E2 - C6 - Attitudes Flashcards

1
Q

Choses à savoir après cette révision :

  • Définition d’une attitude
  • Caractéristiques et mesures
  • La formation des attitudes
  • La dissonance cognitive
  • Le changement d’attitude
  • Lien attitude-comportemen
A

POUR INFO - Notez cela sur papier pour évaluation après révision du cours ici.

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2
Q

Qu’est-ce qu’une attitude selon Allport (1935) ?

IMP

A

Un état mental et neuropsychologique de préparation à répondre, organisé à la suite de l’expérience et qui exerce une influence directrice ou dynamique sur la réponse de l’individu à toutes les situations qui s’y rapportent.

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3
Q

Quels sont les quatre aspects distinctifs / composantes fondalementales de la définition d’Allport (1935) ?

1)
2)
3)
4)

A

1) Expérience privée (propre à l’individu)
2) Organisation des croyances & affects
3) Motivation (attitudes orientent le comportement)
4) Appréciation affective (se manifestant régulièrement dans diverses actions et situations liées à l’objet)

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4
Q

Qu’est-ce qu’Allport (1935) entend par ce concept dans sa définition de l’attitude ?

1) Expérience privée (propre à l’individu) :

Exemple

A

1) Expérience privée (propre à l’individu) :

  • Expérience privée, propre à la personne, éléments cognitifs (ex., pensées, sentiments)
  • État mental qu’on ne peut pas ressentir directement d’autrui, il faut la mesurer dans les manifestations extérieures
  • Diverses techniques existent pour mesurer les attitudes

Exemple : On ne peut pas devinner attitudes vis à vis religion en la regardan, faut voir les manifestation.

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5
Q

Qu’est-ce qu’Allport (1935) entend par ce concept dans sa définition de l’attitude ?

2) Organisation des croyances & affects :

A

• Permet d’organiser les croyances et les affects qui
découlent de notre expérience personnelle

• Représentations en mémoire de cognitions positives, négatives ou neutres à l’égard d’un objet donné

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6
Q

Qu’est-ce qu’Allport (1935) entend par ce concept dans sa définition de l’attitude ?

3) Motivation (attitudes orientent le comportement)

• Nous met en ______.

Exemple :

A
  • Motivation: les attitudes orientent le comportement dans une direction bien précise
  • Nous met en action

Ex. Attitude favorable envers les minorités = voter pour un candidat politique qui soutien les minorités

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7
Q

Qu’est-ce qu’Allport (1935) entend par ce concept dans sa définition de l’attitude ?

4) Appréciation affective (se manifestant régulièrement dans diverses actions et situations liées à l’objet)

Exemple :

A

• Appréciation affective qui se manifeste de façon régulière dans diverses actions et situations liées à l’objet

  • Ex. Attitudes positives envers la santé = alimentation saine, beaucoup d’activités physique
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8
Q

Perry (2003) arrive avec une autre définition de l’attitude plus complète.

Pour Perry (2003), l’attitude, c’est :

_______ générales et relativement _____ que les gens ont par rapport à des objets, idées ou autres personnes. Ces _______ peuvent être positives, négatives, ou neutres et peuvent varier en _______.

IMP la prof aime

A

Évaluations générales et relativement durables que les gens ont par rapport à des objets, idées ou autres personnes. Ces évaluations peuvent être positives, négatives, ou neutres et peuvent varier en intensité.

IMP la prof aime bcp

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9
Q

Quels sont les 6 caractéristiques des attitudes reflétées par la recherche en psychologie sociale ?

1)
2)
3)
4)
5)
6)
A

1) Direction (ou valence)
2) Intensité
3) Centralité
4) Ambivalence (ou neutralité) = facile à influencer
5) Attitudes implicites et explicites
6) Accessibilité

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10
Q

Qu’entend-t-on par la caractéristique suivante en ce qui a trait aux attitudes ?

1) Direction (ou valence)

A
  1. Direction (ou valence) :
    • Positive / négative? Favorable / défavorable?
    • Organisation des attitudes sur deux pôles
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11
Q

Qu’entend-t-on par la caractéristique suivante en ce qui a trait aux attitudes ?

2) Intensité

A
  1. Intensité
  • À quel point une attitude est positive vs. négative? C’est la FORCE de l’attitude. Celà étant trop dichotomique, on regarde l’intensité. (de -3 à +3 par exemple). Mais ce n,est pas tout le monde qui est polarisé. I.e. : Des gens peuvent avoir des attitudes neutres (ou ambivalente) par rapport à un objet ou une idée. Cela fait en sorte qu’ils sont plus facile à influencer sur cette attitude vis à vis l’objet / idée
  • Les attitudes extrêmes ou très intenses sont plus résistantes au changement.
  • Complexité intégrative
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12
Q

Qu’entend-t-on par la caractéristique suivante en ce qui a trait aux attitudes ?

3) Centralité

A
  1. Centralité :

• Importance de l’attitude: plus une attitude est centrale à notre soi, plus elle sera polarisée et plus elle influencera notre comportement.

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13
Q

Vrai ou faux

Dans les 6 caractéristiques des attitudes, la centralité permet, à elle seule, de pouvoir prédire le comportement d’un individu.

A

VRAI

a centralité permet, à elle seule, de pouvoir prédire le comportement d’un individu.

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14
Q

Qu’entend-t-on par la caractéristique suivante en ce qui a trait aux attitudes ?

4) Ambivalence (ou neutralité) = facile à influencer

A
  1. L’ambivalence :

• Évaluations à la fois positives et négatives envers divers éléments liés à l’objet attitudinal.

