PERCEPTION INTRA Flashcards
Prosopagnosie =
pas recconnaitre visage
sensation vs perception
Sensation: L’habileté de détecter un stimulus, et aussi, de transformer cette détection en une expérience personnelle.
Perception: L’acte de donner un sens à la sensation détectée.
seuil =
limite de ce qui est perçu -> visage = 170 ms
scaling =(quoi/qui)
mesure de l’expérience - loi de fetchner (perception = k X log(s/s0))
théorie détection signal 4 possibilités de choix, et composantes qui jouent sur le choix
Hit: stimulus est présent et l’observateur répond “Oui”
Miss: stimulus est présent et l’observateur répond “Non”
False alarm: stimulus n’est pas présent et l’observateur répond “Oui”
Correct rejection: stimulus n’est pas présent et l’observateur répond “Non” —- sensibilité et critère = facteurs
lobes
frontal (inclut moteur), pariétal (somatosensory), occipital et temporal
neuro imagerie
EEG -> bonne tempo faible spaciale
MEG - > bonne tempo un peu meilleure spaciale
IRMF -> tempo 16 mais très bonne spaciale
AUTRES ;BOLD (blood oxygen) et TEP
NOUVEAU > OPM, similaire à MEG avec des spaciale similaire à irmf
modèles computationnels
Efficient coding models: Modèles théoriques ou computationnels qui découvrent la prédictibilité dans l’input sensoriel pour encoder le monde efficacement. Certains neurones spécifiques vont fire à des stimulis spécifiques chez animaux, précurseurs du AI => efficient coding (régularité dans nature utilisée dans cerveau)
Modèles “Bayésiens”: Utilise les statistiques bayésiennes pour construire des prédictions (predictive coding) à partir de nos connaissances antérieures de l’environnement.Quelle est la proba d’un evenement X dans un contexte y?
On veut réduire la dépense d’énergie en enrichissant nos modèles internes, afin de préparer quel comportement est optimal dans une situation semblable futur aftin de minimiser l’énergie dépensée
Réseaux de neurones artificiels (Artificial Neural Networks): Des neurones biologiques sont simulés avec des modèles à couches traitant l’input, et massivement interconnectés avec des unités d’output qui peuvent soit s’exciter ou s’atténuer mutuellement.
Free energy
Karl frisson, Modèle Bayésien (HMMA)
Homéostasie -> Minimiser énergie libre -> modèle prédictif -> adaptation/apprentissages
3 étapes perception couleurs
Étape 1 : Détection des couleurs
Étape 2 : Discrimination des couleurs
Étape 3 : Apparence de la couleur
Lumière =
bande de radiation électromagnétique consistant d’un flux de photons
photon =
quantum de lumière visible avec des propriétés matérielles et ondulatoires
Newton a fait?
Il a été capable de faire de la lumière blanche à partir de toutes les couleurs ie toutes les fréquences électromagnétiques
400 courte onde/bleu-700 longue onde/rouge
utilité de perception de couleurs
ancêtres (voir prédateurs/trouver les baies mures )
segmentation/organisation
assiste à l’identification objets
Condition ambiante Photopique vs scotopique
phototopique = fond lumineuse saturent bâtonnets et stimule cônes
scotopique = cond lumineuses trop faibles pour cones et stimulent bâtonnets
principe univariance
si un seul type de photorécepteur, incapacité à distinguer les couleurs (plusieurs longueurs d’ondes donnent même résultat). les bâtonnets fonctionnent par principe d’univariance (ils contiennent la rhodopsine)
Théorie trichromatique de la vision des couleurs
la couleur perçue est définie par une relation de trois nombres, soit les sorties des trois différents types de cones par rapport à une longueur d’onde
métamère
(À VÉRIFIER LIVRE), combinaison de deux réponses ayant de forte réponses sur deux cones différents = moyenne des couleurs
qui découvert vision tri chromatique
Young-Helmholtz
mélange additif de couleur
si deux couleurs différentes sont réfléchies vers l’oeuil, celles ci s’additionnent (exemple de pointillisme )
mélange de couleur soustractif
certaines surfaces absorbent certaines ondes, donc ce qui reste et est réfléchie c’est la couleur perçue (idée d’un filtre)
processus antagoniste
(à vérifier), dans le LGN, certaines cellules sont stimulées par les cones L, et inhibées par l’activation de cones M de l’entourage et vice versa. (ceci va de même pour les cones S et M+L) ceci enrichit la différenciation entre les couleurs complémentaires
Espace colorimétrique :
Un espace tridimensionnel qui décrit toutes les couleurs. Il existe plusieurs espaces colorimétriques possibles. 3 variables
Tonalité (aspect chromatique), saturation (force chromatique) et clarté (distance au noir)
couleurs non spectrales
(À VÉRIFIER) certaines couleurs ne stimulent pas un certain cône (violet et magenta stimulent pas M)
couleurs illégales
les couleurs opposées ne sont jamais associées pour former une couleur spécifique (vert rougeâtre). on peut utiliser celles ci pour qu’elles s’annulent
Achromatopsie =
: Perte de la vision des couleurs due à des lésions cérébrales.
