MAXILLO BS1 : axe 1 Flashcards
Les 2 types de mouvements sont une rotation entre le condyle et le disque et une translation entre l’os temporal et le disque
VRAI
Les muscles élévateurs de la mandibule sont le masséter, le ptérygoïdien latéral, le temporal
FAUX
Les muscles élévateurs de la mandibule sont le masséter, le ptérygoïdien médial, le temporal
Les muscles abaisseurs (rotation) de la mandibule sont le temporal, le géno-hyoïdien, le myo-hyoïdien
FAUX
Les muscles abaisseurs (rotation) de la mandibule sont le digastrique, le géno-hyoïdien, le myo-hyoïdien
Le ptérygoïdien latéral permet en bilatéral la propulsion et la diduction ipsilatérale en unilatéral
FAUX
Le ptérygoïdien latéral permet en bilatéral la propulsion et la diduction controlatérale en unilatéral
Les désordres temporo-mandibulaires (DTM) englobent d+ et dysfonctions des muscles masticateurs et de l’ATM et des structures associés
VRAI
Les DTM présentent 3 symptômes (triade) : d+, bruit, claquement
FAUX
Les DTM présentent 3 symptômes (triade) : d+, bruit, mvt perturbé
Les femmes sont plus souvent touchées que les hommes par les DTM
VRAI
Les DTM sont plus fréquent chez les + de 65 ans
FAUX
entre 20 et 40 ans
>45ans : signes présents mais asymptomatique
Le 1er épisode de DTM est corrélé à céphalées ou une douleur ailleurs
VRAI
L’orthodontiste est lié aux risques de DTM
FAUX
En 2016 une étude a permis de passer d’un modèle médical à un modèle biopsychosocial
VRAI
2016 (OPERRA):modèle médical →étude biopsychosociale pour redéfinir les facteurs de risque
Les cliniciens sont encouragés à utiliser le paradigme occlusal dans le trtmt des DTM
FAUX
Les cliniciens sont encouragés à abandonner le paradigme occlusal dans le trtmt des DTM
Les femmes avec des parafonctions orales, un bruxisme diurne, du stress sont plus à même de dév un DTM chronique
VRAI
Le bruxisme est une activité répétitive isométrique à bas bruit de la mâchoire
VRAI
Quelle est la différence entre bracing et thrusting ?
BRACING VS THRUSTING :
- Clenching/bracing (serrage) : maintien position forcée de la mandibule
- Thrusting : mouvement soudain : mvt latéral ou vers l’avt
! les 2 act n’impliquent pas nécessairement un contact dentaire
Le bracing et le thrusting impliquent un contact dentaire
FAUX
Pas de contact dentaire nécessairement
La régulation du bruxisme est principalement centrale et non causée par des facteurs anatomiques (occlusaux ou art)
VRAI
Le stress influence le bruxisme qu’il soit nocturne ou diurne
FAUX
Bruxisme diurne : associé au stress rapporté par le P et à des facteurs émotionnels
Bruxisme nocturne : activation rythmique des élévateurs de la mandibule influencé par : facteurs génétiques, médocs, facteurs perso individuels, associé à une avancée mandibulaire facilitant le passage de l’air !! le stress n’influence pas !!
Rester vigilant car le bruxisme nocturne peut être une réaction de protection en cas de reflux gastrique (essai de saliver ++ pour adoucir l’acidité)
VRAI
La gouttière est le traitement de premier choix qui permet d’arrêter le bruxisme
FAUX
Gouttière = approche occlusale
!! on n’arrête pas le bruxisme avec une gouttière !!
On préférera éviter amphétamine, ecstasy, cocaïne, caféine, nicotine, alcool en cas de bruxisme
VRAI
L’approche cognitivo- comportementale est à considérer +++
VRAI
Approche cognitivo-comportementale = PEP TALK (éducation) et PSYCHOLOGY (référer avec un spécialiste)
Selon l’étude OPPERA, l’augmentation de la fréquence des migraines sont associés à la l’incidence des DTMs
VRAI
Selon l’étude OPPERA, la sévérité de la douleur ainsi que la présence de co-morbidités sont associés à une douleur persistance 8 mois après le début du DTM
VRAI
Quels sont les 4 critères à retrouver dans le cas d’un DTM douloureux ?
Localisation douleur : cohérente
Douleur modifiée : améliorée ou aggravée par la fonction, parafonction ou le mvmt
Douleur familière
Douleur référée
La myalgie est un DTM avec source de nociception
VRAI
La myalgie se caractérise par une d+ prenante la nuit
FAUX
La myalgie se caractérise par une augmentation de la d+ pendant la journée
La douleur lors d’une myalgie est liée à la fonction
VRAI
Les facteurs de risques de la myalgie sont : le bruxisme diurne et nocturne, et les parafonctions
FAUX
Les facteurs de risques de la myalgie sont : le bruxisme diurne et les parafonctions
!! pas le nocturne!!
