Thème 7: Infections courantes en pédiatrie Flashcards

1
Q

Anatomie de l’oreille moyenne: IMAGE

A
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2
Q

Examen otoscopique: IMAGE

A
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3
Q

Décrire un tympan normal

A
  • reflet lumineux
  • osselet
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4
Q

Tympan normal: IMAGE

A
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5
Q

Oreille moyenne aiguë: Pathophysiologie

A
  • Voies respiratoires supérieures
    ——- Non stérile
  • Événement prédisposant (ex:IVRS)
  • Œdème inflammatoire de muqueuse (nez, nasopharynx, trompe eustache)
  • Obstruction au drainage naturel des sécrétions au niveau de isthme de la trompe d’eustache
  • Diminution de ventilation et pression négative dans
    oreille moyenne = accumulation de sécrétions
  • Entrée de virus/ bactéries au niveau oreille moyenne
  • Croissance microbienne = Signes et Sx OMA
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6
Q

Oreille moyenne aiguë: Pathophysiologie - étapes

A
  • Voies respiratoires supérieures
    ——- Non stérile
  • Événement prédisposant (ex:IVRS)
  • Œdème inflammatoire de muqueuse (nez, nasopharynx, trompe eustache)
  • Obstruction au drainage naturel des sécrétions au niveau de isthme de la trompe d’eustache
  • Diminution de ventilation et pression négative dans
    oreille moyenne = accumulation de sécrétions
  • Entrée de virus/ bactéries au niveau oreille moyenne
  • Croissance microbienne = Signes et Sx OMA
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7
Q

Prémisse de toute infection

A
  • Toute infection part d’une flore résidente
    —- Les flores normales déterminent les pathogènes que l’on va retrouver
  • Les flores se modulent au fil des ans
    —– Les enfants et adultes n’ont pas la même flore
    —- ex. enfants sont bcp affectés par Strep pneumoniae, les adultes beaucoup moins (moins de strep dans la flore résidente des adultes)
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8
Q

Trompe d’Eustache: relie quoi à quoi?

A
  • oreille moyenne
  • nasopharynx
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9
Q

Oreille moyenne: image

A
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10
Q

Membrane tympanique normale

A
  • reflet lumineux
  • rose violacée
  • pas rouge érythrémateux, pas jaune
  • les vaisseaux sanguins sont bien répartis
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11
Q

Otite séreuse: définition

A
  • Otite séreuse: inflammation de l’oreille moyenne qui se caractérise par la présence d’une collection de liquide d’aspect séreux derrière le tympan.
  • Elle fait souvent suite à une OMA
  • Otite moyenne est en train de guérir, pas de liquide purulent
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12
Q

Otite moyenne aiguë: définition

A
  • Otite moyenne aiguë: inflammation aigue de l’oreille moyenne, liée à une infection virale ou bactérienne
  • On peut pas déterminer si c’est viral ou bactérien à vieux d’oeil
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13
Q

Otite moyenne aiguë: Image de tympan

A
  • tympan bombé
  • augmentation des vaisseaux sanguins
  • niveau de liquide
  • érythrème
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14
Q

OMA: incidence

A
  • Pic d’incidence entre 6 mois et 2 ans
  • 2ème pic d’incidence entre 5 et 6 ans
  • Fréquente avant 4 ans
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15
Q

OMA: Pics d’incidence

A
  • Pic d’incidence entre 6 mois et 2 ans
  • 2ème pic d’incidence entre 5 et 6 ans
  • Fréquente avant 4 ans
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16
Q

Facteurs de risques d’OMA

A
  • Jeune âge (< 2 ans)
  • Sexe masculin
  • Histoire familiale d’otites récidivantes
  • Atopie
  • Anomalies crâniofaciales (ex. fentes palatines)
  • Trisomie 21 (anatomie différente)
  • Déficit immunitaire
  • Utilisation de la bouteille en position couchée
  • Fréquentation garderie
  • Exposition aux différents virus respiratoires
  • Utilisation prolongée de la sucette
  • Tabagisme passif
  • Protection conférée par allaitement maternel jusqu’à âge de 6 mois
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17
Q

Facteur de protection d’OMA

A
  • Protection conférée par allaitement maternel jusqu’à âge de 6 mois
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18
Q

OMA: Dx

A
  1. Apparition aiguë des signes et symptômes
  2. Épanchement au niveau de l’oreille moyenne (confirmé à l’otoscopie)
    * Bombement de la membrane tympanique OU
    * Membrane tympanique colorée et opaque OU
    * Otorrhée non due à une otite externe OU
    * Mobilité absente ou limitée de la membrane tympanique;
  3. Signes d’inflammation de l’oreille moyenne:
    * Érythème marqué de la membrane tympanique
    OU
    * Otalgie
    —– Douleur à l’oreille qui interfère avec les activités normales ou le sommeil
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19
Q
A

tympan normal

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20
Q
A

début d’épanchement mucopurulent
- tympan bombé
- érythrémateux

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21
Q
A

Bombement modéré de la membrane avec épanchement mucopurulent (otite subaiguë)

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22
Q
A

Bombement sévère de la membrane tympanique avec épanchement mucopurulent

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23
Q
A

otite mucoïde classique (épanchement sans inflammation avec rétraction (dernier mot coupé)) –> en guérison

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24
Q
A

Otite séreuse classique (moins fréquent chez l’enfant) –> en guérison

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25
Q

OMA: Critères de traitement

A
  • La majorité des OMA guérissent sans antibiothérapie.
  • La majorité des complications liées aux OMA (mastoïdite, etc.) surviennent dans un contexte d’otite à pneumocoques et chez les enfants âgés de < 2 ans
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26
Q

OMA: Évolution

A
  • La majorité des OMA guérissent sans antibiothérapie (pcq la majorité est virale).
  • La majorité des complications liées aux OMA (mastoïdite, etc.) surviennent dans un contexte d’otite à pneumocoques et chez les enfants âgés de < 2 ans
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27
Q

OMA: cause des complications

A
  • La majorité des OMA guérissent sans antibiothérapie.
  • La majorité des complications liées aux OMA (mastoïdite, etc.) surviennent dans un contexte d’otite à pneumocoques et chez les enfants âgés de < 2 ans
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28
Q

Traitement symptomatique de l’OMA

A
  1. Antipyrétiques
    * Acetaminophène 15 mg/kg/dose q 4-6 heures
    * Ibuprofen 10 mg/kg/dose q 6-8 heures
  2. Réévaluer l’enfant si les symptomes persistent plus
    de 48 heures.
  3. Ni les décongestionnants ni les antihistaminiques n’ont démontré d’utilité dans le traitement de l’OMA chez l’enfant.
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29
Q

Traitement symptomatique de l’OMA: Antipyrétiques

A
  1. Antipyrétiques
    * Acetaminophène 15 mg/kg/dose q 4-6 heures
    * Ibuprofen 10 mg/kg/dose q 6-8 heures
  2. Réévaluer l’enfant si les symptomes persistent plus de 48 heures.
  3. Ni les décongestionnants ni les antihistaminiques n’ont démontré d’utilité dans le traitement de l’OMA chez l’enfant.
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30
Q

Traitement symptomatique de l’OMA: Quand réévaluer?

A
  1. Antipyrétiques
    * Acetaminophène 15 mg/kg/dose q 4-6 heures
    * Ibuprofen 10 mg/kg/dose q 6-8 heures
  2. Réévaluer l’enfant si les symptomes persistent plus de 48 heures.
    —— donner antibio: bactérien!
  3. Ni les décongestionnants ni les antihistaminiques n’ont démontré d’utilité dans le traitement de l’OMA chez l’enfant.
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31
Q

Traitement symptomatique de l’OMA: Décongestionnants et antihistaminiques

A
  1. Antipyrétiques
    * Acetaminophène 15 mg/kg/dose q 4-6 heures
    * Ibuprofen 10 mg/kg/dose q 6-8 heures
  2. Réévaluer l’enfant si les symptomes persistent plus de 48 heures.
  3. Ni les décongestionnants ni les antihistaminiques n’ont démontré d’utilité dans le traitement de l’OMA chez l’enfant.
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32
Q

Prise en charge OMA: ALGORITHME

A
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33
Q

OMA: Conditions qui nécessitent une consultation urgente en spécialité

A
  • Nourrisson de moins de 3 mois avec température ≥ à 38°C;
  • Suspicion de méningite ou de mastoïdite;
  • Toxicité ou atteinte de l’état général.
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34
Q

OMA: Option d’observation

A

Retarder le traitement antibiotique de 48 heures :
—- Appropriée si
* le prescripteur le juge à propos;
* une antibiothérapie peut être débutée lorsque les symptômes persistent ou s’aggravent;
* collaboration des parents (décision partagée).

—- Non appropriée chez les enfants
* de moins de 6 mois;
* atteints d’immunodéficience, de maladie cardiaque ou
pulmonaire chronique, d’anomalies de la tête et du cou;
* avec symptômes sévères.

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35
Q

OMA: Option d’observation - APPROPRIÉ QUAND?

A

Retarder le traitement antibiotique de 48 heures :
—- Appropriée si
* le prescripteur le juge à propos;
* une antibiothérapie peut être débutée lorsque les symptômes persistent ou s’aggravent;
* collaboration des parents (décision partagée).

—- Non appropriée chez les enfants
* de moins de 6 mois;
* atteints d’immunodéficience, de maladie cardiaque ou
pulmonaire chronique, d’anomalies de la tête et du cou;
* avec symptômes sévères.

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36
Q

OMA: Option d’observation - NON approprié quand?

A

Retarder le traitement antibiotique de 48 heures :
—- Appropriée si
* le prescripteur le juge à propos;
* une antibiothérapie peut être débutée lorsque les symptômes persistent ou s’aggravent;
* collaboration des parents (décision partagée).

—- Non appropriée chez les enfants
* de moins de 6 mois;
* atteints d’immunodéficience, de maladie cardiaque ou
pulmonaire chronique, d’anomalies de la tête et du cou
;
* avec symptômes sévères.

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37
Q

Critères d’antibiothérapie initiale ou d’observation pour les enfants avec OMA

A
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38
Q

OMA: Choix d’antibiotique initial

A
  • Amoxicilline à hautes doses (90 mg/kg/jour) :
  • Atteindre des concentrations thérapeutiques dans l’oreille moyenne pour le traitement des pneumocoques intermédiaire ou résistant à la Pénicilline.
  • Généralement bien tolérées par les enfants.
  • Cependant, chez l’enfant qui ne présente aucun facteur de risque de résistance, une dose d’amoxicilline de 45 mg/kg/jour TID peut être envisagée.
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39
Q

OMA: Choix d’antibiotique initial
- quel antibio?

A
  • Amoxicilline à hautes doses (90 mg/kg/jour) :
  • Atteindre des concentrations thérapeutiques dans l’oreille moyenne pour le traitement des pneumocoques intermédiaire ou résistant à la Pénicilline.
  • Généralement bien tolérées par les enfants.
  • Cependant, chez l’enfant qui ne présente aucun facteur de risque de résistance, une dose d’amoxicilline de 45 mg/kg/jour TID peut être envisagée.
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40
Q

OMA: Choix d’antibiotique initial
- dose?

A
  • Amoxicilline à hautes doses (90 mg/kg/jour) :
  • Atteindre des concentrations thérapeutiques dans l’oreille moyenne pour le traitement des pneumocoques intermédiaire ou résistant à la Pénicilline.
  • Généralement bien tolérées par les enfants.
  • Cependant, chez l’enfant qui ne présente aucun facteur de risque de résistance, une dose d’amoxicilline de 45 mg/kg/jour TID peut être envisagée.
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41
Q

OMA: Choix d’antibiotique initial
- pourquoi haute dose?

