Matière moins connues - final Flashcards

1
Q

Critères du TSPT

A

A. Exposition à mort effective, menace de mort, blessures grave ou violences sexuelles
- Exposition direĉt (victime)
- Être témoin direct
- Apprendre qu’un événement traumatique est arrivé à un ami ou membre de famille *Doit être violent ou accidentel dans cas de mort)
- Être exposé de manière répétitive aux caractéristiques d’une É.T
Note : Exposition en cadre professionel par les médias

B. 1 ou + symptomes envahissants PROVOQUANT DÉTRESSE

  • Souvenirs invonlontaires et envahissants du É.T
  • Rêves répétifs
  • Détresse suite à indice interne ou externe relié à l’ÉT
  • Réactions physiologiques marquées lors de l’exposition à des indices internes ou externes

C. Évitement persistant des stimuli associés à l’état par minimum 1 manifestations suivantes PROVOQUANT DÉTRESSE:

  • Évitement ou effort pour éviter souvenirs, pensées ou sentiments reliés à l’ÉT
  • Évitement ou effort pour éviter rappels externes réveillant des sourenirs, pensées ou sentiment associer au É.T

D. Altérations négatives des cognitions et humeur associés à l’ÉT, 2+ manifestations

  • Altération de soi, cognitions ou humeur
  • Incapacité à se rappeler des aspects de l’ÉT du à l’amnésie dissociative
  • Croyance ou atteintes négatives, persistantes et exagérées concernant soi-mpeme’ les autres ou le monde
  • Distorsions cognitives par rapport aux causes et conséquences de l’ÉT qui pousse la personne à se blâmer ou les autres
  • État émotionnel négatif
  • Réduction nette de l’intéret ou participation pour des activités importantes
  • Sentiment de détachement d’autrui –> devenir étranger
  • Incapacité persistante d’éprouver des émotions positives

E. Altérations marquées de l’éveil et de la réactivité associés aux É.T avec 2 manifestations ou +

  • Comportement irritable ou excès de colère verbale ou physiques vers objets ou personnes
  • Comportement irréfléchi ou autodestructeur
  • Hypervigilance
  • Réaction de sursaut exagérée
  • Problèmes de concentration
  • Perturbation du sommeil

F. Symptomes B,C,D et E dure + 1 mois

G. Souffrance cliniquement significative ou altération du fonctionnement

H. Pas imputable aux effets physiologiques d’une substance

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2
Q

Quelles sont les altérations associées au TSPT-C

A
  1. Altération de la régulation des affects (Dysphorie persistante, autoagression, alternance colère explosive et inhibée)
  2. De la conscience (Épisodes dissociatifs transitoires, déperso./déréali)
  3. Perception de soi (Sentiment d’impuissance, honte, culpabilité)
  4. Percetion du perpétrant (Préoccupation de la relation avec perpétrant, impression qu’il a tout le pouvoir, idéalisation permet de gérer l’impact du contrôle de l’autre)
  5. Relation avec les autres (Isolement, recherche d’un sauveur, méfiance persistante)
  6. système de sens (Perte de la foi, sentiment de désespoir et d’impuissance)
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3
Q

Critères DX généraux des TP

A

A. Modalité durable de l’expérience vécue et des conduites qui dévie notablement de ce qui est attendu dans la culture de l’individu. Cette déviation se manifeste dans au moins deux des domaines suivants :
o 1) la cognition (i.e. la perception de soi-même, d’autrui et des événements)
o 2) l’affectivité (i.e. la diversité, l’intensité, la labilité et l’adéquation de la réponse émotionnelle)
o 3) le fonctionnement interpersonnel
o 4) le contrôle des impulsions

B. Ces modalités durables sont rigides et envahissent des situations personnelles et sociales très diverses
o Doit affecter plusieurs spheres (famille, amis, travail)

C. Ce mode durable entraîne une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants

D. Ce mode est stable et prolongé et ses premières manifestations sont décelables au plus tard à l’adolescence ou au début de l’âge adulte

E. Ce tableau n’est pas mieux expliqué par les manifestations ou les conséquences d’un autre trouble mental

F. Ce mode durable n’est pas imputalbe aux effets physiologiques d’une substance (ex. drogue donnant lieu à abus ou médicament) ou d’une autre affection médicale (ex. un traumatisme crânien)

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4
Q

Comment se manifeste la psychopathologie affective de Gunderson

A

Dysphorie intense et chronique

Réactivité humeur (Critère 6)

Sentiment chronique de vide, solitude ou ennui (Critère 7)

Sentiment chronique de colère (Critère 8)

