Les Images Mentales Flashcards

1
Q

Qesk’une image mentale (intrusion) ?

C’est en lien avec quoi? (2)

A

Représentation perceptive et sensori-motrice multimodale reconstruite à partir d’indice de récupération de manière associative de souvenir d’évaluation réels (PTSD) ou leur recomposition dans des scénarios futurs imaginaire (anxiété sociale)

En lien avec les buts et les croyances (conscients ou non) de la personne => Langage du self !

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2
Q

Que cache une image mentale ?

A

Des infos relatives à la personne

-> A travers la surreprésentation/ évaluation de ma propre personne -> en lien avec TOC

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3
Q

Qeske le Self Memory System (SMS)

A

Cadre théorique de la mémoire autobiographique des images mentales spécifiant les liens entre self et mémoire

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4
Q

Dans le SMS: La mémoire est tjrs ..?

A

Reconstructive

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5
Q

SMS: l’encodage, le stockage et la récupération se font en fonction de quoi?

Quels sont les 2 principes ?

A

Des buts actuels de la personne

Principe de correspondance et le principe de pertinence =>

Maintien d’identité stable et cohérente de soi en sélectionnant infos pertinente

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6
Q

Que facilite ou inhibe le SMS ?

A

Accès dans champs conscient aux représentations supportent le Self et les buts actuelles de la personne ou inhibe l’accès de celles qui sont en désaccord avec le self et ses buts

-> Ceci permet d’éviter un état de dissonance cognitive et affects négatifs

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7
Q

Les souvenirs intrusifs sont-ils des répliques exactes de ce qu’on a vécu?

A

Non! mais le propre de processus de récupération mnesique de représentation dans une reconstitution active de soi dans ici et mnt sous forme d’image mentale et selon bits individuels, notre self

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8
Q

À quel niveau s’opèrent les souvenir autobio?

A

Inconscient

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9
Q

Quel but des souvenirs autobio?

A

Produire des brefs résumes sensori perceptuo affectifs des expériences qui se rendent dispo pour des éventuelles intégrations dans le self à long terme

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10
Q

Les souvenirs autobio sont souvent représentés par quoi?

A

Images mentales

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11
Q

Que concerne les souvenirs autobio?

A

Période de vie courte -> on va du général au spécifique :

Période de vie -> thématique avec ev spécifique contenant des détails -> représentations épisodiques comme réponse sensorielle, émotionnelle, proprioceptive

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12
Q

Explique le modèle SMS

A

1) Les représentations sont stockées en mémoire : Self à long terme :

  • > connaissances autobio
  • > self conceptuel

2) Ces 2 stockages d’infos = rendus actif par le self de travail + FE
3) Le self de travail pioche infos pour les rendre dispo au sein de mém épisodique et qui crée image sensorielle
4) Ces images sensorielles peuvent être répétées dans l’autre sens : infos du monde/ visualisation qu’on fait (images intrusives) peuvent modifier proactivelent infos en mémoire à long terme et modifier les croyances et buts

D’où l’idée d’utiliser ces stratégies de visualisation volontaire pour changer images intrusives et symptomatologie transdiagnostique

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13
Q

Quels sont les 2 processus de récupération mnesique d’une image mentale ?

Explique ces 2 (3 pour chacun)

Explique l’utilisation en psychopatho de chacun

A

Involontaire et volontaire

Involontaire :

  • images intrusives
  • récupération associative avec indice qui crée souvenir dans conscience
  • effortless (ressources cognitives faibles)

Ex: Flashbacks, cauchemars

Utilisation: évaluation des interprétations implicites de la personne en fonction des buts du Self pour dégager sens derrière ses images, croyances et buts de la personne

Volontaire : on se donne consigne de visualiser

  • images volontaires
  • récupération générative
  • effortfull (ressources cognitives importantes)

Ex: Simulation mentale, exposition en imagerie, reviviscence

Utilisation: Modification des interprétations implicites de self, emotions, motivations, cmpts pour entraîner Modif symptômes

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14
Q

Quel prévalence d’images en dépression?

Ça concerne quoi généralement ?

A

100% !

Images du passé, perte de gens aimées, crises interpersonnelles (identité, relations problématiques)

-> conçurent au maintien de dépression !

