FINAL processus cognitif Flashcards

1
Q

comment démontrer que encodage MLT est fait par répétition selon aktinson

A

Rundus
M = étudier les liens entre le nombre de répétitions (à voix haute) d’un rappel sériel et impact sur effet de primauté/récence R= performance corrélée avec taux de répétition, sauf pour récence, car en MCT I = Processus principal pour encodage est la répétition, celle-ci étant nécessaire pour maintenir l’effet de primauté, MAIS pas pour récence, car encore en MCT (différence entre MCT et MLT)

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2
Q

qui démontre indépendance des systèmes MCT et MLT

A

Cunitz/glanzer EXP1 M = Tache rappel libre en contrôle et tâche rappel libre avec délai où participant compte à voix haute R = délai réduit/annule effet récence = I dissociation car effet primauté inchangé, mais par récence car effacement de la. trace en MCT \\\ EXP 2 M = contrôle -> tâche de rappel libre et groupe -> rappel libre avec délai entre les mots de 6 ou de 9 sec R = récence inaffectée et meilleure effet de primauté I = plus d’espacement = meilleure capacité de répétition

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3
Q

composantes de la mémoire explicite

A

sémantique (savoir) et épisodique (se souvenir)

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4
Q

qui démontre les différents patrons d’oublis entre épisodique et sémantique

A

Knowlton et squire

M = test de reconnaissance (36 vus et 36 pas vus), lors de reconnaissance dire si on se souvient ou si on sait après 10 minutes et 2 semaines R scores 2 - 0.9 pour souvenir après 10 min et 0.6 à 0.3 pour souvenir (baisse de discriminabilité plus élevée pour épisodique) I = savoir => plus robuste envers l’oubli, des patrons d’oublis différents pour les deux types de mémoire explicite (+ une indice de deux mémoires explicites)

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5
Q

qui démontre l’évolution différente de mémoire épisodique vs sémantique dans le temps

A

Petrican M = recognition of public events des agés vs très âgés R = les deux ont bcp plus de savoir que souvenirs, mais moins de savoir et plus de souvenirs chez moins âgés I = plus de savoir e échange de moins souvenirs au fil du temps (+ un indice pour 2 types de mémoire explicite)

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6
Q

qui détermine si on peut traiter imagerie visuelle sur plan 3D

A

Shepard Visual rotation
M = présentation de paires d’images de figures 3D, déterminer si les figures sont identiques (TR) R = résultats pairs, pas de différence entre traitement en profondeur et sur le plan de l’image et forte linéarité entre degré de rotation et TR I = opérations visuelles analogues à réalité, ayant un taux limite de rotation (pas instantané)

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7
Q

qui détermine si imagerie est analogue à la vision (par rapport au positionnement du champs visuel), réplique Pylyshyn?

A

Kosselyn Ballayage mental M = tache 1 ; mémoriser des dessins simples et prouver en dessinant par mémoire tâche 2 ; après avoir entendu nom du dessin, soit imaginer dessin au complet ou zoomer sur une partie du dessin et ensuite lorsqu’on dit une partie objet, doit dire si elle fait partie ou non (TR) R lorsque zoom out, TR moyen peu importe l’emplacement et lorsque zoom in, TR faible pour lorsque partie est dans le zoom et devient de plus en plus grand lorsque partie s’éloigne du zoom I = soutient pour représentation visuelles en imagerie mentale CRITIQUE PY. image peut être crée après processus / on ne peut pas se fier sur introspection / image peut être présente et pas utilisée / ON PEUT UTILISER CONNAISSANCES TACTITES (savoirs sur monde réels sans images comme distances entre villes par exemple) ET/OU REPRÉSENTATIONS PROPOSITIONNELLES (organisations de propos dans l’esprit, + de propos = + TR)

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8
Q

qui rejette la théorie propositionnelle de Pylyshyn en démontrant l’importance des distances spatiales en représentation mentale