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5
Q

Comment se manifeste la psychopathologie cognitive de Gunderson

A

Problèmes troublants, mais non psychotiques

  • Dépersonnalisation et déréalisation
  • Méfiance

Symptômes psychotiques ou quasi-psychotique

  • Délire
  • Hallucinations transitoires

Véritables idées délirantes et hallucinations

  • Rare
  • Presque toujours dans un contexte de dépression psychotique

Trouble de l’identité

  • Comment je me concois comme personne
  • Critère 3
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6
Q

Psychopathologie du comportement de Gunderson

A

Automutilation (Critère 5)

  • 65% des TPB en font
  • 41% le font plus de 50 fois
  • Se frapper –> se bruler –> se mordre
  • Fonctions obtenue = baisse de besoin de suicide
  • Fonction pas obtenue = augmentation de dysphorie et suicide

Suicidalité

  • 70% font plus de 3 tentatives
  • 10% mène à la mort

Critère 4

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7
Q

Psychopathologie Interpersonnelle de Gunderson

A

Critère 1 et 2

Dévalorisation des autres
o Se rapproche de narcissique

Manipulation des autres
o Se rapproche d’antisocial

Régressions du traitement (réactions thérapeutiques négatives)
o Sabotage
o Aller bien stimule une genre de personnalité sadique
o Je suis mauvais, je ne peux pas être bon donc je sabote
o Si je vais bien, le thérapeute va arreter la thérapie, je veux pas ca

Toutes les aspects négatifs d’une relation avec quelqu’un

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8
Q

Quels sont les différents types de TPB de Theodore Millon

A

Découragé

Pétulant

Impulsif

Autodestructeur

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9
Q

Comment la présentation du TPB varie selon le contexte

Contenu
Menacé
Seul

A

Contenu- idéalisant
- Phénoménologie : Vide, dysfonctionnel et symptomatique

  • Réponse des autres : sympathique
  • Implications clinique : Collaboration, interprétations, patient a besoin de thérapie expressive

Menacé - dévalorisant
- Phénoménologie : Colère, appels à l’aide autodestructeurs

  • Réponse des autres : Apeurée, coupable, colère
  • Implications cliniques : Confrontation, Le patient a besoin de soutien social et modification du comportement

Seul
- Phénoménologie : Terrifié, dissocié, paranoide. abus de substance, promiscuité

  • Réponse des autres : veut sauver le patient ou l’évite
  • Implications cliniques : Les mots ne sont pas importants : le patient a besoin d’Etre contenu + médication
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10
Q

Le SWAP-200 met l’accent sur quoi au lieu du DSM?

Remplace le critère 9 par?

A

Beaucoup de descripteurs non DSM comme: « se sent malheureux, déprimé, abattu ». Montrent que la dysphorie est au centre du TPB et que les affects négatifs jouent un rôle important dans le TPB

Aussi, des items abordant la difficulté à réguler les émotions sont très représentés (ex. « perd le contrôle de ses émotions », « catastrophise ses problèmes », « a du mal à s’autocalmer »

Au lieu du critère 9: « tend à devenir irrationnel quand des émotions fortes sont suscitées; peut présenter un déclin notable du niveau de fonctionnement habituel »  dérapage moins sévère que dans le DSM

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11
Q

Limites du diagnostic catégoriel du DSM

A

Établie des seuils de pathologie arbitraire

  • Ne découpe pas bien la vraie nature des choses
  • Exercice de la roche

Elles ne sont pas exhaustives (Trop de non-spécifié)
- 60% des DX sont non-spécifiés

Pas homogène –> 256 facons de l’être

Se recoupent trop (Comorbidité) –> 90-97% on autre un trouble

Facteur X (Facteur latent qu’on ne voit pas, mais qui organise les différents troubles)

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12
Q

4 étapes du modèle NEO-PR

A

Description de la personne en fonctions des 5 domaines (30 facettes)

Identifier difficultés avec chaque trait

Evaluer si difficultés sont significatives cliniquement

Dans les étapes 1 et 2, on dresse le profil de la personne et on planifie un traitement

L’étape 3 identifie un seuil pathologie
- Pathologie à 2 bouts possibles

L’étape 4 : Comparaison a des scores d’un profil prototypique

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13
Q

Critiques de l’évaluation par traits NEO-PR

A

Test basé sur la langage de tout les jours qui est très simple pour décrire la complexité de la psychopathologie

Ne rivalise pas avec les connaissances d’un clinicien

Questionnaire créer sur une population normale

Les énoncés n’abordent pas les processus psychologique et formule auto-révélé pas bon

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14
Q

Caractéristiques générales de la classification Hi-top

A

Construit sur une classification basée sur des données quantitatives

Approche dimensionnelle allant du plus spécifique (Symptomes) au plus général (Facteurs)

Utilise des analyses factorielles de mesures de sumptomes et des traits de personnalité(Latent)

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15
Q

Quels sont les 6 spectra dans la classification Hi-TOP classé du moins grave au plus grave

