Analytical tools Flashcards

1
Q

actualiser

A

inscrire dans la réalité, (“réaliser”) ; mettre en acte

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2
Q

validation

A

acte langagier qui consiste à déclarer vraie une relation prédicative ou affirmer une relation nouée

synonym d’actualiser au sens où le marqueur -ED peut indique qu’une relation prédicative a été actualisée (réalisée, validée) à un moment révolu, coupé du présent d’énonciation.

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3
Q

actuel, (n. ou adj.), acceptation temporal

A

(english: present, actual)

qui concerne le présent (eng. present, current) s’oppose implicitement au révolu (“passé”) et à l’avenir (“futur”)

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4
Q

actuel, (n. ou adj.) acceptation modale

A

qui est inscrite dans la réalité, existe;
qui est en acte et non à l’état imaginaire ou potentiel

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5
Q

affixe (n.), affixer (v.)

A

forme que l’on ajout à un radical (eng. root, stem), soit pour créer un autre mot, soit pour marquer une opération grammaticale particulière

e.g.
Le marqueur -ED est d’ordinaire affixé aux verbes lexicaux pour former le prétérit (looked); ou encore, l’affixe -ful permet de créer de nombreux adjectifs à partir d’un nom (meaningful). L’affixation peut être double. L’enjeu est morphologique, puis qu’on s’intéresse au matériau dont est constitué le mon, à son apparence, et à sa composition

La position de l’affixe :

Préfixe : la forme placée avant le radical
Suffixe : la forme placée après le radical

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6
Q

agrammatical (adj.)

A

qui enfreint les règles de la grammaire ; qui n’est pas recevable

*she could seen him

?morbidly, she wondered.

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7
Q

allocutaire

A
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8
Q

assertion (n.)

A

une proposition que l’on présente comme étant vraie, que son contenu soit affirmatif (assertion positive) ou négatif (assertion négative)

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9
Q

canonique (adj.)

A

conforme à la norme ; qui suit la règle fondamentale

(Lorsqu’on parle de l’ordre canonique, épithète + nom [e.g. Happy birthday!], on part du principe que cet agencement constitue la règle syntaxique de base. Les écartes, par définition non canoniques, se mesurent par rapport à cette norme.)

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10
Q

co-énonciateur (n.)

A

personne à qui l’énonciateur s’adresse

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11
Q

cohésif (adj.), cohésion (n.)

A

On parle de cohésion lorsqu’un segment textuel renvoie à un autre segment textuel.

e.g., “Listen to this: John is getting married.” THIS crée un lien textuel, un “pont” avec l’unité qui suit, “John is getting married.”

[eng. cohesive, cohesion]

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12
Q

Les enjeux de la cohésion d’un texte

A

Pour qu’il puisse être vécu comme un “tout” [eng. a unified whole] et non un assemblage de pièces hétéroclites [eng. a collection of unrelated utterances], il faut que les relations se nouent entre toutes ses parties. Les procédés qui permettent de rendre solidaires l’avant de l’après, de reserrer des liens intratextuels, sont dits cohésifs [cf. proformes]

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13
Q

désémantisation (n.)

A

perte parielle ou totale de sens.

On parle également de décoloration sémantique ou de dématerialisation

[ang. semantic bleaching]

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14
Q

déterminant (n.)

A

outil grammatical marquant une opération de détermination, c’est à dire, un travail de délimitation de l’idée et du domaine référentielle (d’un nom [e.g. “déterminants du nom”], d’un verbe [e.g. “la détermination verbale”], ou de toute autre unité)

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15
Q

la détermination (n.)

A

Une opération qui consiste à travailler une idée, un concept, ou une notion dans le but de les délimiter, de les particulariser, [cf. le latin determinare, ‘marquer les limites de’ où on retrouve terminare, dont est issue le substantif terme au sens de “limite”, de “point final”…

Chaque déterminant a une façon de “marquer les limites” qui lui est propre. Dans, “The Jew is always blaming himself for what happens in Cairo,” les limites que THE paraît assigner à “Jew” sont très larges (nous comprenons ‘les Juifs en générale”. Certains parleraient ici de “renvoi à la classe tout entière des Jews”.