    • Objet attitudinale = situation donnée (p.ex.) - -
  • Plus facile à changer que les autres attitudes
  • Moins pertinentes pour prédire les comportements

NOTE :
- Quand on est ambivalent, on est influençable par l’amorçage de la situation.
P.ex. : Donne cinq (5) trucs que ton conjoint fait qui te gosse, ensuite, évalue conjoint = évaluation faible.

  • Amorçage a grand effet quand on est neutre et quand on est ambivalent (sorte de neutralité).
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15
Q

Qu’entend-t-on par la caractéristique suivante en ce qui a trait aux attitudes ?

5) Attitudes implicites et explicites

A
  1. Les attitudes implicites et explicites
  • Attitudes inconscientes vs conscientes
  • Attitudes implicites et explicites peuvent être différentes pour un objet donné

Implicites = inconscient = activation inconsciente / activation subliminales.

P.ex. : test image et mettre dans catégories (réaction spontané car super rapide) clasé vieux dans X catégorie

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16
Q

Qu’entend-t-on par la caractéristique suivante en ce qui a trait aux attitudes ?

6) Accessibilité

A
  1. Accessibilité
  • Facilité avec laquelle une attitude peut être activée (à quel point c’est spontané)
  • Se manifeste dans les temps de réaction
  • Prédit la conduite lorsque le temps est limité

Évaluation d’à quelle point l’attitude est spontané (sorte d’habitude mentale)

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17
Q

Quels sont les deux types de mesures des attitudes ?

-
et
-

A

deux types de mesures des attitudes :

Implicites

Explicites

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18
Q

Il y a deux types de mesures des attitudes. Définissez le type de mesures explicites (dites directes)

A

• La technique de l’addition des estimations (échelle
Likert) est le type d’échelle le plus utilisé en psychologie sociale pour évaluer les attitudes (dans les 2 types de mesures) Les échelles de 5, 7 ou 9 points.

  • Comprend des énoncés positifs et négatifs présentant une position extrême
  • Les énoncés, déterminés par le chercheur, sont présentés aux participants, qui doivent alors indiquer leur niveau d’approbation ou de désapprobation relativement à chaque énoncé.
  • Ensuite, on additionne les valeurs accordées à chaque énoncé en se rappelant d’inverser le score pour les items rédigés négativement (reversed items).

• Le total des points permet de déterminer le score
total du participant !

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19
Q

La technique de ________ des estimations (échelle

Likert) est le type d’échelle le plus utilisé en psychologie sociale pour évaluer les attitudes

A

La technique de l’addition des estimations (échelle

Likert) est le type d’échelle le plus utilisé en psychologie sociale pour évaluer les attitudes

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20
Q

Il y a deux types de mesures des attitudes. Définissez le type de mesures implicites (dites indirectes).

  • _____ par le chercheur en fonction des ….
  • Permet de mesurer ….
  • Peu de biais de ….

Exemples des techniques :


• Test d’Association implicites (TAI)

A
  • Inférée par le chercheur en fonction des observations
  • Permet de mesurer les attitudes à l’insu des participants
  • Donc, peu de biais de désirabilité sociale dans ces mesures

Exemples des techniques :
• Bogus Pipeline
• Technique du courriel / lettre perdue
• Test d’Association implicites (TAI)

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21
Q

Définissez la technique du Bogus Pipeline dans le type de mesure des attitudes indirectes :

Expliquez :

Résultats de l’expérience :

Exemple :

A

• Bogus Pipeline :

  • Une des premières stratégies pour aller au delà du rapporter qui fonctionnait. En bref : Une fois crédibilité machine établie, gens donne plus leur vraies attitudes.

Participants branchés à un appareil ‘‘capable’’ de détecter leurs véritable attitudes Pour établir la crédibilité de l’appareil: démonstration basée sur les réponses fournies antérieurement (socio-démo).

  • Résultat: Les individus ont divulgué beaucoup plus leurs véritables attitudes.

Exemple : les femmes rapportaient qu’elles avaient consommé plus d’alcool pendant leur grossesse.

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22
Q

Définissez la technique du courriel / lettre perdue dans le type de mesure des attitudes indirectes :

• Technique de la lettre perdue (Milgram, 1977)
- Les individus ont _____ souvent retourné les lettres
perdues associées à un __________ désirable qu’indésirable.
Exemple :

• Technique du courriel perdu (Bushman et Bonacci, 2004)
- Les américains de descendance européenne ont _____ souvent retourné les courriels perdus (bourse d’étude) adressés à un américain de descendance européenne VS de descendance _______.
Exemple :

A

• Technique de la lettre perdue (Milgram, 1977)
- Les individus ont plus souvent retourné les lettres perdues associées à un organisme désirable qu’indésirable.

Exemple : Recherche sur le cancer

• Technique du courriel perdu (Bushman et Bonacci, 2004)
- Les américains de descendance européenne ont plus
souvent retourné les courriels perdus (bourse d’étude)
adressés à un américain de descendance européenne
vs de descendance arabe.

P.ex. : Faux courriel de bourses qui va s’annuler dans 48h sans réponse de la personne. Les gens retournent moins quand ils n,aiment pas le nom !

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23
Q

Définissez la technique du test d’association implicites (TAI) perdue dans le type de mesure des attitudes indirectes :

  • Les attitudes sont saisies à l’aide des temps __________________ à des stimuli qui sont présentés sous différentes formes.
  • But de ce test = évaluer à quel point un objet d’attitude est lié à une émotion précise. Les attitudes permettent de lier nos cognitions à nos émotions.
A
  • Test d’Association Implicites
  • Les attitudes sont saisies à l’aide des temps de réaction à des stimuli qui sont présentés sous différentes formes.
  • But: évaluer à quel point un objet d’attitude est lié à une émotion précise. Les attitudes permettent de lier nos cognitions à nos émotions.
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24
Q

Qu’est-ce qu’un objet d’attitude ?