A
Somatoform
Internalisé
Trouble de la pensée
Externalisé désinhibé
Externalisé antagonisme
Détachement
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16
Q

Critères du modèle des TP proposé pour dsm-v mais rejeté et mis en section 3

A

A. Perturbation modérée/sévère du fonctionnement de la personnalité (Perturbation de 2+ domaine) (0 à 4)

  • Soi : intégration de l’identité, direction du soi
  • Interpersonnelle : Empathie, intimité

B. Présence d’au moins un trait pathologique (0 à 3)

  • Émotionnalité négative
  • Détachement
  • Antagonisme
  • Désinhibition
  • Psychoticisme

C. La perturbation dans le fonctionnement de la personnalité et l’expression des traits de personnalité est relativement inflexible et se présente dans un large spectre de situations personnelles et sociales

D. La perturbation dans le fonctionnement de la personnalité et l’expression des traits de personnalité est stable dans le temps, dont l’origine peut être située à l’adolescence ou au début de l’âge adulte

E. La perturbation dans le fonctionnement de la personnalité et l’expression des traits de personnalité n’est pas mieux expliquée par un autre trouble mental

F. La perturbation dans le fonctionnement de la personnalité et dans l’expression des traits de personnalité n’est pas seulement attribuable aux effets physiologiques d’une substance ou d’une autre condition médicale

G. La perturbation dans le fonctionnement de la personnalité et dans l’expression des traits de personnalité n’est pas normative dans le développement de l’individu ou dans son environnement socioculturel

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17
Q

Critères pour TPB proposés pour modèle section 3

A

Critères tp général

A. Perturbation modérée, ou plus sévère, dans le fonctionnement de la personnalité se manifestant par des difficultés caractéristiques dans au moins 2 des 4 aspects suivants:
o 1. Identité: Image de soi appauvrie, peu développée ou instable, souvent associée à de l’autocritique excessive; sentiments chroniques de vide; états dissociatifs en état de stress
o 2. Direction de soi: Instabilité dans les buts, aspirations, valeurs ou plans de carrière
o 3. Empathie: Habileté compromise de reconnaître les sentiments et besoins des autres associée à une hypersensibilité interpersonnelle (i.e., se sent blessée ou insultées facilement); perception des autres biaisée en faveur d’attributs ou vulnérabilités négatives
o 4. Intimité: Relations proches intenses, instables et conflictuelles, marquées par la méfiance, la dépendance (neediness) et la préoccupation anxieuse au sujet d’abandons réels ou imaginés; relations proches souvent vues en termes extrêmes d’idéalisation et de dévalorisation qui alternent entre la surimplication et le retrait

B. Au moins 4 des 7 traits de personnalité pathologiques qui suivent, au moins un étant 5) impulsivité, 6) prise de risque ou 7) hostilité: (Dimensionnelle et catégorielle)
o 1. Labilité émotionnelle (affectivité négative): expérience émotionnelle instable et changements d’humeur fréquents; les émotions sont facilement activées, intenses et / ou non proportionnelles aux événements et circonstances
o 2. Anxiété (affectivité négative): sentiments intenses de nervosité, de tension ou de panique, souvent en réaction à des stress interpersonnels; inquiétude à propos des effets négatifs d’expériences passées déplaisantes et de possibilités futures négatives; se sent effrayée, appréhensive ou menacée par l’incertitude; peurs de s’effondrer ou de perdre le contrôle (Plus large que le DSM actuel)
o 3. Insécurité de séparation (affectivité négative): Peurs d’être rejetée par – et / ou séparée de – les personnes significatives, associées à des peurs de dépendance excessive et perte complète d’autonomie (critère 1 du DSM5)
o 4. Dépressivité (affectivité négative): Sentiments fréquents d’être down, misérable et / ou désespérée; difficulté de récupérer de ces humeurs; pessimisme à propos du futur; honte envahissante; sentiments d’estime de soi diminuée; pensées et comportements suicidaires
o 5. Impulsivité (désinhibition): Agit sur l’impulsion du moment en réponse aux stimuli immédiats; agit sur la base du moment sans plan ou considération des résultats; difficulté à établir ou suivre des plans; sentiment d’urgence et comportements autoagressifs en état de détresse émotionnelle (Critère 5)
o 6. Prise de risques (désinhibition): S’engage dans des activités dangereuses, risquées et potentiellement dommageables pour soi, sans que cela soit nécessaire ou sans considérer les conséquences; manque de souci pour ses propres limites et déni de la réalité du danger personnel (Critère 4)
o 7. Hostilité (antagonisme): Sentiments de colère persistants ou fréquents; colère ou irritabilité en réponse à des affronts ou insultes mineurs (Critère 8)

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18
Q

Critiques du modèle mit en section 3

A

Trop grande rupture par rapport au DSM-IV
o Et les changements ne sont pas appuyés par la recherche empirique!

