Situation 5 Flashcards

1
Q

Involution utérine normale du post partum immédiat à 6 sem ?

A

pp imm. : HU 0-1/0, ferme, centré.

diminue de 1-3 cm par jour

2 sem : au-dessus symphyse

6 sem : non palpable (idem pré-gx)

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2
Q

Quel élément à la palpation entraîne suspicion de subinvolution ?

A

Utérus mou-boggy, hauteur stagne ou plus élevée, déviation

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3
Q

Si l’Ut n’a pas diminué de HU, pourquoi palpe-t-on les côtés ?

A

C’est aussi un indice d’involution.

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4
Q

Généralement c’est bénin, mais… En cas de sub-involution, que doit-on exclure comme possibilités ? (nommer seulement)

A

Infection / Endométrite, rétention de produits placentaires, problème de coagulation, atonie.

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5
Q

Il y a une situation qui est beaucoup associée à la sub-involution. Laquelle ?

A

Après une césarienne.

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6
Q

Si infection et sub-involution, qu’est-ce qu’on craint ? Que faire ?

A

On fait un massage utérin pour voir si caillots et saignements augmentent : une HPP tardive peut arriver ad 6 sem.

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7
Q

S/Sx endométrite ?

A

fièvre, frissons, sensibilité Ut, pertes malodorantes, mal-être général, HTA.

*Si P.S ++, symptômes de choc : moiteur, perte conscience, tachycardie

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8
Q

Que faire en cas de déviation Ut ?

A

Vider la vessie, même après une miction réussie peut faire une rétention urinaire et prn cathé. Sinon, investiguer si rétention placentaire.

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9
Q

Si la sub-involution ne répond pas au Tx, que faire ?

A

Consultation. Évaluer besoin d’aller à l’ER.

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10
Q

FDR de sub-involution ?

A

chorioamniotite, C/S, révision placentaire manuelle, AMA, multipare, le non AM.

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11
Q

Pourquoi la prévalence de VC varie entre 2 et 36% ?

A

Façon de le demander : bcp ne considèrent pas en vivre. Difficile à repérer. Différents types.

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12
Q

Généralités de VC et violences faites aux femmes ?

A

Première cause de violence faite aux femmes dans le monde vient d’un partenaire intime. Généralement la victime est une femme. Enjeu de santé publique au Québec.

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13
Q

Liens entre la Gx et la VC ?

A

Si VC peut entraîner les 1ères manifestations physiques, et risque d’aggravation en PP immédiat. (cause importante de blessures sévères en gx) Mais pas clair si la gx augmente la VC en général. Ce qui est sûr c’est que ça change les dynamiques des couples.

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14
Q

Types d’abus en VC et exemples ?

A

Physique : coups (pas indicateur le plus fiable) et blessures qui ne concordent pas avec l’explication.

Psychologique : verbal, constant

Socio-économique : contrôle financier, éloignement des proches et du réseau de soutient, décisions de comment mener sa vie. (Partenaire qui s’impose dans le suivi)

Sexuel : coercition reproductive et sabotage contraceptif, IVG.

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15
Q

V/F : la VC découle d’un manque de contrôle de la personne qui est violente.

A

Faux. C’est une tentative de maintenir le pouvoir et la domination, qui est constant, répété et ascendant.

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16
Q

FDR de VC dans la vie en général ? (4 types, donner des exemples)

A

Individuel : VC ou maltraitance dans son enfance, dépression, consommation, faible études et revenus

relationnel : type de relation (surtout si non mariés), atcd VC, délinquance, environnement et famille

Communautaire : pauvreté, criminalité et tolérance du milieu aux agressions

Sociétal (normes) : inégalités hommes-femmes, rôles stéréotypés.

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17
Q

Il peut être difficile pour une femme de dévoiler son vécu (honte, culpabilité, peur de perdre la garde de son enfant, ou mécanisme d’apathie et d’indifférence). = Comment intervenir ?