Donnez un exemple :

A

Un objet / idée envers laquelle nous avons une attitude.

Exemple : Un vieux, un livre de recette, une bible, un jeune, un enfant, un arabe etc…

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25
Q

Exemple de TAI à faire PWP p 7, 1/3

A

Exemple de TAI à faire PWP p 7, 1/3

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26
Q

Test d’association implicites (TAI) :

• L’objectif:

  • Classer le plus rapidement le stimulus cible selon la bonne catégorie.
  • VD: Temps de réaction pour classer le stimulus cible dans la bonne catégorie

• Hypothèse :
Jeune plus associé à positif = tâche compatible.

• Tâche de compatibilité:
VS
• Tâche d’incompatibilité:

• Score d’TAI:

A

• Tâche de compatibilité:
Va dans le sens de l’hypothèse. Devrait prendre moins de tems (TR plus court) pour associer mots comme on pense vraiment. Compatible = TR plus court car on pense déjà ça. Score montrent bias en faveur jeune ou vieux (sauf si score 0).

VS

• Tâche d’incompatibilité:
Tâche d’incompatibilité = plus difficle = ce qui va prendre le plus long TR. Donc, Vieux ou Bon VS jeune ou mauvas (contraire à ce qui les gens pensent, on hypothèse)

• Score d’TAI:
- Score sur la tâche d’incompatibilité moins ( - ) Score sur la tâche de compatibilité

  • Si score positif : Biais en faveur des jeunes
  • Si zéro : aucune préférence
  • Si score négatif : Biais en faveur des personnes âgées
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27
Q

Utilisé pour comprendre les attitudes envers les ethnies, les genre, etc. Ces mesures peuvent se distinguer des mesures auto-rapportées par questionnaire mais les mesures implicite l’emporte si le temps est ______.

La méthodes implicites souvent utilisé est :

A

Les mesure implicites l’emporte si le temps est limité

Utilisé svt :
Test d’Association Implicite (TAI)

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28
Q

• Le Test d’association implicites (TAI) :

A été appliquée pour évaluer différents types d’attitudes comme :

A

(religion, ethnicité, genre, âge, sexualité,

poids).

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29
Q

• Le Test d’association implicites (TAI) :
Les résultats montrent que les ________________
peuvent se distinguer des ___________, menant le plus souvent à des comportements spontanés.

A

• Le Test d’association implicites (TAI) :
Les résultats montrent que les attitudes implicites
peuvent se distinguer des attitudes explicites, menant le plus souvent à des comportements spontanés.

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30
Q

• Le Test d’association implicites (TAI) :

Plus _____________________, plus le lien entre les attitudes implicites et explicites est fort.

A

• Le Test d’association implicites (TAI) :
Plus l’attitude est importante, plus le lien entre les
attitudes implicites et explicites est fort.

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31
Q

Nommez les deux plus grandes critiques du Test d’association implicites (TAI) :

A

• Faire attention à l’interprétation des résultats!
I.e. : Des recherches additionnelles sont nécessaires afin de déterminer, par exemple, si les mesures implicites évaluent bien les attitudes de la personne, ou bien, ses connaissances des stéréotypes existant dans la société! (VALIDITÉ still to test)

—Jusqu’à quelle point ça ne fait qu’évaluer ce que je pense que la soiciété pense de ces concepts !!!

• Que représente réellement le score du TAI? Comment un score « élevé » prédit les comportements dans la vraie vie? Pensons au cours sur la présentation du SOI!
Sill validité to test (est-ce que ça mesure ce que ça prétend mesurer ?

NB : On peut contrôler nos comportement ! = peut être plein de préjugés mais vous n’allez pas le savoir en me regardant. Si bcp temps, on peut bien contrôler ce qu’on répond.

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32
Q

Selon Zanna et Rempel (1988), les attitudes viennent de trois (3) sources :
1)
2)
3)

A

1) Sources affectives
2) Tendances comportementales
3) Cognition

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33
Q

Selon Zanna et Rempel (1988), quels sont les caractéristiques des sources affectives des attitudes ?

• Les attitudes peuvent être le résultat des _______
associées à l’objet attitudinal.

  • Les ______ peuvent représenter une forme d’influence très rapide pouvant agir de façon indépendante aux cognitions (Zajonc, 2000).
  • Le rôle des _______ dans la formation des attitudes peut prendre diverses formes.
A

• Les attitudes peuvent être le résultat des émotions
associées à l’objet attitudinal.

  • Les émotions peuvent représenter une forme d’influence très rapide pouvant agir de façon indépendante aux cognitions (Zajonc, 2000).
  • Le rôle des émotions dans la formation des attitudes peut prendre diverses formes.
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34
Q

D’autres auteurs postulent que les sources affectives sont caractérisées par trois (3) choses :
1)
2)
3)

A

1) L’effet de simple exposition (Zajonc, 1968)
2) Conditionnement classique (Pavlolv)
3) Infusion de l’affect

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35
Q

Concernant les sources affectives, qu’est-ce que l’effet de simple exposition (Zajonc, 1968) ?

A
  1. L’effet de simple exposition (mere exposure: Zajonc, 1968):
  • l’exposition répétée à un stimulus accroit notre attirance pour celui-ci (fonction adaptée)
  • processus de formation de l’attitude qui n’a pas recourt aux notions de renforcement
  • se produit même si la personne n’en a pas conscience

En bref :
+ on est exposé à qq chose + on est à l,aise avec objet ou individu et la personne peut ne pas en être consciente.

+ exposé + on a tendance à avoir attitudes positives envers objets/individu. Effets positifs de 1 à 9 fois, Trop d’exposition, pas une bonne chose !