Processus manque de transparence

Solution tente de ménager la chèvre et le chou (effets de lobbys – des carrières sont en jeu) et manque de cohérence –> trouble narcissique

Déconnecté du clinicien, qui ne pense pas en termes de traits

Solutions dimensionnelles plus simples existent

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19
Q

De quoi sont issues les ROI et comment sont-ils organisés?

A

Issues de dispositions affectives innées et avec des personnes significatives (Réelles ou imaginées)

Ils sont intégrées et organisées hiérarchiquement pour former des structures de haut niveau qui organisent la personnalité et le fonctionnement psychologique –> on voit seulement la construction finale et pas ce qui est plus fondamentale

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20
Q

Qu’est-ce qui est retrouvé dans la personnalité normale

A

Le tempérament (force du ça); concerne particulièrement l’intensité, les rythmes, les seuils des réactions affectives (amygdale); inclut également dispositions perceptuelles, motrices et le contrôle moteur (cervelet)
 Génétique
 Certaines personnes sont plus prône à certains comportements

Les aspects des cognitions déterminés de façon héréditaire (force du moi); à un niveau de base, les représentations transforment les affects primaires en expériences émotionnelles complexes; à un niveau supérieur d’intégration, la capacité de « contrôle délibéré » est également liée à l’hérédité; réfère à la capacité de se concentrer sur des éléments d’information importants malgré les distractions, et la capacité d’établir les priorités (fonctions exécutives, CPF)
 Une partie inné et une partie apprise

Le caractère (le moi forgé par les interactions); est l’organisation dynamique des patterns de comportement durables, incluant les façons de percevoir et de se lier au monde, qui sont caractéristiques de la personne; inclue le niveau d’organisation des patterns de comportement, le degré de flexibilité des comportements et le caractère adaptatif des comportements; reflète les structures psychologiques sous-jacentes (ROI); en particulier, le caractère est la manifestation comportementale de l’identité;
 Partie du moi qui est apprise dans la relation
 C’est la manifestation comportementale de l’identité (Les ROI)
 Caractère est partie visible de l’organisation de la personnalité (style de personnalité). Pour ça que Kernberg parle de troubles du caractère pour distinguer les différents troubles de la personnalité.

Le système de valeurs intériorisées (surmoi); le degré d’intégration du système de valeurs est la dimension morale ou éthique de la personnalité

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21
Q

La personnalité normale a :

A

Une identité intégrée

La capacité de vivre un large spectre d’affects

Un système mûr de valeurs intériorisées

Une gestion appropriée et satisfaisante des motivations sexuelles, de dépendance et agressives; implique l’intégration de la sexualité et de l’affection et la capacité à canaliser l’expression des impulsions agressives (ex. affirmation de soi)
 Pour notre bien, p.ex la colère pour s’imposer, affirmation de soi, mettre des barrières

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22
Q

Quelles sont les faiblesses non-associées à l’utilisation de défenses primitves dans l’OPB

A

Intolérance à l’angoisse

Absence de contrôle des impulsions

Non développement des voies de sublimation (Défense constructive)
 Exprimer des émotions/pulsions normalement inacceptable dans une activité socialement valoriser

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23
Q

Avoir l’épreuve de la réalité manifeste les capacités suivantes :

A

Capacité à:

  • différencier soi de non soi
  • de distinguer les stimuli de source intrapsychique vs externe
  • maintenir de l’empathie avec des critères sociaux ordinaires de la réalité
24
Q

Chaîne de réaction avec l’Agressivité

A

Aggressovoté –> renforce la clivage et les défenses associées –> affaiblit le moi et l’intégration de ses structures mentales avec des fixations à des stades–> cercle vicieux autour de la gestion de la destructivité

25
Q

Quelles sont les 4 étapes de l’évaluation de Kernberg

Précision d’utilité pour étape 3 et 4

A

Évaluation des symptômes/diagnostic

Exploration de la situation de vie présente (amour, travail, etc.)

Évaluation des représentations de la personnalité de soi et des autres (Très Kernberg) –> fait la différence OPN vs OPB/OPP

Confrontation avec tact des contradictions apparues durant l’entrevue (Évalue épreuve de la réalité) –> La confrontation est utilisée seulement lorsqu’il y a des contradictions

Les étapes 3 et 4 sont cruciales. On évalue l’intégration de l’identité et l’épreuve de réalité:
o La façon de réagir aux confrontations permet d’évaluer l’empathie du client avec la perspective du clinicien, la force de l’épreuve de réalité et la capacité d’introspection –> J’étais un enfant modèle, mais apprend plus tard qu’elle a bruler une poubelle a son école

