensorielle des stimulus environnementaux (terminaisons nerveuses + récepteurs) -> douleur, température, toucher, pression, vibrations
- régulation thermique (vasoconstriction + vasodilatation + fonction)
- fonction excrétrice: régulation thermique, homéostasie des liquides et électrolytes, sébum + sueur qui lubrifie peau
- épiderme est le site de synthèse de la vitamine D (essentielle absorption calcium + phosphore)
- fonctions esthétiques: expressions émotions, image corporelle
- absorption cutanée: médicaments par voie transcutanée (crème + timbre)
changements tégumentaires à l’adolescence, production de sébum (glandes)
Glandes sudoripares mérocrines
- abondante paume des mains, plante des pieds et front
- plus nombreuses que apocrine
- glande simple, tubuleuse, en spirale
- débouche sur un pore (pas les pores de la peau aka orifices externes follicules pileux)
- sécrétions: sueur (eau, sels minéraux, déchets métaboliques et un dermcidine). Libéré par exocytose. Acide (pH 4-6)
Glandes sudoripares apocrines
- surtout régions axillaires et anogénitopérinéale
- s’agit de glandes mérocrines qui libèrent leurs sécrétions par exocytose
- plus en profondeur dans le derme ou même dans l’hypoderme
- conduit débouche dans la partie supérieure d’un follicule pileux
- plus grosses que glandes sudoripares mérocrines
- sécrétions contiennent sueur (eau, sels minéraux, déchets métaboliques et un dermcidine), lipides et protéines. Visqueuses, de couleur laiteuse/jaunâtre, inodores (sauf quand bactéries présentes surface de la peau détruisent leurs molécules organiques)
- commencent à fonctionner à la puberté sous l’influence des hormones sexuelles mâles (androgènes)
- activité s’accroit avec la stimulation sexuelle, taille varie selon phases du cycle menstruel et sécrétions agissent comme des phéromones
- 2 types modifiés: cérumineuses (cérumen) et mammaires (lait)
Glandes sébacées
- glandes simples alvéolaires ramifiées
- présentes tout le corps sauf paume des mains + plante pieds
- petites sur le tronc/membres et assez grosses visage/cou/partie supérieure poitrine
- sécrètent substance huileuse (sébum) qui contient lipides et débris cellulaires
- contractions des muscles arrecteurs des poils poussent le sébum hors des follicules pileux (vers la surface de la peau)
- sébum assouplit et lubrifie les poils et la peau (diminue évaporation de l’eau + action bactéricide).
- activité augmente au moment de la puberté chez les deux sexes avec l’augmentation de la production d’androgènes
fécondation
- produit un zygote diploïde en combinant les chromosomes du spermatozoïdes et de l’ovule
- le spermatozoïde doit atteindre l’ovocyte de 2e ordre
- ovocyte est viable 12 à 24 heures après son expulsion de l’ovaire
- spermatozoïdes survivent jusqu’à 7 jours vagin
- donc pour fécondation, relation sexuelle au plus tôt 2 jours avant et au plus tard 24 heures après
implantation
- quand l’embryon s’enfouit dans la muqueuse utérine et déclenche ainsi la formation du placenta
- 6-7 jours après la fécondation
- endomètre doit être réceptif (dépend de l’élévation des taux plasmatiques d’hormones ovariennes -> oestrogène et progestérone)
- molécules d’adhérence cellulaire fixent le trophoblaste à l’épithélium de l’endomètre
- blastocyste s’implante dans le haut de l’utérus (ou plus bas, s’attache à un endroit où les récepteurs et les signaux chimiques sont appropriés)
caractéristiques générales système endocrinien
- un des deux principaux système de régulation
- influe sur les activités métaboliques des cellules par l’intermédiaire d’hormones
- hormones sont des messagers chimiques sécrétés par les cellules dans le liquide interstitiel (circulent dans le sang et influent sur le métabolisme d’autres cellules de l’organisme)
- hormones ciblent la plupart des cellules de l’organisme et leurs effets sont étendus et diversifiés
- processus qu’elles régissent: reproduction, croissance/développement, maintient de l’équilibre électrolytes/eau/nutriments dans le sang, régulation du métabolisme cellulaire et de l’équilibre énergétique, mobilisation des moyens de défense de l’organisme contre les facteurs de stress
- comparativement aux autres organes, les glandes du système endocriniens sont petites, d’apparence modeste et disséminées dans tout l’organisme
- glandes exocrines: produisent substance non hormonales (sueur, salive) et sont dotées de conduits qui acheminent leurs sécrétions à la surface d’une membrane
- glandes endocrines: produisent des hormones et sont dépourvues de conduits. Elles libèrent leurs hormones dans le liquide interstitiel environnant et elles sont généralement pourvus d’un abondant drainage lymphatique et vasculaire qui emporte leurs sécrétions
- hypophyse: dans cerveau
- glande thyroïde: niveau gorge
- glandes parathyroïdes: sur la face postérieure de la glande thyroïde
- glandes surrénales: au dessus des reins (milieu abdomen)
- glande pinéale: dans cerveau
- hypothalamus: fonction nerveuse + libère des hormones = organe neuroendocrinien. Dans cerveau