A

Kosselyn, méthode d’emplacements sur l’ile M tâche 1 mémoriser ile et emplacements, ensuite tâche 2 ils disent un partie de l’Ile, il faut zoomer dessus et 5 sec après une autre. il faut balayer l’image pour se rendre au deuxième lieu (TR) R = corrélation quasi parfaite entre distances et TR I = distances métriques utilisées dans balayage mentale clairement, va à l’encontre des représentations propositionnelles

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9
Q

qui rejette connaissances tactites/ non usage des images de Pylyshyn

A

Kosselyn M = imaginer soit une mouche ou un éléphant, ensuite ajouter à coté un deuxième animal de taille moyenne. on pose une question par rapport au deuxième animal (a-il..?) (TR) R = si animal 2 est plus petit, + TR et si plus grand, - TR

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10
Q

comment s’activent V1 et neurones simples à l’imagerie vis-à-vis la réelle perception

A

activation présente mains moindre en imagerie - activation de régions similaires

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11
Q

c’est quoi héminégligence

A

on ignore un côté du champ visuel/ du corps. mène à des comportements drôles comme seulement manger la moitié d’une assiette / habiller à moitié / dessiner des choses à moitié

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12
Q

quelles sont les deux types de répétition pour l’encodage?

A

répétition de maintient (simplement garder en MCT) ET élaborative (faire sens de l’item, comparaison/organisation avec connaissances, meilleure pour MLT)

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13
Q

quels sont les niveaux de traitement

A

de surface => caractérisée par une répétition de maintient (traitement de son) ou profonde => caractérisée par une répétition élaborative (axée sur le sens)

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14
Q

qui détermine si l’intention de retenir ainsi que le niveau de profondeur du traitement aide à l’encodage

A

Hyde et Jenkins M = UN- instructions, 1 groupe décrit phase 1-2 (intentionnel) et l’autre seulement 1 (incident) PHASE1 prem. phase, 4 profondeur, ((mot contient un) E-G, nom/verbe, fréquence (nom est il fréquent en anglais) et ensuite (mot) plaisant ) PHASE2 rappel libre standard R = pas de différences entre apprentissages incidents/intentionnels, MAIS bcp meilleure performance avec plus grands niveaux de profondeur I= soutien pour approche des niveaux de traitement, mais rien pour intention sur MLT

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15
Q

qui détermine si effort de production de réponses aide à encodage MLT

A

Slamleka M 2 tâches, soit lecture de paire de mots ou génération de 2ieme mot dans la paire. il y a 5 conditions, soit deuxième mot rime, est synonyme, antonyme, par association sémantique OU catégorie (4 dernier jouent sur le sens) ensuite, tâche de reconnaissance QCM, où il y a certains mots apparus dans les paires R = Rime = reconnaissance + bas ET Performance +++ pour tâche de génération

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16
Q

qui détermine si l’autoréférence favorise l’encodage MLT

A

Rogers 4 M phase 1, 4 types d’essais de jugement d’adjectifs (L’ADJ a-il association structurelle (lettre Maj), phonétique (rime) sémantique (partager même sens) OU autoréférence (vous représente)) PHASE 2 rappel libre standard R = + profond pour autoréférence que reste ET dans autoréférence, meilleure performances pour adjectifs “oui” I = soutient approche de profondeur et pour meilleur encodage, analyser le sens des items et les rattacher à des expériences personnelles

17
Q

qui démontre effet du testing

A

Roeddiger EXPÉRIENCE 1 M deux passages à étudier 2x chaque entrecoupé de tests de maths => A = études deux fois et B 1 étude et 1 test R = test immédiat = avantage A mais après une semaine et 2 semaines B de plus en plus productif (mais évidemment moins bons res en général) ———EXPÉRIENCE 2 M = étude de passage soit EEEE, EEET OU ETTT et mesure de confiance R = confiance plus haute pour plus d’études, MAIS résultats seulement meilleurs pour court terme lorsque - de T. après 2 semaines, avantage clair pour T I = meilleure consolidation pour études pairées avec bcp de tests AUSSI surconfiance avec bcp étude seulement

18
Q

qui démontre l’importance du traitement approprié au transfert?