26
Q

Décrit la lignée limite de Bergeret

A

Enfance : traumatisme à l’enfance

Aucune période de latence

Adolescence : Choisit aménagement : soit perversion ou caractérisés (TP)
 Possibilité d’aller vers une structure psychotique ou névrotique

Maturité : d’autres traumatismes qui nous font continue dans l’état limite qui cause de l’angoisse pouvant mener vers :
 Une régression psychosomatique (épisode/symptomes corporels) : tellement dépasser par l’anxiété que ca devient trop et on devient malade dans notre corps (Ex : allergie, cancer)  le corps n’Est plus protégé par le psychologique
 Un état psychotique
 Un état névrotique

27
Q

Décrit la lignée psychotique de Bergeret

A

Période fœtale : Traumatismes et frustrations précocissimes qui développe un moi psychotique préorganisé à l’enfance

Adolescence : Si on a un bon environnement, on pourrait retourner à une structure névrotique, si ca va mal structure psychotique

28
Q

La structure névrotique
de Bergeret décrit

Le moi est organisé autour de?

Le conflit se joue entre?

Défense prioritaire

Type de libido

A

Organisé autour du génitale et de l’oedipe –> sexualité sexualisé, l’enfant se présente comme amoureux du parent opposé

Le conflit se joue entre le Ça (pulsions) et le Surmoi à travers le Moi

Le refoulement des représentations pulsionnelles domine les autres défenses

La libido objectale prédomine

29
Q

Décrit l’état-limite de Bergeret

Le mode de relation
Conflit
Défense principale
À cause que l’idéal du moi est inatteignable …

A

Le mode de relation : Relation anaclitique avec l’objet

Conflit : Idéeal du moi VS. Ca ou la réalité

Défense principale : Clivage

À cause que l’idéal du moi est inatteignable : L’état-limite lutte contre un état de dépression chronique : sans l’objet, il va tomber dans la dépression (Si j’ai un objet avec moi, je ne suis pas si mauvais)

30
Q

Décrit la dépression névrotique

A

Ressemble au deuil –> ce qui est perdue est l’estime de soi par rapport à l’amour de l’objet

La personne perd son sentiment de compétence quand elle perd l’amour de l’objet à cause du surmoi sévère

31
Q

Décrit la dépression limite

A

On perd la personne qui faisait en sorte qu’on valait quelque chose

L’autre agit comme confirmateur de valeur

Présence de dépressivité : état dépressif chronique et latent

32
Q

Décrit la dépression psychotique

A

Ce qui est perdue est l’objet fusionné au moi, donc on perd le moi

La douleur est lié à un sentiment d’impuissance, résultant en une défense de toute puissance pour contrer cette perte (Hallucinations/délires)

L’autre est essentiel à l’intégrité psychologique et compense un sentiment d’inexistance

33
Q

Quelles sont les limites des modèles d’organisation de la personnalité

A

Validité des modes d’organisation n’est pas démontrée (la recherche est jeune…)

Accord entre observateurs (fidélité) plus difficile à cause du niveau d’inférence requis

Risque d’inférences « sauvages » ou surinterprétées
o Certaiens personnes entendent une phrase et disent LUI YER TPB … hey respire là
o D’autres sur interprètent

Difficile de mener une entrevue structurale

Le diagnostic structural (DS) en soi (3 niveaux d’organisation) n’est pas suffisant pour orienter le traitement: il faut ajouter des informations fonctionnelles (fonctionnement mental, traits de personnalité, etc.)

Le DS peut conduire à une approche catégorielle de la personnalité (à 3 cases –> névrotique, psychotique ou borderline)

34
Q

Les croyances du TPB tourne autour de quoi dans les modèles cognitifs

A

La dépendance: « je suis faible et nécessiteux »

L’impuissance: « je suis impuissant lorsque laissé seul »

La méfiance: « le gens vont m’avoir si je ne les ai pas en premier »

La peur de l’abandon: « si les gens se rapprochent de moi, ils vont me voir pour ce que je suis et ils vont me rejeter »

La peur de perdre le contrôle: « les sentiments désagréables vont escalader et je vais en perdre le contrôle »

Les comportements de recherche d’attention: « les gens vont me donner de l’attention que si j’agis de façon extrême »

35
Q

Qu’est-ce qu’un mode de schème

A

Configurations de schèmes et coping activées à un moment: ex. Enfant abandonné

Les modes de schèmes guident les interventions, car c’Est là que le travail se fait

36
Q

Quels sont les domaines de schèmes

A

Déconnection / rejet

Autonomie et performance perturbés

Limites perturbées

Centration sur l’autre

Hypervigilence et inhibition.

