9 ! Flashcards
Rapport à la science
- Les théories de l’apprentissage s’appuient sur des hypothèses réfutables et des prédictions dites « risquées »
- Popper : définition de la science vue plus tard. Hypothèses qui font références aux phénomènes directement observables avec phénomènes, variables manipulables
- Puisqu’il y a observation, induction, déduction, test et évaluation, elles répondent donc aux critères de la science dite empirique
- = la science expérimentale : on manipule les variables, on contrôle l’environnement, on contrôle et manipule les variables et on observe ce qui se passe.
- Dans une visée pragmatique, le but de la science, selon Skinner, consiste à maîtriser l’environnement
- Selon Skinner : appliquer le modèle scientifique à la société pour régler les problèmes du monde/sociaux. Maîtriser l’environnement. La société gagnerait à être plus scientifique. Pragmatique on niveau de l’application des mesures
- Les théories de l’apprentissage s’inscrivent dans la tradition positiviste, et reconnaissent parfois la nécessité du positivisme logique
- Ce qui sert d’étalon, de base, de critères = c’est ce qu’on observe, physiquement constatable = on parle donc pas de la cohérence de la théorie
- Comme le positivisme. Lorsque nécessaire, lorsqu’on n’a pas d’observations disponibles on peut utiliser des options abstraites mais si tôt que les observations vont à l’encontre de la théorie on va rejetter la théorie. Ce qui sert de critères c’Est ce qu’on constate. C’est ça le critère. Pas la cohérence de la théorie. La cohérence on l’utilise quand on ne peut pas observer.
Explique le conditionnement classique (ou répondant)
- Décris l’expérience du petit Albert
Répondant : parce qu’il est question d’une réponse à l’environnement
Apprentissage se fait dans condition passive, c’est-à-dire que l’organisme n’a pas besoin de produire un comportement pour apprendre. Juste exposition.
Stimulus inconditionnel ==> Réponse inconditionnelle :
- Inconditionnel = inné, déjà présent. Réaction de base chez l’animal. Par ex : salivation chez le chien.
- Stimulus inconditionnel : nourriture
- Réponse inconditionnelle : comportement qui ns intéresse : salivation par ex.
Stimulus Neutre (pas associé à la RI)
- Est remarqué, amène une réponse d’orientation. Neutre pcq pas associé à la RI, seul n’amène pas réaction.
- Par ex : son d’une cloche : déclenche pas normalement salivation mais pour que déclenche il faut pairer le son de cloche à nourriture
SN pairé avec le SI à plusieurs reprises
Stimulus conditionnel ==> Réponse conditionnelle
Petit Albert :
Stimulus Inconditionnel : Son - bruit métallique
Réponse inconditionnelle : réaction de peur, d’évitement. Sursaut/évitement
Stimulus neutre : stimulus ne déclenche pas la même réaction que cela à l’étude
SN : le rat blanc
=> Pairage fait entre le SN et le SI = RC
Généralisation : lapin, manteau de fourrure, chien = réaction analogue du petit Albert à ces stimuli = du au fait que ce sont des stimuli qui ressemblent au stimulus de base qui suscitait la peur !
Objectif : déconditionnement = après !
–> petit Albert = ce qu’il est devenu : décédé à l’âge de 6 ans = mais pas en rapport avec l’expérience, mais ça l’a frappé l’imagninaire collectif!!
–> À notre époque, on ne pourrait pas refaire cette expérience = pour des raisons éthiques
Quels sont les phénomènes associés au conditionnement classique ?
- Inhibition vs Excitation : Les RI et RC sont des signes d’excitations; leur absence sont des signes d’inhibition
- Excitation ou inhibition = par rapport à la production du comportement
- Excitation = comportement produit
- Inhibtion = comportement n’est pas produi
- Extinction : Pairage interrompu entre SI et SC
- Exctinction = exctinction du comportement, inhibition, ne produit pas le comportement pcq plus de pairage. Éteindre. Ici c’est pas l’apprentissage qui est éteint, le lien ds le système nerveux ne disparait. Inhibition du pairage donc comportement se produit pas. Pour qu’il revienne pas besoin de refaire l’apprentissage au complet. Un seul pairage devrait être nécessaire. Lorsque plus de pairage spontané : interruption du pairage, son n’est plus associé à SC (le lien est inhibé ou interrompu) : pas besoin de refaire l’apprentissage donc simplement interrompu. Un seul pairage suffit
- Récupération (ou recouvrement) spontanée : Réactivation du lien entre SI et SC
- Récupération : réactivation du lien
Quelles sont les deux études de Watson ? Explique les
1. Le petit Albert
- Mené par Watson et Rayner
- 11 mois - bébé !