A

Morris M 2 conditions acquisition, soit rime (la cible rime-elle avec X) ou sémantique (ex : La cible fait-elle partie de X) et deux conditions de reconnaissance soit rime (ceci rime avec un mot dans la liste?) ou standard (ceci faisait parti de la liste?) R = si on traite rime dans acquisition, meilleure performance dans reconnaissance rime et si acquisition sémantique, meilleure performance performance dans reconnaissance standard I = rejet d’approche profonde, car elles ne sont pas toujours significatives, on doit plutôt étudier la correspondance entre apprentissage et récup. TOUTEFOIS, vu que sémantique était généralement mieux que rime, théorie profonde aurait pas COMPLÈTEMENT tord DONC Si possible apprendre en profonde, fais le. Si le but dacquisition est correspondant, tant mieux

19
Q

qui détermine spécificité encodage dépendammanet du contexte

A

Godden M apprentissage de liste (SOIT sur terre OU sous eau) ensuite rappel libre (SOIT sur terre ou sous eau) R lorsque concordance, meilleur taux de rappel I soutien de approche de spécificité AUSSI Grant même principe mais avec Bruit vs non bruit et étude/ rappel

20
Q

qui détermine spécificité encodage dépendamment de l’état

A

EICH = on joue soit musique triste ou heureuse à l’acquisition d’une liste dans deux conditions, soit génération d’un mot à partir d’un premier pesant partie de la même catégorie OU lecture de paires en rappel, on rejoue la musique soit correspondante ou non R = juste un différence dépendamment des contextes en génération, rien en lus I humeur est interne comme la production des mots => soutien pour la théorie spécificité

21
Q

qui démontre que rappel indice est plus facile

A

Tulving M 1- acquisition, on présente plusieurs petites listes, par lesquels sont précédé un thème 2- rappels libres sous deux condition (soit rappel libre ou rappel libre avec tous les thèmes présentés) R % meilleur avec indice I = les infos sont disponibles, mais certains contextes peuvent favoriser ou non la récupération

22
Q

qui démontre que sommeil favorise la consolidation et que intention de rappel joue un role sur la consolidation

A

Wilhem M 2x2 conditions acquisition de paire de mot sémantique (soit intentionnelle ou intentionnelle) ensuite une phase attente (soit sommeil ou jeux vidéos) et test R sommeil intentionnel > sommeil incident = éveil 2 cond I intention d’apprendre mène à meilleure consolidation lors sommeil

23
Q

qui démontre que récupération du contexte d’un souvenir est suffisant pour modifier celui-ci

A

Hupbach M 3 jours, J1 Contexte A appr. liste A J2 (Contexte A/mentionA mais appr. B OU contexte B et apprendre liste B) J3 rappel A // R = dans condition de mention, - de A et + de B, sans mention bcp moins de B et plus de A I preuve de réactivation/reconsolidation ET fragilité

24
Q

qui démontre que animostin bloque reconsolidation et que sans la deuxième reconsolidation, il y a effacement de la trace

A

NADER si on injecte anisomycin après la réactivation d’une peur apprise, le prochain jour, le même stimulus déclenchera pas de peur