/:. “Délimiter” n’est pas toujours synonyme de “réduire” ou de “resserrer”. Ensuite, on perçoit bien qu’une détermination zéro (ø) aurait eu un effet similaire, même si la démarche mentale aurait été très différente.

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16
Q

dictum (n.)

A

terme latin, employé pour désigner le contenu brut d’une proposition, “les faits évalués,” par contraste avec le modus.

“relation prédicative”

e.g. L’homme est un animal doué de raison. < homme / animal doué de raison > est le dictum du jugement lui-même

[ang. propositional content]

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17
Q

le modus (n.)

A

désigne le jugement porté sur une proposition, “une prise de position”

commentaire

e.g. L’homme est un animal doué de raison.
Il s’agit d’une proposition déclarée “vraie” par l’énonciateur.

[ang. the modality]

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18
Q

discours

A

cf p 330

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19
Q

un domaine notionnel (n.)

A

concept occupant une place dans la théorie des opération énonciatives.

Une dois que l’on s’est donné une notion particulière, par exemple, [BLACK], il est possible de distinguer diverses zones de proximité-conformité et d’éloignement-différence.

Ainsi, on dégage nettement le territoire du “tout-à-fait-ça”, le “vraiment”, puis celui du “plus-tout-à-fait-ça”, le “vraiment pas”.

Ainsi, entre locuteurs, il existe un consensus sur ce qui peut être appelé [BLACK] et ce qui ne peut pas être appelé [BLACK]. Entre les deux, on trouve une zone intermédiaire: le pas tout-à-fait [BLACK] et le pas vraiment [BLACK].

La zone tampon de la frontière est particulièrement intéressante à étudier, puisque s’y côtoient les entités encore rattachables à la notion (intérieur du domaine) et les untités qui n’y sont assurément plus (extérieur du domaine notionnel).

[ang. notional field ou notional domain]

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20
Q

domaine référentiel (n.)

A

l’ensemble des éléments (physiques, psychiques, ou langagiers auquel renvoie un mot.

[angl. referential scope, or domain; field of reference]

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21
Q

notion (n.)

A

l’idée ou le concept auquel renvoie un mot.

Les signes ne miment que rarement le réel : c’est plutôt par un processus d’abstraction et d’unification que se forgent l’image mentale ou le concept qui habitent chaque mot.

“Des systèmes de représentation complexes de propriétés physico-culturelles, c’est-à-dire, des propriétés d’objet issues de manipulations nécessairement prises à l’intérieur des cultures”

Les notions sont ancrées dans la culture, plurielles, et construites, étant un petit univers qui possède sa propre frontière.

e.g.

Le substantif, arbre : désigne des “grands végétaux ligneux” appartenant à des essences très différentes. Mais l’esprit est parvenu à se detacher de l’objet-arbre et de sa confondante diversité pour forger une notion…

c’est à dire, un petit amalgame de caractéristiques définitoires, communes, et stables…

… transcendant les constrastes de forme, de feuillages, et de couleurs.

22
Q

frontière (n.)

A

ligne de démarcation entre l’intérieur et l’extérieur d’un domaine notionnel

23
Q

dynamique (adj.)

A

type particulier de modalité dans lequel le prédicat P est considéré comme étant dans le ‘pouvoir’ du sujet grammatical S

[ang. dynamic]

24
Q

effet de sens (n.)

A

Il s’agit du sens contextuel que prend une expression en particulière…

Ce sens est fluctuant, car dépendant de quantité de paramètres situationnel. C’est pourquoi il n’est qu’un effet et non une donnée figée et immuable.

L’effet de sens est momentané, comme tout ce qui relève du discours….

Il se distingue ainsi de la valeur centrale, inscrite dans la langue. Cette dernière possède une stabilité plus grande.

Alors que les effets de sens sont des plus variés, la valeur centrale est resserrée, voire, dans certains cas, monolithique.
[eng. the semantics of…the semantic realization]

25
Q

emphase (n.), emphatique (adj.)

A

termes techniques souvent synonymes des plus prosaïques vocables insistance/insister.

Plus précisément, l’emphase est une opération de nature modale qui sur-asserte, qui sur-valide un choix ou une prise de décision.