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15
Q

Quel prévalence d’aimer chez TOC? Et c’est quels obsessions ? (2)

A

95% : contamination, soi dangereux

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16
Q

De nombreux TOc commencent par nier les images mais la majorité expriment quel genre d’image ?

Les images engendrent charge émotionnelle donc que font-ils face à ça ?

A

Ego dystopique : en désaccord avec normes et valeurs de la personne

(= pas PTSD : considèré comme Ego-centoniques, en accord avec valeurs de la personne)

Ils tentent de supprimer -> images de remplacement pour neutraliser impact d’intrusion

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17
Q

Quelle prévalence d’images pour le troubles alimentaire ? (TCA)

A

70% : manger, prendre du poid, souvenir enfance etc p

18
Q

Quelle prévalence d’images pour trouble bipolaire ?

A

50% : intrusions de - a + en fonction de l’état

19
Q

Eske les images intrusives sont pathologiques ?

A

Pas tjrs ! Y’en a chez tous !

20
Q

Les souvenirs autobio involontaires diffèrent des volontaires par quoi? (2)

Qeski est similaire ?

A
  • Accès à conscience (intrusive ou délibérée)
  • Processus de récupération (volontaire vs non) -> varient en efficacité à activer certains souvenirs

Même stockage et encodage

21
Q

Quelles sont les 8 caractéristiques des images mentales intrusives ?

Que faut-il faire avec les souvenirs intrusifs alors ?

A
  • tres fréquentes
  • negatives/ pénible
  • intrusive
  • incontrôlable
  • récurrente
  • vivace
  • decontextualiser et peu intégrée dans narration -> flashback
  • associé au sentiment de revivre événement ici et mnt car bcp de détails => contrairement à verbal: 0 adresse spatio temporelle

Il faut reencoder le souvenir intrusif en souvenir narratif qui permettrait d’inhiber l’émergence de souvenirs autobiographique intrusif de par le fait qu’on donne une adresse spatio-temporelles qui permettra de mettre le souvenir dans le passé et qu’il n’est plus ce qu’on vit maintenant!

22
Q

Pourquoi les images intrus if sont plus fréquentes chez les personnes avec troubles émotionnels? (5)

A

Enfermé dans cercle vicieux :

1) Attention sélective vers la menace : focalisation vers les indices associé aux souvenirs émotionnels (peur anxiété)
2) Évaluation cognitive : biais négatif d’interprétation ce qui augmente l’induction des émotions négatives et la probabilité de récupérer en mémoire associative d’autres événements négatifs
3) Évitement
4) Style cogntif : sur généralisation d’un schéma pessimiste à partir d’un seul événement négatif, sous évaluation de la compétence de Copping
5) Croyance sur soi biaisées: sentiment de sur responsabilité pour ce qui s’est produit de sorte à créer des liens associatif avec des événements négatifs passés

23
Q

Pk identifier les images mentales intrusives ?

A

Route pour accéder au sens émotionnel immergé, donc non accessible consciemment en lien avec le self et croyances et buts

(Self = partie cachée iceberg et pointe = image intrusive)

24
Q

Le traumatisme est initialement organisé en souvenir sensorimoteur et affectif souvent sans représentation sémantique/

C’est souvenirs sont récupérés de quelle manière et ils sont porteurs de quoi?

A

Manière automatique associative

Porteurs de cognitions chaudes ( en lien avec buts et croyances)

25
Q

Quelles procédures d’évaluation des images mentales ? (2)

A

Echelles de mesures

Entretien clinique :

  • journal intrusions
  • observation systématique des indices de récupération
  • micro formulation d’une image intrusive
26
Q

Qu’est-ce que l’échelle d’utilisation spontanée de l’imagerie mentale version française ?

A

Une échelle qui permet d’évaluer la tendance générale à utiliser l’imagerie mentale visuelle dans les situations de la vie quotidienne

Attention aux Diff interind: certains sont + verbaux et d’autres visuels

27
Q

Qeske le journal des intrusions ?

On part de quel élément ?

