Épaule (APP1) Flashcards
luxation
- Perte totale de contact normal entre les surfaces cartilagineuses (surfaces articulaires)
- Se produit lors d’un traumatisme
subluxation
- Luxation incomplète
- Perte de contact partielle entre les surfaces cartilagineuses (persistance d’un contact anormal)
entorse
blessure ligamentaire causée par une mobilisation excessive d’une articulation
étirement des fibres ligamentaires SUPERFICIELLES (lésion stade 1)
ligament unit quoi
2 os
tendinopathie
souffrance douloureuse d’un tendon (qd muscle activé ou étiré)
comprend tendinite, tendinose et paraténonite (ténosynovite)
tendinite
présence d’un phénomène inflammatoire avec cellules (macrophages, neutrophiles..)
tendinose
état de dégénérescence chronique non inflammatoire
paraténonite
gaine synoviale inflammée gonfle et écrase le tendon donc il se détériore
Les tendons peuvent être lésés par quels processus
avulsion ou section
avulsion: bout d’os/cartilage s’arrache (fracture + déplacement) à cause d’une trop grande tension du ligament.
- soit à l’insertion ou à la jct musculo-tendineuse
- souvent coiffe des rotateurs
section: souvent tendons main (ext ou fléch)
bourses sont où et quel est leur rôle
autour des articulations entre tendons et os
but = protéger tendons et muscles en facilitant glissement, évitant frottement entre os/tendons
bursite
inflam de la bourse (poche remplie de liq synoviale)
=> peut être traumatique ou chronique
capsule articulaire
gaine fibreuse qui entoure une articulation entre 2 os
capsulite
épaississement ou fibrose de la capsule articulaire souvent chez les 50-60A qui cause une perte de mobilité ++ à l’ÉPAULE
où est la membrane synoviale et elle sert à quoi
tapisse parois cavité articulaire (PAS SURFACES ART),
produit & résorbe liquide synoviale pour faciliter le mvmt
synovite
inflam de la mb synoviale qui peut s’accompagner d’épanchement aka liq qui s’accumule dans l’articulation
ténosynovite
inflam tendon + gaine synoviale
os ventral de la ceinture scapulaire.
clavicule
avec quoi s’articule la clavicule
medial: manubrium sternum + 1er cartilage intercostal
lateral: scapula (acromion)
os dorsal de la ceinture scapulaire et recouvre les côtes 2 à 7
scapula
articulations de la scapula
s’articule latéralement
avec clavicule: acromion (art. acromio-claviculaire)
avec humérus: cavité glénoïde
parties de la scapula
face costale: fosse subscapulaire
face dorsale: fosses supra et infra-épineuses séparées par l’épine scapulaire
acromion (en médial)
’os du stylopode.
humérus
articulations humérus
prox: scapula (cavité glénoïde)
dist: radius & ulna
parties de l’extrémité proximale de l’humérus
- tête rétrovertie 30˚ vers l’arrière
- tubercule mineur + crête (ventral)
- tubercule majeur + crête (latéral)
- sillon intertuberculaire
- col anatomique
- col chirurgical
que passe dans le sillon intertuberculaire
tendon du chef long du biceps brachial
v ou f
col anatomique est entre tête et tubercules de l’humérus vs col chirurgical qui est entre tubercules et corps de l’os
v
col anatomique = les 2 tubercules
col chirurgical = crêtes
4 articulations de l’épaule
- gléno-humérale (humérus + scapula)
- acromio-claviculaire (scapula+clav)
- sterno-claviculaire
- scapulo-thoracique
3 ligaments insérés sur la scapula
- coraco-acromial
- relie sommet acromion & coracoïde - transverse supérieur
- med incisure scapulaire & med coraco - transverse inférieur
ligaments de l’articulation sternoclaviculaire
- sternoclav ant
- sternoclav post
- interclaviculaire
- costoclaviculaire
ligaments de l’articulation acromio-claviculaire et leur utilité
ligaments coraco-claviculaires
1. trapézoïde (+ lat)
2. conoïde (+ med)