A
  • Amoxicilline à hautes doses (90 mg/kg/jour) :
  • Atteindre des concentrations thérapeutiques dans l’oreille moyenne pour le traitement des pneumocoques intermédiaire ou résistant à la Pénicilline.
  • Généralement bien tolérées par les enfants.
  • Cependant, chez l’enfant qui ne présente aucun facteur de risque de résistance, une dose d’amoxicilline de 45 mg/kg/jour TID peut être envisagée.
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42
Q

OMA: Choix d’antibiotique initial
- E2

A
  • Amoxicilline à hautes doses (90 mg/kg/jour) :
  • Atteindre des concentrations thérapeutiques dans l’oreille moyenne pour le traitement des pneumocoques intermédiaire ou résistant à la Pénicilline.
  • Généralement bien tolérées par les enfants.
  • Cependant, chez l’enfant qui ne présente aucun facteur de risque de résistance, une dose d’amoxicilline de 45 mg/kg/jour TID peut être envisagée.
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43
Q

OMA: Choix d’antibiotique initial
- haute dose ou dose standard?

A
  • Amoxicilline à hautes doses (90 mg/kg/jour) :
  • Atteindre des concentrations thérapeutiques dans l’oreille moyenne pour le traitement des pneumocoques intermédiaire ou résistant à la Pénicilline.
  • Généralement bien tolérées par les enfants.
  • Cependant, chez l’enfant qui ne présente aucun facteur de risque de résistance, une dose d’amoxicilline de 45 mg/kg/jour TID peut être envisagée.
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44
Q

OMA: Choix ALTERNATIF d’antibiotique

A
  1. Antibiotique résistant aux ß-lactamases:
    * l’enfant a déjà reçu de l’amoxicilline dans les 30 derniers jours;
    * (ou qu’il présente en outre une conjonctivite purulente);
    * ou en cas d’OMA antérieure résistante à l’amoxicilline.
  2. Acide clavulanique = inhibiteur de ß-lactamases
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45
Q

OMA: Choix ALTERNATIF d’antibiotique
- indication antibio résistant aux bêta-lactamases

A
  1. Antibiotique résistant aux ß-lactamases:
    * l’enfant a déjà reçu de l’amoxicilline dans les 30 derniers jours;
    * (ou qu’il présente en outre une conjonctivite purulente);
    * ou en cas d’OMA antérieure résistante à l’amoxicilline.
  2. Acide clavulanique = inhibiteur de ß-lactamases
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46
Q

OMA: Choix ALTERNATIF d’antibiotique
- inhibiteur de bêta-lactamases

A
  1. Antibiotique résistant aux ß-lactamases:
    * l’enfant a déjà reçu de l’amoxicilline dans les 30 derniers jours;
    * (ou qu’il présente en outre une conjonctivite purulente);
    * ou en cas d’OMA antérieure résistante à l’amoxicilline.
  2. Acide clavulanique = inhibiteur de ß-lactamases
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47
Q

OMA: Quelle est la valeur de la HAUTE dose vs dose USUELLE de pénécilline?

A
  • Haute dose = 90mg/kg/jour
  • Dose usuelle = 45mg/kg/jour
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48
Q

Traitement antibiotique de l’OMA (1ÈRE INTENTION)

A
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49
Q

Traitement antibiotique de l’OMA (2ÈME INTENTION)

A
  • Haute dose = 90mg/kg/jour
  • Dose usuelle = 45mg/kg/jour
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50
Q

OMA légère avec tubes trans-tympaniques

A
  • Le traitement d’une OMA légère avec otorrhée chez un enfant qui a des tubes de ventilation consiste en l’application de gouttes antibiotiques de ciprofloxacine avec ou sans corticostéroïde BID dans le canal auditif externe pendant une durée incluant 2 jours sans écoulement.
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51
Q

OMA: Quoi faire quand aucun traitement fonctionne?

A
  1. Échec : lorsque récidive en < 7 jours après Rx
  2. Persistance des symptômes après 1-2 traitements d’antibiotiques
  3. Récurrences fréquentes : ≥ 3 / 6 ou ≥ 4 / 12 mois
  4. Moyens à envisager en cas d’échec :
    * Utiliser d’emblée doses élevées d’AmoxilTM
    * Contrôler les facteurs de risque
    * Ceftriaxone IM x 3 jours (Leibovitz PIDJ 2000;19:1040-5)
    * Considérer la chirurgie ( paracentèse ± TTT )
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52
Q

OMA: Tx ne fonctionne pas
- définir échec

A
  1. Échec : lorsque récidive en < 7 jours après Rx
  2. Persistance des symptômes après 1-2 traitements d’antibiotiques
  3. Récurrences fréquentes : ≥ 3 / 6 ou ≥ 4 / 12 mois
  4. Moyens à envisager en cas d’échec :
    * Utiliser d’emblée doses élevées d’AmoxilTM
    * Contrôler les facteurs de risque
    * Ceftriaxone IM x 3 jours (Leibovitz PIDJ 2000;19:1040-5)
    * Considérer la chirurgie ( paracentèse ± TTT )
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53
Q

OMA: Tx ne fonctionne pas
- définir persistance

A
  1. Échec : lorsque récidive en < 7 jours après Rx
  2. Persistance des symptômes après 1-2 traitements d’antibiotiques
  3. Récurrences fréquentes : ≥ 3 / 6 ou ≥ 4 / 12 mois
  4. Moyens à envisager en cas d’échec :
    * Utiliser d’emblée doses élevées d’AmoxilTM
    * Contrôler les facteurs de risque
    * Ceftriaxone IM x 3 jours (Leibovitz PIDJ 2000;19:1040-5)
    * Considérer la chirurgie ( paracentèse ± TTT )
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54
Q

OMA: Tx ne fonctionne pas
- définir récurrences fréquentes

A
  1. Échec : lorsque récidive en < 7 jours après Rx
  2. Persistance des symptômes après 1-2 traitements d’antibiotiques
  3. Récurrences fréquentes : ≥ 3 / 6 ou ≥ 4 / 12 mois
  4. Moyens à envisager en cas d’échec :
    * Utiliser d’emblée doses élevées d’AmoxilTM
    * Contrôler les facteurs de risque
    * Ceftriaxone IM x 3 jours (Leibovitz PIDJ 2000;19:1040-5)
    * Considérer la chirurgie ( paracentèse ± TTT )
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55
Q

OMA: Tx ne fonctionne pas
- moyens à envisager en cas d’échec

A
  1. Échec : lorsque récidive en < 7 jours après Rx
  2. Persistance des symptômes après 1-2 traitements d’antibiotiques
  3. Récurrences fréquentes : ≥ 3 / 6 ou ≥ 4 / 12 mois
  4. Moyens à envisager en cas d’échec :
    * Utiliser d’emblée doses élevées d’AmoxilTM
    * Contrôler les facteurs de risque
    * Ceftriaxone IM x 3 jours (Leibovitz PIDJ 2000;19:1040-5)
    * Considérer la chirurgie ( paracentèse ± TTT )
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56
Q

OMA: Critères de consultation en ORL

A

(Indications)
* Présence d’OMA réfractaire aux traitements antibiotiques de 2e ligne;
* Plus de 4 épisodes d’OMA en 6 mois ou 6 épisodes par année;
* Perforation tympanique non résolue après 6 semaines. (même si otite est résolue)
* Retard de langage
* Effusion persistante

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57
Q

Complications de l’OMA: Nommez-les

A
  1. mastoïdite aiguë
  2. complications intratemporales
  3. complications intrcrâniennes
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58
Q

Complications de l’OMA: Mastoïdite aiguë

A
  • Principale complication de l’OMA
  • Inflammation des cellules mastoïdiennes
    —— Modifications radiologiques à la tomodensitométrie
  • Symptômes cliniques
    —– fièvre, otalgie, douleur et oedème au-dessus de l’os mastoïde (derrière l’oreille), protrusion de l’oreille
  • Traitement
    —— Antibiothérapie systémique
    —— Chirurgical (paracentèse ou drainage)
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59
Q

Complications de l’OMA: Mastoïdite aiguë
- fréquence

A
  • Principale complication de l’OMA
  • Inflammation des cellules mastoïdiennes
    —— Modifications radiologiques à la tomodensitométrie
    *Symptômes cliniques
    —– fièvre, otalgie, douleur et oedème au-dessus de l’os mastoïde (derrière l’oreille), protrusion de l’oreille
  • Traitement
    —— Antibiothérapie systémique
    —— Chirurgical (paracentèse ou drainage)
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60
Q

Complications de l’OMA: Mastoïdite aiguë
- c’est quoi?

A
  • Principale complication de l’OMA
  • Inflammation des cellules mastoïdiennes
    —— Modifications radiologiques à la tomodensitométrie
  • Symptômes cliniques
    —– fièvre, otalgie, douleur et oedème au-dessus de l’os mastoïde (derrière l’oreille), protrusion de l’oreille
  • Traitement
    —— Antibiothérapie systémique
    —— Chirurgical (paracentèse ou drainage)
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61
Q

Complications de l’OMA: Mastoïdite aiguë
- modifications radiologiques

A
  • Principale complication de l’OMA
  • Inflammation des cellules mastoïdiennes
    —— Modifications radiologiques à la tomodensitométrie
  • Symptômes cliniques
    —– fièvre, otalgie, douleur et oedème au-dessus de l’os mastoïde (derrière l’oreille), protrusion de l’oreille
  • Traitement
    —— Antibiothérapie systémique
    —— Chirurgical (paracentèse ou drainage)
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62
Q

Complications de l’OMA: Mastoïdite aiguë
- sx cliniques

A
  • Principale complication de l’OMA
  • Inflammation des cellules mastoïdiennes
    —— Modifications radiologiques à la tomodensitométrie
  • Symptômes cliniques
    —– fièvre, otalgie, douleur et oedème au-dessus de l’os mastoïde (derrière l’oreille), protrusion de l’oreille
  • Traitement
    —— Antibiothérapie systémique
    —— Chirurgical (paracentèse ou drainage)
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63
Q

Complications de l’OMA: Mastoïdite aiguë
- traitement

A
  • Principale complication de l’OMA
  • Inflammation des cellules mastoïdiennes
    —— Modifications radiologiques à la tomodensitométrie
    *Symptômes cliniques
    —– fièvre, otalgie, douleur et oedème au-dessus de l’os mastoïde (derrière l’oreille), protrusion de l’oreille
  • Traitement
    —— Antibiothérapie systémique
    —— Chirurgical (paracentèse ou drainage)
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64
Q

Complications de l’OMA: Complications intra-temporales
- nommez-les

A
  • paralysie aiguë du nerf facial (septième nerf crânien), qui est également liée à une inflammation de l’os temporal
  • Perte auditive
  • Labyrinthite
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65
Q

Complications de l’OMA: Complications intracrâniennes
- nommez-les

A
  • Méningite
  • Abcès cérébral
  • Thrombose du sinus caverneux
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66
Q

Pharyngite: Étiologie - nommez-les

A
  1. virale (80%)
  2. bactérienne (20%)
  3. fongique
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67
Q

Pharyngite: Étiologie - fréquence de chacune

A
  1. virale (80%)
  2. bactérienne (20%)
  3. fongique
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68
Q

