Soins palliatifs Flashcards
Qu’est ce qu’une bonne mort
C’est une mort attendu, apprivoisée, sans douleur, désirée, digne
Cinq attribut communs aux personnes atteintes
Être accompagnée
Considéré comme des êtres humains jusqu’à la fin
Avoir un contrôle de la douleur et des symptômes
Avoir sentiment de fermeture
Avoir le sentiment qu’on a encore quelque chose à offrir
Six facteurs
La religion, la culture, les circonstances de la vie, l’âge, les enjeux financiers, la maladie
Une bonne mort pour le personnel soignant
Mort sans douleur, attendu, accepter, préparer, endroit calme et priver
Les 11 conditions associée à une bonne mort
Le décès à l’endroit souhaitée ou préféré
Le soulagement de la douleur et des symptômes
Le fait de ne pas prolonger la vie inutilement
communication et la relation avec le personnel soignant
Les pratiques culturels et rituels
Le soutient émotionnels des proches aidant
Maintien de l’autonomie décisionnelle
La conscience d’une mort imminente
Le fait de ne pas représenter un fardeau pour les autres
Le respect du droit d’abréger sa propre vie
Le soulagement de la souffrance émotionnelle
C’est quoi les soins palliatifs
atténuer la douleur, soulager les symptômes physiques, organiser des soins de qualités, meilleur qualité de vie possible, soutenir la vie et considérer la mort comme un processus normal, offrir un système de soutient
Les mécanismes de défenses
Le cheminement du malade, phase du deuil
Le déni: la personne ne peut pas y croire, première réponse
Colère: envers elle-même et les autres
marchandage: pacte avec destin, personne tente de négocier sa guérison ou allonger son espérance de vie
Dépression: signes maladie s’aggravent, personne se sent démunies
Acceptation: le lâcher prise; la mort fait partie du processus naturel de la vie
Le deuil des accompagnant
Signe de retrait, tristesse, apathie, solitude
Enfant/ado: silencieux, comportement social différent
Durant le deuil, ce n’est pas le moment de prendre des grandes décisions
Ne pas surestimer, demander de l’aide
L’humaindevenant
Qualité de vie de chaque personne est le but des soins
L’être est unique et à son propre rythme
Chacun donne un sens à sa vie, se projette et crée son histoire
Comment appliquer pour établit un contact au quotidien en tout respect
Comment ça se passe pour vous aujourd’hui
Comment voyez-vous votre journée
Qu’est-ce qui est important pour vous en ce moment
Comment aimeriez vous que l’on procède
Par quel soin aimeriez vous qu’on commence
Est-ce qu’on pourrait faire quelque chose de plus
Les soins palliatifs pédiatrique
offert par équipe interdisciplinaire
phase palliative peut s’étendre sur quelques années et même chevaucher l’enfance, l’adolescence et l’âge adulte
Enjeux des soins palliatifs pédiatriques
La communication essentiel, doit tenir compte du niveau développement de l’enfant et compréhension de la maladie. Avoir une communication quotidienne
Trajectoires selon les maladies
Les parents
La fraterie
Les grand-parents
Les amies, l’école
Attributs favorisant une bonne mort pour soins palliatifs pédiatrique
Maintient de l’espoir
Maintient du plaisir
Le fait de se sentir respecter
Possibilité de planifier la fin de vie
Intervention infirmière pour les soins de confort
Hygiène générale
soins de la peau
Prévention et soins de lésions de pression
Les petits soins
L’alimentation et hydratation
Soins de la bouche
Soulagement des inconforts
Constipation/ Fécalome
L’hygiène générale est indispensable
Au maintient intégrité téguments
Sensation confort
Estime de soi
Évaluation générale du patient
Toilette partielle au lit ou lavabo
Bain complet au lit
Bain à la crème
Bain thérapeutique
Fréquence désirée
Il ne faut pas insister au niveau des personnes réticentes: humiliation, gêne, pudeur, refus admettre dépendance
Jamais être banale: fermer les rideaux, fermer la porte, lieu discret, couvrir organes, personne na pas froid
La peau le but premier
Éviter la détérioration et prévenir infection
Échelle Braden q2h (dépistage premier 24h)
Facteur de risque pour la peau
Intrinsèque:
Dim apport nutritionnel et hydrique