permettent d’empêcher la clavicule de bouger vers le haut
ligaments de l’articulation scapulo-humérale
- coraco-huméral
- O: base dorsolat coracoïde
- I: lat grand & petit tubercules hum - gléno-huméral sup
- O: tubercule supraglénoïdal scapula
- I: prox tubercule mineur - gléno-huméral moy
- O: ventral cav glénoïde scapula
- I: distale tubercule mineur - gléno-huméral inf
- O: distal bourrelet glénoïde/cavité glén
- I: med col chirurgical humérus (en bas des tubercules)
LGH: sup & moyen sont juste en ventral et inférieur est aussi en dorsal donc toute la partie inférieur de la glénoïde
6 bourses de l’épaule
- subscapulaire
- coracoclaviculaire
- subacromiale
- subdeltoïdienne
- infraépineuse
- acromiale subcutanée
c’est quoi une capsule articulaire
manchon fibreux autour de l’articulation qui contient la cavité articulaire et unit les os
- couche capsule fibreuse externe
- mb synoviale interne dans laquelle il y a du liquide synovial entre les 2 os
où trouve-t-on des capsules articulaires dans l’épaule
- art acromio-claviculaire
- art sterno-claviculaire
- art scapulo-humérale
qu’est-ce qui renforce la capsule articulaire scapulo-humérale
coiffe des rotateurs
- ant: subscapulaire
- prox: supra-épineux
- dorsal: infra-épineux et petit rond
ouvertures de la capsule articulaire scapulo-humérale
- entre tubercules min/majeur (passage tendon chef long biceps)
- entre LGH sup/moy (comm cavité articulaire + boursebourse subtendineuse du subscapulaire)
deltoïde innervé par quel nerf et permet quels mvmt
nerf axillaire, C5
- abd
- flexion (chef ant)
- extension (chef post)
fournit la majeure puissance dans les mvmt de l’épaule
(il est par-dessus la coiffe des rotateurs)
rôle coiffe des rotateurs
stabilisateurs DYNAMIQUES art gléno-humérale (muscles SITS)
- affiner/améliorer efficacité + stabilité des mvmt de l’épaule pour que la tête humérale reste dans la cavité glénoïde
- pas impliqué dans la force de l’épaule
muscles de la coiffe des rotateurs et leur localisation
- supra-épineux (post)
- O: fosse supra-épineuse
- I: tubercule majeur - infra-épineux (post)
- O: fosse infra-épineuse
- I: tubercule majeur - subscapulaire (post)
- O: face costale, fosse subscap
- I: tubercule mineur - petit rond
- O: bord moy lat scapula
- I: tubercule majeur
innervation muscles de la coiffe des rotateurs
viennent tous des racines C5-C6
- subscap: SUBscapulaire sup et inf
- sup-ép: SUPRAscapulaire
- inf-ép: SUPRAscapulaire
- petit rond: Axillaire
muscles de l’épaule qui abaissent la scapula
- subclavier (O: 1e côte T: clav)
- petit pectoral
- dentelé antérieur
muscles de l’épaule qui élèvent la scapula
- élévateur de la scapula
- petit rhomboïde
- grand rhomboïde
muscles de l’épaule qui font la rotation interne
- subscapulaire
- grand pectoral
- grand rond
- grand dorsal
- petit pectoral
- dentelé antérieur
muscles de l’épaule qui font l’extension
(mvmt max vers l’arrière)
- deltoïde (chef post)
- grand dorsal
- grand rond
- petit rond
- rhomboïdes
- trapèze
muscles de l’épaule qui font l’abduction
- deltoïde (ap 15˚)
- supra-épineux (av 15˚)
- dentelé antérieur
- trapèze
muscles de l’épaule qui font l’adduction
- grand pectoral
- grand dorsal
- grand rond
- rhomboïdes
- chef long du triceps brachial
muscles de l’épaule qui font la flexion
(mvmt max vers le haut)
- deltoïde (chef ant)
- trapèze
- grand pectoral
muscles de l’épaule qui font la rotation externe
- infra-épineux
- petit rond
- rhomboïdes
- trapèze
groupe de muscles axioscapulaire, où ils s’insèrent et leur fonction
s’insère dans la scapula pour faire TOURNER l’épaule:
- trapèze
- rhomboïdes
- serratus antérieur
- élévateur de la scapula
groupe axiohuméral, s’insèrent où et terminent où?
