5. Chap 2 - Sect 1 : La planification stratégique Flashcards

1
Q

Il existe trois niveaux de planification. Nommez et expliquez ces trois niveaux.

A

le niveau général
Il est constitué des grandes orientations de l’entreprise. Il est souvent qualifié de stratégique;

le niveau structurel
Il correspond à la structure, c’est-à-dire à l’organisation des moyens, des personnes et des rôles dans l’entreprise pour arriver à ses fins;

le niveau opérationnel
Il correspond à la préparation des opérations concrètes et quotidiennes sur le terrain.

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2
Q

Dans une entreprise, en quoi consiste la planification stratégique?

A

La planification stratégique consiste à trouver et à actualiser, en permanence, l’adéquation entre:

-Ce que l’entreprise peut spécifiquement faire
(selon ce que demande le marché ou la société et selon les moyens qu’elle possède)

-Ce qu’elle veut faire (le produit ou le service projeté)
et ce, en fonction des possibilités et des contraintes au sein d’un environnement donné.

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3
Q

Selon Henry Mintzberg, les écoles de pensée en stratégie, principalement américaines, peuvent être regroupées en deux grandes catégories. Quelles sont-elles? Quelles écoles englobent-elles respectivement?

A

Les écoles classiques prescriptives (design, planification, positionnement)
Axées surtout sur le résultat de la réflexion stratégique, qui prend la forme de la prescription d’un chemin à suivre

Les écoles descriptives (entrepreneuriale, cognitive de l’apprentissage, politique, culturelle, environnementale, configurationnelle)
Se centrent plutôt sur la description de pratiques d’élaboration de la stratégie de l’entreprise en action.

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4
Q

En quoi consiste l’école du positionnement?

A

L’élaboration de la stratégie est un processus analytique qui se concentre sur le calcul de meilleures positions dans le marché, accessibles à l’aide de stratégies concurrentielles génériques.

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5
Q

Quelles critiques sont adressées aux écoles prescriptives?

A

S’arrête une fois le plan établi et quand l’action commence et une conception statique de la pensée stratégique, en ce sens qu’une solution est préconisée en un temps donné, alors que la réalité de l’entreprise est dynamique et appelle le changement en permanence;

Certaines entreprises ne savent pas reconnaître leurs compétences distinctives à l’avance et de façon consciente. Elles les découvrent plutôt dans l’action. De plus, ces compétences peuvent être propres à un temps et à une application donnés mais ne sont pas forcément distinctives autrement;

La planification est utile pour établir la direction à prendre mais l’est beaucoup moins lorsqu’il s’agit d’encourager le changement. Pire, elle pousse à une forme d’inactivité qui peut s’établir au détriment de l’engagement du personnel de l’entreprise;

Ces écoles conçoivent l’exercice de la pensée stratégique comme un exercice délibéré, qui revient au sommet stratégique de l’entreprise (i. e. au directeur, ses analystes, ses planificateurs stratégiques); elles négligent les processus d’apprentissage qui peuvent avoir lieu dans l’action, partout ailleurs et à tous les niveaux de l’entreprise, et qui sont susceptibles de modifier au quotidien les choix réalisés par le « haut » de la pyramide.

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6
Q

Pour l’école cognitive, il faut saisir ce qui se passe dans le cerveau des stratèges pour comprendre le processus d’élaboration de la stratégie. En quoi ce processus mental est-il forcément imparfait?

A

L’école cognitive tente de comprendre comment et avec quelle diversité se forment les concepts stratégiques dans l’esprit humain face à la complexité du monde.

Selon cette école, ce processus mental d’élaboration de la stratégie ne peut être fiable puisque :

  • L’information utilisée par les stratèges n’est pas la réalité mais une perception de la réalité et la rationalité des plans comme celles des décisions stratégiques prises est toujours limitée;
  • Les personnes diffèrent entre elles dans leur manière de penser et d’accéder à des concepts, dans leur manière de créer des idées nouvelles et enfin, dans leur capacité à s’ouvrir à d’autres idées.

En bref, face à une même situation, il est peu probable que deux personnes élaborent une même stratégie au sein d’un environnement concurrentiel donné.

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7
Q

Selon les tenants de l’approche de la stratégie par les capacités organisationnelles, sur quoi repose l’avantage concurrentiel d’une entreprise?

A

L’avantage concurrentiel d’une entreprise repose sur sa capacité à déceler, à développer et à maintenir un noyau de compétences distinctives pour atteindre un haut niveau de performance.

Par compétences distinctives (ou fondamentales), on entend les activités et les processus par lesquels les entreprises déploient leurs ressources pour obtenir un avantage concurrentiel difficilement imitable par la concurrence.