- organes qui referment du tissu endocrinien et assure d’autres fonctions: pancréas (au dessus nombril), gonades (ovaires/testicules) et le placenta
chimie des hormones (système endocrinien)
- hormones dérivées d’acides aminés (hydrosolubles): la majorité. Taille varie (amines biogènes, hormones thyroïdienne, peptides, macromolécules protéiques). Incapable de franchir la membrane plasmique
- hormones stéroïdes (liposolubles): synthétisées à partir du cholestérol. Hormones gonadiques et hormones du cortex surrénal (par glandes endocrines). Peuvent diffuser directement à travers la membrane plasmique
- eicosanoïde: correspondent pas tout à fait à la définition d’hormones (agissent pas sur cible éloignée). Leucotriènes (réaction allergique + inflammatoire) et prostaglandines (douleur, réaction inflammatoire, élèvent pression artérielle, coagulation sang et intensifient les contractions utérines en stimulant le muscle lisse de l’utérus. Leur synthèse est inhibé par substances anti-inflammatoire)
mécanismes de l’action hormonale (système endocrinien)
- hormones hydrosolubles: hormone (premier messager) se lie au récepteur -> le récepteur active une protéine G-> la protéine active enzyme -> enzyme convertit ATP en second messager -> second messager active protéines kinases -> déclenche réactions de la cellule cible. Membrane plasmique
- hormones liposolubles: agissent sur les récepteurs à l’intérieur de la cellule, qui activent directement un gêne. Hormone diffuse à travers la membrane plasmique et se lie à un récepteur intracellulaire -> le complexe hormone-récepteur pénètre dans le noyau -> et se lie à une région de l’ADN en particulier -> déclenche la transcription d’un gène en ARNm -> synthèse d’une protéine spécifique
déclencheurs (stimulus) de la libération d’hormone (système endocrinien)
- synthèse et libération de la plupart des hormones sont régies par rétro-inhibition (concentrations sanguines de nombreuses hormones varient très peu)
- système nerveux peut modifier les facteurs stimulants et les facteurs inhibiteurs (homéostasie)
- stimulation des glandes endocrine: 3 types de simulus amènent les glandes endocrines à produire et à libérer des hormones (certains organes endocriniens répondent à plus d’un type)
- stimulus humoraux: variations des taux sanguins de certains ions et nutriments qui sont détectées par cellules ce qui entraine la libération d’hormones spécifiques
- stimulus nerveux: neurofibres stimulent parfois la libérations d’hormones
- stimulus hormonaux: nombreuses glandes endocrines libèrent leurs hormones en réaction à des hormones produites par d’autres glandes endocrines (ex: hormones hypothalamique de libération et d’inhibition régissent la libération de la plupart des hormones adénohypophysaire (LH, FSH) qui amènent d’autres glandes endocrines (glande thyroïde, cortex surrénal, gonade) à libérer leurs hormones. C’est une boucle de rétro-inhibition
régulation de la libération des hormones: demi-vie, apparition et durée de l’activité hormonale (système endocrinien)
- concentration sanguine d’une hormone: liée à la vitesse de sa libération et à la vitesse de son inactivation et de son élimination de l’organisme
- certaines hormones sont dégradées par les enzymes à l’intérieur de leurs cellules cibles
- plupart sont éliminées du sang par les reins ou le foie -> organes rejettent le produit de leur dégradation dans l’urine (et un peu fécales)
- demi-vie: quelques secondes à une semaine
- hormones hydrosolubles ont une demi-vie plus courte (rapidement retirées du sang par les reins)
- temps produire un effet: varie. Hormones stéroïdes qu’au bout de quelques heures voir plusieurs jours. D’autres provoquent réactions quasi immédiates. D’autres sont sécrétées sous une forme relativement inactive et doivent être activées dans les cellules cibles
- durée d’action des hormones: de 10 secondes à quelques heures. Effets peuvent disparaitre aussi rapidement que s’abaisse le taux sanguin ou se prolonger pendant des heures après l’atteinte d’un taux très bas
régulation de la libération des hormones: interactions hormonales au niveau des cellules cibles (système endocrinien)
- grand nombre d’hormones peuvent agir sur les mêmes cellules cibles en même temps
- résultat est souvent imprévisible (même si on connait les effets de chacune des hormones)
- 3 types d’interactions hormonales
- permissivité: hormone ne peut pas produire tous ses effets sans la présence d’une autre hormone
- synergie: deux ou plusieurs hormones (dont les effets sur la cellules sont identiques) voient leur action amplifiée lorsqu’elles sont combinées
- antagonisme: quand une hormone s’oppose à l’action d’une autre. Ils entrent en compétition pour les mêmes récepteurs, exercent leurs actions par des voies métaboliques différentes ou entrainent la régulation négative des récepteurs de l’hormone antagoniste
traitement topique (traitement de l’acné): rétinoïdes
- des dérivés de la vitamine A (rétinol)
- pierre angulaire du traitement de l’acné