A

En parler seule à seule, refléter pour montrer l’impact sur elle et reconnaître que c’est de la VC. Orienter vers des ressources, s’assurer qu’elle a un filet de sécurité et qu’elle ne craint pas pour sa sécurité. Laisser son numéro, rappeler que c’est une raison de nous appeler et qu’on est là pour ça aussi !

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18
Q

Une femme vous dit que son conjoint lui a fait des menaces et qu’elle s’inquiète pour sa sécurité et celle de son aîné. À qui référer ?

A

En cas de doute, ne jamais hésiter à appeler le 9-1-1 pour intervenir en cas de violence physique. Sinon, les ressources sont les CAVACS (centres d’aide aux victimes d’actes criminels), les CIUSSS, SOS-VC, les centres des femmes et les réseaux des maisons d’hébergement.

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19
Q

V/F : c’est indiqué de suggérer à la femme de quitter son milieu de vie en cas de VC et de crainte pour son intégrité.

A

FAUX ! Le moment de quitter la relation est un moment critique qui peut augmenter la VC car le conjoint dominant sent une perte de contrôle. Les ressources sont formées pour mettre en place un filet de sécurité.

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20
Q

Nommer des types d’impact de la VC à tout moment de la vie

A

Santé mentale (anxiété, dépression, PTSD, auto-médication, consommation, problèmes de sommeil)

Problèmes de santé en général (à cause du stress et du cortisol) : moins bon système immunitaire. Problèmes chroniques, problèmes digestifs ou urinaires inexpliqués…

Problèmes de santé sexuelle et reproductive : gx indésirée, infections vaginales ou ITSS comme VIH, dyspareunie

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21
Q

Et durant la Gx, quels sont les impacts pour la femme de VC ?

A

Stress (santé mentale : dépression, anxiété, consommation, idées suicidaires, auto-médication)

Difficulté à s’alimenter et prendre du poids

infections idiopathiques, troubles du système Gastro-I et du sommeil…

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22
Q

Quels sont les impacts de la VC sur le déroulement de la gx ?

A

Traumatisme abdominal ou stress : FC, TP, RPM, DPPNI, RCIU, FPN, préma, mortinaissance

Complications en cours de travail (penser à la dystocie émotionnelle) et hémorragie

Soins prénataux différés (vont moins consulter)

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23
Q

Impacts de VC sur le BB ?

A

BB secoué, difficulté avec AM, attachement, comportement…

À long terme : reproduction de ces compoprtements.

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24
Q

La violence conjugale n’est pas toujours linéaire. C’est pourquoi les femmes restent dans ces situations. Comment fonctionne le cycle de la violence conjugale ?

A
  1. Climat de tension
    (constant stress de faire qqchose de mal et de se le faire repprocher, culpabilité, hypervigilance, regards et silences…)
  2. Agression (situation dégénère, épisode de violence physique ou autre, victime sent l’injustice)
  3. Justification (la personne violente trouve des excuses, prétend regretter, fait douter du vécu de la personne victime pour normaliser l’agression)
  4. Réconciliation (lune de miel) : attentions et souci de l’autre, impression de retrouver l’être aimé. La personne parle de suicide ou de thérapie.

Début d’un nouveau cycle. (Les personnes ne veulent pas quitter leur conjoint nécessairement, elle veulent que la violence cesse).

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25
Q

On parle aussi d’un continuum de la violence conjugale. Quelles en sont les étapes ? Qu’est-ce qui distingue les conflits conjugaux des situations violentes ?

A
  1. Conflits conjugaux courants
  2. Conflits plus intenses

Dimension de pouvoir et de domination

  1. Violence
  2. Violence sévère
  3. Terreur et harcèlement
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26
Q

Quelle est la fenêtre d’action du programme OLO ?

A

12-28 SA (parfois même après la naissance)

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27
Q

Quelle est la fenêtre d’action du programme SIPPE ?

A

De la naissance à l’entrée à l’école (5 ans) : inscription avant la 1ère année de vie

*Souvent abandon avant ou parfois transfert à d’autres services. Ou arrêt avant si atteinte de l’objectif !

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28
Q

Objectif principal du programme SIPPE ?