La suprématie des firmes serait ainsi liée à leur clairvoyance ainsi qu’à leur portefeuille de compétences.

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8
Q

En matière de stratégie, la notion de valeur dépend du point de vue de celui qui la mesure. Dans une vision systémique et globale, pour créer, capter et partager de la valeur entre les acteurs, il est nécessaire de dépasser les attentes des parties prenantes sur quatre volets. Lesquels?

A
  • La création de valeur économique pour les actionnaires;
  • Le jugement des clients à partir des bénéfices reçus;
  • L’appréciation des employés envers leur organisation;
  • L’évaluation de l’organisation envers ses responsabilités sociales.
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9
Q

L’exercice de la pensée stratégique, qui articule constamment des raisons (pourquoi) et des choix (quoi) d’action, consiste à atteindre deux objectifs. Quels sont ces deux objectifs et en quoi consistent-ils?

A

Clarifier le projet en jeu, en concevant tous les éléments clés du raisonnement moyens => fins, depuis la mission et la vision de l’entreprise jusqu’aux objectifs stratégiques poursuivis et aux stratégies d’entreprise ainsi qu’aux stratégies concurrentielles utilisées;

S’assurer de la cohérence de ce projet et des choix critiques qu’il suppose, selon les valeurs, les ressources, les compétences de l’entreprise et de l’entrepreneur et selon son acceptabilité dans l’environnement sociétal, c’est-à-dire auprès des parties prenantes de l’entreprise.

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10
Q

À l’ère de l’économie du savoir, en quoi se distinguent la vision et la mission d’une entreprise?

A

La vision est une représentation subjective de l’avenir souhaité pour l’entreprise, qui doit recueillir l’adhésion de tous les membres de l’organisation. Elle fonde l’énoncé de sa mission et guide les savoirs à construire dans l’entreprise.

À l’ère de l’économie du savoir, la vision est la capacité à concevoir l’avenir en interprétant son environnement, élément distinctif clé qui différencie les firmes les unes des autres plus que tout facteur de compétitivité.

Quant à elle, la mission est l’énoncé général de « la raison d’être » de l’entreprise, qui sert à communiquer « qui elle est, ce qu’elle fait et vers quoi elle se dirige ». Elle constitue une projection au présent de la vision de l’entreprise. La mission reflète, en général, les valeurs et la vision partagées par les membres de l’entreprise et se veut en phase avec les attentes des principales parties prenantes de celle-ci.

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11
Q

En quoi consiste l’objectif stratégique pour une entreprise?

A

L’objectif stratégique est un résultat final particulier et escompté en fonction d’un horizon temporel déterminé.

C’est un but précis que se propose l’action. Il doit être concret, mesurable, datable et quantifiable. Alors que les buts sont des idéaux, des intentions, les objectifs eux sont des cibles quantifiables qui peuvent être mesurées à la fin d’une période donnée.

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12
Q

Pour H. Igor Ansoff, il existe quatre grandes orientations stratégiques possibles au niveau corporatif. Quelles sont ces différentes orientations?

A

La pénétration et la consolidation : augmentation ou maintien de la diffusion de produits existants dans le marché existant.
Un exemple? Ceci implique, pour l’entreprise, d’améliorer la qualité de son service à la clientèle ou encore d’augmenter ses dépenses en marketing pour s’assurer d’un avantage concurrentiel. Les entreprises de télécommunication (Bell et Rogers, par exemple) correspondent bien à cette orientation stratégique.

La création de nouveaux produits et services dans un marché existant.
Un exemple? Ceci implique, pour l’entreprise, d’apporter des améliorations à un produit existant, que ce soit sur le plan esthétique ou sur le plan de ses fonctionnalités. En raison de leurs cycles de vie très courts, les produits électroniques (le iPad d’Apple, notamment) correspondent bien à cette orientation stratégique.

La création de nouveaux marchés pour des produits existants.
Un exemple? Ceci implique, pour l’entreprise, le développement de nouvelles capacités. Prenons l’exemple des bières Heineken qui se retrouvent sur la plupart des marchés à l’échelle internationale.

La diversification : engagement dans des domaines d’activité nouveaux pour l’organisation.
Un exemple? Ceci implique de détenir les compétences nécessaires pour développer différentes gammes d’activités. L’entreprise Google incarne bien cette orientation stratégique. Elle a procédé au rachat de différentes entreprises (YouTube, Keyhole, Picasa, par exemple) et elle offre différents produits et services (moteur de recherche, courrier électronique, géolocalisation, photos sur Internet…).