- Lapin blanc = but : apprendre un comportement
- L’amener a avoir peur de certains stimulis - éthiquement douteux
- Pas de traitement de la phobie apprise = Watson a du le faire sur un enfant qui avait déjà une phobie d’un animal
- Petit Albert :
Stimulus Inconditionnel : Son - bruit métallique
Réponse inconditionnelle : réaction de peur, d’évitement. Sursaut/évitement
Stimulus neutre : stimulus ne déclenche pas la même réaction que cela à l’étude
SN : le rat blanc
=> Pairage fait entre le SN et le SI = RC
Généralisation : lapin, manteau de fourrure, chien = réaction analogue du petit Albert à ces stimuli = du au fait que ce sont des stimuli qui ressemblent au stimulus de base qui suscitait la peur !
Objectif : déconditionnement = après !
–> petit Albert = ce qu’il est devenu : décédé à l’âge de 6 ans = mais pas en rapport avec l’expérience, mais ça l’a frappé l’imagninaire collectif!!
–> À notre époque, on ne pourrait pas refaire cette expérience = pour des raisons éthiques
2. Peter et le lapin
- Pour traiter Peter = exposé à des enfants à l’aise de jouer avec des animaux! = par modelage, capable de surmonter sa phobie
- Amélioration notée suite à cette exposition = phobie moins pire
- Mais on a du le retirer à cause de la Scarlatine que Peter a eu = il s’est fait attaqué par un chien lorsqu’il était en train de guérir de celle-ci = comportements phobiques sont revenus en force, même plus fort
- DONC, ON A TENTÉ DE FAIRE UNE PROCÉDURE DE CONTRE-CONDITIONNEMENT : OPPOSER DEUX CONDITIONNEMENTS ENSEMBLES :
- Le premier - celui qui dérange et mène à l’évitement des lapins opposé à un deuxième - relation entre Peter et son déjeuner préféré! = agréable donc bon état d’esprit associé
- Placé dans une pièce, servi son déjeuner préféré et à l’autre bout, le lapin dans une cage
- Stimulus aversif à distance, mais stimulus agréable près de lui
- On l’a approché jusqu’à ce qu’il a été capable de manger son déjeuner en flattant le lapin…
Quelles sont les trois conclusions issues des études avec la « boîte à problème » ?
Quels liens établir entre les conclusions de Thorndike et ce que nous avons vu de l’approche de Wundt ? De la psychologie de la forme ?
Trois conclusions issues des études avec la « boîte à problème » :
- L’apprentissage est graduel (non soudain)
* Apprentissage implique de résoudre une étape à la fois = graduel - L’apprentissage est automatique (pas besoin d’un effort de volonté)
* = animal résoud le problème à cause du problème!
* Confronter à un environnement problématique qui l’amène à se comporter d’une certaine manière…. ANIMAL EST EN RÉACTION À CE QUI SE PASSE DANS SON ENVIRONNEMENT - Les humains comme les animaux sont soumis aux mêmes principes d’apprentissage
Quels liens établir entre les conclusions de Thorndike et ce que nous avons vu de l’approche de Wundt?
- Pour Thorndike : l’animal se comporte en réaction à son environnement. Il est passif dans la situation d’apprentissage. Tout part de l’environnement.
- Selon Wundt : l’animal/l’humain s’intéresse lui-même à différents aspects de l’environnement. On va vers un objet plutôt qu’un autre, quelque chose part de l’organisme. L’humain est capable de faire un effort volontaire d’attention, on peut choisir l’objet de notre attention.
De la psychologie de la forme?
- Pour Thorndike : l’apprentissage est graduel.
- Dans la psychologie de la frome : l’apprentissage n’est pas graduel : avec la notion d’insight il est soudain, il n’a pas de build up.
Les lois de l’exercice et de l’effet :
- Loi de l’exercice
- Loi de l’effet
- Révision de sa théorie
- Transfert des apprentissages et lien avec l’insight
- Loi de l’exercice
- Loi de l’utilisation
- = association qui est raviviée, utilisée, répétée se renforce
- = si on utilise le lien, le lien devient plus fort
- Loi de la désuétude
- = non utilisation d’un lien, amène la dégradation de ce lien !