Qesk’on essaie de voir en séance surtout ? (2)

Ex à voir

A

Un tableau avec :

  • situations
  • émotions (hot spot)
  • images ou souvenirs
  • interprétation
  • comportement

On part de l’émotion qui est comme la cloche qui indique qqch va pas -> pointe visible de l’iceberg/ conscience

En séance : interprétation et Cmpt

28
Q

Dans l’interview d’une évaluation d’image intrusive, qesk’on identifié ? (7)

A

Identifier :

  • L’image intrusive et récurrente - les indices de récupération
  • l’évaluation de l’image
  • l’image clé hotspot
  • signification de l’image
  • croyance associé à l’image
  • réponse à l’image
29
Q

On identifie la croyance qui se cache derrière image intrusive par quoi? (2)

A

Pont affectif ou indices de récupération

On commence par émotion : après on détermine indice et image intrusive et après ont sit analyse de la croyance implicite

=> Ça permet de voir le self !

30
Q

Quelles sont les 4 étapes de la micro formulation de l’image intrusive ?

A

1) Identifier l’image mentale
2) Définir le type et fréquence de ces images
3) Identifier une image clé pénible (hot spot)
4) Réaliser micro formulation de chaque image clé pour identifier croyances et Cmpt d’évitement

31
Q

Quelle technique utiliser pour les images intrusives ? Décrit la

Ex avec SW

A

L’imagerie de reviviscence / micro formulation de l’image intrusive :

On revisite le souvenir autobiographique implicite pour voir l’information cachée derrière l’image intrusive en lien avec le self, buts et croyances

Le patient fait un récit visualisé de son souvenir : on part du hotspot après avoir dégagé l’émotion et l’image intrusive et on demande de revisualiser et en décrivant verbalement en même temps

Le psychologue arrive progressivement à dégager les éléments pertinents pour remplir la micro -formulation de cas

32
Q

Le vrai langage à utiliser pour la modification des images intrusives c’est quoi? Le verbal ou visuel ?

A

C’est le visuel avec les intrusions -> ça donne infos sur self

car le verbale ça marche - bien

33
Q

La porte d’entrée = description de l’image du trauma et hot spot pk?

A

Pour travailler dessus et volontairement le raconter verbalement pour s’y exposer et progressivement amener un changement d’émotion et de croyances dysfonctionnels dans les tentatives de rescénarisation

34
Q

Pourquoi travailler sur les images intrusives ? (4)

A
  • Accès à des significations difficilement atteignable via les narration verbale (cognitions chaudes: émotions, sensations)
  • image intrusives = facteur de maintien du trouble
  • accès rapide aux croyances, interprétations, buts, motivation de la personne
  • images mentales = langage du self
35
Q

Quels sont les 2 techniques d’imagerie pour :

  • adress negative imagery
  • promote positive imagery: Ex ; chez dépressifs on peut travailler sur promouvoir images + ou diminuer celles négatives -> les 2 marchent
A
  • Technique direct d’imagerie interactive sur contenu

- Technique indirect d’imagerie property

36
Q

Explique la technique indirect d’imagerie interactive ?

A

Technique sur l’habituation et contenu avec reviviscence : revisualiser avec image + fonctionnelle

37
Q

Explique la technique indirect d’imagerie property

A

Technique sur l’acceptation associé à la flexibilité mental peu importe contenu

-> Mindfulness : on travaille pas sur send mais sur l’acceptation de l’imagerie mentale

38
Q

Ex de Kate

A

À voir

39
Q

Étude sur dépression et images intrusives : avant après RI

Baseline : score dépression augmente (intrusions constantes)

Treatment et Follow up

Quels résultats ?

A

Au début du traitement : La reviviscence entraîne augmentation de dépression et à partir de ce moment : la dépression diminue

(Helplessness: absence de compétences à faire face mais on apprend à reimaginer compétences à faire face -> diminue détresse, dépression et intrusions)

Follow up: Les résultats sont maintenus même 1 an après donc évaluation de suivi

40
Q

Conclusion

A

Efficacité thérapeutique contrairement à l’imagerie de reviviscence qui entraîne beaucoup de souffrance et de Drop outs

-> cette thérapie de reviviscence en introduisant des nouvelles informations plus structurante semble être mieux accepté et entraîner - de dropout/ + satisfaisante pour le psy et c’est plus facile

La rescenarisation joint l’exposition simple + restructuration cognitive faite non pas par langage verbale comme restriction cognitive de Beck et questionnement socratique mais qui permet de faire restructuration en imagerie en utilisant le langage du self