Relativisme culturel
: dans la sensation et la perception, l’idée que les expériences perceptives de base (par exemple, la perception des couleurs) peuvent être déterminées en partie par l’environnement culturel.
pq atteinte congénitale de la vision couleur plus probable chez hommes
Photos pigments de M et L sont sur les chromosomes X (donc plus proba chez H)
Les femmes qui ontdeux anomalies différentes peuvent être tétrachromatiques
Deutéranopie :
Protanope :
Tritanope :
Monochromie des cônes :
En raison de l’absence de cônes M.
En raison de l’absence de cônes en L.
En raison de l’absence de cônes en S.
: Présence d’un seul type de cône
Synesthésie
impression que des stimulus ont des sensations associées
les règles écleudiennes s’appliquent-elles dans nos images projetées
non, cerveau travail constant pour les remodeler
sommation binoculaire
somme des deux images rétiniennes
indices de profondeur monoculaires
occlusion, de taille relative, hauteur relative, de gradient de texture, taille familière, atmosphérique, perspective linéaire, indice de profondeur picturale (anamorphose)_____
métrique (informations quantitatives) -> relatives (avec hauteur) et absolue (avec taille familière)_________
non métriques (seulement sur l’ordre de profondeur relative, mais non absolue),
indices triangulaires
paralaxe de mvt (lors met, objets loins bougent moins), accommodement (changement de focalisation de l’oeil par le grossissement du cristallin), convergence (convergence = focus proche des yeux qui se rapprochent) et divergence (divergence focus loin des yeux qui s’éloignent)
Points rétiniens correspondants
lorsqu’un objet est situé à la même distance par rapport à la rétine dans les DEUX yeux (aucune disparité des images rétiniennes)
Horoptère
Horoptère : L’emplacement des objets dont les images se trouvent sur les points correspondants. La surface de la disparité zéro. celle-ci est entourée de la zone de panum (zone de tolérance)
disparité croisée et non croisée
croisée = lorsque l’objet apparait devant l’horoptère non croisée = lorsque l’objet apparaît derrière l’horoptère
fusion libre
Technique consistant à faire converger (croiser) ou diverger (décroiser) les yeux afin de visualiser un stéréogramme sans stéréoscope.
Stéréocécité
: une incapacité à utiliser la disparité binoculaire comme indice de profondeur.
steréopsie
à vérifier
stéréopsie = métrique ou non métrique
les deux, certaines cellules vérifient si il y a des objets devant ou derrière le point de fixation. d’autres calculent la distance précise
vérification stéréopsie chez mantes
présentation film 2D, pas réaction. 3D avec lunettes réaction
approche bayésienne
combinaison d’indices de profondeurs afin de déterminer celle-ci
Rivalité binoculaire
: Compétition entre les deux yeux pour le contrôle de la perception visuelle, qui se manifeste lorsque des stimuli complètement différents sont présentés aux deux yeux.
théorie des gabarits
Métaphore de clef et serrure. Si on a une clef, une bonne serrure est requise. Objet est clef et gabarit est serrure. Il faut un nouveau gabarit pour chaque nouvel objet. Un peu difficile une mémoire qui collectionne des gabarits pour tous les objets, incluant les variantes. Ainsi, c’est la limite de la théorie
théorie des prototypes
Pas gabarit popur chaque objet, mais un protoptype des objets. Des moyennes des objets = prototype. L’objet qui s’apparente le plus au prototype y est associé (Eleanor ROSCH)
théorie des exemplaires
Au lieu d’avoir un prototype en tête, on garde tous les exemplaires (ROBERT NOSOFSKY)
théorie reconnaissance générale
Comparer des objets et voir à quel poit qu’ils y a un chevauchement entre ceux-ci. Si grand chevauchement, = même catégorie. si cercle sur graphique, indépendance perceptuelle. séparation perceptuelle si graphique les deux concepts sont alignés verticalement séparation décisionnelle si axe est verticale (À VÉRIFIER MANUEL)
Théorie reconnaissance par composantes
GÉONS
DNN Réseau profond neuronal
Réseaux de neurones à plusieurs niveaux pouvant être entraînés à reconnaître des objets.