origine à l’humérus
1. Grand pectoral => tub majeur
2. Petit pectoral => coracoïde (scap)
3. Grand dorsal => tub mineur
innervation des muscles du groupe axiohuméral
Grand et Petit Pectoral:
- pectoraux med & lat
Grand dorsal:
- thoraco-dorsal
nerf axillaire innerve quels muscles pour faire quels mouvements
petit rond + deltoïde pour abduction > 15˚
nerf musculo-cutané innerve quels muscles pour faire quels mouvements
BBC: biceps, brachial, coracobrachial pour flexion du coude et supination
v ou f
le sous-scapulaire est antérieur à la scapula et à l’articulation gléno-humérale
v
tous les nerfs de l’épaule
- axillaire
- pectoraux med + lat
- supra-claviculaire
- subscapulaire
- NC XI (trap & deltoïde)
- plexus brachial + branches (C5-T1)
rôles du coude
- positionner main dans l’espace
- point d’appui pour élever av-bras
- joint qui supporte un changement
avec quoi s’articule le radius
- ulna (med)
- humérus (prox)
- scaphoïde (dist)
- lunatum (dist)
qu’est-ce qui s’insère à la tubérosité radiale
insertion tendon biceps brachial
avec quoi s’articule l’ulna
prox: humerus
lat: radius
bourse du coude
bourse olécrânienne:
- mb synoviale dans la fosse radiale qui est commune aux 3 art du coude
séparée de la mb fibreuse de la capsule par coussins graisseux dans les fosses coronoïde, olécranienne et radiale
Elle recouvre la membrane synoviale, elle s’étend de l’épicondyle médial jusqu’au bord de l’olécrâne, du processus coronoïde et la fosse radiale de l’humérus.
capsule: mb interosseuse entre le radius et l’ulna qui assure stabilité et rotation de l’avant-bras
relation humérus et radius et ulna
ANT
capitulum (h) - tête radiale (r)
trochlée (h) - processus coronoïde (u)
POST
fosse olécânienne (h): olécrâne (u)
ligaments du coude
- collatéral ulnaire (épicondyle med-ulna)
- collatéral radial (épicondyle lat-radial)
- annulaire du radius (horizontal radius-ulna)
- carré (entre radius et ulna)
- oblique antérieur (humérus medial -radius)
nerfs au coude
- médian (dont interosseux antérieur)
- entre tête humérale/ulnaire sous fléchisseur sup doigts - ulnaire
- sort du compartiment ANT, derrière épicondyle médial dans tunnel cubital avant et après va dans l’av-bras entre 2 chefs du fléchisseur ulnaire du carpe - radial (dont interosseux postérieur)
- compartiment post et ensuite ant lat à l’humérus
fracture du coude peut avoir quel effet sur nerf médian
paralysie isolée de l’interosseux antérieur qui innerve l’index et parfsoi fléchisseur profond doigt, fléchisseur du pouce et carré pronateur
innervation du nerf médian
tous les muscles av-bras antérieur SAUF 1/2 ulnaire du fléchisseur profond des doigts (4 & 5e doigts) et du fléchisseur ulnaire du carpe (nerf ulnaire).
innervation du nerf ulnaire
- moitié ulnaire du fléchisseur profond des doigts (4 &5e doigts)
- fléchisseur ulnaire du carpe.