Mobilité réduite
Incontinence
Oedème
obésité
Diaphorèse/ diarrhée/ cachexie
infections
ATCD lésions pression
Âge/ anémie/ hypoxie/ hypethermie
Extrinsèque:
Stress
TAbas
polymédication
lésions traumatique de la peau
radiothérapie
pratique inadéquate
aide technique et équipement inappropriés
Redus des interventions proposée
Sites corporels lesions de pression
Oreilles, omop lates, coudes, vertèbres, sacrum, coccyx, pli intersession, crête iliaque, ischions, malléoles, est
Prévention des lésions de pression
Prévention est le meilleur traitement
Savoir nuancer: changement de position, bon alignement corporel
Éviter position demi-assise prolongée
Éviter friction mécanique
Matelas spéciaux
Bonne hygiène
Éviter de masser les points de pressions
Connaître les FR
Les petits soins
Contribuent à augmenter et bonifier qualité de vie du malade
L’image corporel
L’autonomie
LA sécurité
Les petits bonheurs
(donner collations, vernis à ongle, image corporelle, mettre de la musique, radio)
Alimentation et hydratation
Accepter perte appétit est normal
La faim est une reflex qui indique le besoin de nourriture
L’intérêt de la nourriture en soins pal n’est pas sa valeur alimentaire mais bien le réconfort
La personne peut manger tout ce qu’elle à envie de manger
Risque aspiration
Mastication difficile
Dysphagie
No/vo
Symptôme mal contrôlée
dépression, solitude, ennui
baisse de l’appétit et anorexie
faiblesse et asthénie
nourriture en purée, couper, regarder intérieur de la bouche, dentier trop grand, liquide appaissisant, apporter nourriture bonne odeur et que patient veut, inviter famille, installer position confort
Hydratation
Utiliser lorsque hydratation laborieuse et selon état et besoin du patient: épaississement des liquides, pailles, compte goutte, séringues et éponger
Posture adéquate pour facilité déglutition
glace concassée ou glaçons fait de liquides que patient aimes
bons soins de la bouche et utilisation de trucs contre la bouche sèche, garder bouche et lèvre humide
AVISER FAMILLE: déshydrations non douloureux et certains effets bénifiques : augmentation concentration des électrolytes qui agissent comme anesthésiant naturel
Perfusion cutanée installée au niveau de la paroi abdominale sous ordonnance médicale
Soulagement des inconfort
Toujours tenir compte des bénéfices et incovénients
Tenir compte politique du milieu
Sécheresse oculaire
Faiblesse, dort les yeux ouvert, paupières ne se ferme plus complètement
Larmes artificielles
Onguent
Gel ophtalmique
Sécheresse nasale
Sécheresse de l’air ambiant
Oxygénothérapie par LN
Appliquer une couche mince dans les narines (agent hydratant)
Humidificateur au chevet (pas de gelée de pétrole)
Blessure au oreille, nez, narines, scapulas, sacrum, ischions, talons
Port des verres correcteurs mal ajustés
Lunette nasale
TNG
Point de pression
Duoderm, ouate, pansement appliquée localement
Protecteur/mobilisations plus fréquente
Agueusie et dysgueusie
Prise de certains médicaments
Désordres métaboliques
Atteinte locales au niveau de la gorge et de la bouche
Radiothérapie locale
Chimiothérapie
Affection buccale
aliments plus épicés
bon soins de la bouche
gout alimentaires du moment, médecin au besoin
supplément de zinc TID peut être administrée
Brûlure épigastrique
Atteinte locale
dyspepsie
prise de médicaments
Faire boire de l’eau
éviter aliments acides/épicés
anticacides
aviser médecin
toujours prévoir IPP
Hoquet
Tumeur cérébrale entraine augmentation de la pression intracrânienne, oesophagienne ou gastrique, distension gastrique, irritation du nerf phrénique, certains médicaments
eau glacée, glace concassée, citron, administration de médicaments
Ascite
Atteinte hépatique ou abdominale
Restriction sodium, restriction liquidiennes diurétiques
Paracentèse (plus on enlève de liquide plus vite il se reforme) si cela est la nuit à la respiration ou occasionne de la douleur, drainage péritonéal
Sinon soulager les symptômes associés (dysoonée, vo, douleur)
Dysurie et rétention urinaire
DIGNITÉ
Atteinte locals (vessie, prostate, abdomen) asthénie, effets anticholinergiques de certains médicaments (Robinul, scopolamine)