A

Le développement optimal de l’enfant

29
Q

Le programme SIPPE fait intervenir des professionnels nombreux (un intervenant pivot et une équipe multi). Donner des exemples de ces rôles.

A

Nutritionniste, infirmière, travailleuse sociale, technicienne en éducation spécialisée, psychoéducatrice…

30
Q

Types d’interventions SIPPE ?

A

Individuel : visites
Groupe : rencontres
Communautaire : activités

soutien spécialisé pour aider les besoins spécifiques et recevoir les soins et services.

31
Q

Stratégies du programme SIPPE pour aider le développement des enfants ?

A

Apprendre les saines habitudes de vie, trouver une place en CPE dès 5 mois pour réduire l’écart scolaire, vêtements, nourriture, réseau de soutien, soins médicaux de base, intégration du partenaire.

32
Q

Fréquences et niveaux d’intervention SIPPE varient selon…

A

le territoire (accessibilité et services offerts), les besoins, et le moment ( aux 2 semaines en prénatal jusqu’à trimestriel en postnatal).

33
Q

Critères du programme SIPPE ?

A

âge de l’enfant, sous-scolarisation (sec5) ou seuil de faible revenu de la mère avant impôts selon StatCan, isolement social.

34
Q

Pourquoi les primipares sont favorisées dans le programme SIPPE ?

A

Plus du type ‘‘acheteur’’ : vont plus profiter du service.

35
Q

Fonctionnement du service SIPPE ?

A

Recrutement, puis triage (SIPPE nécessaire ? ou pas le bon service ? ou besoin d’être jumelé à autre service ? -ex : toxicomanie, handicap), puis plan individualisé selon les besoins.

Portent attention aux signes d’engagement ou de décrochage du programme.

36
Q

De quelle logique est né le service OLO ?

A

Mobilisation des CLSC en 1991 : 1/6 enfant québécois naît dans un contexte d’insécurité alimentaire et impact gx sur son développement et chances égales. Permet même de diminuer les coûts de santé.

37
Q

Critère(s) OLO ? Façon d’y accéder ?

A

être sous le seuil de faible revenu avant impôts selon StatCan.

Référence par un professionnel ou la personne approche le CLSC.

38
Q

Que fournit le service OLO ?

A

Par jour : vitamine prénatale, 1L de lait, 1 oeuf.

Par semaine : 1 sac de légumes congelés. (mieux que jus d’orange car invite à cuisiner).

Soutien individuel ou de couple, acquisition de saines habitudes jusqu’à 2 ans, compétences parentales, outiller.
Rencontres prénatales.

Faciliter accès garderies et retour au travail.

39
Q

Prévalence de consommation dans la pop générale ?

A

1/5 : alcool et cigarette.

5% : drogues (cannabis la plus fréquente)

40
Q

Les femmes avec un trouble de consommation ont une réalité unique et complexe. Comment ? et Que faire ?

A

Santé mentale, insécurité financière, troubles alimentaires, violence et traumatismes, faible réseau de soutien.

Besoin de soins de grossesse qui incluent counselling sur la dépendance et soutien psychosocial. (multidisciplinaire)

41
Q

Pourquoi suggère-t-on de faire un dépistage systématique de consommation dans la grossesse ?

A

nombreux impacts sur la grossesse et le foetus/bébé.

On peut ne pas déceler consommation chez les +35 ans, les buveurs socials et de milieu aisé. Sinon, consommation élevée chez les 20-29 ans et les universitaires.

42
Q

Si il y a une consommation durant la grossesse, qu’est-ce qu’on évalue ? Comment ?

A

Si la consommation est problématique (avec dépendance). Aucun outil n’est parfait mais certains questionnaires sont approuvés comme le T-ACE ou le TWEAK qui demandent si plus de 2 verres sont requis pour être feeling, si les proches sont inquiets, si blackout, si besoin d’alcool pour se lever, si sent le besoin de diminuer.

43
Q

Sachant que les besoins des personnes aux prises avec la dépendance à la consommation sont complexes, est-ce qu’on s’attend à ce qu’un traitement pharmacologique seul suffise ?

A

Non.

