Domaine de la phrase complexe Flashcards

1
Q

enchâssement (n.)

A

Dénote l’inclusion d’une proposition subordonnée / enchâssée [subordinate/embedded clause] dans la proposition matrice

e.g.

I’m aware that you’ve been up against this sort of argument

la subordonnée introduite par THAT est enchâssée dans la matrice (I’m aware of SOMETHING)

Cet enchâssement n’est possible que parce qu’il y a, dans la matrice, une case [a clausal site or slot] dans laquelle vient se loger la subordonnée

Cette case est ici representée par SOMETHING

[ang. embedding]

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2
Q

end focus/end weight

A
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3
Q

matrice

A

désigne la proposition qui en contient une autre. le rapport proposition matrice/proposition enchâssée est un rapport hiérarchique, comme le suggère laterminologie traditionelle
[eng. matrix]

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4
Q

complément circonstanciel de temps

A
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5
Q

Un énoncé complexe et complet

A

(pourrait être une full phrase), plusieurs relations prédicatives

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6
Q

Exemple: <John - teach English>

  • It is English that John teaches
  • What John teaches is English
  • English is what John teaches
A

Ces trois structures ont une seule relation prédicative. Elle est scindée pour mettre en relief un
élément de la relation prédicative. Ce clivage va faire que ces trois structures vont s’appeler des
propositions clivées.

La clivée : en IT
La pseudo-clivée : en WHAT
La pseudo clivée inversée : la clivée en WHAT inversée

Le focus de la clivée ici est toujours English. Même en
phonologie, l’accent nucléaire est sur English. Ces trois schémas de clivées s’appuient nécessairement sur un acquis: ici, John teaches.

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7
Q

focus contrastif

A

La clivée : It is English that John teaches

Tu te trompes de matière que John enseigne, et je corrige en focusant sur English ici.

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8
Q

focus informatif

A

La clivée : It is English that John teaches

Fonction : mettre en relief un élément, assez typique du discours de l’historien qui généralement mettra en avant les dates.

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9
Q

La pseudo-clivée, “What John teaches is English”

A

John enseigne quelque chose, et ce qu’il enseigne je vais vous le dire.

La pseudo-clivée apparaît dans des contextes où l’énonciateur veut faire profiter de ce qu’il sait et apporter une réponse à une question supposée du co-énonciateur.

Le fait que l’on apporte la réponse à une question posée suppose que l’autre se pose la question, supposant donc que l’énonciateur sache ou parte du principe que l’autre se pose la question. Elle est pseudo-clivée car reprend l’ordre sujet verbe
objet mais c’est introduit par autre chose que le sujet, ce qui crée le clivage.

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10
Q

La pseudo-clivée inversée, English is what John teaches

A

La clivée en what inversée c’est l’énonciateur qui remet en avant quelque chose qui se doit d’être réintroduit,
confirmé, corrigé.

[Dans le cadre du texte de l’épreuve, la pseudo-clivée n’est pas recevable parce qu’il faudrait que le co-énonciateur se pose la question à laquelle l’énonciateur répond.]

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11
Q

Attribut du sujet

A

quand on a un verbe d’état (be, feel), la suite est un attribut du sujet.

C’est-à-dire que le sujet est globalement égal à l’attribut. I feel good: I = good; She was a teacher: she = a teacher

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12
Q

Proposition relative

A

on cherche à identifier son antécédent

  1. The idea that you put forward is interesting.
  2. The idea that she was in love with him was stupid.
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13
Q

Différence entre les deux THAT :

The idea that you put forward is interesting.

The idea that she was in love with him was stupid.

A
  1. Le premier THAT introduit une proposition subordonnée relative càd que THAT reprend “idea” ; THAT est un pronom relatif ici
  2. Dans la deuxième phrase, THAT ne reprend pas the idea; THAT n’est pas un pronom relatif, donc on ne peut pas le remplacer et garder le sens.

“That she was in love with him” est une proposition subordonnée complément du nom “the idea” (subordonnée
PAS relative = ne peut pas vivre seule). THAT indique qu’elle dépend de “the idea” et donc est une conjunction de subordination

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14
Q

le clivage vs. l’extraposition

A

Ils présentent les mêmes structures de surface quanf le verbe principal est BE (IT + BE + […] + proposition subordonnée).

Ces deux formes de réagencement sont néanmoins différente par leur effet : seul le clivage vise à instaurer un contraste.