- Loi de l’utilisation
- Loi de l’effet
- = un comportement suivi d’une conséquence agréable tant à augmenter de fréquence
- Un comportement suivi d’une conséquence désagréable tant à diminuer de fréquence !
- Révision de sa théorie : abandon de la loi de l’exercice et révision de la loi de l’effet
- Loi : pas banal ! C’est supposé être littéral ! = pas d’exceptions
- Ça se peut que ces lois = on les observe, mais pas tt le temps ! = ce n’est pas systématique
- Loi de l’effet : conserve la première affirmation
- Conséquence désagréable = pas automatique par contre… = pas tt le temps comme ça
- Transfert des apprentissages
- Pour qu’il y est transfert il faut que les deux situations sont associés clairement de l’une à l’autre ! = si pas claire, pas de transfert des apprentissages possibles
- Lien : différent avec le insight de Kohler : la solution est transférable à différents contextes dans l’insight pcq on comprend le principe qui peut s’appliquer à d’autres situations semblables
Le conditionnement opérant
Conditionnement opérant : Skinner : autre forme d’apprentissage
Renforcement = augmentation de la fréquence du comportement
Punition = fréquence du comportement diminue
REGARDER L’EFFET POUR VOIR SI RENFORCEMENT OU PUNITION (MISE EN SITUATION EXAM)
Ne pas se baser sur agréable ou non pour positif ou négatif: positif = ajout. Négatif = retrait
Conditionnement classique = passif, pairage s’opère avec simple exposition
Conditionnemnet opérant = actif, comportement est produit, conséquence puis en fonction de conséquence que punition ou renforcement.
Punition positive : rajout de qqchose d’aversif
Punition négative : objet est confisqué
Mise en situation CE QUI COMPTE EST LE RÉSULTAT ET PAS L’INTENTION DE L’ÉDUCATEUR.
PAR EXEMPLE : SI PARENT VEULENT PUNIR ENFANT ET COMPORTEMENT AUGMENTE DE FRÉQUENCE : IL N’Y A PAS PUNITION. SI COMPORTEMENT AUGMENTE = RENFORCEMENT, PEU IMPORTE L’INTENTION DE L’ÉDUCATEUR.
MALGRÉ INTENTION DE PUNIR, PEU RENFORCER !! C’EST LA FRÉQUENCE DU COMPORTEMENT QUI EST IMPORTANTE, PEU IMPORTE L’INTENTION. SI AUGMENTE =RENFORCEMENT, SI DIMINUE = PUNITION
Queles sont les trois désavantages du recours à la punition ?
- La punition peut engendrer, pour la personne qui subit la punition, un lien entre la « frustration » et la « personne qui administre la punition » (dit autrement, la punition peut nuire à la relation entre l’éducateur et l’éduqué)
* Amène une déviation. Animosité, frustration. Focus de l’éduqué dévie. Complique la suite des choses. - La punition, à elle seule, n’indique pas quel serait le comportement souhaitable (elle indique seulement quel est le comportement non souhaitable)
* Renforcement : dis refais le comportement. Ça dit continue.
* La punition = ça dit : ne fais pas ça, arrête. Ok mais encore … Pour tirer profit de la punition, il faut pas se contenter de punir l’enfant mais donner des instructions pour comportement qui est bon, a renforcé. - La punition ne brise pas le lien entre le comportement inadéquat et le renforcement qui lui est associé
* L’enfant qui perturbe l’ordre en classe, pourrait avoir un impact sur l’enfant. Ajout de devoir/privation.
* Par ex : enfant turbulant et veut de l’attention. En le punissant, on lui donne de l’attention. Ce lien n’est pas brisé. Il faut voir ce que cet individu recherche et ce qui le renforce. Faut lui donner sous une forme acceptable. Mène à un autre comportement pour ce même type de but. Lui donner un moyen.
Quels sont les postulats généraux du cognitivisme ?
- Comparaison avec un courant pour le premier postulat
- Comment la définition de la psychoenvironnementale change-t-elle ?
- Le comportement de l’individu dépend en bonne partie des processus cognitifs qui interviennent entre l’environnement et le comportement; bref, la constance du comportement dépend davantage de la stabilité des processus que de celle de l’environnement
- IMPORTANT = QUESTION D’EXAM !