innervation du nerf radial
- avant division en branches sup sensorielles et profondes motrices:
- muscle brachioradial
- long extenseur radial du carpe - superficiel: sensation poignet + dos main
- profond: extenseurs de l’av bras restant
différence stabilisateurs dynamiques vs statiques de l’épaule
dynamique = muscles SITS
- mobiliser humérus & enfoncer sa tête dans la cavité glénoïde
statique = pièces osseuses ceinture scapulaire, bourrelet glénoïdien (labrum), capsule articulaire, ligaments glénohuméraux
bourrelet glénoïdien aka labrum
bord de tissus fibrocartilagineux qui augmente surface de la fosse glénoïde + stabilise l’épaule de faôn statique
structures qui assurent la stabilité et le contrpole de la flexion et extension du coude
- art huméro-ulnaire
- trochlée + olécrâne - art huméro-radiale
- capitulum + tête radiale
structures qui permettent la rotation de l’av-bras
art radio-ulnaire prox et dist
FDR professionnels pour dev tr. musculo-squelettique en lien avec le travail
- Postures fixes et contraintes
- Mauvaises postures
- Mouvements répétitifs et monotones
- Rythme de travail élevé (peu de temps de récupération)
v ou f
flexion et abduction NORMALES se produisent entre 120 et 140˚
F
entre 160-180˚
comment on mesure la rotation externe et interne
externe:
- bras sur côté
- bras à 90˚ en abduction
interne:
- dépasser processus épineux, rejoindre ligne médiane et monter le pouce le + haut possible vers le haut quand la main est dans son dos
v ou f
la pronation et la supination sont le résultat de l’ulna qui rotationne autour du radius
f
rotation du radius au coude et son passage en avant de l’ulna au niveau de son extrémité distale
muscles respo de la flexion du coude + innervation
- biceps
- brachio-radial
C5-C6: musculo-cutané et radial
muscles respo de l’extension du coude + innervation
triceps
C6-C7-C8: radial
anconé (maintien la paume main sur axe central pendant la pronation & supination)
muscles respo de la pronation + innervation
rond pronateur: médian C6-C7
carré pronateur: médian C7-C8-T1
muscles respo de la supination + innervation
- supinateur: radial C5-C6
- biceps: musculo-cutané C5-C6
(déroulent le radius)
Après une blessure, la réparation des muscles squelettiques se fait par 4 étapes se chevauchant :
- nécrose/dégénération fibres
- inflammation
- hématome + ¢ inflam + cytokines + GF (5j post blessure) - réparation
- ¢ sat activées par GF, prolif et différencient en myofibres
(7-10j post, peak à 2 sem, finit à 4sem) - formation tissu cicatriciel (fibreux) si blessure importante
(3 sem post)
v ou f
après le processus de formation de tissu cicatriciel, le muscle retrouve ses capacités antérieures, il peut se regénérer complètement
f
moins apte à produire tension musculaire max attendue
v ou f
l’épaule dominante est généralement légèrement plus basse que l’autre
v
atrophie musculaire est un indice de quoi
dysfonction nerveuse
- nerf XI: trapèze (contour déduit à l’épaule)
- nerf supra-scapulaire: perte contour post de l’épaule et proéminence de l’épine scapulaire et de l’acromion
v ou f
majorité des fractures de la clavicules sont à son tiers proximal
f
1/3 moyen
qu’est-ce qui a tendance à occasionner une saillie osseuse à l’extrémité de la clavicule
luxation acromio-claviculaire
qu’est-ce qui signe un syndrome d’accrochage sous-acromial (tendinite de la coiffe des rotateurs)
test positif arc douloureux en abduction entre 60 & 120˚
qu’est-ce qui nous permet de déterminer si la pathologie est d’origine péri-articulaire ou intra-articulaire à travers l’examen physique
péri-articulaire = tendinopathie:
- mvmt passifs normaux
intra-articulaire = capsulite, synovite:
- mvmt actifs et passifs limités
manoeuvre rotation externe
examen coiffe des rotateurs: petit rond & infra-épineux (actif)
test Gerber lift off
test le subscapulaire en rotation interne active
manoeuvre de Jobet
test le supra-épineux en abduction active
test de speed
test le long biceps pour voir si tendinopathie
manoeuvre de neer
test s. accrochage en flexion passive/rotation interne (+ si dlr à 60-120˚)
manoeuvre de hawkins
test s. accrochage rotation interne passive (dlr en antérieur)
manoeuvre de Yocum
test s. accrochage en opposition à l’élévation du coude au-dessus de l’horizontale (dlr en antérieur)
manoeuvre du foulard
test art. acromio-claviculaire en adduction passive
manoeuvre d’instabilité
abduction à 90˚ + rotation externe max pour voir si appréhension ou instabilité (en décubitus dorsal)
v ou f
coude en valgus normal si 5˚ ches homme et 10-15˚ chez femme
v
alignement axial coude avec humérus normal en extension
10-20˚
épicondyle et muscles atteints dans un tennis elbow vs golfer elbow
tennis: épicondyle latéral, extenseurs
golf: épicondyle médial, fléchisseurs
tests pour tendinopathies des épicondyliens (tennis elbow)
- extension poignet contre résistance (poing fermé), coude fléchi, avant-bras appuyé.