Si la conséquence de l’observation est négative, on développe aversion. Mais en générale, il n’y a pas de conséquence négative (ni mm positives) on déveloopppe atittudes + favorables. Idée de simple exposition = PAS DE RENFORCMENT. (pas defamiliarité, exposition seulement mm à l’insu de la personne)

Exemple :
Tâche d’écoute dichotomique (Kunst-Wilson et Zajonc, 1980).

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36
Q

Concernant les sources affectives, qu’est-ce que le conditionnement classique (Pavolov) ?

A
  1. Conditionnement classique:
    Lorsqu’un objet est associé à quelque chose d’agréable, l’objet bénéficie d’une attitude plus favorable.

• Se produit en dehors du champ de conscience
de la personne.

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37
Q

Vrai ou faux

Le conditionnement classique se produit en dehors du champ de la conscience d’un individu donné

A

VRAI

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38
Q

Donnez un bon exemple de conditionnement classique, dans le domaine des sources affectives :

A

• Exemple de la publicité:

▫ Une image positive d’une vedette est présentée (stimulus inconditionné: SI) et génère une émotion positive.

▫ À cette image positive est associée un stimulus conditionné (SC), soit le produit qu’on désire vendre, un parfum.

▫ Après un certain nombre de pairage entre le SC et le SI, le SC, soit le parfum, mène à une réponse affective similaire à celle générée par le SI.

En bref :
Belle fille dans pub = attitude positives envers actrice. Ensuite, mm fille mais avec un pairage de l’objet qu’ils veulent vendre. Donc quand on voit parfum tt seul, parfum acquis attitude positive par conditionnement classique.

Idée de transférer l’attitude favorable envers une autre chose.

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39
Q

Nommez une différence entre l’effet d’exposition (Zajonc, 1968) et le conditionnement classique :

A

l’exposition = pas de valence émotionnel avant coup.

40
Q

Concernant les sources affectives, qu’est-ce que l’infusion de l’affect ?

Donnez un exemple :

A
  1. L’infusion de l’affect
    • Lorsque nos attitudes découlent des émotions que
    l’on ressent à un moment bien précis.

Exemple :
Étude de Forgas et Moylan (1987): Comment vont
les choses ces temps-ci? Interrogation des gens à la
sortie d’un cinéma (comédie vs drame).

On leur demande cmt ils se sentent. Gens qui sortent de comédie = se sentent bien.

Notre affecte immédiat (sv temporaire) colore nos attitude dans une situation particulière. Si tu viens de divorcer tu va au resto = tu hais le resto

41
Q

Concernant la formation des attitudes, il y a trois sources affectives et deux (2) sources comportementales. Nommez ces deux dernières :

1)
2)

A
  1. Conditionnement opérant

2. Auto-observation

42
Q

Concernant la formation des attitudes, il y a deux (2) sources comportementales. Nommez et décrivez la première source :
1)
Déf :

• Étude classique de Scott (1957) :

A
  1. Conditionnement opérant:
    On a tendance à adopter des attitudes plus favorables envers un comportement lorsqu’il a mené à un renforcement positif.

• Étude classique de Scott (1957) :
Participants invités à défendre une position attitudinale qui ne leur appartenait pas lors d’un débat.

▫ Conséquence de la victoire sur les attitudes ? =
Lors d’une victoire, les gagnants avaient plus de tendance à adopter la nouvelle attitude = influence du renforcement !

43
Q

Quand on est ambivalent sur une attitude, le _____________ va avoir tendance à être plus favorable si l’attitude est ____________.

________ = bcp influence si ambivalent

A

Quand on est ambivalent sur une attitude, le renforcement va avoir tentance à être + favorable si l’attitude est renforcée.

Renforcement = bcp influence si ambivalent

44
Q

Concernant la formation des attitudes, il y a deux (2) sources comportementales. Nommez et décrivez la première source :
2) ______________ (Bem, 1972) :

• Étude classique de Salancik et Conway (1975) :

Résultats :

A
  1. Auto-observation (Bem, 1972):
    Il nous arrive de former des attitudes en fonction de
    l’observation de nos propre comportements.

• Étude classique de Salancik et Conway (1975):
Manipulation expérimentale du rappel de comportements religieux (fréquentation à l’église) pour évaluer les attitudes envers la religion.
Résultats :
Ceux qui ont été amenés à croire qu’ils fréquentaient l’église souvent ont rapporté des attitudes religieuses plus positives.

45
Q

Le 3e point dans le modèle de Zanna et Rempel, 1988 concernant la formation des attitudes sont les sources cognitives. Donnez et expliquez le concept dans cette catégorie :

-

Exemple :

A

• Modelage (apprentissage par observation) :

  • Le renforcement n’est pas toujours nécessaire pour encourager le développement de l’attitude.
  • L’observation des autres est parfois suffisante.

Exemple :
Traverser la rue : on attend le feux et là quelqu’un passe direct. On va le suivre. = respect des feux pas si élevé que ça chez nous.
- On va svt adopter, par modelage, le comportement de nos parents.

46
Q

Vrai ou faux

Selon la théorie de la dissonance cognitive (Festinger, 1957), les individus cherchent une cohérence entre leurs pensées et comportements

A

VRAI

47
Q

Vrai ou faux

La théorie de la dissonance cognitive de Festinger (1957) postule que lorsqu’il y a dissonance, les individus sont motivés à réduire cette incohérence en changeant notre comportement ou notre attitude.

A

VRAI

P.ex. : je pense que tous sont égaux mais attitude négative envers un groupe ethnique. Je pense qu’il faut prendre soin de son corps mais je fume.