- Quel courant = correspondance avec ce qui est dit ici : la gestalt = psycho de la forme = si nos perceptions sont stables c’est pcq nos processus sont stables, plutôt de dire que l’environnement est stable
- L’individu est téléologique : sa motivation première consiste à anticiper les changements dans son environnement, et ce, afin de pouvoir s’y adapter (= réinstauration d’un état d’équilibre)
- Téléologie : référence à l’anticipation : voir ce qui s’en vient, ce qui nous attend = on peut se fixer des buts à atteindre
- Cognitiviste - importrant pour ce courant
- La psychologie doit étudier les lois générales du comportement ainsi que les processus mentaux
- = transformation de la psycho au fil des années ! = au tout début : psychologie expérimentale = étude de la conscience humaine !
- Après = en désuétude ! = remplacer par comportementalisme = étude du comportement humain
- Après cogntiviste = on dit que c’est l’étude des lois générales du comportement mais aussi processus mentaux
- Définition de la psychoenvironnementale change selon les époques ! Question d’exam !!!!!
- COMPORTEMENTALISTE : DÉTERMINISTE ENVIRONNEMENTAL, TOUT CE CONSTRUIT AVEC LE CONTACT DE L’ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT-COMPORTEMENTS ACQUIS À CAUSE DE L’ENVIRONNEMENT
- Le développement est essentiellement quantitatif : s’opère d’une brique à la fois = tout ce qu’on eest ce construit une chose à la fois = y compris le langage = son renforcé par les parents et les enfants le répètent = et répètent les sons que ses parents font
- –> on augmente les associations et on fini d’être un humain complet
- COGNITIVISTE : potentiel chez l’individu qui va être mobilisé par l’environnement
- Sa position : plus contre le nominalisme
- Nominalisme = mots utilisés sont des constructions = définitions donnés au mot, en fonction de ce qui se passe avec l’environnement !
- Repris ici par les comportementalistes !
- Cognitiviste = pas en désaccord = mais on dit qu’on a des prédispositions face au langage = ensemble de règles dans notre cerveau = nécessite l’environnement mais sont déjà là!
- Langage - partie apprise, mais un potentiel dormant aussi
Intelligence artificielle :
- IA faible vs IA fort
- vs Searls
- IA faible : simulation de la cognition
- Faible : programmes informatiques peuvent simuler la cognition humaine = calquer, mimer = pas la même chose que de faire ce que les humains font
- Ex : ordi simule la cognition humaine = semblable mais pas identique
- IA fort : reproduction de la cognition
- Forte : lorsqu’une machine/ordi fait la même chose qu’un être humain = identique/reproduction = seul chose différente est la matière utilisée = biologique vs synthétique
- Ex : imitation game : coder les images chez les nazis = machine enigma
- Faut comprendre comment ça fonctionne pour décoder les messages ! = turing travaille dessus !
- D’après lui, si on reçoit les mêmes résultats - résultats analogues, de la part d’un ordi et d’un humain = machine faite la même chose que l’être humain
- Un des penseurs de cette vision = il l’entendait selon le IA fort
Searle = machine : slm manipuler les données symboliques mais les comprend pas
- Ex : singes - apprentissages de manipuler des idéogrammes mais il manipule slm mais comprend pas ce qui est sur le panneau qu’il manipule
- Ne peut pas donner un sens aux symboles
Qu’est-ce qu’un schème ?
Quelles sont les deux tendances des schèmes
Un schème est l’unité de base de l’intelligence. C’est un patron organisé de comportement qui reflète une manière d’agir sur l’environnement. Façon de manipuler l’information et qui mène à action sur l’environnement. Peuvent-être mentaux ou physiques.
- Organisation : Coordination progressive
- Adaptation : Assimilation et accomodation
- Assimilation : nouveau objet incorporer dans un schème sans qu’il y ait transformation du schème =
- ex : c’est quoi une chaise ? = quattre pattes, un dossier, un siège = tant qu’on rencontre des objets qui correspondent à cettte description, on va dire que c’est une chaise = pour l’assimiler au schème, si on voit une chaise à 3 pattes = on va faire une accomodation = assimiler une nouvelle définition…
- Accomodation : modification d’un schème afin d’assimiler un nouvel objet !
Quelles sont les quatres périodes de développement selon Piaget ?
Quelles sont les conditions essentielles pour se rendre aux opérations formelles ?