- coude en extension + avant-bras en pronation
- manoeuvre de Mills: extension passive coude + flexion poignet max + av-bras en pronation
douleur épicondyle latéral
test pour une tendinopathie des épitrochléens (golfer elbow)
- pronation poignet contre résistance, av-bras supination, poing fermé (poignée de porte)
- flexion poignet en résistance
- manoeuvre Mills inversée: extension passive du coude en extension max poignet, av-bras en supination
comment qualifie-t-on la luxation antéro-médiale de la tête humérale
extra-coracoïdienne (en dehors)
sous-coracoïdienne (+++)
intra-coroïdienne
position du bras avant l’apparition luxation gléno-humérale antérieure vs postérieure
antérieure: abduction, rotation externe, extension
postérieure: adduction, rotation interne (vrm plus rare, 2% seulement)
mécanismes de luxation gléno-humérale antérieure
- sport (jeune)
direct = chute sur région scapulo-humérale ou choc postérieur
indirect: abduction + rotation lat forcée
atraumatique = geste banal ou trauma insuf pour causer luxation complète chez sujet normal
Circonstances d’apparition luxation gléno-humérale postérieure
- crise épileptique généralisée
- délirium tremens
- électrocution
sx luxation gléno-humérale antérieure
- dlr soudaine
- épaule aplatie
- pas cap de bouger
- dlr qd on tente de déplacer
- position abd-rotation externe
sx luxation gléno-humérale
- réduction rotation externe et abd
- proéminence tête humérale (superposée sur la cavité glénoïde de la scapula)
- perte de rotation latérale
imagerie pour une luxation devrait inclure quelles perspectives
- antéro-postérieure (de face) => si seule, on ne peut spot une lux post
- axillaire
- de profil de la scapula
important d’attendre de voir si y’a une fracture avant de faire une réduction
v ou f
luxation gléno-humérale est une urgence médicale
v
3 types de manipulations de réduction de luxation
- scapulaire (80-100% succès): assis
- rotation externe: couché dos 5-10min
- Stimson: ventre, poids, 30min
fracture de Hill-Sachs
encoche dans la tête humérale (postérolatérale) dans une luxation ant causée par le bord antéro-inférieur de la cavité glénoïde
- prédispose à dislocations récurrente + instab
fracture tubercule majeur
prolongement de la fracture hill-sach dans une lux ant => moins de récidive que hill-sach
lésion de Bankart
décollement labrum (bourrelet) en antéro-inférieur
- prédispose istabilité (labrum peut ne pas cicatriser ou mal cicatriser en mauvaise position et là c’est poche)
fréquence de cette rupture est de 50% à 50A (augmente avec l’âge)
rupture coiffe des rotateurs
infra-épineux & supra-épineux»_space; subscapulaire
complications neuro les + fréquentes dans une luxation antérieure
50% = axillaire
suprascapulaire & musculo-cutané + rare
- possibilité d’une atteinte du plexus brachial
moyens de stabilisation de l’articulation acromioclaviculaire
- capsule articulaire
- ligaments intrinsèques acromio-clav
- ligaments coraco-clav (trapézoïde & conoïde)
- ligament coraco-acromial
- chape trapézo-deltoïdienne
mécanisme d’entorse acromio-claviculaire + fréquent
chez les jeunes (25A), chute région scapulo-humérale comme dans un plaquage au foot
stade 1 de l’entorse AC
- entorse ligament AC mais CC intact, rien d’aN en RX
stade 2 entorse AC
- rupture ligament AC, entorse CC, touche de piano ne dépasse pas le rebord de l’acromion, moins de 25% augmentation espace coraco-clav
stade 3 entorse AC
rupture ligaments AC + CC
touche de piano au-dessus de l’acromion
augmentation 25-100% espace coraco-clav
stade 4 entorse AC
commence à être associé à + de risques de perforation cutané, réduction impossible, lésions osseuses, vasculo-nerveuses ou pulmonaires
rupture AC + CC
- déplacement post clavicule ds trapèze
stade V entorse AC
rupture AC+CC
- déplacement sup clav >25mm
stade VI entorse AC
rupture AC + CC
- déplacement inféro-lat sous-acromial ou sous-coracoïde derrière le coracobrachial ou le tendon du biceps
v ou f
Dx officiel d’entorse/luxation AC est basé sur une imagerie radiologique
F, dx clinique mais on doit qd mm faire imagerie pour éliminer:
- Fracture ;
- Complication pulmonaire ;
- Déplacement pour stade III et IV.