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13
Q

Lorsqu’il est question de diversification au niveau corporatif, quelle est la distinction entre la diversification liée et la diversification non liée?

A

La diversification liée correspond au développement de nouveaux champs stratégiques qui présentent des points communs avec les activités existantes.

La diversification non liée correspond au développement de nouveaux champs stratégiques qui ne présentent aucun point commun avec les activités existantes.

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14
Q

Lorsqu’il est question de diversification au niveau corporatif, en quoi se distinguent l’intégration verticale et l’intégration horizontale?

A

L’intégration verticale consiste en un développement vers des activités adjacentes, en amont ou en aval de l’industrie, dans la filière d’appartenance.
Prenons l’exemple de l’entreprise Samsung qui, à l’origine, fabriquait des semi-conducteurs est devenue un constructeur de téléphones mobiles et d’ordinateurs. Apple est un autre exemple. Cette entreprise développe, dans une grande majorité, les composantes de ses produits. On peut ajouter à ces exemples, celui de l’industrie du transport aérien. Les entreprises qui y sont associées ont intégré les services d’entretien, de restauration et d’agence de voyages.

L’intégration horizontale consiste en un développement vers des activités complémentaires ou concurrentes, par rapport aux champs stratégiques existants.
Prenons l’exemple de l’entreprise Unilever qui offre des produits d’alimentation surgelés, de la lessive ou encore de la margarine. Ces produits n’ont rien en commun, si ce n’est qu’ils sont offerts aux mêmes consommateurs par des canaux de distribution identiques.

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15
Q

Les capacités organisationnelles sont l’habileté à mettre en application les ressources, à activer leur potentiel et à en tirer la meilleure productivité. Ces capacités sont de deux ordres, lesquels? Détaillez.

A
  • Les compétences, qui participent à la mise en œuvre et à l’accumulation des ressources. Elles sont de trois dimensions : la connaissance (savoir), la pratique (savoir-faire) et les attitudes (savoir-être) de la personne et d’un collectif humain;
  • Les capacités dynamiques, qui participent au renouvellement des compétences de l’entreprise. Elles peuvent consister en des capacités d’apprentissage, d’innovation, de détermination des compétences clés, de préservation des compétences stratégiques de l’entreprise.
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16
Q

Le modèle d’affaires est un instrument qui traduit des choix stratégiques en illustrant comment une entreprise entend créer, capter partiellement et partager de la valeur. C’est une sorte de plan d’architecte qui dessine le modèle d’existence d’une entreprise selon quatre logiques. Quelles sont ces quatre logiques?

A
  • La création de valeur pour le client. Il y a création de valeur pour le client lorsque ce dernier juge que les bénéfices d’un produit ou d’un service excèdent les coûts d’acquisition, c’est-à-dire lorsqu’il y a dépassement de ses attentes.
  • La maîtrise de ressources, de processus et de compétences clés. Ce sont principalement les actifs intangibles qui sont porteurs de succès durables (la réputation, les effets de réseaux, la main-d’œuvre dévouée et compétente).
  • La création d’un réseau de partenaires. Il s’agit de mettre en relief le potentiel d’un réseau de partenaires (fournisseurs, clients, alliances) pour saisir les occasions conjointes de création et de partage de la valeur.
  • La génération de revenus. Comment l’entreprise gagnera-t-elle de l’argent ou encore, comment financera-t-elle ses activités? Il s’agit de spécifier les mécanismes générateurs de revenus, la structure des coûts des ressources utilisées et les prévisions de rentabilité.
17
Q

Quelles sont les différentes formes d’environnement? Détaillez.

A
  • L’environnement général, défini comme l’ensemble des faits (différences culturelles, niveaux de scolarité, etc.), des dispositions (lois et règlements), des circonstances (climat politique), des conditions (climat écologique, avancées technologiques, etc.) et des acteurs (clients, fournisseurs, investisseurs, main-d’œuvre, etc.) réels ou perçus pouvant toucher directement ou indirectement les activités d’une entreprise et réciproquement. L’étude détaillée de cet environnement constitue souvent une bonne part des études de marché en marketing, par exemple.
  • L’environnement interne, constitué de l’état des ressources et aptitudes internes, des relations interpersonnelles, des structures, etc., de l’organisation.
  • L’environnement externe ou macroenvironnement, c’est-à-dire l’ensemble des conditions extérieures dites PESTEL (Politiques, Économiques et concurrentielles, Sociologiques et culturelles, Technologiques, Écologiques, Légales et réglementaires) perçues comme étant susceptibles d’agir sur les capacités de l’entreprise à exister et à se développer, en suscitant des contraintes ou des imprévus, en favorisant les innovations ou en lui offrant des occasions d’expansion.
  • L’environnement concurrentiel de l’entreprise renvoie à son industrie d’appartenance, composée d’un ensemble d’entreprises qui se livrent une concurrence car elles fabriquent des produits ou des services plus ou moins similaires avec des méthodes plus au moins identiques.
18
Q

En quoi l’héritage de la vision tayloriste verticale du travail influence-t-il la façon dont nous percevons généralement le stratège dans l’entreprise? En quoi la vision actuelle, à l’ère de la société du savoir, est-elle différente?