Vérifier la présence d’un globe vésical, faire lever le patient si possible pour uriner, cathétérisme, sonde vésicale et culotte incontinence
Irritations vaginales et anales
Fistules recto-vaginale
Vésico-vaginale
Recto-vésico-vaginale
infections vaginale
selles diarrhéiques
atteintes locales
DOuche vaginales, antifongiques, crème barrière protectrice et hygiène ++
Herpès
contamination par le virus de l’herpes et déficience du système immunitaire
Prévenir la transmission du liquide vers d’autres muqueuses comme les yeux, antiviraux, bain de siège, crème barrière
Hémorroïdes
Constipation chronique
distention abdominal qui entraîne compression du bassin
Onguent thérapeutique locale, bain de siège, crème protectrice, éviter constipation
Prurit
hyperbglirubénie, urémie, dermatites, réactions allergique à un médicaments, sécheresse de la peau
Antihistaminiques, antiprurigineuse, lotion hydratante, antifongique
Fièvre
prendre température
tylénol
enlever couvertures
garder peau sec
pour le soulagement toujours tenir compte bénéfice inconvénient
Frilosité
anémie, cachexie
assurer confort, boisson chaude, bouillottes, couvertures
Ankylose (difficulté è bouger)
inactivité, immobilisation
mobilisation, exercice actifs/passifs, friction, massage, hydrothérapie si possible
oedeme
compression des veines iliaques, obstruction des canaux lymphatiques, médication, inactivité et mauvais position, excès élimination de protéines dans l’urine
massage doux pour stimuler drainage lymphatique, surélever les membres atteints, bas de support, exercices passifs/actifs
Constipation
Problème fréquent
cause: médication, pas oublier d’en faire évaluation
élimination intestinale doit être surveiller de près même si patient ne mange plus et il faut toujours bien documenter
Interventions:
hydratation (nuancer)
donner aliments riches fibres (nuancer)
faire circuler selon tolérance (nuancer)
intervenir après 3 jour sans selles
donner médicament selon prescription
toujours intervenir selon protocole établissement
Suppositoire glycérine avant lax a Day
Fécalome
Peuvent cause douleurs abdominales, anales, no, agitations
évaluation: quand malade accuse douleur anale, diarrhée non documentée, difficulté è déféquer, anus distendu ou entrouvert, agité sans cause apparente
faire un toucher rectale, si présence fécalome
évaluer : consistance, quantité, localisation
TOUJOURS INTERVENIR SELON PROTOCOLE DE L’ÉTABLISSEMENT
toujours avoir en tête…
confort du patient
Soins de la bouche
essentiel pour la confort
font partie intégrante des soin infirmiers
patient compte sur nous
Nous devons lui assurer avec tout nos compétence le confort le plus complet possible
soins de la bouche différents niveau affections
Confort: bouche douloureuse altère le confort et empêche de profiter de ses derniers jours
Alimentation: rendre laborieuse alimentation, douleurs mastication, gout altérer, refus, éviter s’alimenter
communication: bouche sèche et douloureuse ont de la difficulté à s’exprimer
Estime de soi: bouche mauvaise état risque d’isoler malade
FR d’une bouche moins en santé
Chimio
radiothérapie
médication
déshydratation, malnutrition
localisation du cancer
asence motivation, état dépressifs
cachexie
respiration par la bouche
faiblesse
éléments à surveiller soins de la bouche
salive: abaisse langue sous la langue (aqueuse-clair)
levres: regarder (souples et lisses)
gencives: regarder et toucher (rosées et fermes)
papilles, portions gencives entre les dents: regarder et presser abaisse langue (effilées, fermes, rosées)
langue: regarder, gratter un peu (rosée, aspect légèrement rugueux, humides, sans dépôts)
muqueuse, joues, langue, palais, arrière gorge: observer apparence tissus (rosées, humides, sans dépôts et lésions)
dents: observer (bien enchaussées, sans dépôts)
prothèse dentaire : vérifier bon ajustement aux gencives et propretés (ne doive causer aucune lésion)
Fréquence de l’hygiène buccale
2x par jour et augmenter la fréquence si problématique
dans un monde idéal: 3/4x par jour après les repas et hs, chaque 2-4h si comateux