De plus, leur structure profonde diffère : pour une clivée, la relation prédicative ne comporte qu’une proposition (cf. < I - like John best>), tandis que dans le cas de l’extraposition, la subordonnée nominale est présente dès la relation prédicative.

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15
Q

radical vs. dynamique

A

j

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16
Q

typologie

A

identifier les structures, les nommer, et préciser en quoi consiste syntaxiquement le réagencement pour chacune d’elles (réorganisation des constituants, ajout d’opérateurs et/ou complexification de la structure syntaxique.

17
Q

structures existentielles

A

prouver que le but est de rétablir un ordre thème-rhème. Déterminer le rôle joué par THERE, par les compléments circonstanciels de lieu

18
Q

Extraposition

A

“poser après”

Mettre en évidence le rôle d’un facteur interne à la proposition, à savoir le principe du “end weight”

Consiste à placer, après le prédicat d’un constituant long, sujet ou l’objet.

E.g.
It’s a disgrace THAT HE IS STILL IN OFFICE.
< [something] - be a disgrace >
< he - be still in office >

La structure extraposée est plus fréquente que la version non extraposée [e.g. That he is still in office is a disgrace], parce que l’ordre canonique de celle-ci ne respecte pas le principe du “end weight” : la proposition étant langue, elle est lourde à traiter et donc plus appropriée en fin d’énoncé

Facteurs discursifs à prendre en considération :

L’ordre thème-rhème est respecté, IT étant par nature thématique.

Dans l’exemple cité, l’extraposition de la subordonnée en THAT permet de placer en tête d’énoncé l’appréciation IT’S A DISGRACE - type de jugement qui suit ce qui a été évoqué en amont

19
Q

La montée

A

e.g. I expect THE DOCTOR to examine John.

THE DOCTOR est sémantiquement le sujet de EXAMINE et non l’objet de EXPECT.

Pour obtenir l’énoncé de surface, le sujet est “monté” de la subordonnée dans la principale. Le sujet de la subordonnée peut également monter dans la position sujet de la principale (e.g. MARY seems to have had a terrible day), ou l’objet de la subordonnée monter ne sujet de la principale (THE SYSTEM was easy for us to install).

Cela peut être motivée par les contraints syntaxiques : dans le premier exemple, seul ce réagencement permet d’exprimer le sujet sémantique de “examine”

Les motivations discursives ne sont pas absentes : en évoquant le médicin dès la proposition principale, l’énonciateur lui donne une saillance supplémentaire par rapport à l’autre protagoniste, John. Cet effet est évident si on compare l’énoncé à un autre dont il est pourtant proche : I expect JOHN to be examined by the doctor.

Le texte ne présentant que des cas qui impliquent le verbe seem, dégager les contraints de construction spécifique à ce verbe ; manipuler avec la structure extraposée pour faire apparaître le rôle de la cohésion discursive dans le choix de structure

20
Q

passif

A

Le passif est une “voix” (OU diathèse), de même que l’actif. Il se forme en ajoutant BE (auxiliaire) + -EN au verbe lexical. BE dénote l’accès à l’existence et -EN, qui porte l’ensemble du prédicat à la droite de BE (e.g. dans He was RELEASED YESTERDAY, “released yesterday” est un état resultant).

Dans une structure passive, le sujet ne dénote pas sémantiquement l’agent, ,mais prototypiquement, le patient, ou parfois l’expérient ou le bénéficiaire. L’agent, lorsque qu’il est explicite, est introduit par un complément prépositionnel en BY. Il reste souvent implicite, parce qu’il est évident, non identifié ou non pertinent dans le contexte de l’énoncé.

Il a longtemps été analysé comme un réagencement d’une structure active. Possible de considérer que la relation prédicative sous-jacente à l’énoncé ci-dessus est la suivante : < [someone] - release him yesterday >

Le passif est donc considéré comme le fruit d’une transformation par laquelle le complément d’objet devient sujet.

Mais cette approche ne fonctionne pas avec tous les énoncés :

Climate change is caused by pollution vs. Pollution causes climate change.

Pas la même valeur de vérité, i.e., ils ne véhiculent pas les mêmes informations

souligner le gradient entre passif d’action et passif d’état et des adjectifs issus de participes passés. Au sein du passif d’action, mettre au jour la raison de l’utilisation d’une structure passive : la thématisation d’élément placé en sujet. Établir pourquoi l’agent est exprimé ou non dans le contexte des occurrences, en illustrant au moins avec un exemple

21
Q

passif d’action

A

Le veritable passé

Un verbe qui porte le marqueur BE plus -EN, c’est-à-dire qu’il est précédé de l’auxiliaire et le verbe est au participe passé.

