Examens Flashcards
Dans une tâche consistant à estimer le nombre de points sur une feuille, la VD peut être :
Le nombre de symboles estimé par l’individu.
Si on demande à 3 groupes d’individus différents d’estimer le nombre de points imprimés sur 3 feuilles différentes (chaque groupe disposant d’une seule feuille) et si on constate que les estimations individuelles sont proches pour le premier groupe, moyennement différentes pour le deuxième groupe et très dispersées pour le troisième groupe, alors on pourra conclure que le facteur qui différencie les 3 groupes est :
L’incertitude concernant le nombre de points imprimés.
Dans l’étude “Les rectangles de Leavitt”, les auteurs s’intéressent à quels facteurs :
Aux effets de la visibilité du communicant et du feedback (possibilité d’interagir).
Dans l’étude “Les rectangles de Leavitt”, on pose plusieurs hypothèses :
a) l’information visuelle facilite la communication
b) le feedback (possibilité d’interagir) facilite le transfert d’informations mais augmente le temps de réalisation
et
c) la présence des 2 (information visuelle et feedback) est la meilleure situation en ce qui concerne la réalisation de la tâche mais augmente le temps d’exécution. Pour vérifier ces hypothèses, il faut définir les VIs suivantes :
-Visibilité (avec; sans)
-feedback (avec; sans)
Quand on demande à des participants de nommer la couleur de l’encre utilisée pour écrire des mots de couleur, on constate que lorsque le mot de couleur est écrit dans une encre différente que le sens du mot (par exemple, bleu écrit en rouge), le temps de réponse est plus élevé. On parle alors d’un effet :
D’interférence.
Dans l’étude Stroop, on observe que lorsque le matériel est congruent, le temps total de lecture des mots à voix haute de la liste est de 10 secondes et lorsque le matériel est incongruent, le temps total de lecture est de 15 secondes. De quel effet s’agit-il ?
Effet simple de la VI “matériel” pour la tâche “lire”.
Des auteurs voudraient démontrer l’hypothèse suivante : les mots à consonnance affective sont mieux retenus que les mots neutres et cet avantage s’accentue au cours du temps. Quelles VIs doit-on créer pour vérifier cette hypothèse :
Délai de rappel et consonnance affective.
On présente à des participants de 40 mots. On observe qu’ils rappellent en moyenne 17.5 mots après un rappel immédiat et 5.5 mots en moyenne après une semaine. Ce résultat prouve l’existence :
D’un oubli.
L’hypothèse suivante est posée : L’effet de la consonnance affective sera plus important à long terme plutôt qu’à court terme. De quel type d’hypothèse s’agit-il :
Hypothèse d’interaction.
Pour vérifier qu’une situation expérimentale est effectivement ambigue, on doit montrer que les membres du groupe :
Ont des estimations individuelles très variables et instables.
Une des critiques épistémologiques de la méthode expérimentale est :
La nature artificielle de l’expérimentation.
La méthode hypothético-déductive est basée sur :
-Un raisonnement par induction
-Un raisonnement par déduction
Quand on dit qu’une hypothèse doit être présentée sous forme booléenne, cela signifie :
Qu’elle doit être synthétique.
Les groupes contrôles sont utilisés afin de :
Estimer le niveau de base des participants.
Une variable individuelle est une variable :
Invoquée.
Deux groupes de mesures sont considérés comme indépendants lorsque :
Des personnes différentes y sont affectées.
La validité opérationnelle concerne :
-La validité des VI
-La validité des VD
Quand on parle de groupes à mesures répétées, cela signifie :
Que les mêmes participants réalisent toutes les situations expérimentales.
L’estimation du degré de généralisation d’un résultat expérimental s’appelle :
Validité externe.
Lorsque les mesures sont modifiées pour l’analyse des résultats, on parle de VD :
Transformée.
Concernant l’utilisation de la démarche scientifique en psychologie, il existe 2 positions qui s’opposent :
La position naturaliste et la position clinique.
Quel type d’hypothèse permet de créer les différentes variables qui seront utilisées dans une
expérience :
L’hypothèse opérationnelle.