44
Q

Si la personne a un antécédent de dépendance ou une co-morbidité de santé mentale avec sa consommation, on considère qu’il y a plus de risque que…

A

Sa consommation actuelle implique une dépendance.

45
Q

Évidemment, pour créer un lien de confiance et améliorer l’intervention, comment ne PAS être moralisatrice ?

A

Valider leur persévérance, comprendre les situations difficiles et les retards, privilégier la continuité des soins à un même endroit.

46
Q

Quel est le bénéfice de prodiguer de l’information sur les risques de la consommation si la personne ne pense pas pouvoir arrêter totalement sa consommation ?

A

L’approche de réduction des méfaits permet de limiter les impacts sur les prématurités et les FPN des NN.

De plus, il y a plus de chances si le soutien est direct. de courte durée et répété durant les suivis, que cela aide à réduire la consommation. *N’empêche pas la reprise après gx par contre.

47
Q

Quels sont les éléments à prendre en considération dans la réduction des méfaits ?

A

Est-ce que le conjoint est impliqué ? est-ce qu’il consomme aussi ? est-ce qu’elle prend conscience de sa consommation ? est-elle motivée par la grossesse ? a-t-elle peur de perdre la garde de son enfant ?

48
Q

Certaines personnes dépendantes ont quand même besoin d’un tx pharmaceutique. Pourquoi ?

A

Pour traiter le sevrage et prévenir les rechutes.

De plus, l’abus d’alcool peut causer une carence en vit.B1 = supplémenter 100mg die.

49
Q

Certains groupes particuliers nécessitent une sensibilité d’accessibilité, culturelle ou systémique particulière pour intervenir en cas de consommation. Lesquels ?

A

Les partenaires, les personnes trans, les femmes autochtones, les personnes avec traumatismes, les personnes de milieu rural ou éloigné.

Étudiantes universitaires et collégiales : gx imprévues et binge drinking + fréquents.

50
Q

V/F : la surveillance foetale durant la grossesse devrait dépendre de la consommation

A

Faux : devrait dépendre des indices obstétricaux de RCIU, TP, DPPNI…

51
Q

Au niveau légal, quel est le rôle de la SF en cas de consommation ou VC ?

A

Signaler en cas de doute de sévice ou de négligence. Le foetus n’a pas de droits avant la naissance mais après, oui.

On peut advocate pour les mères

Si les mères font auto-signalement, aide autodétermination et plan de traitement.

52
Q

On encourage évidemment à cesser sa consommation en cas d’allaitement maternel, mais encore une fois on pèse les bénéfices-risques. Quels liens avec alcool, cannabis, opiacés et codéine ?

A

Alcool : meilleur moment de prendre un verre = durant une tétée car alcoolémie = alcool dans le lait (alcool hydrosoluble). Si consommation problématique, faire un journal. Recommander moins de 2 conso par occasion.

Cannabis : THC liposoluble et s’accumule jusqu’à x8 dans le lait. Peut nuire à capacité de succion du bébé et donc à l’AM.

Codéine : cause somnolence et bradycardie chez bb : changer de tx de la dlr.

Opiacés : qté minimes dans le lait, peuvent ne pas avoir d’impact. Traitement avec méthadone emporte sur risques pour l’AM.

53
Q

On ne fait pas de tests diagnostics systématiques pour la consommation, juste si soupçons. Comment procéder ?

A

Obtenir le consentement ou consigner un refus. Privilégier le test urinaire. ATTN car FP ont gros impacts. indique usage mais pas la dépendance.

(Pas fait par SF?)

54
Q

Face à la douleur de l’accouchement, que faire avec les traitements de dépendance ?

A

Continuer le traitement mais il n’empêchera pas la dlr aigue. Peuvent avoir besoin de doses + élevées car tolérance. Péridurale est l’idéal (consulter anesthésiste).

Ne pas donner d’agoniste d’antagoniste car précipite sevrage aigu.

55
Q

conseils de prévention de surdose ?

A

Ne pas partager matériel et stock : l’autre a p-ê pas les mêmes doses que toi.

Si Sx surdose, aller à l’ER !