- peut débrancher les comédons existants et empêcher le développement de nouveaux
- réduire l’inflammation et améliorer la pénétration d’autres agents topiques
- rétinoïdes topiques approuvés : adaplene, tazarotène et trétinoïne
- utilisé seul ou en combinaison
traitement topique (traitement de l’acné): peroxyde de benzoyle (Benoxyl)
- médicament de première intention contre l’acné légère à modérée
- antibiotique et kératolytique
- amélioration en quelques jours
- supprime la croissance P. acnés, réduit l’inflammation et favorise la kératolyse (desquamation de la couche cornée de l’épiderme)
- ne favorise pas l’émergence de P.acnés résistants (utilisé avec d’autres médicaments pour cet avantage)
- mécanisme : libère de l’oxygène
- séchage + desquamation de la peau
- en cas de brûlure, de cloques, de desquamation et de gonflement : réduire l’application
traitement oral (traitement de l’acné): antibiotiques
- acné modérée à sévère
- supprimer la croissance de P. acnés
- supprimer l’inflammation
- peut être associé à un rétinoïde topique
- agent de choix : doxycycline et minocycline
- résistance aux médicaments : souvent à la tétracycline et à l’érythromycine
- les bénéfices se développent lentement en prenant 3 à 6 mois pour devenir maximaux
- une fois les symptômes contrôlés avec un antibiotique oral -> passer à un antibiotique topique pour un entretien à long terme
traitement oral (traitement de l’acné): contraceptifs oraux
- 4 combinaisons approuvées pour les femmes : estrostep, ortho tri-cyclen, beyaz, YAZ
- 15 ans et plus, veulent une contraception, ont leurs premières règles, n’ont pas répondu aux médicaments topiques
- peut prendre 6 mois ou plus pour voir des améliorations
- les bénéfices sont dus principalement aux œstrogènes (et non au progestatif car il peut être androgénique et oestrogène globuline)
- mécanismes : suppression de la production ovarienne d’androgènes + augmentation de la production de globuline liant les hormones sexuelles, une protéine qui fixe les androgènes et les rend ainsi inactifs. En diminuant la disponibilité des androgènes, les œstrogènes diminuent la production de sébum
traitement oral (traitement de l’acné): isotrétinoïne aka Accutane
- dérivé de vitamine A
- utilisé pour traiter l’acné vulgaire nodulokystique sévère
- la plupart des patients : un seul traitement
- hautement tératogène
- pour les patients souffrant d’acné sévère et défigurante qui n’a pas répondu aux autres traitements
- diminue la production de sébum (nutriment pour P.acnés, donc diminution de la population cutanée), la taille des glandes sébacées, l’inflammation et la kératinisation
- la nourriture augmente l’absorption
- demi-vie : 10-20 heures
- lié à l’albumine
- subit un métabolisme dans le foie
- effets : saignements de nez, inflammation des lèvres/des yeux, sécheresse/démangeaisons de la peau/du nez/de la bouche, douleur/sensibilité/raideur des muscles/des os/des articulations, maux de dos
- effets moins fréquents: éruption cutanée, maux de tête, perte de cheveux, desquamation de la peau des paumes et des plantes, réduction de la vision nocturne, cataractes, névrite optique, dysfonctionnement érectile, taux de triglycérides plus élevés, dépression
- porter des vêtements de protection ou de la crème solaire
- interactions médicamenteuses : vitamine A et tétracyclines
principes généraux de la contraception hormonale
- peut être accompli en interférant avec le processus de reproduction à n’importe quelle étape, de la gamétogenèse à la nidation (implantation de l’ovule fertilisé)
- méthodes pharmacologiques (contraceptifs oraux, implants, injections, anneaux vaginaux, dispositifs intra-utérins, patchs)
- méthodes non pharmacologiques (stérilisation chirurgicale, dispositifs mécaniques et évitement des rapports sexuels pendant les périodes de fertilité)
- les plus courants : pilule contraceptive orale (réversible) et stérilisation (non réversible)
contraception progestative: par voie orale
- “minipilules”
- un progestatif mais pas d’oestrogène (donc pas de trouble thromboembolique, maux de tête, nausées)
- plus sûr mais moins efficace que l’association et plus susceptible de provoquer des saignements irréguliers
- les effets des contraceptifs résultent en grande partie de l’altération des sécrétions cervicales (les glandes cervicales produisent un mucus épais et collant qui fait barrière à la pénétration des spermatozoïdes. Les progestatifs modifient l’endomètre, le rendant moins favorable à l’implantation)
- faibles inhibiteurs de l’ovulation
- pris en continu
contraception combinée: par voie orale
- réduire la fertilité en inhibant l’ovulation
- mécanisme œstrogènes: augmentation oestrogènes -> inhibe l’hypothalamus -> pas de GnRH -> suppriment la libération de l’hormone folliculo-stimulante (FSH) par l’adénohypophyse (inhibent la maturation folliculaire)
- mécanisme progestatif: augmentation progestérone -> inhibe l’hypothalamus -> pas de GnRH -> suppriment la poussée d’hormone luténisante (LH) à mi-cycle (qui déclenche normalement l’ovulation).