ne pas oublier le confort du patient, juste besoin hydrater et humecter la bouche si pas de lésions
matériel nécessaire:
coton-tige, toothette, brosse à dents soie douces, soies dentaire
prothèse dentaire: enlever pour les soins et les laver avant de remettre en place
nilstat/ doit toujours être appliquer après gargarismes et non inverse
éviter bâton glycérine et citron car irritant pour les muqueuse
la douleur
avertissement quelque chose ne va pas
mauvaise douleur = évolution maladie
doit soulager
documentée
différent processus de la douleur
neurologiques (capteurs)
biochimiques (ions)
psychologique
traitement variées et individualiser
Évaluation de la douleur
déterminant de la santé: facteurs biologiques, environnement, habitudes de vies, soins
examen physique: inspection, palpation, percussion, auscultation
PQRSTU savoir nuancer
type de douleur
superficielle: circonscrite à une région cutanée et assimilable à une démangeaison ou une brûlure
profonde: douleur osseuse, musculaire, intensifiées par mouvement sensible a la pression et irradiante
viscérale: souvent sourde, profonde, mal circonscrite, constante, irradiante vers une autre région
douleur aigue: intense, subite, passagère
douleur chronique: maintient dans le temps 3/6 mois
douleur aigue sur chronique: cancer avec métastase qui engendre une fracture
douleur chronique maligne: dure dans le temps mais évolue (sclérose en plaque)
douleur chronique mais non maligne: douleur longue période mais sans évolution (hernie discale)
Signes visibles inconfort ou de douleur
attention particulière à la personne qui ne peut s’exprimer
visage crispé
plainte, gémissements
tension musculaire
geste de protection
changement de comportement
pouls qui augmente/ TA augmente
transpiration
respiration augmente
Principe de soulagement de la douleur
but premier: aucune douleur la nuit
but second: aucune douleur au repos
but troisième: le moins de douleur possible à la mobilisation
priorité de la personne, collaboration md, dépend stade de la maladie, équilibre difficile à trouver, prête à dormir pour avoir moins mal, ON RECHERCHE ÉQUILIBRE
méthodes pharmaco soulager la douleur
1er étape: douleur modérée à légères, non opoides, acétaminophèe, AAS, AINS, ibuprofène, naproxen
2e étape: douleur modérés à sévères, ajouter opiodes faibles, codéine, acétaminophène, codéine ia, oxycodone + acétaminophène, tramadol
3e étape: douleurs sévères, opiodes puissant, fentanyl, hydromorphone, morphine, méthadone, sufentanil mépéridine, pompe AC
Coanalgésie
pas de vrai analgésique
supporte action des opiodes
choix selon le type douleur (osseuse, neuro, spasmodique)
entredose
dose supplémentaire analgésique disponible pour le patient n’étant pas soulagé de façons optimal par sa médication régulière
choisir même opioides que celui utiliser de façons régulière permettre meilleur ajustement de la dose
administrer une formulation à libération immédiate
administrer entredose à demande patient entre dose régulière, on attend 30 min entre chaque dose afin laisser le temps nécessaire obtenir effet analgésique
prévoir augmenter la dose régulière lorsque patient reçois 3 entreposés ou plus en 24h
La médication (bonne voie)
jugement clinique est essentiel
PO première option
sublinguale et buccogingivale
avantage:
face d’accès, peu invasive, technique administration simple, absorption et début action rapide, éviter premier passage hépatique
limites:
gout, salivation excessive, volume maximum (1-2ml), temps de séjour sous l’a langue, absorption boire, manger, fumer, parler, altération muqueuse buccale
administration dans cul de sac situé entre la muqueuse jugale et gencive inférieur plutôt que sous la langue
Avantage chez patient inconscient ou rencontre difficulté a garder médicaments sous la langue suffisamment longtemps
Mode administration voie sublinguales
placer comprimé sous la langue, dans sillon buccogingival (même si patient inconscient)
maintenir en place sans croquer ou avaler
Si bouche sèche pour comprimée: mettre quelque gouttes d’eau sous la langue pour permettre dissolution, écraser comprimé et mélanger avec un peu de liquide