Sert à exprimer une action qui est subie par quelqu’un ou quelque chose. Il s’utilise avec les verbes qui sont suivis d’un COD, c’est-à-dire les verbes transitifs. Ex. : Le chien attaque le chat. / That vase WAS BROKEN by my dog two days ago.

22
Q

passif d’état

A

FAUX passif
When he arrived in the kitchen, he saw that the vase was broken.

Est-ce que le verbe BREAK est passif ou pas ?
Le sens de la phrase guide : Quand il est arrivé dans la cuisine, il a constaté quelque chose, qui est un état.

Le verbe est BE au prétérit (WAS). BROKEN est le participe passé du verbe BREAK. Mais c’est un participe passé employé ici comme un adjectif.

Donc BROKEN occupe la fonction d’attribut du sujet THE VASE.

Décrit donc l’état résultant de l’action.

23
Q

Clivées

A

Distinguer clivées en IT (It is John I like best) et pseudo-clivées OU clivées en WH- (What I really like is working with other cultures).

It is John I like best

Relation prédicative sous-jacente : < I - like John best > : le complément d’objet originel John est séparé du reste de la proposition et introduit par IT + BE.

Il porte l’accent nucléaire, parfois dit contrastif, du segment : Un contraste est ici instauré entre John et d’autres personnes mentionnées en amont, pour lesquelles < I like X best > a été rejeté. Sans le clivage I like John best, tout contraste serait perdu : l’énonciateur indique son appréciation de John.

Indiquer l’effet de sens de contraste en contexte, et le focus marqué (narrow focus)

24
Q

Les pseudo-clivées

A

Les clivées en WH- ne correspondent pas véritablement à un éclatement de la structure en deux parties comme les clivées en IT, car la proposition en WH- est une relative nominale (OU libre), dans une majorité des cas, c’est-à-dire, une forme de SN.

C’est pour cela qu’on leur donne parfois le nom de pseudo-clivées. Dans ces structures, la subordonnée nominale en WH- peut se trouver à l’initiale, comme dans l’énoncé cité dessus, ou après le prédicat ; on parle alors de pseudo-clivées inversée : e.g. The rough side of the sport is what I really like.

25
Q

Le clivage

A

Consiste à cliver (“couper en deux”) une relation prédicative pour en extraire un élément - appelé le focus - a des fins de contraste principalement, ou de connexion. Lorsqu’il a une valeur contrastive, le focus porte l’accent nucléaire de la phrase. Le marquage est alors double avec d’une part, un accent contrastif sur le focus et d’autre part, un réagencement syntaxique par extraction du constituant focalisé de sa position d’origine. Il existe deux grands types de structures clivées : les clivées propres (clivées en IT) et les pseudo-clivées (ou clivées en WH-)

26
Q

le réagencement

A

Modifier l’agencement de constituants. Plus précisément, les structures réagencées sont celles qui présentent les informations dans un ordre non canonique ; la réorganisation des constituants peut s’accompagner en outre d’une complexification de la structure syntaxique

27
Q

L’ordre thème-rhème

A

“Information ancienne ou présupposée” - “Information nouvelle”

Le sujet désigne un référent déjà connu, tandis que le prédicat apporte une information nouvelle

L’énonciateur s’appuie sur ce que connaît le co-énonciateur pour apporter ensuite des éléments nouveaux

28
Q

Le principe du “end focus”

A

La partie la plus importante se trouve en fin de proposition

Le focus est l’élément qui porte l’accent nucléaire (ce qu’on appelle parfois ‘l’accent de phrase’) ; c’est donc vers lui que se tourne l’attention maximale.

En contexte non marqué, le focus est final : l’accent nucléaire est situé en fin de l’énoncé (dernier terme lexical), position où les constituants véhicules l’information la plus nouvelle

[fr. focus final]

29
Q

Le principe du end weight

A

Pas d’éléments longs à traiter en début de proposition.