48
Q

Il existe 4 grands processus pour réduire la dissonance
cognitive (entre une cognition et un comportement).

Nommez-les :
1)
2)
3)
4)
A
  1. Changer le comportement.
  2. Éviter ou fuir la dissonance :
  3. Banalisation:
  4. Considération d’information spécifique
    additionnelle :
49
Q
  1. Changer le comportement.
    - Mais c’est pas toujours facile.
  2. Éviter ou fuir la dissonance :
    - Penser à autre chose, distraction, déni, stratégies moins adaptées, i.e., consommation d’alcool mais pas toujours efficace et quelques fois mène au développement de plus mauvaises habitudes.
  3. Banalisation:
    - Diminuer l’importance d’un élément
    qui produit la dissonance « fumer quelques
    cigarettes par jour, ça ne peut pas me faire si mal
    que ça »
  4. Considération d’information spécifique
    additionnelle :
    - Se concentrer sur les cognitions consonantes permet de réduire la dissonance…
    Ex: ‘’ je fais beaucoup d’exercices ce qui devrait réduire
    considérablement l’effet négatif de la cigarette… ‘’

Sont des …

A

moyens de réduire la dissonnance

50
Q

Il existe 4 grands processus pour réduire la dissonance
cognitive (entre une cognition et un comportement).

Nommez et définissez-les:
1)
2)
3)
4)
A
  1. Changer le comportement.
    - Mais c’est pas toujours facile.
  2. Éviter ou fuir la dissonance :
    - Penser à autre chose, distraction, déni, stratégies moins adaptées, i.e., consommation d’alcool mais pas toujours efficace et quelques fois mène au développement de plus mauvaises habitudes.
  3. Banalisation:
    - Diminuer l’importance d’un élément
    qui produit la dissonance « fumer quelques
    cigarettes par jour, ça ne peut pas me faire si mal
    que ça »
  4. Considération d’information spécifique
    additionnelle :
    - Se concentrer sur les cognitions consonantes permet de réduire la dissonance…
    Ex: ‘’ je fais beaucoup d’exercices ce qui devrait réduire
    considérablement l’effet négatif de la cigarette… ‘’
51
Q

La dissonance cognitive implique une. ….

  • Pour éviter la dissonance, on se concentre sur _______ ______ _______ ______ ________.

• Exemple :
Étude de Kleinhesselink et Edwards, 1975:
-

A

La dissonance cognitive implique une sélection de l’information :

  • Pour éviter la dissonance, on se concentre sur l’information permettant d’augmenter la consonance:

• Exemple :
Étude de Kleinhesselink et Edwards, 1975:

  • Les chercheurs présentent des messages en faveur de la marijuana mais le message est accompagné d’un bruit statique qui rend l’audition pénible.

Résultats :
- Ils pouvaient appuyer sur bouton pour bien entendre message pro mari mais gens anti mari appuiyaient pas vrm dessus.

52
Q

Dans les implications de la dissonance cognitive, qu’est-ce que la justification de l’effort ?

A

• Justification de l’effort:

Un but atteint suite à de grands efforts sera jugé plus favorablement et important.

53
Q

Dans les implications de la dissonance cognitive, qu’est-ce que la soumission induite ?

A

• Soumission induite:

Changement d’une attitude suite à un comportement qui ne peut être justifié.

54
Q

Le changement d’une attitude suite à un comportement qui ne peut être justifié, c’est :

A) Impuissance acquise
B) Un exemple du modèle Diathèse-stress
C) Soumission induite
D) Justification de l’effort

A

C) Soumission induite

• Soumission induite:

Changement d’une attitude suite à un comportement qui ne peut être justifié.

55
Q

Lorsqu’un but atteint, après une suite de grands efforts et qui est, par conséquent, jugé plus favorablement et important, c’est :

A) Impuissance acquise
B) Un exemple du modèle Diathèse-stress
C) Soumission induite
D) Justification de l’effort

A

D) Justification de l’effort:

Un but atteint suite à de grands efforts sera jugé plus favorablement et important.

56
Q

Festinger et Carlsmith (1959) font une étude sur la soumission induite :

• Tâche :
- Groupe 1 :
Tâche plate et doive se comporter à l’encontre de leur attitude.
- Groupe 2 :
Tâche plate et doive se comporter à l’encontre de leur attitude aussi.

• Deux phase :

1 - Niveau de base de l’attitude
Grp 1 = 1$
Grp 2 = 20$

2 - Comportement contre-attitudinal
Grp 1 = Grande dissonance
Grp 2 = aucune dissonance

Mesure de l’attitude finale envers la tâche :
Grp 1 : Très positive !!!!
Grp 2 : Un peu plus positive.

• Conclusion :
Groupe B n’est pas en dissonnance, pouquoi ? Car 20$ . Ils peuvent justifier comportement VS grp A qui ne peutvent pas.

A

• Conclusion :
Groupe B n’est pas en dissonnance, pouquoi ?

Car ils ont eu 20$ !!!
- Ils peuvent justifier le comportement dissonant avec le 20$ VS Grp A qui ne peuvent pas.

Cela pointe vers ce qu’on appel de la la justification et la motivation intrinsèque.

57
Q

Qu’est-ce que la justification et la motivation intrinsèque ?