37
Q

Quels sont les modes de schèmes

A

L’enfant abandonné et abusé
o Enfant abandonné: « frightened isolation »; enfant colère: rage d’avoir été injustement maltraité et négligé; protecteur: retrait émotionnel, déconnection, isolation, évitement comportemental – se sent insensible et vide, cynique et self-soothing: parent: introjection parent qui a dévalorisé et rejeté durant enfance, mène à l’autopunition; adulte: = fonction exécutive, sert à satisfaire besoins enfant – nourrit enfant abandonné, met limites à enfant enragé, combat les attaques parentales.
o Le thérapeute va etre hyper validant et satisfaire les besoins de bases

L’enfant en colère et impulsif
o enfant colère: rage d’avoir été injustement maltraité et négligé;
o Le thérapeute va aider la personne a parler de sa colère et imposer des limites

Le protecteur détaché
o protecteur: retrait émotionnel, déconnection, isolation, évitement comportemental – se sent insensible et vide, cynique et self-soothin
o Le thérapeute va aider la personne à pleurer, on négocie pour laisser place à l’enfant qui pleure

Le parent punitif
o parent: introjection parent qui a dévalorisé et rejeté durant enfance, mène à l’autopunition; adulte: = fonction exécutive, sert à satisfaire besoins enfant – nourrit enfant abandonné, met limites à enfant enragé, combat les attaques parentales.
o La personne se tappe sur la tête, se punit

L’adulte sain
o Ce mode est faible chez le TPB. Il doit intérioriser le thérapeute comme « adulte sain », ce qui fait que la thérapie dure au moins 2 ans
o Le thérapeute devient le bon objet

38
Q

Quels sont les mécanismes de changements dans la théorie des schèmes

A

Reparentage limité
o Le plus important. Le thérapeute comble certains besoins qui n’ont pas été comblés chez l’enfant TPB
o Le thérapeute est gentil, validant et tente de nourrir les besoins de facon évidentes
o essai de compenser déficits enfance, par chaleur + empathie; émotions: imagerie – et psy peut intervenir comme adulte dans exploration souvenirs passés, dialogues entres « personnages internes », entre autres grâce à chaises vides, rédaction de lettres à personnes qui ont abusé, exprime sentiments et besoins.

Travail centré sur les émotions
o Technique Imagerie : On demande d’imaginer le protecteur détaché par exemple et on lui demande de laisser place à l’enfant triste –> on imagine
o Chaise vide/dialogue : on demande au client de parler à une chaise vide et d’imaginer une personne (le parent punitif, le protecteur détaché) et de lui parler de partir
o rédaction de lettres : la personne rédige une lettre qui lui permet de mettre sur papier ses émotions et les choses qu’Elle voudrait dire
o Très humaniste

Restructuration cognitive et éducation
o Ex. La colère est nécessaire
o On enseigne la facon d’Exprimer sa colère de manière constructive
o éducation sur besoins normaux, émotions, restructuration pensée dichotomique dans expression colère, « échecs » dans le traitement = normaux, etc. Rupture = perlaboration, partie plus longue traitement. Consiste en généralisation à l’extérieur des changements apportés dans structures internes. Peut utiliser stratégies behaviorales habituelles (entraînement habiletés, relaxation, exposition, etc.). Ex. s’affirmer sans crise de rage

Rupture des patterns de comportement
o Requiert le plus de temps. Modification du comportement
o Mettre en acte ce qu’on travail dans la tête. P.ex exprimer sa colère au thérapeute, on demande d’Essayer de s’Exprimer autrement

39
Q

Quels sont les phases de traitement des schèmes cognitifs

A

Formation du lien (bonding) et régulation émotionnelle
o Établissement d’une relation de « holding » et bienveillante
o On prend soins du client pour établir une relation de confiance, on négocie avec le protecteur pour laisser palce à l’enfant et travail sur le parent punitif

Changement des modes de schème
o Chacun des modes est « corrigé ». Ex. l’enfant abandonné et abusé est complimenté
o On cadre le parent punitif pour au final l’éliminer

Développement de l’autonomie
o L’accent est déplacé vers les relations extérieures à la thérapie
o On exporte la thérapie aux relations extérieures,

Changement des modes: on vise à rejoindre l’enfant, à le « réparer »; on permet à l’enfant enragé de ventiler sa colère, on valide sa détresse, et les événements qui déclenchent colère, on l’aide à exprimer sa colère de façon plus constructive; le protecteur est identifié lorsqu’il apparaît et on l’invite à laisser sa place à l’enfant (par imagerie); le parent est confronté, ce qui laisse la place à l’enfant enragé à s’exprimer. Pendant tout ce temps, le thérapeute est un modèle pour l’apprentissage d’un schème adulte.

