Semaine 14 Flashcards
Vrai ou faux?
L’approche Agile privilégie les individus et les interactions plus que les processus et les outils.
Vrai
Vrai ou faux?
Selon les principes de l’approche Agile, l’adaptation au changement est plus importante que le suivi d’un plan.
Vrai
Vrai ou faux?
Selon l’approche Agile, les utilisateurs et les développeurs doivent travailler ensemble quotidiennement tout au long du projet.
Vrai
Vrai ou faux?
Dans la méthode SCRUM, la phase d’exécution du projet consiste en une série de sprints de 1 à 4 mois.
Faux. De 1 à 4 semaines.
Vrai ou faux?
Dans la méthode SCRUM, chaque sprint comporte une séance de planification, des mêlées quotidiennes et une séance de présentation et de rétroaction.
Vrai.
Vrai ou faux?
La méthode SCRUM préconise trois rôles principaux: le propriétaire du produit, le Scrum Master et le maître d’œuvre.
Faux.
Pas le maître d’œuvre mais l’équipe.
Vrai ou faux?
Dans la méthode SCRUM, le propriétaire du produit représente le promoteur du projet et les utilisateurs de l’extrant.
Vrai
Vrai ou faux?
Dans la méthode SCRUM, l’équipe se compose de 7 à 15 personnes spécialisées travaillant chacun à temps partiel et de son côté.
Faux.
Au contraire, l’équipe se compose idéalement de 3 à 9 (idéalement de 5 à 7) personnes polyvalentes travaillant ensemble à plein temps et se partageant les tâches sans rester confinées à leur spécialité.
Vrai ou faux?
Le Scrum Master est le facilitateur du processus et doit aider l’équipe à organiser son travail.
Vrai.
Vrai ou faux?
Dans le carnet de produit (Backlog) de la méthode SCRUM, on retrouve les éléments de l’extrant priorisés par l’équipe.
Faux.
Ils sont priorisés par le propriétaire du produit au nom des utilisateurs.
Vrai ou faux?
Pour qu’un projet puisse être géré selon l’approche Agile, il doit répondre aux conditions suivantes : le promoteur doit être disponible pour interagir au quotidien avec l’équipe de projet ; l’extrant doit être tel qu’on ne peut pas lui ajouter ou lui enlever des composants sans mettre en péril son intégrité ; l’exécution du projet doit pouvoir être localisé en seul endroit.
Faux.
L’extrant doit être tel qu’on peut lui ajouter ou lui enlever des composants sans mettre en péril son intégrité, ce qui exclut les projets aux spécifications détaillées approuvées par des instances réglementaires.
Certains types de projet se prêtent mieux à une approche Agile. Lesquels selon Genest et Nguyen?
Les projets design, de développement de produit, de conception en architecture ou en ingénierie, les projets de système d’information et de développement de logiciel et de façon générale les projets dont les extrants peuvent se définir ou se modifier partiellement en cours d’exécution.
Quelles sont les leçons à tirer de l’approche Agile pour la gestion de projets classique (traditionnelle) selon Genest et Nguyen?
a. La satisfaction du client est obtenue par un extrant de qualité livré rapidement, ce qui fait qu’une livraison périodique d’extrants partiels rassure le client sur la qualité et la rapidité et lui
permet de demander des changements.
b. Les demandes de changement doivent être accueillies favorablement si le promoteur accepte les reports et les coûts occasionnés.
c. Il est essentiel qu’il y ait une collaboration étroite entre le promoteur et le mandataire et ses agents.
d. Il faut favoriser les conversations en face à face.
e. Les réunions régulières de l’équipe de projet doivent lui servir à se questionner sur son efficacité.
Est-ce que le projet que vous avez défini et planifié dans vos travaux notés pourrait être réalisé avantageusement selon l’approche Agile ou la
méthode SCRUM? Expliquez.
L’approche utilisée pour le projet de construction de la mini-maison est une approche Agile classique. D’abord, il y a l’étape de planification dans laquelle le promoteur/bénéficiaire doit présenter ses besoins, son budget, nous informer des exigences de la municipalité, préparer ses plans avant de passer aux étapes d’appels d’offres et construction, c’est une étape primordiale.
L’approche Agile classique s’inspire de l’approche Agile puisqu’elle s’appuie sur une étroite collaboration qui aura lieu entre le promoteur/bénéficiaire et la chef de projet. Cette dernière doit demeurer disponible pour interagir régulièrement avec le mandataire. Les visites régulières sur le chantier pourront permettre s’il y a lieu au promoteur/bénéficiaire de demander des changements au bon moment en fonction de l’avancement des travaux afin de limiter les coûts.
Les communications régulières entre la chef de projet et le(a) chargé(e) de projet du mandataire sont essentielles après chaque étape afin de valider l’avancement du projet. Les échanges verbaux sur le chantier seront réguliers, c’est une attitude courante sur tous les chantiers, et le contremaître de l’entrepreneur en bâtiment en sera le pivot avec les sous-traitants spécialisés qui seront engagés pour réaliser le projet. C’est lui qui coordonnera les travaux et connaîtra leurs disponibilités. Parfois, ils seront plusieurs à travailler la même journée, et comme plusieurs dépendent l’un de l’autre, ils pourront communiquer directement entre eux.
La méthode Scrum serait difficile à appliquer puisqu’en construction, les étapes sont pré-déterminées et doivent obligatoirement se suivent. On ne peut vraiment pas se baser sur la priorisation via la valeur d’affaires.
La méthode Scrum exige que tous les entrepreneurs travaillent ensemble en même temps, ce qui n’est pas possible en construction. Ils ne peuvent se réunir tous les jours ou réaliser des sprints puisque ce sont des spécialités distinctes qui ne peuvent travailler qu’à des moments précis et planifié. Habituellement, les entrepreneurs ont plusieurs projets en marche et ne seront donc pas affectés uniquement au projet de la mini-maison. Ils reviennent poursuivre leurs travaux sur les chantiers en fonction de l’avancement des travaux.