On peut justifier nos attitudes à partir de ces deux concepts :

Exemple :

Exemple :

A

• Motivation intrinsèque :
- Je fais ceci parce que j’aime ça! (justification intrinsèque)
Exemple : Lire pour le fun

• Motivation extrinsèque :
- Je fais ceci parce que je reçois de $ (justification extrinsèque)

58
Q

En une phrase, résumé les parties dans un échange :

______ (_______) dit ______ (_____) à _____ (________), __________ (médium de
communication)

IMP

A

Qui (émetteur) dit Quoi (message) À Qui (récepteur), Comment (médium de communication)

59
Q

Qu’est-ce que l’émeteur dans la situation :

Qui (émetteur) dit Quoi (message) À Qui (récepteur), Comment (médium de communication)

Donnez des caractéristiques possibles et expliquez-en l’influence :

A
1. Émetteur:
• Crédibilité et confiance
• Similarité
• Sympathie
• Attirance (physique)
• Débit (voix douce et aigüe = indices de sincérité)

Exemple : Leader d’une secte.

La personne qui nous communique quelque chose peut avoir une grande infuence. Crédibilité vs non (sophisme mais quand mm, ça marche). Mm si c’est juste qq1 de semblable à nous. Qq1 qu’on trouve sympathique, nice, =+influence.

60
Q

Qu’est-ce que le message (variable imp) dans la situation :

Qui (émetteur) dit Quoi (message) À Qui (récepteur), Comment (médium de communication).

  • Qui dit Quoi à Qui et Comment.

Donnez des caractéristiques possibles et expliquez-en l’influence :

• Structure:
▫ les messages qui présentent les ….. sont plus efficaces que ….

▫ présenter une … et claire à la fin de la présentation d’un message augmente les chances que le message soit persuasif.

• Contenu :
▫ Présenter des arguments puissants comme des
_______ concernant des ___________ a une
plus grande influence qu’une série de statistiques

A

• Structure:
▫ les messages qui présentent les deux côtés d’une
position sont plus efficaces que ceux qui ne
présentent que la position de l’émetteur.

▫ présenter une conclusion récapitulative et claire à
la fin de la présentation d’un message augmente
les chances que le message soit persuasif.

• Contenu:
▫ Présenter des arguments puissants comme des
SITUATIONS concernant des VRAIES PERSONNES =
plus grande influence qu’une série de
statistiques

61
Q

Pour qu’un message ‘‘passe bien”, il est préférable de :

-

A

1 • Structure:
▫ les messages qui présentent les deux côtés d’une
position sont plus efficaces que ceux qui ne
présentent que la position de l’émetteur.

▫ présenter une conclusion récapitulative et claire à
la fin de la présentation d’un message augmente
les chances que le message soit persuasif.

2 • Contenu:
▫ Présenter des arguments puissants comme des
SITUATIONS concernant des VRAIES PERSONNES =
plus grande influence qu’une série de
statistiques

62
Q

Qu’est-ce que le Qui (récepteur / auditoire) dans la situation :

Qui (émetteur) dit Quoi (message) À Qui (récepteur), Comment (médium de communication).

  • Qui dit Quoi à Qui et Comment.

Donnez des caractéristiques possibles et expliquez-en l’influence :

A
  1. Auditoire:
    Quelles sont les personnes les plus facilement influençables?
    - Dépend de la compréhension du message, l’intensité de l’attitude et la volonté à changer.
63
Q

Qu’est-ce que le Comment (médium de communication) dans la situation :

Qui (émetteur) dit Quoi (message) À Qui (récepteur), Comment (médium de communication).

  • Qui dit Quoi à Qui et Comment.

Nommez le médium le plus efficace pour une idée compliquée.

A
  1. Médium:

Les messages complexes qui sont écrits sont plus efficaces que les messages vidéo ou audio.

64
Q

Qui démontre que les messages complexes qui sont écrits sont plus efficaces que les messages vidéo ou audio ?

A

Étude de Chaiken et Eaglt, 1978

65
Q

La conclusion de Étude de Chaiken et Eaglt, 1978 peut être comprise comme ….

A

+ qq chose est complexe, si on peut le lire = mieux compris = changement / influence sur l’attitude

66
Q

Le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive, selon Petty et Cacioppo (1986), met de l’avant le niveau d’attention portée aux arguments du message.

I.e. :

A

Processus de persuasion diffère selon le niveau d’attention portée aux arguments du message **

67
Q

Petty et Cacioppo (1986), développe le modèle de la …

A

Le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive

68
Q

Petty et Cacioppo (1986) affirment donc que le changement d’attitude peut, dans certaines circonstances, s’effectuer de façon __________, après considération des _____________, et en d’autres
circonstances, il est le _______ d’un processus plus
rapide, __________, comme le conditionnement ou
l’association avec des indices externes positifs ou
négatifs liés au message.

A

Petty et Cacioppo (1986) affirment donc que le changement d’attitude peut, dans certaines circonstances, s’effectuer de façon RÉFLÉCHIE, après considération des ARGUMENTS PERTINENTS, et en d’autres circonstances, il est le RÉSULTATS d’un processus plus rapide, PEU RÉFLÉCHI, comme le conditionnement ou l’association avec des indices externes positifs ou négatifs liés au message.

69
Q

Il existe un certain nombre de postulat en lien
avec le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986) :

  • 1 :
  • 2 :
  • 3 :
  • 4 :
A

• 1 : Les gens veulent avoir des attitudes justes, et vraies car souvent, une bonne attitude peut être adaptative.

Pq cest bon ? Pour être socialement adapté. Savoir cmt bien interagir et bien se comporter dans le situationautour de nous.

• 2 : Il y a deux routes menant à la persuasion:
centrale et périphérique.