Pharyngite: Étiologie - nommez les virus

A

Virale (80%):
* Influenza
* Parainfluenza
* Rhinovirus/entérovirus
* Coronavirus (incluant le SARS-CoV-2)
* Adénovirus
* Métapneumovirus (hMPV)
* Virus Respiratoire Syncytial (VRS)
* Herpes Simplex (HSV)
* Epstein-Bar virus (EBV) –> mononucléose, ressemble à pharyngite bactérienne

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69
Q

Pharyngite: Étiologie - nommez les bactéries

A
  • Streptococcus pyogenes (SGA) –> strep groupe A
  • Streptococcocus groupe C et G
  • Arcanobacterium haemolyticum
  • Fusobacterium necrophorum
  • Neisseria gonorrhoeae (rare, adolescence) –> ados actifs sexuellement
  • Corynebacterium diphteriae
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70
Q

Pharyngite: Étiologie - nommez les causes fongiques possibles

A
  • Candida –> donne des plancards blanchâtres
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71
Q

Dxd Odynophagie

A
  • Étiologies infectieuses autres:
    —– Abcès para/rétro pharyngé ou amygdalien
    —– Épiglottite
  • Syndromes inflammatoires:
    —– Maladie de Kawasaki
    —– Syndrome de Behçet
    —– PFAPA
  • Corps étrangers
  • Exposition chimique
  • Syndrome de Steven-Johnson
  • Allergies

(liste non exhaustive)

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72
Q

Dxd Odynophagie
- étiologies infectieuses autres

A
  • Étiologies infectieuses autres:
    —– Abcès para/rétro pharyngé ou amygdalien
    —– Épiglottite
  • Syndromes inflammatoires:
    —– Maladie de Kawasaki
    —– Syndrome de Behçet
    —– PFAPA
  • Corps étrangers
  • Exposition chimique
  • Syndrome de Steven-Johnson
  • Allergies

(liste non exhaustive)

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73
Q

Dxd Odynophagie
- syndromes inflammatoires

A
  • Étiologies infectieuses autres:
    —– Abcès para/rétro pharyngé ou amygdalien
    —– Épiglottite
  • Syndromes inflammatoires:
    —– Maladie de Kawasaki
    —– Syndrome de Behçet
    —– PFAPA
  • Corps étrangers
  • Exposition chimique
  • Syndrome de Steven-Johnson
  • Allergies

(liste non exhaustive)

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74
Q

Pharyngite à SGA: examen physique de la bouche

A
  • tonsilles
  • gorge enflée et douloureuse
  • patch de drainage blanche
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75
Q
A

Pharyngite à SGA: pétéchies sur palais mou

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76
Q
A

mononucléose infectieuse: adénopathies +++

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77
Q
A

Mononucléose infectieuse
- placards au niveau des amygdales
- pétéchies au niveau du palais

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78
Q
A

herpangine –> uclères sur piliers antérieurs

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79
Q

52

A
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80
Q

Pharyngite: Indices suggestifs d’une infection à SGA vs virale - TABLEAU

A
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81
Q

Pharyngite: Indices suggestifs d’une infection à SGA vs virale
- saison

A
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82
Q

Pharyngite: Indices suggestifs d’une infection à SGA vs virale
- âge

A
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83
Q

Pharyngite: Indices suggestifs d’une infection à SGA vs virale
- début

A
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84
Q

Pharyngite: Indices suggestifs d’une infection à SGA vs virale
- signes et sx

A
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85
Q

Pharyngite: Indices suggestifs d’une infection à SGA vs virale
- signes et sx d’une pharyngite à SGA

A
  • adénopathies cervicales antérieures sensibles
  • douleur à la déglutition
  • fièvre
  • inflammation des amygdales et du pharynx
  • maux de gorge importants
  • nausées
  • pétéchies palatines
  • présence d’exsudats amygdaliens
  • rash scarlatinforme
  • vomissemnts, et parfois, douleurs abdominales, particulièrement chez les enfants
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86
Q

Pharyngite: Indices suggestifs d’une infection à SGA vs virale
- signes et sx d’une pharyngite VIRALE

A
  • absence de fièvre
  • conjonctivite
  • diarrhée
  • enrouement de la voix
  • rhinorrhée
  • toux
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87
Q

Score clinique: Pharyngite à SGA

A
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88
Q

Score clinique: Pharyngite à SGA

A
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89
Q

Pharyngite: Complications à SGA

A
  1. Septiques
    * Récidives fréquentes
    * Scarlatine
    * Adénite cervicale suppurée
    * Abcès périamygdalien
    * Abcès rétropharyngé/parapharyngé
    * Sepsis à SGA/choc toxique
  2. Auto-immunes
    * Rhumatisme articulaire aigu
    * Glomérulonéphrite post-streptococcique
    * Arthrite réactive post-streptococcique
    * PANDAS
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90
Q

Pharyngite: Complications à SGA - nommez les complications SEPTIQUES

A
  1. Septiques
    * Récidives fréquentes
    * Scarlatine
    * Adénite cervicale suppurée
    * Abcès périamygdalien
    * Abcès rétropharyngé/parapharyngé
    * Sepsis à SGA/choc toxique
  2. Auto-immunes
    * Rhumatisme articulaire aigu
    * Glomérulonéphrite post-streptococcique
    * Arthrite réactive post-streptococcique
    * PANDAS
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91
Q

Pharyngite: Complications à SGA - nommez les complications AUTO-IMMUNES

A
  1. Septiques
    * Récidives fréquentes
    * Scarlatine
    * Adénite cervicale suppurée
    * Abcès périamygdalien
    * Abcès rétropharyngé/parapharyngé
    * Sepsis à SGA/choc toxique
  2. Auto-immunes
    * Rhumatisme articulaire aigu
    * Glomérulonéphrite post-streptococcique
    * Arthrite réactive post-streptococcique
    * PANDAS
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92
Q

Pharyngite: Complications si VIRALE

A
  • Surtout EBV
  • Obstruction respiratoire haute ET/OU
  • Odynophagie sévère, pouvant entraîner:
    —– Déshydratation
    —– Dyspnée inspiratoire caractéristique
    —– Détresse respiratoire
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93
Q

Pharyngite: Complications si VIRALE
- ce que l’odynophagie sévère peut entraîner

A
  • Surtout EBV
  • Obstruction respiratoire haute ET/OU
  • Odynophagie sévère, pouvant entraîner:
    —– Déshydratation
    —– Dyspnée inspiratoire caractéristique
    —– Détresse respiratoire
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94
Q

Pharyngite: Complications de la pharyngite à FUSOBACTERIUM NECROPHORUM

A
  • Syndrome de Lemierre
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95
Q

Pharyngite: Traitement - SI VIRALE

A
  • Pas de traitement antibiotique
  • Traitement symptomatique : analgésiques - antipyrétiques
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96
Q

Pharyngite: Traitement - SI BACTÉRIENNE

A

Attendre le résultat d’une culture/test rapide positive avant de traiter, à moins que le patient ne présente :
* des signes cliniques de scarlatine
* des complications de sa pharyngite
* un contact prouvé avec un Streptocoque du groupe A
* des antécédents de RAA

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97
Q

Pharyngite: Traitement - SI BACTÉRIENNE
- quand traiter?

A

Attendre le résultat d’une culture/test rapide positive avant de traiter, à moins que le patient ne présente :
* des signes cliniques de scarlatine
* des complications de sa pharyngite
* un contact prouvé avec un Streptocoque du groupe A
* des antécédents de RAA

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98
Q

Pharyngite: Traitement - SI BACTÉRIENNE
- indications de traiter immédiatement

A

Attendre le résultat d’une culture/test rapide positive avant de traiter, à moins que le patient ne présente :
* des signes cliniques de scarlatine
* des complications de sa pharyngite
* un contact prouvé avec un Streptocoque du groupe A
* des antécédents de RAA

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99
Q

Scarlatine: IMAGE

A
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100
Q

Scarlatine: Présentation clinique

A
  • langue framboisée
  • rash au tronc qui se disseémine
  • rash linéaire
  • rash papulaire avec aspect de papier sablé
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101
Q

Antibiothérapie de la pharyngite à SGA

A
  • La pénicilline demeure l’agent de premier choix à cause de son efficacité, de sa sécurité et de son spectre antibiotique étroit
  • L’amoxicilline peut être utilisée chez le jeune enfant
    —– Pas de suspension orale de Pénicilline V au Canada
  • Réévaluer en cas de non-réponse après 48 -72 heures de traitement
  • Pharyngites récurrentes (éradication):
    —– Céphalosporines (1ère génération)
    —– Clindamycine
    —– Amoxicilline-acide clavulanique
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102
Q

Antibiothérapie de la pharyngite à SGA: Pénicilline

A
  • La pénicilline demeure l’agent de premier choix à cause de son efficacité, de sa sécurité et de son spectre antibiotique étroit
  • L’amoxicilline peut être utilisée chez le jeune enfant
    —– Pas de suspension orale de Pénicilline V au Canada
  • Réévaluer en cas de non-réponse après 48 -72 heures de traitement
  • Pharyngites récurrentes (éradication):
    —– Céphalosporines (1ère génération)
    —– Clindamycine
    —– Amoxicilline-acide clavulanique
103
Q

Antibiothérapie de la pharyngite à SGA: Amoxicilline

A
  • La pénicilline demeure l’agent de premier choix à cause de son efficacité, de sa sécurité et de son spectre antibiotique étroit
  • L’amoxicilline peut être utilisée chez le jeune enfant
    —– Pas de suspension orale de Pénicilline V au Canada
  • Réévaluer en cas de non-réponse après 48 -72 heures de traitement
  • Pharyngites récurrentes (éradication):
    —– Céphalosporines (1ère génération)
    —– Clindamycine
    —– Amoxicilline-acide clavulanique
104
Q

Antibiothérapie de la pharyngite à SGA: indication de réévaluer

A
  • La pénicilline demeure l’agent de premier choix à cause de son efficacité, de sa sécurité et de son spectre antibiotique étroit
  • L’amoxicilline peut être utilisée chez le jeune enfant
    —– Pas de suspension orale de Pénicilline V au Canada
  • Réévaluer en cas de non-réponse après 48 -72 heures de traitement
  • Pharyngites récurrentes (éradication):
    —– Céphalosporines (1ère génération)
    —– Clindamycine
    —– Amoxicilline-acide clavulanique
105
Q

Antibiothérapie de la pharyngite à SGA: si pharyngites récurrentes

A
  • La pénicilline demeure l’agent de premier choix à cause de son efficacité, de sa sécurité et de son spectre antibiotique étroit
  • L’amoxicilline peut être utilisée chez le jeune enfant
    —– Pas de suspension orale de Pénicilline V au Canada
  • Réévaluer en cas de non-réponse après 48 -72 heures de traitement
  • Pharyngites récurrentes (éradication) –> svt causé par un porteur asymptomatique qui réinfecte les autres constamment (ex. famille):
    —– Céphalosporines (1ère génération)
    —– Clindamycine
    —– Amoxicilline-acide clavulanique
106
Q

Objectifs du traitement antibiothérapie de la pharyngite à SGA

A
  • Réduction modeste de la durée des symptômes
    —– environ 1 jour
  • Prévention du RAA si débutée dans les 9 jours suivants le début des symptômes
  • Diminution des complications et de la transmission de personne à personne de l’infection
  • La valeur de l’antibiothérapie n’a pas été déterminée chez les patients souffrant de pharyngite-amygdalite causée par les streptocoques du groupe C ou G. Certains cliniciens offrent une antibiothérapie aux patients symptomatiques.
107
Q

Objectifs du traitement antibiothérapie de la pharyngite à SGA
- réduction des sx