Les constituants syntaxiques les plus lourds sont habituellement placés en fin d’énoncé pour faciliter le traitement du reste des informations. Le poids d’un constituant peut être mesuré soit en termes de longueur, soit en termes de complexité

30
Q

Les formes de réagemencement

A

Les structures clivées, les extraposées, les montées, les antépositions de complément, les constructions existentielles, l’inversion sujet-verbe, ou le passif

31
Q

L’ordre canonique des constituants

A

sujet - (auxiliaire) - verbe - objet

  • Cet ordre correspond, d’un point de vue fonctionnel, à un agencement “sujet - prédicat”
  • Statut du sujet dans la structure informationnnelle : complexe à définir (grammatical, du verbe). Il correspond au thème (information connue
  • Le prédicat correspond alors au rhème (information nouvelle ou ce qui est dit du sujet), contient le focus de la phrase

Donc, il y a une correspondance entre l’ordre canonique des constituants syntaxiques (sujet - verbe - complément, et de là, sujet - prédicat) et l’agencement canonique de la structure informationnelle (thème-rhème, des principes du end focus + du end weight)

32
Q

Une structure profonde vs. une structure de surface

A

Une structure profonde est la structure d’une phrase telle qu’elle est rattachée à des règles fondamentales de la langue. Son opposé, la structure de surface, est une structure de phrase telle qu’elle n’est rattachée qu’à des règles non fondamentales dans la langue.

33
Q

Le recours au passif résulte toujours de quelle motivation ?

A

Il s’agit de thématiser le référent du sujet. En d’autres termes, il devient ce à quoi est rapporté le prédicat, ce dont il est question dans la proposition. Cette thématisation a pour but de respecter ainsi la cohésion discursive. Ce facteur discursif s’accompagne parfois d’un autre paramètre : le passif permet de ne pas mentionner le sujet.

34
Q

Les structures existentielles

A

Composée de “THERE + verbe + SN” où le verbe est souvent la copule BE, mais aussi appear, rise, etc., c’est-à-dire, un verbe d’existence au sémantisme plus spécifique que BE ou un verbe de position ou de mouvement. THERE est une proforme (OU pronom), issue de l’adverbe locatif THERE ; il a pour fonction d’être sujet apparent (OU grammatical) du verbe copule, tandis que le sujet réel est le SN à la droite du verbe.

e.g. There are too many rats in the cage.

La structure existentielle implique donc un déplacement du sujet réel (pour l’exemple cité, la relation prédicative est la suivant : <too many rats - be n the cage>) et l’ajout de THERE. Il est à noter que THERE étant pronom ici, il n’est plus opposé à HERE (*here are too many rats in the cage). Ce type de structure de doit pas être confondu avec des cas d’antéposition de l’adverbe de lieu (e.g. Look – there’s your dad), où une substitution de HERE à THERE est grammaticalement possible.

  • Une structure existentielle vise à rétablir un ordre thème-rhème ; on trouve donc généralement à la droite du verbe un SN indéfini - parfois défini - dont le référent est introduit comme information nouvelle dans l’univers du discours. THERE, lui, est thématique car il garde du sémantisme de l’adverbe de l’idée d’une localisation… quant à BE, il indique l’accès à l’existence. En d’autres termes, THERE + BE indique “dans la situation existe…”
  • Il reste à souligner
35
Q

Les structures existentielles

A

Composée de “THERE + verbe + SN” où le verbe est souvent la copule BE, mais aussi appear, rise, etc., c’est-à-dire, un verbe d’existence au sémantisme plus spécifique que BE ou un verbe de position ou de mouvement. THERE est une proforme (OU pronom), issue de l’adverbe locatif THERE ; il a pour fonction d’être sujet apparent (OU grammatical) du verbe copule, tandis que le sujet réel est le SN à la droite du verbe.

e.g. There are too many rats in the cage.

La structure existentielle implique donc un déplacement du sujet réel (pour l’exemple cité, la relation prédicative est la suivant : <too many rats - be n the cage>) et l’ajout de THERE. Il est à noter que THERE étant pronom ici, il n’est plus opposé à HERE (*here are too many rats in the cage). Ce type de structure de doit pas être confondu avec des cas d’antéposition de l’adverbe de lieu (e.g. Look – there’s your dad), où une substitution de HERE à THERE est grammaticalement possible.

  • Une structure existentielle vise à rétablir un ordre thème-rhème ; on trouve donc généralement à la droite du verbe un SN indéfini - parfois défini - dont le référent est introduit comme information nouvelle dans l’univers du discours. THERE, lui, est thématique car il garde du sémantisme de l’adverbe de l’idée d’une localisation… quant à BE, il indique l’accès à l’existence. En d’autres termes, THERE + BE indique “dans la situation existe…”
  • Il reste à souligner le réagencement opéré par la structure existentielle est souvent obligatoire. (Too many rats are -> There are too man rats), en particulier lorsque l’énoncé ne comporte pas de complément circonstanciel de lieu. Dans les autres cas de figure, il constitue généralement l’agencement spontané de l’énoncé.