De nombreuses instances d’un objet sont montrées au réseau, avec du feedback
Au fil du temps, le réseau peut reconnaître de nouvelles instances de l’objet sur lesquelles il n’a jamais été entrainé.
Théorie cellules grand-mère
Lettvin -> Satire des vision localistes dans cerveau/absurdité de représentation par cellules uniques (vis-à-vis les encodages distribués dans cerveau)
plus de neurones chez humain?
Il serait attendu que ce soit le cortex qui possède le plus de neurones, car c’est ce qui nous distinguent des autres espèces, mais pas le cas.
Est il probable qu’on ait un neurone par concept? Difficile à croire, car trop de choses qui nous entourent. Si on tue neurone, jennifer disparaît-elle?
Approche compulsionnelle intégrante les théories
Richtie et Carlson -> Identifier objet et dire si celui-ci est animé ou inanimé => mettre temps de réponse en lien avec les représentations des obj. Plus l’objet l’objet est loin de la frontière décisionnelle, plus facilement / rapidement les participants peuvent répondre sur la catégorie de cet objet — Plus proche de frontière / plus similaires = plus besoin d’accumuler évidences = + de boucles de feedbacks = plus de temps = diminution de rapidité
reconnaissance obj. que font?
- Cellules ganglionnaires rétiniennes et LGN
2 Cortex visuel primaire
- id. des taches
- Id. des Barres (peut être considérées comme une accumulation de taches)
Vision de niveau intermédiaire ; c’est quoi
Implique la perception des bords et des surfaces ET
Détermine quelles régions d’une image doivent être regroupées en objets
Vision de niveau intermédiaire ; différences humains et ordis
=> humains + performants qu’ordis, car possibilité de percevoir contours illusoires
Vision de niveau intermédiaire ; la gestalt? quelles sont les règles?
“Le tout est plus grand que la somme de ses parties.” 1. Bonne continuité deux éléments auront tendance à se regrouper s’ils se trouvent sur le même contour.
2. segmentation de texture et regroupement : découpage d’une image en régions de propriétés de texture communes. 3. Similarité/proximité = groupe 4 symétrie/parallélisme = groupe 5. région commune (si dans même grande région, tendance regroupé) 6. Connectivité (si connecté -> groupé)
Vision de niveau intermédiaire ; comites de la gestalt? Quelles sont les règles de comites
on doit cerner ces indices pour trancher sur certains éléments en contradiction dans notre environnement 1. figures ambiguës => interprétation supporté avec les lois de la physique 2. point de vues accidentels => les comités supposeront que les points de vue ne sont pas accidentels
Vision de niveau intermédiaire ; discrimination figure fond, principes de la gestalt
Entourage ; les figures entourées seront moins considéré comme le fond Taille ; les plus petites figures serontmoins considérées comme le fond Symétrie ; les figures symétriques seront moins considérées comme le fond. parallélisme ; les figures parallèles seront moins considérées comme le fond mouvement relatif ; si une figure se déplace devant une autre, celle-ci sera moins considérée comme le fond
3 jonctions
Y, T, flèche
Effet de supériorité globale :
les propriétés globales de l’objet (entier) priment sur les propriétés locales (des parties) de l’objet. (autisme = contraire souvent)
méthodes pour déterminer ou se situe l’activité cérébrale
Soustraction ; comparaison de l’activité cérébrale mesurée dans deux conditions. La différence entre les images peut montrer les régions cérébrales spécifiquement activées par ce processus mental.
Décodage ; entrainer un modèle informatique à interpréter les résultats obtenus par un IRMF
Théorie sur localisation de la reconnaissance objet
Voie dorsale (=Where) vs ventrale (=what)
où se trouvent les sites de reconnaissance de visages, places et objets
aires fusiformes de visages FFA
aire parrahiccopampique des places PPA
LOC = objet
différents tests de seuil
limite (aller au dessus et en dessous du seuil plusieurs fois) escalier (limite mais + restreinte), stimuli constant (toutes les possibilités sont présentées afin de réduire biais) et d’ajustement (le sujet le trouve lui même)