A
  • Réduction modeste de la durée des symptômes
    —– environ 1 jour
  • Prévention du RAA si débutée dans les 9 jours suivants le début des symptômes
  • Diminution des complications et de la transmission de personne à personne de l’infection
  • La valeur de l’antibiothérapie n’a pas été déterminée chez les patients souffrant de pharyngite-amygdalite causée par les streptocoques du groupe C ou G. Certains cliniciens offrent une antibiothérapie aux patients symptomatiques.
108
Q

Objectifs du traitement antibiothérapie de la pharyngite à SGA
- RAA

A
  • Réduction modeste de la durée des symptômes
    —– environ 1 jour
  • Prévention du RAA si débutée dans les 9 jours suivants le début des symptômes (puisque complications / risques associés au RAA: valvulopathie
  • Diminution des complications et de la transmission de personne à personne de l’infection
  • La valeur de l’antibiothérapie n’a pas été déterminée chez les patients souffrant de pharyngite-amygdalite causée par les streptocoques du groupe C ou G. Certains cliniciens offrent une antibiothérapie aux patients symptomatiques.
109
Q

Objectifs du traitement antibiothérapie de la pharyngite à SGA
- complications et transmission

A
  • Réduction modeste de la durée des symptômes
    —– environ 1 jour
  • Prévention du RAA si débutée dans les 9 jours suivants le début des symptômes
  • Diminution des complications et de la transmission de personne à personne de l’infection
  • La valeur de l’antibiothérapie n’a pas été déterminée chez les patients souffrant de pharyngite-amygdalite causée par les streptocoques du groupe C ou G. Certains cliniciens offrent une antibiothérapie aux patients symptomatiques.
110
Q

Objectifs du traitement antibiothérapie de la pharyngite à SGA
- strep groupe C et G

A
  • Réduction modeste de la durée des symptômes
    —– environ 1 jour
  • Prévention du RAA si débutée dans les 9 jours suivants le début des symptômes
  • Diminution des complications et de la transmission de personne à personne de l’infection
  • La valeur de l’antibiothérapie n’a pas été déterminée chez les patients souffrant de pharyngite-amygdalite causée par les streptocoques du groupe C ou G. Certains cliniciens offrent une antibiothérapie aux patients symptomatiques.
111
Q

Rhumatisme Articulaire Aigu: Critères

A
112
Q

Rhumatisme Articulaire Aigu: Critères MAJEURS

A

Critères majeurs
* Cardite
* Polyarthrite
* Chorée
* Eczéma marginé
* Nodules sous-cutanés

113
Q

Rhumatisme Articulaire Aigu: Critères MINEURS

A

Critères mineurs
* Arthralgies
* Fièvre
* VS ou CRP élevée
* Intervalle PR prolongé

114
Q

Critères de Jones modifiés

A
115
Q

Antibiothérapie de la pharyngite à SGA

A

Pénicilline / amoxcilline à FAIBLE DOSE

116
Q

Sinusite: Définition

A
  • Sinusite: Inflammation aiguë ou chronique de la muqueuse qui tapisse un sinus osseux paranasal, avec ou sans atteinte du périoste sous-jacent,
    —– purulente ou non
    —– peut être d’origine infectieuse, soit bactérienne ou virale, fongique, allergique, ou
    —– peut provenir d’un abcès dentaire qui affecte un os maxillaire supérieur.
  • Selon la localisation:
    —– ethmoïdale, frontale, maxillaire ou sphénoïdale (les différents sinus)
  • Pansinusite: quand tous les sinus d’un même côté de la face ou des deux côtés de la face sont atteints.
117
Q

Sinusite: définir

A
  • Sinusite: Inflammation aiguë ou chronique de la muqueuse qui tapisse un sinus osseux paranasal, avec ou sans atteinte du périoste sous-jacent,
    —– purulente ou non
    —– peut être d’origine infectieuse, soit bactérienne ou virale, fongique, allergique, ou
    —– peut provenir d’un abcès dentaire qui affecte un os maxillaire supérieur.
  • Selon la localisation:
    —– ethmoïdale, frontale, maxillaire ou sphénoïdale (les différents sinus)
  • Pansinusite: quand tous les sinus d’un même côté de la face ou des deux côtés de la face sont atteints.
118
Q

Sinusite: Purulent?

A
  • Sinusite: Inflammation aiguë ou chronique de la muqueuse qui tapisse un sinus osseux paranasal, avec ou sans atteinte du périoste sous-jacent,
    —– purulente ou non
    —– peut être d’origine infectieuse, soit bactérienne ou virale, fongique, allergique, ou
    —– peut provenir d’un abcès dentaire qui affecte un os maxillaire supérieur.
  • Selon la localisation:
    —– ethmoïdale, frontale, maxillaire ou sphénoïdale (les différents sinus)
  • Pansinusite: quand tous les sinus d’un même côté de la face ou des deux côtés de la face sont atteints.
119
Q

Sinusite: types d’étiologies possibles

A
  • Sinusite: Inflammation aiguë ou chronique de la muqueuse qui tapisse un sinus osseux paranasal, avec ou sans atteinte du périoste sous-jacent,
    —– purulente ou non
    —– peut être d’origine infectieuse, soit bactérienne ou virale, fongique, allergique, ou
    —– peut provenir d’un abcès dentaire qui affecte un os maxillaire supérieur.
  • Selon la localisation:
    —– ethmoïdale, frontale, maxillaire ou sphénoïdale (les différents sinus)
  • Pansinusite: quand tous les sinus d’un même côté de la face ou des deux côtés de la face sont atteints.
120
Q

Sinusite: source possible

A
  • Sinusite: Inflammation aiguë ou chronique de la muqueuse qui tapisse un sinus osseux paranasal, avec ou sans atteinte du périoste sous-jacent,
    —– purulente ou non
    —– peut être d’origine infectieuse, soit bactérienne ou virale, fongique, allergique, ou
    —– peut provenir d’un abcès dentaire qui affecte un os maxillaire supérieur.
  • Selon la localisation:
    —– ethmoïdale, frontale, maxillaire ou sphénoïdale (les différents sinus)
  • Pansinusite: quand tous les sinus d’un même côté de la face ou des deux côtés de la face sont atteints.
121
Q

Sinusite: localisations possibles

A
  • Sinusite: Inflammation aiguë ou chronique de la muqueuse qui tapisse un sinus osseux paranasal, avec ou sans atteinte du périoste sous-jacent,
    —– purulente ou non
    —– peut être d’origine infectieuse, soit bactérienne ou virale, fongique, allergique, ou
    —– peut provenir d’un abcès dentaire qui affecte un os maxillaire supérieur.
  • Selon la localisation:
    —– ethmoïdale, frontale, maxillaire ou sphénoïdale (les différents sinus)
  • Pansinusite: quand tous les sinus d’un même côté de la face ou des deux côtés de la face sont atteints.
122
Q

Pansinusite: définir

A
  • Sinusite: Inflammation aiguë ou chronique de la muqueuse qui tapisse un sinus osseux paranasal, avec ou sans atteinte du périoste sous-jacent,
    —– purulente ou non
    —– peut être d’origine infectieuse, soit bactérienne ou virale, fongique, allergique, ou
    —– peut provenir d’un abcès dentaire qui affecte un os maxillaire supérieur.
  • Selon la localisation:
    —– ethmoïdale, frontale, maxillaire ou sphénoïdale (les différents sinus)
  • Pansinusite: quand tous les sinus d’un même côté de la face ou des deux côtés de la face sont atteints.
123
Q

Sinusite: durées de temps possibles

A
  • Sinusite aigue: >10 jours, < 4 semaines
  • Sinusite subaigue: 1 à 3 mois
  • Sinusite chronique: > 3 mois
124
Q

Sinusite: durées de temps possibles
- AIGUE

A
  • Sinusite aigue: >10 jours, < 4 semaines
  • Sinusite subaigue: 1 à 3 mois
  • Sinusite chronique: > 3 mois
125
Q

Sinusite: durées de temps possibles
- SUBAIGUE

A
  • Sinusite aigue: >10 jours, < 4 semaines
  • Sinusite subaigue: 1 à 3 mois
  • Sinusite chronique: > 3 mois
126
Q

Sinusite: durées de temps possibles
- CHRONIQUE

A
  • Sinusite aigue: >10 jours, < 4 semaines
  • Sinusite subaigue: 1 à 3 mois
  • Sinusite chronique: > 3 mois
127
Q

Sinus: anatomie selon l’âge

A
  • sinus sont hypodéveloppés: développement du centre –> va vers la périphérie
128
Q

Évolution des sinus selon l’âge

A
  • Développement à partir de cavité nasale
  • Développement varie en fonction localisation anatomique
  • Pneumatisation débute au 3-4ème mois de la vie foetale
  • Sinus maxillaires:
    —– Présents à la naissance, expansion rapide jusqu’à environ âge de 4 ans
    —– Ostium au niveau cavité nasale
    —– Importance de l’activité ciliaire clairance sécrétions
129
Q

Évolution des sinus selon l’âge: localisation de départ

A
  • Développement à partir de cavité nasale
  • Développement varie en fonction localisation anatomique
  • Pneumatisation débute au 3-4ème mois de la vie foetale
  • Sinus maxillaires:
    —– Présents à la naissance, expansion rapide jusqu’à environ âge de 4 ans
    —– Ostium au niveau cavité nasale
    —– Importance de l’activité ciliaire clairance sécrétions
130
Q

Évolution des sinus selon l’âge: développement intra-utérin

A
  • Développement à partir de cavité nasale
  • Développement varie en fonction localisation anatomique
  • Pneumatisation débute au 3-4ème mois de la vie foetale
  • Sinus maxillaires:
    —– Présents à la naissance, expansion rapide jusqu’à environ âge de 4 ans
    —– Ostium au niveau cavité nasale
    —– Importance de l’activité ciliaire clairance sécrétions
131
Q

Évolution des sinus selon l’âge:
- décrire le développement des sinus maxillaires

A
  • Développement à partir de cavité nasale
  • Développement varie en fonction localisation anatomique
  • Pneumatisation débute au 3-4ème mois de la vie foetale
  • Sinus maxillaires:
    —– Présents à la naissance, expansion rapide jusqu’à environ âge de 4 ans
    —– Ostium au niveau cavité nasale
    —– Importance de l’activité ciliaire clairance sécrétions
132
Q

Évolution des sinus selon l’âge:
- localisation ostium des sinus maxillaires

A
  • Développement à partir de cavité nasale
  • Développement varie en fonction localisation anatomique
  • Pneumatisation débute au 3-4ème mois de la vie foetale
  • Sinus maxillaires:
    —– Présents à la naissance, expansion rapide jusqu’à environ âge de 4 ans
    —– Ostium au niveau cavité nasale
    —– Importance de l’activité ciliaire clairance sécrétions
133
Q

Évolution des sinus selon l’âge:
- ce qui est important au niveau du sinus maxillaires

A
  • Développement à partir de cavité nasale
  • Développement varie en fonction localisation anatomique
  • Pneumatisation débute au 3-4ème mois de la vie foetale
  • Sinus maxillaires:
    —– Présents à la naissance, expansion rapide jusqu’à environ âge de 4 ans
    —– Ostium au niveau cavité nasale
    —– Importance de l’activité ciliaire clairance sécrétions
134
Q

Évolution des sinus selon l’âge: développement dépend de quoi?

