MEYER : BS1 Flashcards
La douleur chronique est mal soignée dans 40% des cas, à une prévalence qui augmente avec l’âge et touche plus les F que les H
VRAI
Dans la douleur chronique les difficultés sont que les symptômes sont inobjectivables, en revanche on a une bonne corrélation image et quantité de douleur
FAUX
Dans la douleur chronique les difficultés sont que les symptômes sont inobjectivables
!! PAS de corrélation image et quantité de douleur
En aigu, la douleur est un signal d’alarme alors qu’en chronique la douleur n’a plus pour but de nous protéger
VRAI
En aigue la d+ est un symptôme, en chronique c’est une maladie
La douleur chronique secondaire est reconnue comme une maladie ou la douleur est une maladie à part entière (douleur nociplastique)
FAUX
La douleur chronique primaire est reconnue comme une maladie ou la douleur est une maladie à part entière (douleur nociplastique)
Dans la douleur chronique secondaire, la douleur est un symptôme
L’allodynie d+ provoquée par un stimulus normalement non douloureux
VRAI
L’anesthésie est une perte complète de la sensibilité
VRAI
La dysesthésie est une sensation normale et agréable, spontanée ou provoquée (touché, mvt…).
FAUX
La dysesthésie est une sensation anormale et désagréable, spontanée ou provoquée (touché, mvt…).
L’hyperalgésie est une sensibilité exagérée à une stimulation non douloureuse
FAUX
L’hyperalgésie est une sensibilité exagérée à une stimulation douloureuse
L’hyperesthésie est une augmentation douloureuse de la sensibilité tactile
VRAI
L’hypoesthésie est une diminution de la sensibilité tactile
VRAI
La paresthésie est un trouble de la sensibilité tactile douloureuse avec sensation de fourmillements, picotements voir engourdissements
FAUX
La paresthésie est un trouble de la sensibilité tactile non douloureuse avec sensation de fourmillements, picotements voir engourdissements
Chez les sujets avec une douleur chronique, le seuil de la douleur est augmenté
FAUX
Chez les sujets avec une douleur chronique, le seuil de la douleur est diminué
La douleur chronique est due à une modulation de la plasticité du système nociceptif, l’approche sera curative pour soulager la douleur
FAUX
La douleur chronique est due à une modulation de la plasticité du système nociceptif, l’approche sera ré adaptative pour mieux gérer la douleur, mieux vivre avec
La douleur nociplastique peut être segmentaire (synd fribromyalgique) ou diffuse (SDRC)
FAUX
La douleur nociplastique peut être segmentaire (SDRC) ou diffuse (synd fribromyalgique)
La douleur nociplastique présente un risque de lésion tissulaire ainsi qu’une pathologie du SN somatosensoriel
FAUX
Pas de risque de lésion tissulaire
Pas de patho du SN somatosensoriel
MAIS fonctionnement anormal du SN somatosensoriel
Pourquoi la douleur dure-t-elle ?
Car il y a des changements neurophysiologiques qui provoquent une sensibilisation centrale
La sensibilisation centrale implique un système nociceptif activé en permanence avec une altération de la balance excitation/ inhibition, cependant elle est facilement réversible
FAUX
ACTIVATION intense et permanente du syst nociceptif
DIFFICILEMENT réversible, même si stimulus périphérique a disparu = “mémoire de la d+”
PERTE de fonction du signal d’alarme
Les hommes ont une sensibilité à la douleur plus développée
FAUX
Les femmes ont une sensibilité à la douleur plus développée
Les enfants qui ont eu une circoncision à la naissance sans anesthésie réagissent plus à la douleur que les autre
VRAI
P ayant des proches douloureux montrent une augmentation du seuil à la d+
FAUX
P ayant des proches douloureux montrent un abaissement du seuil à la d+
Il existe des personnalités prédisposantes à la douleur chronique
FAUX
- Tempérament hyperactif antérieur svt retrouvé
- Surcharge physique ou émotionnelle
- Pas de personnalité predisposante
Des évènement déclenchant peuvent être liés à la douleur chronique
VRAI
Syndrome de stress post-traumatique (PTSD)
- 20-80% des P avec PTSD se plaignent de d+ chroniques musculoS (surtout lombaires)
On retrouve une association fréquente entre douleur chronique et dépression/anxiété car il y a des neurotransmetteurs communs
VRAI
La privation de sommeil n’a pas de lien réel avec la sensibilité à la douleur
FAUX
Il existe des neurotransmetteurs communs
- la privation de sommeil augmente la sensibilité à la d+
50 à 90% des patients souffrant de douleur ont des troubles du sommeil non réparateur
VRAI
Quels sont les facteurs qui installent une douleur chronique ?
Schéma de la fleur
L’empathie n’est pas requise dans la thérapie, on préférera la sympathie
sympathie = éprouver les émotions de l’autre sans se mettre nécessairement à la place
FAUX
L’empathie est un des ingrédients clés de la relation thérapeutique
se mettre à la place de l’autre sans forcément éprouver ses émotion
SYMPATHIE : éprouver les émotions sans se mettre à la place
La PEC des douleurs chroniques repose sur le modèle médical
FAUX
La PEC des douleurs chroniques repose sur le modèle Biopsychosocial
Quelles sont les 6 étapes de la PEC des douleurs chroniques
Pré contemplation
Contemplation
Préparation
Action
Maintien
Rechute
(définitions associées)
Un comportement sédentaire est caractérisé par une dépense énergétique <1,5 MET en position assise, couchée ou allongée
VRAI
Chez les adultes les recommandations sont :
- 150 à 300 min d’activité d’intensité modérée ou 75 à 150 min d’activité d’intensité vigoureuse
- 2 séances de stretching par semaine
- pour plus de bénéfices : 300 min d’activité d’intensité modérée ou150 min d’activité d’intensité vigoureuse
VRAI
Chez les adultes de plus de 65 ans les recommandations sont :
- 150 à 300 min d’activité d’intensité modérée ou 75 à 150 min d’activité d’intensité vigoureuse
- 2 séances de stretching par semaine
- 3 séances d’activité variée
- pour plus de bénéfices : 300 min d’activité d’intensité modérée ou150 min d’activité d’intensité vigoureuse
VRAI
1 MET est la dépense énergétique au repos = 1kcal.kg.h
VRAI
Ce qu’il faut c’est une activité musculaire, du mouvement, une augmentation de la dépense énergétique
VRAI