25
à première vue, la bosse de réminiscence indique quoi
que nous aurions plus de souvenirs et des souvenirs plus vifs entre l'âge de 10-30 ans
26
pourquoi bosse de réminiscence
hypothèses => Maturité du cerveau atteinte à cet age là une hypothèse => Souvent le monde ont plus de souvenirs lorsqu’ils aquérissent de nouveaux roles, et ceci ce passe lors de ces âges =>script de vie (événements imp. soc.) => ET COGNITVE +++ on se souvient plus lorsque périodes de changements suivis par calme, démontré par les imigrants qui changent de pays après leur 30 ans, la courbe bouge
27
7 péchés de la mémoire
Éphémérité (effacement dans temps) Distraction (manque attentions = moins encodage) Blocage (on peut bloquer temporairement sur la récupération) Persistance (mauvais souvenir pas capable oublier) Mésattribution (attribuer une mauvaise source à un souvenir comme dire que vendueur hot dog est coupable car vu matin meme) Biais (je l'aimais encore jusqu'à j'apprends elle m'a trompé) Suggestibilité (avocats en cours)
28
qui a démontré la présence de mésattribution?
Roediger M présentation de 6 listes de 12 mots ayant chacun un mot critique (association sémantique) non présenté suivi d'un rappel libre simple et ensuite un test de reconnaissance pour les listes R on rapporte à 40% les mots critiques nous présentés et on rapporte aussi plus les appâts faiblement reliés que les bons reliés I on peut produire de faux souvenirs en associant des items sémantiquement rapprochés aux réels
29
qui démontre que de simples mots peuvent changer la perception d'un accident
Loftus M 1 visionnement accident 2 questionnaire avec un mot différent (accrocher vs frapper etc) 3 quelle était la vitesse 4 il y avait il du verre brisé? R = + ajd était brutal, plus on estimait une haute vitesse et plus il y avait des chances qu'on dise qu'il y avait du verre brisé
30
qui démontre qu'on peut changer des mémoires d'un accident
loftus1 M 2x2 conditions (soit vidéo accident avec pancarte stop OU céder) X (questionnaire avec mention de pancarte stop OU céder) ENSUITE présentation de deux photos (soit pancarte stop OU céder) et dire lequel est le bon R lorsque infos conséquentes, taux exactitudes est bcp plus grand que inconséquent
31
qui détermine si un questionnaire a un impact différent si précédé OU suivi d'un délai
lotus3 /// M = même que lotfus1, mais questionnaire peut soit être conséquent, neutre ou trompeuse dans 2 conditions (IMMÉDIAT OU AVEC DÉLAI) R/IMMÉDIAT =, en moyenne, trompeur nuit et conséquent aide ET réduction recconnaissance avec temps, car éphémérité, et questionnaire trompeur perd influence, car oubli de ce détail aussi R/DÉLAIAVANT mêmes résultats MAIS MAIS MAIS + délai est long, plus trompeur gagne influence, car info originale est plus faible et facile à altérer
32
qui démontre l'existence d'une mémoire implicite
Tulving M Présentation d'une liste de mots -> délai -> reconnaissance standard -> liste de mots troués à compléter (2x avec long délai deuxième fois) R = meilleur taux de réussite de compléter les mots qui ont été présentés dans les listes que non présentés // cet effet ne baisse pas après le long délai de 2 semaines, alors que la reconnaissance elle ouiI présence d'amorçage (un stimuli présenté peut avoir un effet de longue durée, facilitant son retour, même si partiellement présenté) on obtient une dissociation simple pour l'existence d'un système "non explicite"
33
formes mémoire implicites
Procédurale Amorçage (Répétition/Conceptuel) Simple conditionnement classique Appr. non-associatif (ou « autre »)
34
qui démontre une manipulation peut avoir différents impacts sur des tâche implicites vs explicites
Jacoby M 6 conditions 3incidentsx2 (X est dans le mot OU X rime OU X est lié à...) x (test de reconnaissance normal OU identification rapide d'un mot préalablement montré) R = niveau de profondeur influence bcp test reconnaissance MAIS PAS identification I dissociation entre deux systèmes,
35
qui démontre que d'amorçage sémantique aide à accélérer traitement
Sperber M identification de paires de mots/images, la moitié sont sémantiquement reliés, mesure TR identification du deuxième item de la paire R tjrs plus vite lorsque sémantiquement lié I preuve amorçage sémantique
36
qui démontre que mémoire implicite peut être intacte chez patients amnésiques
Graf 2x1x2 condchez patients amnésiques vs santé (ces mots partagent voyelle OU avez vous ce mot) X rappel libre standard x (rappel libre indicé (on donne 3 premiers mots et mentionne que mot est dans liste) OU on donne trois lettre sans mention qu'ils sont dans la liste) R les amnésiques préforment moins bien dans rappel libre et rappel libre indice, Mis PAS dans tâche de complétion de mot I = dissociation de système implicite, car amnésique disent souvent mots déjà présentés
37
qui démontre que apprentissage de grammaire est implicite
reber font soit apprendre par coeur des séquences grammaticales ou non s, ensuite juger la grammaticalité de certains "mots présentés". R apprentissage plus rapide de ceux qui sont présentÉs des séquences grammaticales et
38