A
  • Développement à partir de cavité nasale
  • Développement varie en fonction localisation anatomique
  • Pneumatisation débute au 3-4ème mois de la vie foetale
  • Sinus maxillaires:
    —– Présents à la naissance, expansion rapide jusqu’à environ âge de 4 ans
    —– Ostium au niveau cavité nasale
    —– Importance de l’activité ciliaire clairance sécrétions
135
Q

Évolution des sinus selon l’âge: des sinus MAXILLAIRES

A

Sinus maxillaires:
* Présents à la naissance, expansion rapide jusqu’à environ âge de 4 ans
* Ostium au niveau cavité nasale
* Importance de l’activité ciliaire clairance sécrétions

136
Q

Évolution des sinus selon l’âge: des sinus FRONTAUX

A

Sinus frontaux:
* Développement variable
* Visible radiographie vers âge de 6-8 ans
* Développement complété vers âge 14-18 ans (approximativement)
* Importante variabilité de développement entre individus

137
Q

Évolution des sinus selon l’âge: des sinus FRONTAUX

A

Sinus frontaux:
* Développement variable
* Visible radiographie vers âge de 6-8 ans
* Développement complété vers âge 14-18 ans (approximativement)
* Importante variabilité de développement entre individus

138
Q

Évolution des sinus selon l’âge: des sinus ETHMOÏDES

A

Sinus ethmoïdes:
* présents à la naissance, collection de cellules pneumatisées
* Ouverture dans cavité nasale

139
Q

Évolution des sinus selon l’âge: des sinus SPHÉNOÏDES

A

Sinus sphénoïdes:
* Développement débute dans 2 premières années de vie
* Pneumatisation vers âge 5 ans
* Taille permanente vers âge 12 ans

140
Q

Sinus: anatomie - IMAGE

A
141
Q

Sinusite: Pathophysiologie

A
  • Sinus paranasaux considérés stériles
  • Continuité avec muqueuse de cavité nasale
  • Importance de la clairance muco-ciliaire
  • Altération par:
    —- Dommages à épithélium cilié, soit nombre ou fonction des cils
    —- Production/viscosité mucus
    —- Perméabilité des ostium
    ———– (IVRS, rhinite allergique)
  • Lorsque altérée:
    —- Persistance et croissance de micro-organismes
142
Q

Sinusite: Pathophysiologie
- flore normale sinus

A
  • Sinus paranasaux considérés stériles
  • Continuité avec muqueuse de cavité nasale
  • Importance de la clairance muco-ciliaire
  • Altération par:
    —- Dommages à épithélium cilié, soit nombre ou fonction des cils
    —- Production/viscosité mucus
    —- Perméabilité des ostium
    ———– (IVRS, rhinite allergique)
  • Lorsque altérée:
    —- Persistance et croissance de micro-organismes
143
Q

Sinusite: Pathophysiologie
- continuité de quoi?

A
  • Sinus paranasaux considérés stériles
  • Continuité avec muqueuse de cavité nasale
  • Importance de la clairance muco-ciliaire
  • Altération par:
    —- Dommages à épithélium cilié, soit nombre ou fonction des cils
    —- Production/viscosité mucus
    —- Perméabilité des ostium
    ———– (IVRS, rhinite allergique)
  • Lorsque altérée:
    —- Persistance et croissance de micro-organismes
144
Q

Sinusite: Pathophysiologie
- ce qui est important au niveau des sinus

A
  • Sinus paranasaux considérés stériles
  • Continuité avec muqueuse de cavité nasale
  • Importance de la clairance muco-ciliaire
  • Altération par:
    —- Dommages à épithélium cilié, soit nombre ou fonction des cils
    —- Production/viscosité mucus
    —- Perméabilité des ostium
    ———– (IVRS, rhinite allergique)
  • Lorsque altérée:
    —- Persistance et croissance de micro-organismes
145
Q

Sinusite: Pathophysiologie
- claire muco-ciliaire peut être altérée par quoi?

A
  • Sinus paranasaux considérés stériles
  • Continuité avec muqueuse de cavité nasale
  • Importance de la clairance muco-ciliaire
  • Altération par:
    —- Dommages à épithélium cilié, soit nombre ou fonction des cils
    —- Production/viscosité mucus
    —- Perméabilité des ostium
    ———– (IVRS, rhinite allergique)
  • Lorsque altérée:
    —- Persistance et croissance de micro-organismes
146
Q

Sinusite: Pathophysiologie
- ce qui peut affecter la perméabilité des ostium

A
  • Sinus paranasaux considérés stériles
  • Continuité avec muqueuse de cavité nasale
  • Importance de la clairance muco-ciliaire
  • Altération par:
    —- Dommages à épithélium cilié, soit nombre ou fonction des cils
    —- Production/viscosité mucus
    —- Perméabilité des ostium
    ———– (IVRS, rhinite allergique)
  • Lorsque altérée:
    —- Persistance et croissance de micro-organismes
147
Q

Sinusite: Pathophysiologie
- type de microbe fréquent

A

obstruction des ostium –> permet la prolifération des microbes anaérobes / microanaérobes (surtout si chronique)

148
Q

Sinusite: Microbiologie

A

——- Sinusite aigue et subaigue:
* Streptococcus pneumoniae: 30-40%
* Haemophilus influenzae: 20%
* Moraxella catarrhalis: 20%
* Adenovirus, parainfluenza, influenza, rhinovirus: 10%

—— Sinusite chronique:
* Variable selon cause
* Rôle important des anaérobes à considérer

149
Q

Sinusite: Microbiologie
- nommez les microbes en cause dans les sinusites AIGUE ET SUBAIGUE

A

Sinusite aigue et subaigue:
* Streptococcus pneumoniae: 30-40%
* Haemophilus influenzae: 20%
* Moraxella catarrhalis: 20%
* Adenovirus, parainfluenza, influenza, rhinovirus: 10%

150
Q

Sinusite: Microbiologie
- nommez les microbes en cause dans les sinusites CHRONIQUES

A

Sinusite chronique:
* Variable selon cause
* Rôle important des anaérobes à considérer
(ex de causes: rhinite allergique, obstruction)

151
Q

Sinusites: Facteurs prédisposants

A
  • IVRS
  • Rhinite allergique
  • Moins fréquents:
    —– Anomalies anatomiques (déformations du septum nasal, anomalies craniofaciales, hypertrophie adénoïdienne, kyste de l’antre maxillaire, CE nasaux, masses, polypes)
    —– Irritants de muqueuse (exposition au tabac, eau chlorée)
    —– Changement aigu de pression atmosphérique (descente en avion)
152
Q

Sinusites: Facteurs prédisposants
- moins fréquents

A
  • IVRS
  • Rhinite allergique
  • Moins fréquents:
    —– Anomalies anatomiques (déformations du septum nasal, anomalies craniofaciales, hypertrophie adénoïdienne, kyste de l’antre maxillaire, CE nasaux, masses, polypes)
    —– Irritants de muqueuse (exposition au tabac, eau chlorée)
    —– Changement aigu de pression atmosphérique (descente en avion)
153
Q

Sinusites: considérations importantes pour le tx

A
  • La majorité des rhinosinusites sont d’origine virale et guérissent spontanément.
  • Les enfants contractent en moyenne 6 infections virales des voies respiratoires supérieures (IVRS) par année et celles-ci durent en moyenne de 7 à 10 jours, mais peuvent perdurer jusqu’à 14 jours.
  • Approximativement 5 % des IVRS se compliquent d’une rhinosinusite aiguë bactérienne.
  • Le traitement antibiotique doit être réservé à la rhinosinusite aiguë bactérienne.
154
Q

Type de microbe le plus fréquent dans les sinusites

A
  • La majorité des rhinosinusites sont d’origine virale et guérissent spontanément.
  • Les enfants contractent en moyenne 6 infections virales des voies respiratoires supérieures (IVRS) par année et celles-ci durent en moyenne de 7 à 10 jours, mais peuvent perdurer jusqu’à 14 jours.
  • Approximativement 5 % des IVRS se compliquent d’une rhinosinusite aiguë bactérienne.
  • Le traitement antibiotique doit être réservé à la rhinosinusite aiguë bactérienne.
155
Q

Évolution la plus fréquente de la sinusite

A
  • La majorité des rhinosinusites sont d’origine virale et guérissent spontanément.
  • Les enfants contractent en moyenne 6 infections virales des voies respiratoires supérieures (IVRS) par année et celles-ci durent en moyenne de 7 à 10 jours, mais peuvent perdurer jusqu’à 14 jours.
  • Approximativement 5 % des IVRS se compliquent d’une rhinosinusite aiguë bactérienne.
  • Le traitement antibiotique doit être réservé à la rhinosinusite aiguë bactérienne.
156
Q

À considérer dans le tx de la sinusites: IVRS enfants

A
  • La majorité des rhinosinusites sont d’origine virale et guérissent spontanément.
  • Les enfants contractent en moyenne 6 infections virales des voies respiratoires supérieures (IVRS) par année et celles-ci durent en moyenne de 7 à 10 jours, mais peuvent perdurer jusqu’à 14 jours.
  • Approximativement 5 % des IVRS se compliquent d’une rhinosinusite aiguë bactérienne.
  • Le traitement antibiotique doit être réservé à la rhinosinusite aiguë bactérienne.
157
Q

À quelle fréquence les IVRS se compliquent d’une rhinosinusite?

A
  • La majorité des rhinosinusites sont d’origine virale et guérissent spontanément.
  • Les enfants contractent en moyenne 6 infections virales des voies respiratoires supérieures (IVRS) par année et celles-ci durent en moyenne de 7 à 10 jours, mais peuvent perdurer jusqu’à 14 jours.
  • Approximativement 5 % des IVRS se compliquent d’une rhinosinusite aiguë bactérienne.
  • Le traitement antibiotique doit être réservé à la rhinosinusite aiguë bactérienne.
158
Q

Le traitement de la sinusite est réservé à qui?

A
  • La majorité des rhinosinusites sont d’origine virale et guérissent spontanément.
  • Les enfants contractent en moyenne 6 infections virales des voies respiratoires supérieures (IVRS) par année et celles-ci durent en moyenne de 7 à 10 jours, mais peuvent perdurer jusqu’à 14 jours.
  • Approximativement 5 % des IVRS se compliquent d’une rhinosinusite aiguë bactérienne.
  • Le traitement antibiotique doit être réservé à la rhinosinusite aiguë bactérienne.
159
Q

Critères de diagnostic clinique de la sinusite chez l’enfant

A
  • Symptômes persistants (10 à 14 jours) sans amélioration des symptômes:
    —- rhinorrhée purulente; OU
    —- toux diurne pouvant augmenter la nuit;
  • Aggravation des symptômes après 5 à 7 jours suivant une amélioration initiale (infection biphasique) :
    —- rhinorrhée purulente; OU
    —- toux persistante diurne; OU
    —- température ≥ 38C;
  • Symptômes graves depuis au moins 3 jours consécutifs :
    —- température ≥ 39 °C; ET
    —- rhinorrhée purulente.
160
Q

Critères de diagnostic clinique de la sinusite chez l’enfant: critères des sx persistants

A
  • Symptômes persistants (10 à 14 jours) sans amélioration des symptômes:
    —- rhinorrhée purulente; OU
    —- toux diurne pouvant augmenter la nuit;
  • Aggravation des symptômes après 5 à 7 jours suivant une amélioration initiale (infection biphasique) :
    —- rhinorrhée purulente; OU
    —- toux persistante diurne; OU
    —- température ≥ 38C;
  • Symptômes graves depuis au moins 3 jours consécutifs :
    —- température ≥ 39 °C; ET
    —- rhinorrhée purulente.
161
Q