si on doute: RX de face avec 5kg dans chaque main (traction inférieure) avec cliché comparatif controlat
si trauma complexe: scan peut préciser lésion
Tx entorse/luxation AC
AINS + immobilisation avec écharpe 3-7j
consult en chir si grade 3-6 (4-6 ont pas mal toujours besoin d’une chirurgie)
complications trauma et tx d’une entorse/luxation AC
- Arthrose art. AC
- Subluxation chronique
- Instabilité secondaire
- Inflammation chronique (Synovite).
- Douleur résiduelle (30-50%)
tendinopathie dégénérative de la coiffe
abduction répétée = tubercule majeur et acromion se rapprochent souvent = dégénéresence et inflammation du tendon du supra-tendineux, inflammation de la bourse et dlr à l’abduction.
dépôts calciques sur le tendon peuvent virer en tendinite calcique ou douleur d’apparition aigu/soudaine
tendinopathie de la coiffe par rupture
surtout du supra-épineux: on le voit qd patient n’est pas cap de résister à la manoeuvre de Jobe
rupture partielle ou complète (impotence fonctionnelle complète)
c’est la déchirure des tendons ou des corps des muscles (désinsertion partielle ou complète du tendon du tubercule majeur) et les muscles coulissent sous la voût acromion/art AC et ligament coraco-acromial
conditions associées à une tendinopathie de la coiffe calcifiante
- hypothyroïdisme (survenue + jeune, sx + longtemps et + besoins Chx)
- dyrégulation oestrogène ??
3 phases de calcification dans la tendinopathie de la coiffe
- précalcifiante
- métaplasies fibricartilagineuses dans endroits - vascu du tendon - calcifiante (formative, repos, résorption)
- postcalcifiante
- fibroblastes + tissu granulaire où il y avait le dépôt calcique
3 stades de la phase calcifiante d’une tendinopathie calcifiante
- formative
- dépôts calcifiés formés par des vésicules de matrice unies, séparées par tissu fibrocollagéneux ou fibrocartilage - repos
- pas d’inflam, pas d’infiltration vascu - résorption
- canaux vascu se forment, macrophages + ¢ multinuclées arrivent
v ou f
dans une tendinopathie par rupture, il y a une perte de mobilité active et passive sans tr. neurologiques
f
slm active, pas de déficit neuro ou prob passif
signes et sx tendinopathie calcifiante de de la coiffe
- phase formative: dlr sourde latérale, pire mvmt au-dessus de la tête et couché sur côté atteint
- phase résorptive: dlr aigue semblable à infection
- biomécanique ajustée/éviter dlr
- dlr acromion lat/humérus prox
- arc douloureux: abduction 70-120˚empire la dlr
- rotation interne diminue la dlr
- faiblesse supra-épineux
v ou f
on fait un IRM pour dx une tendinopathie de la coiffe par rupture ou par calcification
rupture: RX = signes indirects
- IRM slm si échec tx et chX évaluée
calcification: écho permet de voir les calcification, CT-scan rarement utilisé,
- IRM si douleur réfractaire pour ID pathologies concomitantes
donc en gros le dx n’est pas basé sur l’imagerie
tx rupture de la coiffe
- rééducation passive et après active des muscles abaisseurs (grand pec et grand dorsal) + stabilisateurs
si échec tx: chX ouverte ou arthroscopie
tx tendinopathie calcifiante de la coiffe
1: AINS, physio (ROM), inject. cortico
- dlr récalcitrante = chX
- ESWT: shock wave
- Ultrasound-guided needle lavage
physiopatho épicondylite aka tendinopathie des épicondyliens aka tennis elbow
tendinose (chronique) des extenseurs de l’av-bras, surtout le court extenseur radial du carpe (distal à l’épicondyle latéral)
dure 10-18 mois, inflam au début mais pu après, surtout chez les 35-55A
étiologies des épicondylites
- sur-utilisation (travail ordi, piano, travaux manuels, soulevement charges, mvmt répétitifs plus de 2h)
- sous-utilisation = + vulnérable aux blessures
v ou f
y’a des cellules inflammatoires dans les tendons en épicoondylite
f
mécanisme lésionnel épicondylite
étirement dépasse tolérance du tendon = tendon s’adapte aux micro-déchirures et entraîne tendinose
& tendon moins irrigué que muscles donc dans une contraction longue, radicaux libres produits et + vulnérable aux blessures
causes de la douleur causée par l’épicondylite
- de nT comme glutamate
- toxines qui irritent le tendon comme lactate
sensibilisent SNC donc possible d’avoir dlr référées** distantes au site initial de la lésion (dlr au cou)
stades de l’épicondylite
1: rxn inflam aiguë
2: hyperplasie angiofibroblastique (fibroblastes, hyperplasie vasculaire et collagène désorganisé + hypercellularité donnent une tendinose)
3: perte structure tendon, rupture partielle ou complète
4: grade 2/3 + fibrose, calcifications lousses de la matrice dans fibres de collagène et calcifications osseuses dures.