Pour neutraliser les effets d’ordre liés à l’utilisation de groupes à mesures répétées, on peut :
-utiliser un contrebalancement complet
-réaliser un contrebalancement partiel
Une variable parasite est une variable :
Qui peut influencer le comportement observé soit de façon directe, soit en entrant en interaction
avec les facteurs manipulés.
L’effet principal d’une VI c’est la relation VI-VD :
Représentée indépendamment des autres VI.
Il y a interaction entre 2 VI lorsque :
Les effets simples sont différents.
Lorsque les groupes de mesures sont constitués de personnes différentes, on parle de :
Groupes indépendants.
Les groupes à mesures répétées permettent :
De contrôler les différences interindividuelles.
Un groupe contrôle est un groupe de mesure qui :
Permet d’estimer le niveau de base du participant.
Pour réaliser une expérience, l’expérimentateur doit sélectionner ses participants parmi :
Une population parente.
Les mesures sont répétées, on doit donc prendre des précautions pour éviter l’erreur progressive.
Quel(les) est (sont) la (les) précaution(s) à prendre ?
Contrebalancer pour chaque sujet l’ordre de passation des différentes épreuves.
Les différentes photos de visage sont pré-testées. A votre avis, pourquoi ?
Afin de vérifier si les visages sont considérés comme neutre au niveau de la dominance.
A votre avis, pourquoi ? (Une des photos de visage a été supprimée).
Parce que le niveau de dominance pour ce visage est trop élevé.
Peut-on dire que l’hypothèse principale des auteurs est vérifiée ?
Oui car il y a interaction entre le sexe et le contexte.
La méthodologie, c’est :
Un ensemble de techniques permettant de récolter des données fiables.
Une position théorique trop naturaliste risque d’entraîner un :
Réductionnisme.
Parmi les différents niveaux d’explications scientifiques, le moins général est :
Le modèle.
Un raisonnement par déduction permet de formuler des hypothèses générales :
A partir de principes généraux.
Lorsque une expérience est terminée, que doit-on vérifier en premier :
L’hypothèse statistique.
Selon le schéma général de la méthode expérimentale - le plan de recherche - le paradigme
expérimental dépend directement :
Du choix de la VD.
Une variable de type « environnemental » est une variable :
De type physique.
Lorsque l’échelle choisie pour la mesure des comportements n’est pas adaptée au comportement
sélectionné, on parle d’effet :
-Plafond
-plancher
Lorsque les mesures ne sont pas modifiées pour l’analyse des résultats, on parle de VD :
Observée.
Il y a interaction entre 2 VI lorsque :
Les effets simples ne sont pas équivalents.
Les groupes à mesures répétées permettent :
De contrôler les différences interindividuelles.
Les effets des VI sont exprimés de façon relative car :
Pour la majorité des comportements, on ne dispose pas de référence absolue.
Les mots à forte consonance affective ont plus de chance d’être mieux rappelés à long terme que les
mots neutres ou à faible consonance affective.
Vrai.
Parmi les différents niveaux d’explications scientifiques, quel est le plus général :
La loi.
Une variable invoquée c’est une variable :
Dont on ne peut sélectionner que les modalités.
n considère que les différentes modalités d’une VI doivent être homogènes, cela signifie :
Qu’entre les 2 modalités d’une VI, une seule dimension doit être manipulée.
Une variable dépendante est une variable :
Qui mesure la réponse du sujet.
On parle d’effet plafond lorsque :
l’échelle n’est pas assez discriminante dans sa partie supérieure.
La notion de validité opérationnelle recouvre les notions de :
-Validité des VIs
-Stabilité test-retest
Lorsque les effets simples d’une VI sont notables mais identiques, on dit qu’il y a :
Additivité.
Les progrès de la science se font par une accumulation de connaissances érigées en dogme :
Faux.
Un raisonnement par induction permet de formuler des hypothèses :
A partir de principes généraux.
Les réponses qui sont mesurées directement dans une expérience constituent la VD :
Observée.