• 3 : Capacités et habiletés cognitives distinctes en fonctions des individus (diff individuelles)

• 4 : les attitudes qui proviennent de la route centrale (comparées à celles qui proviennent de la route périphérique)
sont:
- beaucoup plus fortes
- persistent plus longtemps
- permettent de mieux prédire le comportement

70
Q

Dans le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), il y a deux routes menant à la persuasion:

  • 1 :
  • 2 :
A
  • 1 : Centrale (premier chemin par lequel la persuasion agit)
  • 2 : Périphérique (2e chemin par lequel la persuasion agit)
71
Q

Dans le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), il y a deux routes menant à la persuasion. Décrivez la première route :

Exemple :

A

1 , la route Centrale : (premier chemin par
lequel la persuasion agit) :

  • Prise en considération rigoureuse de l’information: attention contrôlée
  • Comparaison avec les attitudes antérieures
  • Considération d’arguments pour et contre

Exemple :

  • Je vas voter pour lui car son plan économique me semble logique.
  • Oui je pense que site d’injection supervisé c’est une bonne idée pour éviter overdose.
72
Q

Dans le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), il y a deux routes menant à la persuasion. Décrivez la deuxième route :

-
-

Exemple :

Le traitement rapide des informations implique qu’on utilise des ________.

A
  1. La route périphérique implique (second chemin
    par lequel la persuasion agit):
  • Un traitement plus superficiel de l’information
  • Utilisation de raccourcis cognitifs (ex., heuristiques)
  • Une plus grande influence de la source (émetteur) du message

• Se fier aux nombres d’arguments, et non pas à la
qualité

Exemple : Je vote pour lui car il semble + gentil

Ici : bcp + grande influence de la source. On se fie sur nbre d’argument et non leurs qualité. = traitement plus superficile

Traitement rapide des infos. = on utilise des heuristiques

73
Q

Dans le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), quelle circonstance une route sera choisie plutôt qu’une autre?

Certaines variables relatives à la _________, au __________ et à la _________ détermineront la route qui sera utilisée dans le processus de persuasion.

A

Certaines variables relatives à la SITUATION, au MESSAGE et à la PERSONNE détermineront la route qui sera utilisée dans le processus de persuasion.

74
Q

Dans le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), la motivation à traiter le message varie en fonction de

1.

I.e. :

A
  1. L’importance du message

I.e. :

Motivation à traiter le message: plus le message est important, plus nous sommes motivés à écouter le message, et plus le changement d’attitude passera par la voie centrale.

75
Q

Selon le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), à faible motivation, que les argument soit fort ou faible, notre attitude est ____________ . Mais si bien motivé….

A

Selon le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), à faible motivation, que les argument soit fort ou faible, notre attitude est +/- neutre.

Mais si bien motivé, les arguments faible entraîneront des attitudes défavorables.

76
Q

Les capacités et habiletés cognitives de la personne est à prendre en compte dans le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986)

• Différences individuelles, i.e., besoin de cognition:
tendance à s’engager dans des activités cognitives qui …

• Pour les personnes ayant un fort besoin de cognition,
le changement d’attitude passera par la ________.

A

• Différences individuelles, i.e., besoin de cognition:
tendance à s’engager dans des activités cognitives qui
exigent un effort et à en retirer du plaisir.
- Ex. « Je trouve peu de satisfaction à délibérer pendant de longues heures » (R)

• Pour les personnes ayant un fort besoin de cognition,
le changement d’attitude passera par la voie centrale.

Donc, qq1 qui aime réfléchir, va penser à son affaire avant de changer.

besoin de cognition = besoin de réfléchir sur des affaires difficile longtemps.

77
Q

Qu’est-ce que Petty et Cacioppo (1986) entendent par besoin de cognition ?

A

besoin de cognition = besoin de réfléchir sur des affaires difficile longtemps.

78
Q

Le 4 postulat dans le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986) est que les attitudes qui proviennent de la route centrale (comparées à celles qui proviennent de la route périphérique) sont:

  • beaucoup plus _______
  • _______ plus___________
  • permettent de mieux prédire le ____________
A

• 4 : les attitudes qui proviennent de la route centrale (comparées à celles qui proviennent de la route périphérique)
sont:
- beaucoup plus fortes
- persistent plus longtemps
- permettent de mieux prédire le comportement

79
Q

Vrai ou faux

Dans le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), les attitudes provenant de la route centrale permettent de mieux prédire le comportement, persistent plus longtemps et sont plus fortes.

A

VRAI

Dans le modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), les attitudes provenant de la route centrale permettent de mieux prédire le comportement, persistent plus longtemps et sont plus fortes.

80
Q

Nommez un domaine d’application du modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986).

A

La publicité !!!

81
Q

En publicité, selon modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), quelle route persuasive l’annonce utilise-t-elle
principalement ?

A

Il y a deux types de routes dans ce modèle : centrale vs. périphérique.

La publicité utilise celle par laquelle il y a le plus d’heuristiques et le moins de réflexion, donc, la route périphérique.

82
Q

En publicité, selon modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), quels indices sont impliqués?

A
  • La simple exposition (imp = émetteur)
83
Q

En publicité, selon modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo (1986), est-ce que cette route est un bon choix étant donné l’audience visée?

A

OUI !!!!

  • OUI, c’est la bonne route.

Les gens ne sont pas en mode grosse réflexion avec la télé ouverte. Si c’est la perspective de l’individu = bonne voi

Fin journée, gens fatigués, ressources cognitives + limités = Ils utilisent la bonne voie !!

84
Q

En publicité, si on se réfère à l’effet de simple exposition, combien de fois serait-il optimal de voir cette publicité ?

A

1 à 9 fois max !!

85
Q

En publicité, si on se réfère à l’effet de simple exposition, combien de fois serait-il optimal de voir cette publicité ?

A

1 à 9 fois max !!