Si bouche sèche pour liquide: absorption sera facilité
s/c
via canules IV 24-27 calibre
microperfuseurs
insuflons
PAS RINCER
toujours préparer installation avec médicament attitré au site avec un supplément pour la tubulure (valider protocole établissement)
NE JAMAIS RINCER après avoir administrer, cela faussera la dose reçues et à recevoir par le patient
ON inscrit sur le site: date, initiale, nom médicament
dossier: site, grosseur, ect
Voie transdermique
seul opiacé disponible : duragesic
sour forme de timbre indiqué pour la patient souffrant de douleur stable
NE PAS COUPER (libération massive du contenu réservoir en raison de la destruction de la membrane contrôlant la libération du médicaments
application: changer timbre 72h et rotation des sites, peau sèche et propre, non irradier, pas de poils
site: dos, flanc, haut du bras, poitrine
soulagement dans 12 a 24h
pas toucher partie du timbre, bine laver les mains, jeter biorisque et le plier
surdosage
signe et symptômes varie selon intensité médication
cas léger: somnolence, no/vo, myoclonies, myosis, confusion, agitation
sévère: dépression SNC, cyanose, peau froide, sudation, hypothermie, bradycardie, hypota, mydriase, apnée, arrêt circulatoire et cardiaque
Réaction extrapyramidales
réactions dystoniques aigues
Akathisie/ acathésie/ acathisie
syndrome parkinston
dyskinésie tardive ou dystonie tardive
effets anticholinergiques
peau: chaleur, sécheresse
yeux: mydriase, difficulté accommodation, augmentation pression intra-oculaire
ORL: sécheresse, bouche, nez, gorge
Poumons: dim sécrétions
estomac: no/vo
coeur: augmentation rythme
intestin: diminution motilité
vessie: retention urinaire
SNC: perte mémoire récente, confusion, agitation, euphorie, insomnie, somnolence, ect
Méthode non pharmacologique et interventions supplémentaire
massage
application froid chaud
positionnement et exercice
relaxation
visualisation
distraction
musicothérapie
zoothérapie
physio/ergo
support psychologique
role inf pour la douleur
Doit connaitre médicament donne et ses effets
assurer surveillance
déceler signe douleur
soulagement évaluer
prodiguer soins de confort
administration rigoureuse
bonne absorption
bon Mode administration
informer patient/ proche
respecter patient ry douleur
écoute active
demander au patient ce que soulage
évaluer effets avant après
effet nocebo
interventions non pharmaco
traiter site de douleur indepedament
Maux de coeur
no est senstation désagréable et subjective
vomissement réflexe expulsion du contenu de l’estomac
très fréquent en soins pal
source inconfort
source inquiétude
confort/qualité de vie
important à évaluer no/vo
facteurs déclenchants
facteurs aggravant
horaire
est ce que vo soulage
nature/ quantité/ fréquence
symptômes associés
facteurs soulagement
intervention complémentaire pour soulager no/vo
citron frais
gingembre frais
controler odeurs
petit repas
soigner présentation
soins bouche
alimentation salés mieux tolérés surés
exercice respiratoire
exercice relaxation
seaband poignet
point de pression de réflexologie
collaboration nutritionniste
Définition delirium
état mentale anormal apparition soudaine, fluctuant, caractérisé par diminution état de conscience de lenvironnement et perturbation fonctionnement cognitif global
hyperactif/hyperactif/mixtes
ce n’est pas maladie Alzheimer ou une forme de démence, ne pas confondre avec une dépression ou tout autres troubles psychologique
causes délirium
atteinte cérébrale
désordre métabolique et organiques
problème métabolisme
dépression
syndrome sevrage alcool
environnement non familier
difficulté respiratoire
douleur sévère
anxiété, insomnie
rétention urinaire
constipation, diarrhée, fécalome
début hémorragie interne
réaction paradoxale à une médication
sevrage/ surdosage médicamenteux
évaluation systématique délirium
histoire, examen complet, pv, révision médication
tx étiologique: traiter causer symptômes
pharmaco: benzo (Ativan, versed, rivotal)
neuroleptiques (aldol, zyprexa)
intervention non pharmaco
intervention non pharmaco délirium
valider observation