Le pronostic de la myalgie est très bon
VRAI
L’arthralgie est une d+ à la palpation et/ ou au mvt
VRAI
Arthralgie (douleur articulaire) // arthrite (inflammation articulaire)
La céphalée attribuée au DTM est lorsque le patient active sa machoire il provoque une d+ temporale
VRAI
!!DD avec la céphalée de tension (neurologue fait ça)!!
Lors d’un déplacement discal ant on retrouve un bruit au niveau de l’ATM, évolue souvent vers un DDNR
FAUX
Bruit au niveau de l’ATM
Evolution naturelle favorable
évolue rarement vers un DDNR
Lors d’un déplacement discal ant, à l’IRM :
- bouche fermée : disque vers l’avant
- bouche ouverte : disque encore plus vers l’avant
FAUX
Lors d’un déplacement discal ant, à l’IRM :
- bouche fermée : disque vers l’avant
- bouche ouverte : disque à nouveau sur la tête du condyle et on ↘ le déplacement
Dans le déplacement discal ant, on observe une corrélation avec l’âge et les femmes sont plus touchées que les hommes
VRAI
A l’examen lors d’un déplacement discal ant on observe une limitation de la mobilité et un claquement à la fin de mouvements bucaux
FAUX
Pas de limitation de mobilité
Claquement à la fin de l’ouverture et à la fin de la fermeture (= claquement réciproque) ET pdt diduction/propulsion
Dans un déplacement discal non réductible (DDNR) avec limitation d’ouv buccale on retrouve un bruit au niveau de l’ATM et l’évolution est favorable
FAUX
Pas de bruit au niveau de l’ATM
Evolution naturelle favorable : 50% des patients présentent un remaniement tissulaire sous la forme d’un pseudo disque. Les 50% restants évoluent bien quand même
Lors de l’examen d’un déplacement discal non réductible (DDNR) avec limitation d’ouv buccale la mobilisation passive assistée atteinte des valeurs normales
FAUX
Mobilisation passive assistée < 40mm
Lors de l’examen d’un déplacement discal non réductible (DDNR) avec limitation d’ouv buccale on retrouve 4 étapes :
- limitation de l’OB
- déviation pdt OB (côté controlatéral)
- mobilité diduction différente (limitée en homo)
- propulsion déviée vers le côté homolatéral
FAUX
Lors de l’examen d’un déplacement discal non réductible (DDNR) avec limitation d’ouv buccale on retrouve 4 étapes :
- limitation de l’OB
- déviation pdt OB (côté homo)
- mobilité diduction différente (limitée en homo)
- propulsion déviée vers le controlatéral
Dans un déplacement discal non réductible (DDNR) sans limitation de l’OB on retrouve un blocage qui perturbe la mastication
VRAI
Le déplacement discal non réductible (DDNR) avec limitation de l’OB est l’évolution naturelle du déplacement discal non réductible (DDNR) sans limitation de l’OB
FAUX
Le déplacement discal non réductible (DDNR) sans limitation de l’OB est l’évolution naturelle du déplacement discal non réductible (DDNR) avec limitation de l’OB
Lors de l’examen d’un déplacement discal non réductible (DDNR) sans limitation de l’OB la mobilisation passive assistée est > à 40mm
VRAI
Lors d’un déplacement discal réductible avec blocage intermittent on retrouve des bruits au niveau de l’ATM
VRAI
Lors d’un déplacement discal réductible avec blocage intermittent la machoire se débloque par un mouvement spécifique propre au patient
FAUX
blocage de la mâchoire avec limitation de l’OB et ensuite déblocage (sans savoir quand et pourquoi)
Le déplacement discal réductible avec blocage intermittent a un risque plus élevé de passer en DDNR que le déplacement discal antérieur réductible
VRAI
Dans les pathologies dégénératives on retrouve un bruit qui est associé à la douleur
FAUX
Bruit présent au niveau de l’ATM → pas tjrs associé à de la douleur mais associé aux crépitations
Lors de l’examen clinique une pathologie dégénérative donnera des crépitements durant les mvts buccaux
VRAI
La subluxation est un blocage de l’ATM en fin d’ouverture qui se réduit avec une manœuvre du patient (réaxer la mâchoire)
VRAI
La luxation vraie se réduit avec une manoeuvre du patient
FAUX
Luxation vraie
Blocage de l’ATM en fin d’ouverture qui ne se réduit pas avec une manœuvre du patient → nécessite une manœuvre rapide, parfois sous anesthésie locale