1) Sensorimotrice (0 à 2 ans)
* Enfant est en contact avec le monde par contact. sensoriel et moteur.
2) Préopératoire (2 à 7 ans)
3) Opération concrète (7 à 12 ans)
4) Opération formelle (12 ans et plus)
CONDITIONS ESSENTIELLES POUR SE RENDRE AUX OPÉRATIONS FORMELLES :
- Faut stimuler la logique = enfant doit explorer l’environnement = responsable de son développement en quelque sorte
- Si on isole un enfant à la naissance : enfant ne développera pas ces opérations formelles
- *pour développement de l’intelligence, il faut l’exploration de l’environnement !
- TOUT LE MONDE NE SE REND PAS JUSQU’AUX OPÉRATIONS FORMELLES - même si tt le monde a les mêmes stages
- Pas pcq capable de logique abstraite, qu’elle va nécessairement en faire usage ! = donc, qu’elle a la capacité d’opération formelle ! = c’est la personnalité qui vient interférer ici entre autre !
La zone proximale de développement (ZPD)
- quoi faire pour maximiser l’apprentissage de l’enfant ?
- Pour un apprentissage optimal, il faut stimuler la ZPD
- L’aide de l’entourage est nécessaire
- Tous les milieux ne stimuleront pas autant la ZPD
Si on veut maximiser le développement cognitif de l’enfant = il faut le confronter à des tâches qu’il n’est pas capable de faire seul = au delà un peu de ce qu’il peut faire seul
Si on donne une nouvelle tâche et on peut le faire seul = on l’a sous-stimulé = pas d’apprentissage de sa part
Si on donne une tâche et il ne peut pas participer - parent doit le faire 100% = sur-stimulé ! Pas bon non plus = devient dépendant
DOIT TROUVER UN MILIEU ENTRE LES DEUX - ZONE PROXIMALE DE DÉVELOPPEMENT = tâche avec aide d’un parent…= qui sait comment s’y prendre
Pas adulte, mais mentor = toute personne plus experte que l’enfant
L’enfant est actif mais a besoin de l’aide de l’autre pour réussir = il intériorise ce que l’autre fait… = apprentissage !
Problème : si on veut réformer le système d’éducation faut un mentor par étudiant = donc c’est compliqué !
Comparaison Piaget vs Vygotski
Théorie de Jean Piaget
- Individu actif, moteur de son propre développement
- l’environnement et manipuler objet = développe L’intelligence
- Enfant a déjà une poussée = mène à aller explorer
- Importance des relations entre pairs
Théorie de Lev Vygotski
- Individu davantage passif, dans la mesure où l’environnement échafaude les apprentissages nécessaires à son environnement
- Environnement prend en charge l’enfant
- Importance des relations hiérarchiques avec des mentors
- = experts qui aident l’enfant
AUTRES DISTINCTIONS :
- Vigotski : traces de communisme = importance du groupe, du collectif = pense comme la collectivité
- Piaget : individualisme = personne elle-même est son propre mentor = reflète mentalité occidentale dans laquelle grandit Piaget
- Deux n’avaient pas la même compréhension du langage égocentrique : c’est de se parler à soi-même… = selon Piaget : une extériorisation de la pensée pour lui = enfant se parle lui-même pcq son intelligence ne se tient pas bien dans sa tête - donc la met hors de soi pour se développer = pense à voix haute, met l’information hors de lui et lui permet de mieux développer comment il pense!
- Selon Vigotski : c’est une pensée sociale qui est en voix d’intériorisation = pensée qui se trouve dans l’environnement et on l’intériorise !
Évolution en trois vagues des thérapies cognitivo-comportementales
- Première vague : centrée sur les comportements
- Comportementaliste prend plus de place
- On parle de la cognition mais plus l’autre
- Focus sur la cognition est minimale
- Deuxième vague : centrée sur la cognition
- On se centre plus sur la cognition = Ellis, Beck
- Comment on pense détermine comment on éprouve les choses, affectif
- Psychologie enseigne au patient une certaine façon de penser pour changer son comportement. Perspective autoritaire
- Troisième vague : centrée sur l’acceptation plutôt que l’évitement des pensées pénibles
- Pas de définition unanime
- On cherche pas par des interprétations nouvelles à changer de vécu
- On laisse une place à la thérapie de pleine conscience, engagement
- Pas corriger des modes de pensée mais guider la personne par rapport à son vécu émotionnel
- Nous rapproche des thérapies humanistes