psycho patho barriol Flashcards
1914
question du narcissisme après la première guerre le sujet veut se definir savoir ce qu’il est
narcissime selon Freud
de base connotation péjorative mais Freud va questionner son fonctionnement dans l’investissement à pouvoir vivre ensemble et à la construction sociétale
c’est quoi le précipité identificatoire
servir de premier noyau à ce moi.
Première
representation qui va me servir de socle pour le début d’une representation psychique
le moi
lieu de défense du conflit psychique
relation entre le narcissisme et le moi
l’introduction du narcissisme permet de dire que le moi est un objet comme les autres et que le moi peut être érotisé.
Peut réaliser la pulsion.
Peut prendre du plaisir à deviner qui il est.
refoulement originel
naissance de l’inconscient .
pouvoir s’appuyer sur le premiere representation d’un moi narcissique
narcissisme primaire
penser qu’on est à l’origine de tout
poussée pulsionnelle
vient du corps régulé par le moi, va mettre en oeuvre le refoulement est donc soumis à des interdits sociétaux et des attentes idéales du moi : qu’est ce qu’on va penser de moi qui va commencer à être intériorisé
Pulsions sexuelles:
le moi peut être un objet de désir sexuel et il y a un processus de plaisir/déplaisir .
Naissance =
réflexes archaïques qui seront ensuite transformés en réflexes conditionnés.
Transfert=
outil de travail de la psychanalyse= idée que dans la rencontre vont être projetées des choses qui vont donner à voir de la réalité intérieur de la personne écoutée et de notre propre
personne.
—> personne n’est tout à fait neutre, objectif.
« Le Grand Autre »:
tous les signifiants qui nous ont permis de nous construire à partir de l’autre,
on a plus besoin de l’autre puisque l’on le porte en soit.
Réservoir pulsionnelle:
le ça. Il veut que son énergie psychique s’écoule.
Il y a une instance psychique qui a accepté de prendre en charge cette instance psychique (le
Moi). Elle est constitué de sous instances (le surmoi et l’idéal du moi) qui vient mettre a mal cette instance psychique, en fonction des interdits parentaux, puis après sociétaux.
que vise le surmoi
surmoi vise à ce que l’idéal du moi soit satisfait, c’est a dire que entre ce que j’aimerai etre et
ce que je pense être ne soit pas trop éloigné. Ainsi, le surmoi a des injonctions, et donc il y a des choses qui ne peuvent pas passer la barrière de la conscience, on ne peut pas penser ces
choses, ou les faites. Cela retourne dans les limbes de l’insconscience = refoulement
La représentation:
Trois étapes, car l’appareil psychique ne fonctionne que sur des représentations.
1)Trace mnésique= première impression par le psychique, ou on ne sait pas ce qui est de nous, de l’autre, du dedans, du dehors, juste que soit c’était plaisant soit déplaisant.
2) la représentation de chose, première image de ce qui a été vécu.
Pour passer de 1 a 2 il y a un appui sur la représentation de l’autre, si ça ne passe pas alors on appelle cela le clivage: quand ça apparait, on ne le reconnait pas comme le sien.
3) la représentation de mot . Ici l’ascension est le refoulement (quand il est levé le sujet sait que ça lui appartient et est mal à l’aise) . Le mot n’arrivera jamais a représenter toute la complexité de ce
que l’on a vécu.
le moi :
instance en charge du conflit psychique -> réalité extérieure qui fait que ça ne peut pas s’écouler (les interdits).
est sous tendu par des choses dont on a pas conscience, il est infiltré par le refoulé.
Pulsions de vie=
tout ce qui cherche à lier nos représentation entre elles
pulsion de mort =
tout ce qui cherche a déplier nos représentation (on ne pourrait pas s’endormir
sans car c’est elle qui nous permet de nous extraire de la réalité extérieure).
explication freudienne de la pulsion de mort =
-en tant qu’excès
pulsionnel, attaquerait l’appareil psychique de l’intérieur, constituant le masochisme primaire ; l’appareil expulserait ces pulsions, les projetant
vers l’extérieur, en tant qu’agressivité, positive lorsque liée à Éros,
-négative et violente lorsque non liée.
que permet l’équilibre entre pulsion de vie et de mort
permet l’homéostasie, l‘équilibre entre
l’énergie psychique: tout devient libido, tout devient pulsions sexuelle. Plus d’auto-conservation car on passe très vite des instincts à des besoins sociaux .
l’angoisse :
L’angoisse préparerait l’organisme à
cette expulsion, et les contenus désagréables ne seraient refoulés que
lorsque l’angoisse n’aurait pas eu le temps de se produire.
Symptôme=
territoire extérieur interne à nous.
Freud cherche ce qu’est le moi
Idée du moi qui serait en charge du pole défensif, opposé au refoulés, perturbateurs au conflit psychique, régulé l’excitation responsable du plaisir et du déplaisir.
Pdv économique, topique et génétique (genèse) chez Freud :
-économique: met a mal les conduction de l’énergie psychique
-topique: instance qui se pense autonome et dont les frontières sont mouvantes
-génétique: le moi doit devoir se précipiter a partir de l’autoérotisme.
—>Le moi chez le bébé n’a pas encore conscience ne serait ce que d’une image de lui même
le moi chez le bébé :
—>Le moi chez le bébé n’a pas encore conscience ne serait ce que d’une image de lui même
précipité identificatoire à partir de :
de l’auto érotisme
auto-érotisme :
se donner du plaisir tout seul= morcellement du corps, zone érogène telle que la succion par lesquelles le bebe peut résoudre quelques tensions.
Pas encore de représentation
unifiée du corps.
Pas de constitution direct de l’instance au moi.
Freud dit alors qu’il faut qu’il y ait un précipité identificatoire, retrouvé
en parti travaillé par Winnicott sur les yeux de la mere, au début je vais pouvoir finalement m’en servir d’assise pour la constitution narcissique
pourquoi le moi ne s’oppose plus au sexuel ?
puisqu’il est lui meme un objet sexuel.
pourquoi on s’inspire de l’enfant ?
car le récit de l’adulte n’est pas forcement observable .
C’est parce qu’adulte on est en souffrance qu’on va essayer de retrouver dans l’histoire ce qui a
fait qu’on na pas pu symboliser quand on était enfant.
Ainsi il ne s’agit pas d’être dans une perspective causalité, cest vraiment comment le sujet a partir de sa propre histoire va lier ses représentations.
l’enfant et l’idée de la representation de la chose
l’enfant commence à structurer son rapport au monde à travers des représentations symboliques ou imaginaires.
Une « représentation de chose » peut être une image, un objet ou une idée qui, même si elle n’est pas parfaite ou complète, lui permet de donner un sens à ce qu’il perçoit.
exemple de la representation de chose
Une image peut ne pas satisfaire totalement les attentes de l’enfant (elle peut être « frustrante »), mais il arrive tout de même à l’investir émotionnellement et à la considérer comme significative. Cela montre une capacité à s’approprier un symbole.
Principe de plaisir/déplaisir
L’enfant explore le monde à travers les émotions de plaisir et de déplaisir. Il tire du plaisir à se découvrir dans les choses qu’il perçoit ou manipule, en associant ces expériences à un sentiment de possession : « C’est le mien, pas le tien ».
Lien au développement : du principe de plaisir et déplaisir
Cela correspond à une phase narcissique ou au développement du « moi » où l’enfant affirme sa subjectivité face aux autres.