86
Q

Il y a un lien ________ entre les attitudes et les comportements

A

Il y a un lien IMPARFAIT entre les attitudes et les comportements

87
Q

Nous sommes motivés à ce que nos attitudes soient cohérentes entre elles et avec nos comportements, au risque de souffrir de ____________

A

dissonance cognitive

88
Q

Nous sommes motivés à ce que nos attitudes soient cohérentes entre elles et avec nos comportements, au risque de souffrir de ____________

A

dissonance cognitive

89
Q

Nous sommes motivés à ce que nos attitudes soient cohérentes entre elles et avec nos comportements, au risque de souffrir de dissonance cognitive.

Pourtant, le lien attitude-comportement n’est pas
parfait. Pourquoi ? - 4 raisons :
1.
2.
3.
4.
A
  1. Aspect méthodologique
  2. Aspects de la personne (auto-monitorage)
  3. Aspects de la situation (normes & temps)
  4. Nature de l’attitude
90
Q

En réponse à la question du lien imparfait entre attitude-comportement, il y a 4 raisons.

Nommez et décrivez la 1ere :

A
  1. Aspect méthodologique:
    L’attitude permet de prédire le comportement si ce dernier est évalué au même niveau de spécificité que l’attitude.
  • Si on évalue une attitude globale, le comportement
    doit aussi être évalué de manière globale pour qu’il
    y est correspondance.

Différences entre :
▫ Attitude: « Aimez-vous les fruits? »
et
▫ Comportement: « Combien de pommes vertes mangez-vous par semaine? » vs « Combien de fruits mangez-vous par semaine? »

91
Q

En réponse à la question du lien imparfait entre attitude-comportement, il y a 4 raisons.

Nommez et décrivez la 2e :

A
  1. Aspects de la personne: Le monitorage de soi

Par exemple, une personne ayant un faible
monitorage de soi (i.e., très sensible à ses attitudes
et non pas aux indices de la situation), va
démontrer un lien attitude-comportement
beaucoup plus fort que les personnes ayant un
monitorage de soi élevé.

92
Q

En réponse à la question du lien imparfait entre attitude-comportement, il y a 4 raisons.

Nommez et décrivez la 3e (temps et normes) :

A

— 3. Aspects de la situation: Les normes

▫ Les normes d’une situation peuvent nous empêcher d’agir en lien avec notre attitude.

Exemple : Si la norme est de faire X, ça empâche de ce comporter comme notre attitude

— 3. Aspects de la situation: Le temps

▫ Plus nous avons de temps pour prendre une décision, moins on se penchera sur nos attitudes spontanées.

▫ Moins on a de temps, plus on se penche vers nos
attitudes spontanées.

93
Q

En réponse à la question du lien imparfait entre attitude-comportement, il y a 4 raisons.

Nommez et décrivez la 4e :

A
  1. Nature de l’attitude =
    Comment elle a été formée: accessibilité et centralité

▫ Plus l’attitude provient de notre expérience directe,
plus elle sera forte, stable et en lien avec nos
comportements que celle développée de manière
indirecte.

▫ Plus l’attitude est centrale à notre soi, plus elle sera
prédictive du comportement.

94
Q

Vrai ou faux

Une personne ayant un faible monitorage de soi va
démontrer un lien attitude-comportement beaucoup plus fort que les personnes ayant un monitorage de soi élevé.

A

VRAI

Une personne ayant un faible monitorage de soi = Qq1 de très sensible à ses attitudes et non pas aux indices de la situation,
donc, va démontrer un lien attitude-comportement
beaucoup plus fort que les personnes ayant un
monitorage de soi élevé.

95
Q

Vrai ou faux

Plus l’attitude est centrale à notre soi, plus elle sera
prédictive du comportement.

A

VRAI

  1. Nature de l’attitude =
    Comment elle a été formée: accessibilité et centralité

▫ Plus l’attitude provient de notre expérience directe,
plus elle sera forte, stable et en lien avec nos
comportements que celle développée de manière
indirecte.

▫ Plus l’attitude est centrale à notre soi, plus elle sera
prédictive du comportement.

96
Q

La théorie de l’action raisonnée et du comportement
planifié (Ajzen et Fishbein, 1980; 2005), vise la
prédiction et l’explication du comportement sociale.

• Composantes du modèle
▫ \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_
▫ Attitudes
▫ Normes subjectives
▫ Attentes concernant le résultat
▫ Valeur du résultat attendu
▫ Croyances normatives
▫ Motivation à se conformer
▫ Perception de contrôle
▫ Contrôle comportemental perçu
A

▫ Intention d’un comportement (construit central)

Intention = Volonté de mettre en place comportement = imp

Intention = seule composante qui va nous indiquer si on passe à comportement

À quel point ça c’est important pour moi. Volonté d’émettre le comportement (intention) + volonté là, plus on voit lien.

Par la suite ils ajoutent contrôle et perception du contrôle à leur modèle.

97
Q

La théorie de l’action raisonnée et du comportement
planifié (Ajzen et Fishbein, 1980; 2005), vise la
prédiction et l’explication du comportement sociale.

• Composantes du modèle
▫ \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_\_
▫ Attitudes
▫ Normes subjectives
▫ Attentes concernant le résultat
▫ Valeur du résultat attendu
▫ Croyances normatives
▫ Motivation à se conformer
▫ Perception de contrôle
▫ \_\_\_\_\_\_\_\_\_\_ comportemental perçu
A

▫ Intention d’un comportement (construit central)

Intention = Volonté de mettre en place comportement = imp. Intention = seule composante qui va nous indiquer si on passe à comportement

À quel point ça c’est important pour moi. Volonté d’émettre le comportement (intention) + volonté là, plus on voit lien.

▫ CONTRÔLE:

Par la suite ils ajoutent contrôle et perception du contrôle à leur modèle.

j’ai un controle sur mon coprs ? J,ai l’argent pour y aller ? Pour ça théorie raffiné et composante sur le ctrl a été ajouté