s/sx épicondylite
- dlr insidieuse/aiguë coude lat
- pire en extension forcée poignet et supination (tourne vis ou poignée porte)
- peut augmenter avec temps
- pire en pressant sur m. court extenseur du carpe allongé (extension du poignet contre résistance avec coude en extension)
Ddx épicondylite
- Compression du nerf radial (branche interosseuse postérieure) ;
- Arthrite dégénérative, inflam ou infex;
- Dlr référée d’une radiculopathie cervicale ;
- Surutilisation du coude comme mécanisme compensatoire pour une capsulite de l’épaule ipsilatérale ;
- Inflammation et œdème du muscle anconé.
imagerie dans le dx de l’épicondylite
RX: arthrite/ patho osseuses
hémato: arthropathie inflam ou cause infectieuse
IRM: changements dégénératifs et déchirures dans tendon ou capsule
buts du tx épicondylite
- gestion dlr
- préserver mvmt
- améliorer force + endurance préhension
- retour fct normales
- contrôle détériorations futures histologiques et cliniques
tx épicondylites
chX rare, slm si mauvaise réponse tx (ouverte, percutanée, arthroscopie)
- support anti-épicondylite av-bras
- physio (renforcement progressif)
- renforcement &stabilisation scapula
- AINS ou injection cortico
physiopatho capsulite gléno-humérale (frozen shoulder)
contracture fibrotique, inflam de la capsule et ligaments
- surtout F 50-70A
- perte prog mvmt passif et actif
FDR capsulite
- DB
- AVC
- thyroïdisme
- trauma ou post-chX épaule
- mx Dupuytren
- Parkinson
- cancer
- s. douloureux régional complexe
plus commun dans:
- emplois sédentaires»_space; manuels
- immobilisation prolongée
- bras NON-DOMINANT
stade 1 capsulite
2-9 mois: dlr exacerbée la nuit, restriction graduelle ROM gléno-humérale
stade 2 capsulite
4-12 mois: raideur + limitation amplitude mvmt persistante, moins douloureux qu’avant
stade 3 capsulite
phase récup, retour graduel du ROM
s/sx capsulite
- dlr en mvmt extrêmes
- perte de mobilité passive et active
- apparition graduelle, tough à dx avant stade 2-3
- atrophie, besoin de restaurer force et flex pour guérison
- dlr surtout en abd & rotation externe
ordre de perte de mvmt dans une capsulite
- rotation externe (lig. coraco-huméral)
- abd
- rotation interne
revient dans l’ordre inverse
ddx capsulite
- Entorse de la coiffe des rotateurs ;
- Tendinopathie calcifiante.
- Subluxation post-AVC (ou épilepsie)
- Douleur référée (tumeur de la colonne cervicale, tumeur de Pancoast)
v ou f
on peut confirmer la capsulite avec RX
f
radio normales
tx capsulite
- éducation gestion dlr et mvmt passif légers
- injections cortico
- mobilisation de l’épaule sous anesthésie + physio continue si ne retrouvent pas leur mobilité complète en quelques mois avec sx récalcitrants pendant des années