40
Q

Dequoi résulte le TPB dans la DBT

A

Une vulnérabilité biologique aux réactions émotionnelles rapides, intenses et de longue durée

Un environnement nourricier invalidant
 Met l’emphase sur l’invalidation –> difficile d’Exprimer des émotions quand on se fait toujours invalidé
 ce dernier punit, ignore, dévalorise ou banalise l’expérience émotionnelle de l’enfant, tout en ne donnant pas d’indications quant à la façon de gérer ces émotions
 cet environnement peut également inclure différentes formes d’abus (sexuel, physique, émotionnel)

41
Q

Quelles sont les 3 techniques d’Acceptation

A

La validation est d’être éveillé à, de refléter, et d’accepter les comportements, pensées et sentiments du patient. C’est également de se comporter de façon authentique

Le mindfulness est enseigné. Diffère des autres approches en ce qu’il tente de favoriser l’entrée dans, la participation ou de devenir « un avec » son expérience, plutôt que de tenter de prendre de la distance vis-à-vis de son expérience.
o On s’entraine à rester concentrer dans l’émotion et d’être sans jugement avec soi-même, ce qui fait en sorte qu’on fait pas de l’évitement

L’autre habileté vise à faire observer son expérience par le patient, ou de générer une acceptation radicale de son expérience passée et présente
o Accepter la situation dans laquelle on est  on s’abandonne dans notre sort, on rénonce à chialer et débattre
o Quand on accepte vraiment, on arrete de chialer
o Chialer est la non-acceptation de la douleur

42
Q

Quels sont les 5 fonctions de la DBT (Ce que la thérapie comprends)

A

Augmenter les capacités comportementales par la participation à des rencontres de groupe hebdomadaires visant à l’entraînement aux habiletés de régulation émotionnelle

Améliorer la motivation à changer et réduire les comportements incompatibles avec une vie qui mérite d’être vécue par des rencontres individuelles hebdomadaires qui combinent des interventions cognitives, behaviorales et d’acceptation
 On mélange acceptation et changement et on intègre une expérience de la semaine difficile en appliquant ce que la personne a appris durant la semaine

Favoriser la généralisation des acquisitions à l’environnement naturel en incluant des stratégies comme un coaching d’habiletés par téléphone ou in vivo faisant partie de la thérapie individuelle
 On applique les choses appris dans le feu de l’action

Structurer l’environnement, particulièrement le réseau d’intervention de façon à renforcer les habiletés acquises du patient

Augmenter les capacités et la motivation du thérapeute en formant des rencontres de consultation hebdomadaires de l’équipe soignante
 L’équipe se rencontre pour s’entre-aider

43
Q

Dans la psychothérapie individuelle de la DBT, qu’est-ce qui est fait

A

Le patient s’observe à l’aide de « cartes de journal » (diary cards) et le thérapeute choisit les comportements émis depuis la dernière rencontre en fonction d’une hiérarchie:
o a) comportements qui menacent la vie
o b) comportements qui interfèrent au traitement (séances manquées, agressivité face au psy, manque d’engagement)
o c) comportements nuisant à la qualité de vie (symptômes, problèmes financiers, etc.)
o d) déficits d’habiletés comportementales
o e) cibles secondaires (patterns dialectiques – comportements et pensées extrêmes)

44
Q

Que permet l’analyse en chaine

A

L’analyse en chaîne tente d’identifier la séquence des déclencheurs et conséquences des comportements ciblés
o On cherche le déclencheur, ce qui a été fait, ce qui aurait du être fait, les émotions rattachés

45
Q

Pourquoi on dit que la DBT est comme du conditionnement classique

A

Le patient est exposé aux déclencheurs et émotions en plus d’être entraîné à des habiletés de régulation. Ceci augmente la probabilité que les déclencheurs soient associés aux solutions de résolution de problème par conditionnement classique
o Donne des outils à la personne qui va offrir à la personne d’Autres comportements à avoir lors de situations difficile
o Parallèle avec conditionnement classique

La répétition de ces explorations augmente la mémoire épisodique des sources des problèmes chez le patient.

L’exposition en environnement sécurisé (non-reinforced exposure) favorise l’habituation et l’extinction
o Revie l’expérience de la semaine avec le thérapeute, personne qui va pas l’invalider  la personne revit l’émotions dans un environnement sécuritaire

46
Q

Quels sont les interventions dialectiques

A

L’avocat du diable; on demande par exemple au patient qu’il trouve des arguments pour la poursuite de la thérapie lorsqu’il est moins engagé
o On demande à la personne de faire des liens  finalement la thérapie sert à quelques choses

Entrer dans le paradoxe, de façon à favoriser une pensée x et y, plutôt que x ou y (le thérapeute est payé pour voir le patient)
o Exemple : Client dit vous vous foutez de moi, si je vous payais pas vous ne serez pas la
o Thérapeute : Si je me foutais de vous, j’essayrais de vous sauver (Paradoxale)
o Permet de développer l’insight de la personne