- mécanismes secondaires : épaississement de la glaire cervicale (barrière du sperme), altération de l’endomètre (moins hospitalier à l’implantation)
- types d’œstrogènes: éthinylestradiol, mestranol et valérate d’estradiol
- types de progestatifs : 8 différents (différence = effets secondaires)
- efficacité : 99,7% (si utilisation parfaite, effectivement plus faible et encore plus faible pour les femmes plus grandes)
- effets : troubles thromboemboliques (un caillot sanguin se forme dans une veine car les taux de facteurs de coagulation sont élevés. Causés par les œstrogènes + progestatifs), cancer (favorise la croissance du cancer du sein, protège contre le cancer de l’endomètre et des ovaires, aucun impact sur le cancer du col de l’utérus), hypertension
- contre-indiqué aux femmes enceintes (non nocif mais non bénéfique)
- excès d’œstrogènes : nausées, sensibilité des seins, œdème
- excès de progestatif : augmentation de l’appétit, fatigue, dépression
- carence des deux : irrégularités menstruelles
- les effets peuvent être réduits en modifiant la dose d’œstrogène ou le type de progestatif
- avantages non contraceptifs: diminue le risque de kystes ovariens, de MIP, d’acné, d’anémie ferriprive, réduit les crampes, le flux menstruel réduit en volume et en durée, les règles sont plus prévisibles, réduit l’intensité des symptômes du trouble prémenstruel, peut réduire la fréquence des migraines et bénéficier aux femmes souffrant de rhumatoïdes arthrite
- interactions médicamenteuses : produits inducteurs du cytochrome hépatique P450 (peut accélérer le métabolisme des OC = réduit l’effet des OC). Diminue les avantages de la warfarine (anticoagulant ou augmentation des facteurs de coagulation) et des agents hypoglycémiants (réduit ou augmente les niveaux de glucose). Altérer le métabolisme hépatique de plusieurs agents (accumuler des niveaux toxiques)
- dosage souvent selon un schéma cyclique (28 jours) mais peut être continu
contraception combinée: par voie transdermique (patch)
- même mécanisme, même efficacité contraceptive et même incidence d’hémorragies et de microrragies que les contraceptifs oraux combinés
- appliquer une fois par semaine sauf la 4ème pour que les règles surviennent (l’observance est meilleure que la pilule)
- œstrogène + progestatif
- libération d’hormones, pénètrent dans la peau, pénètrent dans les capillaires et se répartissent dans tout le corps
- plateau des taux plasmatiques 2 jours après l’application
- bas de l’abdomen, fesses, haut du bras, haut du torse (mais pas jusqu’aux seins)
- effets : gêne mammaire, maux de tête, irritation locale, nausées, crampes menstruelles
contraception progestative: par injection
- acétate de médroxyprogestérone (progestérone plus puissant que dans les pilules de progestérone)
- IM ou subQ
- protège contre la grossesse pendant 3 mois en inhibant la sécrétion de gonadotrophines
- mécanisme : inhibe la maturation folliculaire et l’ovulation, épaissit la glaire cervicale et provoque un amincissement de l’endomètre
- à l’arrêt des injections -> infertilité 9 mois
- menstruations irrégulières au début, pouvant cesser complètement après 6 à 12 mois, prise de poids, ballonnements abdominaux, maux de tête, dépression, diminution de la libido, risque réduit de cancer de l’endomètre, perte osseuse réversible