Critères de diagnostic clinique de la sinusite chez l’enfant: critères d’aggravtion des sx

A
  • Symptômes persistants (10 à 14 jours) sans amélioration des symptômes:
    —- rhinorrhée purulente; OU
    —- toux diurne pouvant augmenter la nuit;
  • Aggravation des symptômes après 5 à 7 jours suivant une amélioration initiale (infection biphasique) :
    —- rhinorrhée purulente; OU
    —- toux persistante diurne; OU
    —- température ≥ 38C;
  • Symptômes graves depuis au moins 3 jours consécutifs :
    —- température ≥ 39 °C; ET
    —- rhinorrhée purulente.
162
Q

Critères de diagnostic clinique de la sinusite chez l’enfant: critères de sx graves

A
  • Symptômes persistants (10 à 14 jours) sans amélioration des symptômes:
    —- rhinorrhée purulente; OU
    —- toux diurne pouvant augmenter la nuit;
  • Aggravation des symptômes après 5 à 7 jours suivant une amélioration initiale (infection biphasique) :
    —- rhinorrhée purulente; OU
    —- toux persistante diurne; OU
    —- température ≥ 38C;
  • Symptômes graves depuis au moins 3 jours consécutifs :
    —- température ≥ 39 °C; ET
    —- rhinorrhée purulente.
163
Q

Sinusite: consultation urgent pour éliminier complications si;

A

Consultation urgente pour éliminer complications si:
- Atteinte importante de l’état général
- Œdème/érythème périorbitair
- Atteinte du SNC

164
Q

Imagerie des sinus

A
  • Radiographie des sinus
    —- Non utilisée
  • Tomographie axiale si complications orbitaires ou SNC
  • Diagnostique clinique
165
Q

Imagerie des sinus: rdaiographie

A
  • Radiographie des sinus
  • Non utilisée
  • Tomographie axiale si complications orbitaires ou SNC
  • Diagnostique clinique
166
Q

Imagerie des sinus: tomographie

A
  • Radiographie des sinus
  • Non utilisée
  • Tomographie axiale si complications orbitaires ou SNC
  • Diagnostique clinique
167
Q

Sinusite: comment faire le dx?

A
  • Radiographie des sinus
    —— Non utilisée
  • Tomographie axiale si complications orbitaires ou SNC
  • Diagnostique clinique
168
Q

Sinus: Images

A
169
Q

Sinusite: Complications - nommez-les

A
  1. orbitraires
  2. ostéomyélite
  3. intracrâniennes / neurologiques
170
Q

Sinusite: Complications
- nommez les complications ORBITRAIRES

A

Orbitaires
* Cellulite préseptale ou orbitale
* Abcés sous-periosté
* Abcès intra-orbitaire
* Névrite optique

171
Q

Sinusite: Complications
- nommez les types d’OSTÉOMYÉLITE

A

Ostéomyélite
* Frontale (Pott puffy tumor)
* Maxillaire

172
Q

Sinusite: Complications
- nommez les complications INTRACRÂNIENNES / NEUROLOGIQUES

A

Intracrâniennes/neurologiques
* Abcès épidural
* Empyème ou abcès sous-dural
* Thrombose du sinus caverneux ou sagittal
* Méningite
* Abcès cérébral

173
Q

Sinusite: Traitement de soutien

A
  • La douleur et la fièvre se traitent par l’utilisation d’un analgésique / antipyrétique (acétaminophène ou ibuprofène) durant les premiers jours.
  • L’usage d’une solution salinée nasale servant à l’irrigation aide au soulagement des symptômes.
  • L’usage d’un corticostéroïde topique n’est habituellement pas recommandé, mais peut avoir un effet modeste sur les symptômes de la rhinosinusite.
  • Ni les décongestionnants ni les antihistaminiques n’ont démontré d’utilité dans le traitement de la rhinosinusite aiguë chez l’enfant.
174
Q

Sinusite: Traitement de soutien
- tx de la fièvre

A
  • La douleur et la fièvre se traitent par l’utilisation d’un analgésique / antipyrétique (acétaminophène ou ibuprofène) durant les premiers jours.
  • L’usage d’une solution salinée nasale servant à l’irrigation aide au soulagement des symptômes.
  • L’usage d’un corticostéroïde topique n’est habituellement pas recommandé, mais peut avoir un effet modeste sur les symptômes de la rhinosinusite.
  • Ni les décongestionnants ni les antihistaminiques n’ont démontré d’utilité dans le traitement de la rhinosinusite aiguë chez l’enfant.
175
Q

Sinusite: Traitement de soutien
- soulagement des sx

A
  • La douleur et la fièvre se traitent par l’utilisation d’un analgésique / antipyrétique (acétaminophène ou ibuprofène) durant les premiers jours.
  • L’usage d’une solution salinée nasale servant à l’irrigation aide au soulagement des symptômes.
  • L’usage d’un corticostéroïde topique n’est habituellement pas recommandé, mais peut avoir un effet modeste sur les symptômes de la rhinosinusite.
  • Ni les décongestionnants ni les antihistaminiques n’ont démontré d’utilité dans le traitement de la rhinosinusite aiguë chez l’enfant.
176
Q

Sinusite: Traitement de soutien
- corticostéroïdes

A
  • La douleur et la fièvre se traitent par l’utilisation d’un analgésique / antipyrétique (acétaminophène ou ibuprofène) durant les premiers jours.
  • L’usage d’une solution salinée nasale servant à l’irrigation aide au soulagement des symptômes.
  • L’usage d’un corticostéroïde topique n’est habituellement pas recommandé, mais peut avoir un effet modeste sur les symptômes de la rhinosinusite.
  • Ni les décongestionnants ni les antihistaminiques n’ont démontré d’utilité dans le traitement de la rhinosinusite aiguë chez l’enfant.
177
Q

Sinusite: Traitement de soutien
- décongestionnants

A
  • La douleur et la fièvre se traitent par l’utilisation d’un analgésique / antipyrétique (acétaminophène ou ibuprofène) durant les premiers jours.
  • L’usage d’une solution salinée nasale servant à l’irrigation aide au soulagement des symptômes.
  • L’usage d’un corticostéroïde topique n’est habituellement pas recommandé, mais peut avoir un effet modeste sur les symptômes de la rhinosinusite.
  • Ni les décongestionnants ni les antihistaminiques n’ont démontré d’utilité dans le traitement de la rhinosinusite aiguë chez l’enfant.
178
Q

Sinusite: Traitement de soutien
- antihistaminiques

A
  • La douleur et la fièvre se traitent par l’utilisation d’un analgésique / antipyrétique (acétaminophène ou ibuprofène) durant les premiers jours.
  • L’usage d’une solution salinée nasale servant à l’irrigation aide au soulagement des symptômes.
  • L’usage d’un corticostéroïde topique n’est habituellement pas recommandé, mais peut avoir un effet modeste sur les symptômes de la rhinosinusite.
  • Ni les décongestionnants ni les antihistaminiques n’ont démontré d’utilité dans le traitement de la rhinosinusite aiguë chez l’enfant.
179
Q

Sinusite: traitement antibiotique de PREMIÈRE intention

A
  • Amoxicilline HAUTE dose
  • Clavulin: résistant aux B-lactamases et couvre bien les anaérobes (sinusite prolongée ++)
180
Q

Sinusite: traitement antibiotique de SECONDE intention

A

En cas de non réponse après 48 à 72 heures de traitement et avant de débuter un traitement de 2ème intention :
* Vérifier l’acceptabilité et l’adhésion au traitement.

181
Q

Importance de la pneumonie chez l’enfant: incidence

A
  • Incidence annuelle
    —- 35-40 cas / 1000 enfants / année aux Canada
    —- 2-3 fois plus dans les pays pauvres
  • Environ 2 000 000 de décès d’enfants dans le monde, à chaque année
  • Importance de la saisonnalité
182
Q

Importance de la pneumonie chez l’enfant: saison

A
  • Incidence annuelle
    —- 35-40 cas / 1000 enfants / année aux Canada
    —- 2-3 fois plus dans les pays pauvres
  • Environ 2 000 000 de décès d’enfants dans le monde, à chaque année
  • Importance de la saisonnalité
183
Q

Pneumonie: Pathophysiologie

A
  • Altération des défenses de l’hôte
  • Invasion par organisme virulent et/ou important inoculum
  • Typiquement:
    —– IVRS -> invasion des voies respiratoires inférieures par bactéries/virus/ou autre pathogènes
    —– Déclenchement réaction de réponse immunitaire et réaction inflammatoire
    —– Comblement des alvéoles par globules blancs, liquide et débris cellulaires
184
Q

Pneumonie: Pathophysiologie

A
  • Altération des défenses de l’hôte
  • Invasion par organisme virulent et/ou important inoculum
  • Typiquement:
    —– IVRS -> invasion des voies respiratoires inférieures par bactéries/virus/ou autre pathogènes
    —– Déclenchement réaction de réponse immunitaire et réaction inflammatoire
    —– Comblement des alvéoles par globules blancs, liquide et débris cellulairesPneumonie: Pathophysiologie
185
Q

Pneumonie: Pathophysiologie - étapes

A
  • Altération des défenses de l’hôte
  • Invasion par organisme virulent et/ou important inoculum
  • Typiquement:
    —– IVRS -> invasion des voies respiratoires inférieures par bactéries/virus/ou autre pathogènes
    —– Déclenchement réaction de réponse immunitaire et réaction inflammatoire
    —– Comblement des alvéoles par globules blancs, liquide et débris cellulairesPneumonie: Pathophysiologie
186
Q

Pneumonie: Pathophysiologie - moins typique

A
  • Micro organismes colonisant les voies aériennes supérieures/nasopharynx
  • Aspiration vs inhalation de micro organismes
187
Q

Germes en cause dans la pneumonie chez l’enfant

A
188
Q

Facteurs et maladies prédisposant à la pneumonie

A
  • Extrêmes de l’âge
  • Non vaccination contre le pneumocoque
  • Déficit immunitaire
  • Cardiopathie congénitale
  • Troubles de déglutition (paralysie cérébrale, incoordination oro-pharyngée, maladies neuro-musculaires)
  • Reflux gastro-œsophagien
  • Malnutrition
  • Communautés à prévalence élevée de SARM
  • Anémie falciforme
189
Q

Signes et symptômes de la pneumonie chez l’enfant

A
  • Fièvre
  • Toux
  • Tirage (intercostal, sous-costal ou sus-sternal)
  • Geignement expiratoire (grunting)

La douleur abdominale peut aussi représenter un signe classique de pneumonie.

190
Q

Signes et symptômes de la pneumonie chez l’enfant: signe classique de la pneumonie

A
  • Fièvre
  • Toux
  • Tirage (intercostal, sous-costal ou sus-sternal)
  • Geignement expiratoire (grunting)

La douleur abdominale peut aussi représenter un signe classique de pneumonie.

