Classer, diagnotiquer, répertorier (3) Flashcards
Sur quoi est basé le tout premier modèle de classification des maladies ?
Quel est le deuxième modèle ? Selon quel critère est classée la maladie ?
Quel est le troisième modèle ?
Il s’appuie sur la botanique, avec des arboresences de noms et des espèces.
Le modèle nosologique, qui peut s’inscrire avec la méthode anatomopathologique. La maladie est classée selon son étiologie, son origine.
Le modèle épidémiologique, qui s’appuie sur les statistiques. On compile les maladies selon leur fréquence.
- Quelles sont les objectifs du DSM-I ?
- Sur quelles modèles s’appuie-t-il ?
- Comment sont distinguées les pathologies ?
- Les objectifs sont le recensement des maladies.
- On s’appuie sur les modèles médical et psychanalytique.
- On distingue les pathologies selon leur origines. Certaines maladies seraient plutôt psy et d’autre plutôt physiques. On aimerait pouvoir distinguer entre les deux.
Qu’y a-t-il de différent avec le DSM-II ? Ce manuel va souelever deux questions. Les quelles ?
Il n’y a pas d’innovation particulière, sauf dans la manière de classer. On passe du manuel confidentiel à un manuel très utilisé par les chercheurs pour communiquer entre eux.
La qualité des diagnotics et la légitimé des psychiatres de la médecine à parler de troubles mentaux.
Pour T. Szasz, qu’est-ce que la maladie mentale ?
Un prétexte pour éliminer les personnes gênantes.
Grâce aux outils statistiques qui examinent la qualité des diagnotics, l’on se rend compte que leur validité est médiocre. Quelles questions va soulever ce problème ?
On se pose la question de la fiabilité des critères. On recherche un moyen d’être plus préçis et plus discriminant, avec des critères simples et dichotomiques.
Le DSM-III introduit une nouvelle notion surprenante, la quelle ?
La notion de souffrances, centrale, quand on palr de maladie mentale. Trouble mental = souffrance, handicap ou perte de liberté.
Pourquoi dit-on que le DSM-III est une révolution ?
Contrairement aux autre modèles, la classification américaine fait rupture avec le DSM-II. Il y aura une lecture biologique de la psychiatrie. On veut affirmer que les maladies psychiatriques font partie de la médecine et devraient être traitée comme telles.
Quelles est l’idée de Kraeplin pour rechercher l’origine des troubles mentaux ?
Il veut mettre en avant la sémiologie pour donner du sens aux phénomènes pour trouver une origine organiques et développer ainsi des traitements.
Que va faire John Feighner ? Quelles est sa logique de travail ?
Il va former un groupe de psychiatres pour établir des critères préçis et valides et ainsi toujours poser les mêmes diagnostiques. Ce groupe va sélectionner 14 troubles et vont donner des critères très préçis.
On passe d’une logique qui s’appuie non plus sur l’avis d’experts, mais sur des études cliniques. On veut déterminer à terme, l’étiologie de ces syndrômes.
Qu’y a-t-il de particulier avec le DSM-5 ? Quelle est la question problématique, mais fondamentale qu’il soulève ?
Il a fait un succès énorme, alors que c’est une manuel destiné aux psychiatres. Il se trouve que cette dernière version a mis en évidence la psychiatrisation de toue une série de comportements.
Est-ce que ce DSM-5 n’est pas le symptômes qui consiste à dire que tous nos maux sont des maladies, à soigner avec des médicaments ?
Malgré tout, quels sont les deux échec du DSM ?
1) L’application méthodologiique issue de la médecine n’a pas permis de découvrir de biomarqueur pour un des syndromes.
2) La rigueur méthodologique n’a pas permis d’évacuer tous les doutes sur la validitié de la démarche.