Pas de naloxone aux bb en réa.

56
Q

Dépendance et postpartum ?

A

Réduire consommation en postpartum aide la santé des familles. Besoin de soutien ++ pour humeur, AM, contraception, services de protection de l’enfance.

57
Q

Impacts et accompagnement précis pour la cigarette ?

A

MSN : expirations nocturnes de papa-maman = viser maison sans fumée et cochambre juste si AM.

Fissures palatines et besoin de supplémenter 5ug AF.

Les patch de nicotine sont des + de dose, donc juste si permet de ne PAS fumer.

Mais gommes ont moins de produits chimiques donc aident à réduire les FPN.

Vapoteuse pas recommandée (innocuité?).

Jumeler à thérapie cognitivo-comportementale (réfléchir sur l’habitude de fumer, pleine conscience du goût de la cigarette). CLSC a un programme d’arrêt !

58
Q

Impacts de l’alcool.

A

Passe le placenta et est tératogène, surtout durant le T1. Peut causer malformations cardiaques, rénale, oreilles, yeux et musculosquelettiques mais surtout TSAF qui est évitable et le + répandu au CAN.

Et donc aussi les FC et morts précoces.

59
Q

Diagnostic du TSAF ?

A

1/3 critères :

retard intellectuel (apprentissage, mémoire, comportement…)

Traits faciaux (microphtalmie, fissure palpébrales, lèvre supérieure mince)

RCIU (toujours là) ou FPN, PAG.

60
Q

FDR du TSAF ?

A

mère aussi atteinte du TSAF

61
Q

Quantité d’alcool durant la grossesse ?

A

Pas éthique de chercher à établir un seuil = reco zéro alcool.

Mais pour rassurer si a bu avant de se savoir enceinte : pire si binge drinking et conso +7 verres par semaine.

62
Q

Prévalence consommation alcool en gx ?

A

10% boivent, 3,3% font binge drinking.

63
Q

Autres effets causés par Héroïne, Cocaïne, opiacés, amphétamines sur la gx et le NN ?

A

RCIU, TP, RPM, DPPNI, MFIU, sevrage du NN…

64
Q

Impacts de la marijuana sur la gx et le bb ?

A

Incertains. Développement intellectuel, autisme ? dépression dans l’enfance ? PAG, FPN.

Personne qui consomme : anorexie, irritabilité, agitation, insomnie.

Certains consomment pour diminuer No-Vo mais cercle vicieux car No-Vo si sevrage.

65
Q

Crise des opioïdes en ce moment… Vaut-il mieux cesser la consommation en gx (faire une désintox) ?

A

TRANSFERT OBLIGATOIRE SF

Substitution diminue les rechutes et les sx de sevrage, ex la methadone ou le buprénorphine seul. Pas un meilleur que l’autre mais il ne faut pas switcher.

66
Q

Comorbidités de drogues injectables ?

A

VIH, VHC et transmissions probables foeto-maternelles.

67
Q

SSN : syndrome de sevrage néonatal. Pourquoi ? Sx ? Sévérité ?

A

Accumulations dans les tissus adipeux avant la naissance et arrêt d’apport ensuite = sevrage.

Cris aigus, irritabilité, problème d’éveil-sommeil, sueur, hypertonique, SDR…

Sévérité dépend du type et moment de consommation, de la fréquence et de la durée, etc.

Effet de récence : + on est à terme + l’impact de SEVRAGE est important. Mais le SEVRAGE en soi n’est pas ‘‘problématique’’ si traité. (Le problème c’est l’impact de la conso durant la gx sur les outcomes et le développement)

68
Q

Bref, c’est quoi ta CAT comme SF si SSN ?

A

Aviser d’avance de la surveillance PP, viser les Tx non pharmacologiques de SSN, faire Dx différentiel car Sx peuvent venir d’hypocalcémie-glycémie ou sepsie

Faire un score de Finnegan, appliquer la méthode kangourou, promouvoir la cohabitation et l’AM pour aider à le tx.

Orienter vers équipe multi non jugeante, consultation.

DPJ si refus de soins.