191
Q

Signes cliniques de la pneumonie chez l’enfant

A
  • Tachypnée
    —– > 60 respirations par minute si âge < 2 mois
    —– > 50 respirations par minute entre 2 et 12 mois
    —– > 40 respirations par minute entre 1 et 5 ans
    —– > 30 respirations par minute si > 5 ans
  • Présence de râles crépitants
  • Souffle tubaire
  • Diminution ou asymétrie du murmure vésiculaire
  • Saturation en oxygène diminuée
192
Q

Signes cliniques de la pneumonie chez l’enfant
- Valeur de la tachypnée chez: MOINS DE 2 MOIS

A
  • Tachypnée
    —– > 60 respirations par minute si âge < 2 mois
    —– > 50 respirations par minute entre 2 et 12 mois
    —– > 40 respirations par minute entre 1 et 5 ans
    —– > 30 respirations par minute si > 5 ans
  • Présence de râles crépitants
  • Souffle tubaire
  • Diminution ou asymétrie du murmure vésiculaire
  • Saturation en oxygène diminuée
193
Q

Signes cliniques de la pneumonie chez l’enfant
- Valeur de la tachypnée chez: ENTRE 2 ET 12 MOIS

A
  • Tachypnée
    —– > 60 respirations par minute si âge < 2 mois
    —– > 50 respirations par minute entre 2 et 12 mois
    —– > 40 respirations par minute entre 1 et 5 ans
    —– > 30 respirations par minute si > 5 ans
  • Présence de râles crépitants
  • Souffle tubaire
  • Diminution ou asymétrie du murmure vésiculaire
  • Saturation en oxygène diminuée
194
Q

Signes cliniques de la pneumonie chez l’enfant
- Valeur de la tachypnée chez: ENTRE 1 ET 5 ANS

A
  • Tachypnée
    —– > 60 respirations par minute si âge < 2 mois
    —– > 50 respirations par minute entre 2 et 12 mois
    —– > 40 respirations par minute entre 1 et 5 ans
    —– > 30 respirations par minute si > 5 ans
  • Présence de râles crépitants
  • Souffle tubaire
  • Diminution ou asymétrie du murmure vésiculaire
  • Saturation en oxygène diminuée
195
Q

Signes cliniques de la pneumonie chez l’enfant
- Valeur de la tachypnée chez: SI PLUS DE 5 ANS

A
  • Tachypnée
    —– > 60 respirations par minute si âge < 2 mois
    —– > 50 respirations par minute entre 2 et 12 mois
    —– > 40 respirations par minute entre 1 et 5 ans
    —– > 30 respirations par minute si > 5 ans
  • Présence de râles crépitants
  • Souffle tubaire
  • Diminution ou asymétrie du murmure vésiculaire
  • Saturation en oxygène diminuée
196
Q

Signes cliniques de la pneumonie chez l’enfant: ce qui est entendu à l’auscultation pulmonaire

A
  • Tachypnée
    —– > 60 respirations par minute si âge < 2 mois
    —– > 50 respirations par minute entre 2 et 12 mois
    —– > 40 respirations par minute entre 1 et 5 ans
    —– > 30 respirations par minute si > 5 ans
  • Présence de râles crépitants
  • Souffle tubaire
  • Diminution ou asymétrie du murmure vésiculaire
  • Saturation en oxygène diminuée
197
Q

Signes cliniques de la pneumonie chez l’enfant: Sat O2

A
  • Tachypnée
    —– > 60 respirations par minute si âge < 2 mois
    —– > 50 respirations par minute entre 2 et 12 mois
    —– > 40 respirations par minute entre 1 et 5 ans
    —– > 30 respirations par minute si > 5 ans
  • Présence de râles crépitants
  • Souffle tubaire
  • Diminution ou asymétrie du murmure vésiculaire
  • Saturation en oxygène diminuée
198
Q

Symptomes et signes de la pneumonie: Éléments avec meilleure VPP

A
  • La tachypnée est le signe clinique ayant la meilleure valeur prédictive positive
    —- Sensibilité 70%
    —- Spécificité 40-70%
    —- Valeur prédictive négative 97%
  • Tachypnée chez le nourrisson
  • Tachypnée + fièvre chez l’enfant plus âgé
  • En l’absence d’un ensemble de signes et symptômes décrits précédemment, le diagnostic de pneumonie est peu probable
199
Q

Symptomes et signes de la pneumonie: Importance de la tachypnée dans le dx

A
  • La tachypnée est le signe clinique ayant la meilleure valeur prédictive positive
    —- Sensibilité 70%
    —- Spécificité 40-70%
    —- Valeur prédictive négative 97%
  • Tachypnée chez le nourrisson
  • Tachypnée + fièvre chez l’enfant plus âgé
  • En l’absence d’un ensemble de signes et symptômes décrits précédemment, le diagnostic de pneumonie est peu probable
200
Q

Symptomes et signes de la pneumonie: dans quelles circonstances le dx est-il peu probable?

A
  • La tachypnée est le signe clinique ayant la meilleure valeur prédictive positive
    —- Sensibilité 70%
    —- Spécificité 40-70%
    —- Valeur prédictive négative 97%
  • Tachypnée chez le nourrisson
  • Tachypnée + fièvre chez l’enfant plus âgé
  • En l’absence d’un ensemble de signes et symptômes décrits précédemment, le diagnostic de pneumonie est peu probable
201
Q

Examens paracliniques dans la pneumonie: nommez-les

A
  • Saturation en oxygène (SaO2)
  • FSC, marqueurs inflammatoires
  • Hémoculture
  • Prélèvement de sécrétions nasopharyngées pour
    —– Utilisation dans TAAN/PCR avec panel respiratoires
    —– Inclus ou non Mycoplasma pneumoniae /Bordetella sp./ Chlamydophyla
    —– Si indiqué cliniquement
  • Radiographie pulmonaire Postéro-Antérieure & Latérale
  • Au besoin: RxP en décubitus latéraux gauche et droit (si suspicion d’épanchement pleural/empyème)
202
Q

Examens paracliniques dans la pneumonie: SaO2

A
  • Saturation en oxygène (SaO2)
  • FSC, marqueurs inflammatoires
  • Hémoculture
  • Prélèvement de sécrétions nasopharyngées pour
    —– Utilisation dans TAAN/PCR avec panel respiratoires
    —– Inclus ou non Mycoplasma pneumoniae /Bordetella sp./ Chlamydophyla
    —– Si indiqué cliniquement
  • Radiographie pulmonaire Postéro-Antérieure & Latérale
  • Au besoin: RxP en décubitus latéraux gauche et droit (si suspicion d’épanchement pleural/empyème)
203
Q

Examens paracliniques dans la pneumonie: prises de sang

A
  • Saturation en oxygène (SaO2)
  • FSC, marqueurs inflammatoires
  • Hémoculture
  • Prélèvement de sécrétions nasopharyngées pour
    —– Utilisation dans TAAN/PCR avec panel respiratoires
    —– Inclus ou non Mycoplasma pneumoniae /Bordetella sp./ Chlamydophyla
    —– Si indiqué cliniquement
  • Radiographie pulmonaire Postéro-Antérieure & Latérale
  • Au besoin: RxP en décubitus latéraux gauche et droit (si suspicion d’épanchement pleural/empyème)
204
Q

Examens paracliniques dans la pneumonie: prélèvement nasopharyngé

A
  • Saturation en oxygène (SaO2)
  • FSC, marqueurs inflammatoires
  • Hémoculture
  • Prélèvement de sécrétions nasopharyngées pour
    —– Utilisation dans TAAN/PCR avec panel respiratoires
    —– Inclus ou non Mycoplasma pneumoniae /Bordetella sp./ Chlamydophyla
    —– Si indiqué cliniquement
  • Radiographie pulmonaire Postéro-Antérieure & Latérale
  • Au besoin: RxP en décubitus latéraux gauche et droit (si suspicion d’épanchement pleural/empyème)
205
Q

Examens paracliniques dans la pneumonie: Radiographie

A
  • Saturation en oxygène (SaO2)
  • FSC, marqueurs inflammatoires
  • Hémoculture
  • Prélèvement de sécrétions nasopharyngées pour
    —– Utilisation dans TAAN/PCR avec panel respiratoires
    —– Inclus ou non Mycoplasma pneumoniae /Bordetella sp./ Chlamydophyla
    —– Si indiqué cliniquement
  • Radiographie pulmonaire Postéro-Antérieure & Latérale
  • Au besoin: RxP en décubitus latéraux gauche et droit (si suspicion d’épanchement pleural/empyème)
206
Q

Examens paracliniques dans la pneumonie: au besoin

A
  • Saturation en oxygène (SaO2)
  • FSC, marqueurs inflammatoires
  • Hémoculture
  • Prélèvement de sécrétions nasopharyngées pour
    —– Utilisation dans TAAN/PCR avec panel respiratoires
    —– Inclus ou non Mycoplasma pneumoniae /Bordetella sp./ Chlamydophyla
    —– Si indiqué cliniquement
  • Radiographie pulmonaire Postéro-Antérieure & Latérale
  • Au besoin: RxP en décubitus latéraux gauche et droit (si suspicion d’épanchement pleural/empyème)
207
Q

Radiographie pneumonie

A
208
Q

Complications de la pneumonie

A
  • Empyème/épanchement parapneumonique
  • Insuffisance respiratoire aigue
  • Pneumonie nécrosante:
    —– SGA
    —– Pneumocoque
    —– SARM
  • Abcès pulmonaires
209
Q

Complications de la pneumonie: SI PNEUMONIE NÉCROSANTE

A
  • Empyème/épanchement parapneumonique
  • Insuffisance respiratoire aigue
  • Pneumonie nécrosante:
    —– SGA
    —– Pneumocoque
    —– SARM
  • Abcès pulmonaires
210
Q

Traitement de la pneumonie

A
  • Le traitement initial est toujours empirique.
  • Les suggestions thérapeutiques sont modulées par la probabilité d’un germe selon le contexte épidémiologique (ambulatoire ou hospitalier), la présence de facteurs de comorbidité, le statut vaccinal de l’enfant ou la gravité de la pneumonie.
211
Q

Traitement de la pneumonie: Choix initial d’antibio

A
  • Le traitement initial est toujours empirique.
  • Les suggestions thérapeutiques sont modulées par la probabilité d’un germe selon le contexte épidémiologique (ambulatoire ou hospitalier), la présence de facteurs de comorbidité, le statut vaccinal de l’enfant ou la gravité de la pneumonie.
212
Q

Traitement de la pneumonie: De quoi dépend le choix de l’antibio empirique utilisé?