A

La pensée stratégique est souvent perçue, dans les écoles de pensée formelles, comme étant l’apanage du sommet de la hiérarchie, des décideurs en haut lieu, des dirigeants, armés pour penser quand d’autres exécutent.

Aujourd’hui, personne n’ignore que les connaissances s’acquièrent dans le partage aussi bien vertical qu’horizontal. C’est pourquoi, on a tendance à considérer que la stratégie émerge des interactions constantes entre le haut et le bas de la pyramide, plutôt que d’être planifiée uniquement par le haut.

19
Q

Selon Alain-Charles Martinet, en quoi consiste la stratégie pour une entreprise?

A

Comparez votre réponse
La stratégie est « la création des conditions de congruence — économiques, techniques, sociales et politiques — entre l’environnement et l’entreprise de sorte que celle-ci dispose d’un potentiel maximum de performances » (Martinet, 1984). La stratégie consiste ainsi à composer un équilibre viable et pérenne entre les forces internes et les forces externes s’exerçant sur l’entreprise.

20
Q

En quoi consiste un avantage concurrentiel?

A

Un avantage concurrentiel provient du différentiel de valeur perçu dans le rapport qualité-coûts entre deux offres concurrentes.

C’est une sorte de force avec laquelle l’entreprise établit temporairement sa spécificité par rapport à sa concurrence.

L’avantage concurrentiel est durable lorsqu’il provient d’une offre, de ressources et de compétences rares ou inimitables.
Un exemple? Coca-Cola, dont la recette de la boisson gazeuse demeure secrète, bénéficie d’un avantage concurrentiel. À ceci s’ajoute le pouvoir de la marque qui est reconnue à l’échelle internationale depuis des décennies.

21
Q

Quelles sont les trois conceptions de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) et en quoi consistent-elles?

A
  • L’approche néoclassique (exercice de la RSE au profit des actionnaires) : au-delà de ses responsabilités pénales, la RSE ne s’exerce que par les seules décisions destinées à améliorer la rentabilité des actionnaires;
  • L’approche des parties prenantes : l’entreprise est au cœur d’un réseau de relations avec ses actionnaires mais aussi avec un ensemble d’intéressés légitimes qui influent sur ses activités et ses décisions ou sont influencés par elles. Il s’agit alors de hiérarchiser les attentes des parties prenantes selon leur pouvoir, leur légitimité, l’urgence des pressions, les problèmes ou les enjeux soulevés;
  • L’approche sociologique néo-institutionnelle : l’entreprise est au sein d’un champ social qui inscrit les décisions stratégiques dans une recherche de légitimité et de conformité aux valeurs dominantes de la société. En ce sens, un comportement socialement responsable et une éthique minimale ne peuvent se réduire à une stratégie rationnelle; ils existent parce qu’il serait impensable de faire autrement.
22
Q

En quoi consistent les huit éléments de la RSE moderne?

A
  • La gestion efficiente: existence de profits, avec comme condition le maintien durable des acquis et une gestion compétente (effort permanent d’utiliser au mieux des connaissances afin de gérer les ressources collectivement disponibles);
  • La philanthropie: attitude de partage de l’environnement proche; donne à l’entreprise et à son environnement le sens d’une identité commune;
  • La sollicitude : gestion humaniste des employés, considérés non seulement comme des moyens d’atteindre les objectifs stratégiques mais aussi comme des fins en soi;
  • La limitation des nuisances : limitation de la totalité des nuisances que peuvent générer les activités de l’entreprise et non pas seulement les nuisances naturelles;
  • La réceptivité sociale : se doter de structures, de systèmes et d’une culture pour anticiper, détecter et absorber loyalement les changements sociopolitiques de l’environnement;
  • La rectitude éthique : au-delà du respect des lois, le respect des normes sociales;
  • La reddition de comptes : transparence de l’entreprise et abondance, compréhension, justesse, vérifiabilité et utilité des informations communiquées par l’entreprise quant à ses activités.
  • La participation citoyenne : au-delà de la prise en compte des parties prenantes, un engagement citoyen proactif de l’entreprise envers le bien commun.