expliquer patient et famille ce qui se passe
environnement calme et confortable
réduire stimulis
réduire déficits sensoriels
orienté patient
placer à la hauteur du patient
soulager douleur
administrer médicament inscrit
respecter dignité interventions
apporter correctifs nécessaire aux causes qui ont été identifiées comme étant celles qui ont engendrer une problématique
dyspnée c’est quoi et interventions non pharmaco
enseignent personne et famille
postion drainage psotural
NAcl 0,9 en nébulisation
adapter environnement aider AVQ
soutenir application des méthodes personelles
oxygène
ventilateur
exercice respi
imagerie mentale
relaxation
Dyspnée: sensation inconfort associé à la respiration, lorsque les demandes en O2 sont plus élevée que la capacité de l’organismes à en fournir
Embarras respiratoire c’est quoi et cause
embarras respiratoire: bruit produit par le mouvements oscillatoires des sécrétions présente dan les voies respiratoires supérieurs lors de l’inspiration et expiration
cause:
dim absence reflexe toux
épanchement
dysphagie
oedeme pulmonaire
infection voies respiratoire
production excessive mucus
apport excessif liquide
dysfonctionnement cils vibratiles
Évaluation qualitative embarras respiratoire
facteurs déclenchant aggravent et soulagement: position, mobilisation, toux, vo, alimentation/hydratation, effet med, traitement, dysphagie
symptômes associés: dyspnée, détresse respiratoire, no, dlr, anxiété,
signe cliniques: incommodant, quel point, capacité de dégager, cyanose, faciès crispé, plaintes
évaluation quantitative échelle victoria embarras respiratoire
0 = pas embarras
1= on entend embarras à moins 30 cm
2= on entend lorsque on est au pied du lit
3= on entend à la porte chambre
pharmaco utiliser dyspnée
furosémie, Xanax, Ventolin, sérac, floivent, opiacés, arrivent, décadrons, Ativan, verser, largactil, ritrovil
pharmaco utiliser embaras respiratoire
la six, scopolamine, arrivent, robinul, Ventolin, nacl 0,9,
intervention non pharmaco embarras respiratoire
encourager expectoration
assurer présence rassurante
libérer sécrétions avec tige éponge, poire, cathéter succion (cavité buccale seulement)
enseignement personne et proche
position
Respiration cheyne-stokes
rythme respiratoire périodique anormal caractérisé par alternance régulière de périodes apnéenet hyperpnée
les dernière heures/agonie : faudra être attentive à tous les signes inconfort même si patient inconscient
période éprouvante
sentiment impuissance
redoubler vigilance afin adoucir dans la mesure du possible
SV: tachycardie + irrégulier, respiratoire irrégulière
Élimination: incontrôlée, involontaire
Coloration: bleutée/pâles
gémissement : agitation
Délirium terminale : instabilité
Diaphorèse: moiteur
Frilosité: tremblements
PEUT ARRIVER informer famille
protocole détresse respiratoire
no 1: versed, midazolam : sédation rapide, effet amnésiant, dose ajuster selon prise quotidienne
no2: opioide: morphine, hydromoprhone, action bradypnéisante, dim sensation dyspnée, potentialise les effets versed et scopolamine
scopolamine: diminution volume des sécrétions, dim effort respiratoire, effet sédatifs, effets amnistiant
cette ordonnance peut être répété une deuxième ou troisième fois si la zone thérapeutique n’est pas atteinte après première dose, selon prescription médicale
VALIDER AVEC VOTRE UNITÉ DE SOINS
Signe que la mort est la
respiration cesse
coeur arrête battre
pupille fixée et dilatée
peau pale et cireuse quand sang circule plus
corps refroidit
muscles et sphincters relâchent et muscles raidissent après 4-6 heures
yeux reste ouvert
mâchoire tremblante et ouverte
reflexe ciliaire est absent
objectif AMM
mettre un terme souffrances dune personne en fin de vie en lui administrant intentionnellement des médicaments qui entraine son décès
La loi n’exige plus que la mort naturelle soit raisonnablement prévisible
AMM rôle infirmière
évalue de façons continue la condition clinique du patient assure soulagement surveillance clinique
lieux passible et approprié
médecin ou IPP doit administrer lui-même AMM accompagner du patient
dure 20-30min