Extending, ou exagérer les implications d’un geste ou d’une pensée (le patient va se suicider s’il n’a pas un rendez-vous le lendemain)
o Ha oui? Vous allez vous suicider go on va à l’urgence tout de suite

47
Q

Quelle est la fonction des rencontres de groupes

Qu’Est-ce qui est fait au changement

Qu’Est-ce qui est fait dans l’Acceptation

A

L’entraînement aux habiletés s’effectue dans les rencontres de groupe (hedomadaires, 1 à 2½ heures)

Changement – modules de:
o régulation émotionnelle
o d’efficacité interpersonnelle (maintenir la conscience des buts et se comporter de façon à les réaliser)

Acceptation – modules de:
o mindfulness (observer, décrire et participer à l’expérience sans juger)
 Quoi: observer (esprit teflon: ne pas retenir ni pousser), décrire avec mots, participer. Comment: sans juger, porter attention à une chose à la fois, choisir l’efficacité.
o tolérance à la détresse (stratégies pour éviter l’intensité comme en usant de distraction et acceptation radicale du moment)

48
Q

Quelles sont des stratégies de survie de crise

A

Distraction (ex. avec émotion opposée, autre sensation – glace)  chaque personne a sa technique de distraction préférée, ou se forcer à avoir de la compassion pour l’autre (travail le clivage)

Comportements auto-calmants (ex. musique, bain, bouffe)

Améliorer le moment (ex. relaxer, s’encourager)
 Utilisé des cartes d’Encouragement

Penser aux pours et contres (de l’efficacité)

49
Q

Quels sont les exercices d’Acceptation qui pratique l’intensité émotionnelle

A

Observer ma respiration dans le moment
 Se dégage de l’intensité émotionnelle

Sourire à moitié (accepter avec le corps, agir la sérénité)
 Mécanisme de rétroaction émotionnelle (Sourire va nous aider à être plus joyeux)

Awareness (ex. position du corps, connexion à l’univers)
 On se situe dans l’espace

Acceptation radicale
 Choisir l’acceptation (turning the mind) (plutôt que le refus)
 Attitude acceptante (willingness) vs volontaire (willfulness)
 On se force à accepter

50
Q

Comment la personnalité évitante et dépendante ressemble au TPB

A

le TPB et la personnalité évitante auraient toutes les deux subies de l’invalidation. Ainsi, la personne évitante va être inhibée socialement à cause de cette invalidation alors que la personne bordeline sera plus explosive. La personne bordeline et la personne évitante auront donc été invalidées toutes les deux (un point commun pouvant expliquer la forte comorbidité entre elles), mais le «résultat» de cette invalidation sera différente. Est-ce exact?

Également, pour la personnalité dépendante et pour le TPB, il y aurait une ressemblance au niveau du manque. La personne dépendante manque d’autonomie alors que la personne bordeline va manquer de soutien. Il y a donc une similitude quant à un manque, mais la source de ce manque est différente. Est-ce exact?

51
Q

Le facteur P plus en détails

A

Correspond au “Super spectra” dans le diagramme HiTOP

Se retrouve au sein de l’ensemble des troubles mentaux

Par exemple avec une sévérité moindre, tu te siterais davantage dans les troubles somatoformes puis plus tu avances vers la droite, plus tu aurais donc un niveau de sévérité élevée au sein du fameux facteur P

52
Q

Le facteur G plus en détails

A

Il est équivalent au facteur p, mais pour les TP

Le facteur g (et donc les critères du TPB) reflètent l’OPB et presque tous les TP sont inclus dans cette OPB

53
Q

Lignée névrotique de Bergeret

A

Enfance : Moi névrotique préorganisé : Potentiel de névrose à cause du conflit d’oedipe (Névrose infantile)

Adolescence : Moi névrotique organisé : Tout est rebrasser  étape décisive qui peut faire changer de névrose à psychotique ou borderline

Maturité : On est figer dans notre structure  possibilité de névrose si la personne décompense

54
Q

Dans quelle situation une personne ayant une OPP peut présenter des troubles psychotiques

A

La personne avec une OPP qui souffre risque de présenter une psychose atypique

Il y a également plein de personnes avec une OPP qui ne souffrent pas (qui ont une structure compensé dans les termes de Bergeret) et qui fonctionnent tout à fait bien dans leur vie.

55
Q

Différence entre intellectualisation et rationalisation

A

La grosse différence entre les 2 est l’élément de justification de la rationalisation, souvent d’une action actuelle.

56
Q

Quels sont les facettes du BIG Five qui sont 2 écarts-types en haut de la moyenne dans le TPB

A

Anxieux
Hostile

Dépressif
Impulsif
Vulnérable

57
Q

Quels sont les facettes du BIG Five qui sont 2 écarts-types en bas de la moyenne dans le TPB

A

Confiance
Flexibilité

Compétence