A
  • Le traitement initial est toujours empirique.
  • Les suggestions thérapeutiques sont modulées par la probabilité d’un germe selon le contexte épidémiologique (ambulatoire ou hospitalier), la présence de facteurs de comorbidité, le statut vaccinal de l’enfant ou la gravité de la pneumonie.
213
Q

Traitement de la pneumonie: Mesures générales de spport

A

Mesures générales de support :
* Hydratation adéquate
* Antitussif non recommandé de routine
* Analgésique/antipyrétique si nécessaire
* Oxygénothérapie si hypoxémie

214
Q

Traitement de la pneumonie: indications de réévaluer

A
  • En cas de fièvre persistant de 48 à 72 heures après le début du traitement ou de détérioration clinique : réévaluer le patient et rechercher les complications (empyème).
215
Q

Traitement empirique selon l’âge et la situation clinique

A
216
Q

Pneumonie atypique: Traitement empirique selon l’âge et la situation clinique

A
  • Généralement enfants d’âge scolaire
  • Sx subaigus, toux dominante
  • Infiltrat non lobaire à la radiographie
217
Q

Infection urinaire: Prévalence

A
  • 2e cause d’infections bactériennes chez l’enfant
    —— Après les infections des voies respiratoires
  • Environ 7-8% des filles et 1-2% des garçons présenteront une infection urinaire au cours de leurs huit premières années de vie
218
Q

Infection urinaire: les différentes définitions

A
  • Infection urinaire fébrile: Infection urinaire accompagnée de température
  • Infection urinaire symptomatique: Infection urinaire accompagnée de température et/ou symptômes urinaires
  • Bactériurie asymptomatique: Bactériurie (significative) sans symptôme compatible avec une infection urinaire
  • Pyurie stérile: Présence de GB en absence de bactérie dans les urines
219
Q

Infection urinaire FÉBRILE: définition

A
  • Infection urinaire fébrile: Infection urinaire accompagnée de température
  • Infection urinaire symptomatique: Infection urinaire accompagnée de température et/ou symptômes urinaires
  • Bactériurie asymptomatique: Bactériurie (significative) sans symptôme compatible avec une infection urinaire
  • Pyurie stérile: Présence de GB en absence de bactérie dans les urines
220
Q

Infection urinaire SYMPTOMATIQUE: définition

A
  • Infection urinaire fébrile: Infection urinaire accompagnée de température
  • Infection urinaire symptomatique: Infection urinaire accompagnée de température et/ou symptômes urinaires
  • Bactériurie asymptomatique: Bactériurie (significative) sans symptôme compatible avec une infection urinaire
  • Pyurie stérile: Présence de GB en absence de bactérie dans les urines
221
Q

Bactériurie ASYMPTOMATIQUE: définition

A
  • Infection urinaire fébrile: Infection urinaire accompagnée de température
  • Infection urinaire symptomatique: Infection urinaire accompagnée de température et/ou symptômes urinaires
  • Bactériurie asymptomatique: Bactériurie (significative) sans symptôme compatible avec une infection urinaire
  • Pyurie stérile: Présence de GB en absence de bactérie dans les urines
222
Q

Pyurie stérile: définition

A
  • Infection urinaire fébrile: Infection urinaire accompagnée de température
  • Infection urinaire symptomatique: Infection urinaire accompagnée de température et/ou symptômes urinaires
  • Bactériurie asymptomatique: Bactériurie (significative) sans symptôme compatible avec une infection urinaire
  • Pyurie stérile: Présence de GB en absence de bactérie dans les urines
223
Q

Infections urinaires: définition selon le SITE D’INFECTION

A
  • Selon le site de l’infection:
    —- Haute: reins, uretères
    —- Basse: vessie, urètres
  • Pyélonéphrite:
    —– Infection des reins
  • Cystite:
    —– Infection de la vessie
224
Q

Infections urinaires: définition selon le SITE D’INFECTION
- structures incluses dans voie HAUTE vs BASSE

A
  • Selon le site de l’infection:
    —- Haute: reins, uretères
    —- Basse: vessie, urètres
  • Pyélonéphrite:
    —– Infection des reins
  • Cystite:
    —– Infection de la vessie
225
Q

Infections urinaires: définition selon le SITE D’INFECTION
- différenciez PNA vs CYSTITE

A
  • Selon le site de l’infection:
    —- Haute: reins, uretères
    —- Basse: vessie, urètres
  • Pyélonéphrite:
    —– Infection des reins
  • Cystite:
    —– Infection de la vessie
226
Q

Principales bactéries impliquées dans les infections urinaires fébriles

A
  • Escherichia coli: 80%
  • Autres entérobactéries:
    —– Klebsiella, Proteus, Enterobacter, Citrobacter
  • Bactéries Gram Positif:
    —– Staphylococcus saprophyticus, Enterococcus
    —– Rarement Staphylococcus aureus
    ————- Dissémination hématogène
  • Pseudomonas aeruginosa
    —– Instrumentation
227
Q

Principales bactéries impliquées dans les infections urinaires fébriles: fréquence d’E. Coli

A
  • Escherichia coli: 80%
  • Autres entérobactéries:
    —– Klebsiella, Proteus, Enterobacter, Citrobacter
  • Bactéries Gram Positif:
    —– Staphylococcus saprophyticus, Enterococcus
    —– Rarement Staphylococcus aureus
    ————- Dissémination hématogène
  • Pseudomonas aeruginosa
    —– Instrumentation
228
Q

Principales bactéries impliquées dans les infections urinaires fébriles: entérobactéries

A
  • Escherichia coli: 80%
  • Autres entérobactéries:
    —– Klebsiella, Proteus, Enterobacter, Citrobacter
  • Bactéries Gram Positif:
    —– Staphylococcus saprophyticus, Enterococcus
    —– Rarement Staphylococcus aureus
    ————- Dissémination hématogène
  • Pseudomonas aeruginosa
    —– Instrumentation
229
Q

Principales bactéries impliquées dans les infections urinaires fébriles
- bactéries Gram +

A
  • Escherichia coli: 80%
  • Autres entérobactéries:
    —– Klebsiella, Proteus, Enterobacter, Citrobacter
  • Bactéries Gram Positif:
    —– Staphylococcus saprophyticus, Enterococcus
    —– Rarement Staphylococcus aureus
    ————- Dissémination hématogène
  • Pseudomonas aeruginosa
    —– Instrumentation
230
Q

Principales bactéries impliquées dans les infections urinaires fébriles
- bactérie si DISSÉMINATION HÉMATOGÈNE

A
  • Escherichia coli: 80%
  • Autres entérobactéries:
    —– Klebsiella, Proteus, Enterobacter, Citrobacter
  • Bactéries Gram Positif:
    —– Staphylococcus saprophyticus, Enterococcus
    —– Rarement Staphylococcus aureus
    ————- Dissémination hématogène
  • Pseudomonas aeruginosa
    —– Instrumentation
231
Q

Principales bactéries impliquées dans les infections urinaires fébriles
- bactérie si INSTRUMENTATION

A
  • Escherichia coli: 80%
  • Autres entérobactéries:
    —– Klebsiella, Proteus, Enterobacter, Citrobacter
  • Bactéries Gram Positif:
    —– Staphylococcus saprophyticus, Enterococcus
    —– Rarement Staphylococcus aureus
    ————- Dissémination hématogène
  • Pseudomonas aeruginosa
    —– Instrumentation
232
Q

Pathogènes autres possibles dans les infections urinaires

A
  • Virus:
    —– Adénovirus
    —– Entérovirus/ Coxsackievirus/ Échoviruses
  • Fongique:
    —– Candida spp, Aspergillus spp, Cryptococcus neoformans, mycoses endémiques
233
Q

Pathogènes autres possibles dans les infections urinaires
- virus

A
  • Virus:
    —– Adénovirus
    —– Entérovirus/ Coxsackievirus/ Échoviruses
  • Fongique:
    —– Candida spp, Aspergillus spp, Cryptococcus neoformans, mycoses endémiques
234
Q

Pathogènes autres possibles dans les infections urinaires
- fongique

A
  • Virus:
    —– Adénovirus
    —– Entérovirus/ Coxsackievirus/ Échoviruses
  • Fongique:
    —– Candida spp, Aspergillus spp, Cryptococcus neoformans, mycoses endémiques
235
Q

Facteurs prédisposant aux infections urinaires fébriles

A
  • Sexe féminin
  • Jeune garçon non circoncis (phimosis physiologique qui cause une obstruction)
  • Race blanche
  • Reflux Vésico-Urétéral (RVU) de haut grade
  • Anomalies congénitales des reins et/ou des voies urinaires
  • Dysfonction vésicale/digestive
  • Instrumentation du tractus urinaire
  • Lithiases rénales
  • Activités sexuelles
  • Diabète
  • Prédispositions génétiques
236
Q

Infection urinaire: Pathophysiologie

A
  1. Majorité des infections urinaires = Infection ascendante
  2. Colonisation de région péri urétrale avec uropathogènes entériques
  3. Attachement à l’épithélium

Variation selon facteurs de virulence propre à chaque pathogène

237
Q

Décrire les signes et symptômes de l’infection urinaire fébrile: varie en fonction de quoi?

A
  • Varient en fonction de l’infection
    —– Cystite vs Pyélonéphrite
  • Varient en fonction de l’âge
238
Q

Décrire les signes et symptômes de l’infection urinaire fébrile

A
  • Fièvre
  • Brûlures mictionnelles
  • Urgences mictionnelles
  • Pollakiurie/ Dysurie / Hématurie
  • Rétention urinaire
  • Douleur abdominale ou lombaire
239
Q

Décrire les signes et symptômes de l’infection urinaire fébrile: NOURRISSON / JEUNE ENFANT

A
  • Fièvre
  • Anorexie
  • Irritabilité
  • Vomissements
  • Diarrhées
  • Ictère
  • Retard de croissance pondéral
240
Q

Examens paracliniques utiles dans l’infection urinaire fébrile
- nommez-les

A
  • Sommaire et microscopie des urines (SMU)
  • Décompte, culture et antibiogramme (DCA)
  • Ponction vésicale
  • Cathétérisme vésical
  • Mi-jet
  • Sac
241
Q

Examens paracliniques utiles dans l’infection urinaire fébrile: analysez les résultats de la ponction vésicale

A

Ponction vésicale:
* Spécificité 99%
* Toute croissance de bactéries Gram Négatif
* >106/L CFU de bactéries Gram Positif

242
Q

Examens paracliniques utiles dans l’infection urinaire fébrile: analysez les résultats du cathéterisme vésciale

A

Cathétérisme vésical:
* Spécificité 85-90%
* < 106/L CFU = Négative
* 106/L CFU à 50 x 106/L CFU = Douteuse
* > 5—100 x 106/L CFU = Probable

243
Q

Examens paracliniques utiles dans l’infection urinaire fébrile: analysez les résultats du mi-jet

A

Mi-Jet:
* < 106/L CFU = Négative (exclus Dx)
* >100 x 106/L CFU = Positive

244
Q

Examens paracliniques utiles dans l’infection urinaire fébrile: analysez les résultats du sac

A

Sac:
* Spécificité 70%
* < 106/L CFU = Négative (exclus Dx)
* >100 x 106/L CFU = Positif

245
Q
A
246
Q
A
247
Q

Examens paracliniques utiles dans l’infection urinaire fébrile: selon clinqiue, comorbidité et tx envisagé

A

—— Bilans sanguins:
* FSC
* Créatinine/urée
* Ions (Na, K, Cl)
* Protéine C réactive (CRP), Procalcitonine
* Hémoculture
* Imagerie:
* Échographie rénale
* Cystographie mictionnelle
* Scintigraphie rénale au DMSA
—— Identification de facteurs prédisposants aux infections urinaires
—— Recherche de complications

248
Q

Examens paracliniques utiles dans l’infection urinaire fébrile: Bilan sanguin

A

Bilans sanguins:
* FSC
* Créatinine/urée
* Ions (Na, K, Cl)
* Protéine C réactive (CRP), Procalcitonine
* Hémoculture

249
Q

Examens paracliniques utiles dans l’infection urinaire fébrile: imagerie

A

Imagerie:
* Échographie rénale
* Cystographie mictionnelle
* Scintigraphie rénale au DMSA

250
Q

Complications les plus fréquentes de l’infection urinaire fébrile

A
  • Bactériémie/urosepsis
  • Méningite bactérienne
  • Néphronie/Néphrite focale
  • Abcès rénal
  • Cicatrices Rénales
251
Q

Traitement antibiotique empirique de l’infection urinaire fébrile: IMAGE

A
252
Q

Traitement antibiotique empirique de l’infection urinaire fébrile (2): IMAGE

A
253
Q

Traitement antibiotique de l’infection urinaire fébrile

A
  • Ajustement en fonction du germe et sensibilités
    aux antimicrobiens
  • Voie d’administration selon âge du patient,
    évolution clinique et résolution de la température
  • Durée:
    —– En général, variant entre 7-14 jours (7-10 jours) si non compliquée
    —– Si infection urinaire non fébrile des voies urinaires inférieures (cystite): traitement de 3-5 jours serait suffisant