“modalité emphatique”

l’emphase souvent ne cherche pas tant à appuyer pour en rajouter

26
Q

emphase (n.), emphatique (adj.)

A

termes techniques souvent synonymes des plus prosaïques vocables insistance/insister.

Plus précisément, l’emphase est une opération de nature modale qui sur-asserte, qui sur-valide un choix ou une prise de décision.

“modalité emphatique”

l’emphase souvent ne cherche pas tant à appuyer pour en rajouter qu’à écarter une idée allant en sens contraire

he did leave on that flight vs. I can assure you that… le besoin de sur-valider étant ancré dans les présupposés du co-énonciateur

27
Q

enchâssement (n.)

A

Dénote l’inclusion d’une proposition subordonnée / enchâssée [subordinate/embedded clause] dans la proposition matrice

e.g.

I’m aware that you’ve been up against this sort of argument

la subordonnée introduite par THAT est enchâssée dans la matrice (I’m aware of SOMETHING)

Cet enchâssement n’est possible que parce qu’il y a, dans la matrice, une case [a clausal site or slot] dans laquelle vient se loger la subordonnée

Cette case est ici representée par SOMETHING

[ang. embedding]

28
Q

enchâssement (n.)

A

Dénote l’inclusion d’une proposition subordonnée / enchâssée [subordinate/embedded clause] dans la proposition matrice

e.g.

I’m aware that you’ve been up against this sort of argument

la subordonnée introduite par THAT est enchâssée dans la matrice (I’m aware of SOMETHING)

Cet enchâssement n’est possible que parce qu’il y a, dans la matrice, une case [a clausal site or slot] dans laquelle vient se loger la subordonnée

Cette case est ici representée par SOMETHING

[ang. embedding]

29
Q

grammaticalisation

A

phénomène lexicologique où un mot ordinaire du lexique se transforme progressivement en outil grammatical

e.g.
Le GET dans “He got arrested” représente une grammaticalisation déjà avancée du Get lexical signifian “obtenir”

Le HAVE auxiliaire qu’on emploie pour former le present perfect est, quant à lui, issu d’une grammaticalisation totale de HAVE lexical (signifiant ‘avoir’ ‘posséder’ ou même ‘tenir’); idem pour GO dans la tournure BE GOING TO

30
Q

interpropositionnel

A

ce qui concerne la relation entre propositions

31
Q

intersubjectif

A

qui concerne la relation entre le sujet parlant et d’autres sujet impliqués dans le processus de communication (que ces derniers parlent eux aussi, écoutent simplement ou soient dans la position de lecteur anonyme)

32
Q

invariant (n., adj.)

A

concept clef qui désigne une caractéristique constante que l’on retrouve dans tous les emplois en discours d’une même forme de langue (voir valeur centrale)

L’invariant abstrait de TH- est un mouvement à rebours de l’esprit. Il y a toujours un élément mémoriel (de souvenir, de “retrospection” dans ce sous-morphème quelle que soit la combinaison grammaticale dans laquelle il entre.

33
Q

lexème (n.)

A

unité lexicale, de mot ou type de mot appartenant au lexique

unité lexicale = a un contenu descriptif ou conceptuel en rapport avec le monde extralinguistique (vs. unités grammaticales, qui renvoient au fonctionnement interne de la langue)

34
Q

lexique (n)

A

réserve de signe verbaux dont dispose l’énonciateur

les unités y forment un système ordonné où hierarchies ressemblances, et contrastes tissent un réseau serré d relations

35
Q

léxigenèse

A

word creation

36
Q

marqueur (n.)

A

trace d’une opération, marquage de telle ou tell opération, au sens de ‘codificaiton, de ‘signalisation, d’un processus grammatical particulier

37
Q

métalangue

A

métatermes comme copule ou article dont on se sert pour analyser le langage

38
Q

métaopération

A

En premier lieu, l’idée que certaines opérations sont élémentaires / primaires (domaine du rhématique / de la phase 1) alors que d’autres sont, par comparaison, complexes, seconde, et présupposent un travail antérieur (domaine du thématique ou de la phase 2) — ces dernières exigent du déjà manipulé, du déjà repéré, ou du déjà pensé qui placent l’énonciateur au niveau méta

En second lieu, l’idée que nombre de signes grammaticaux ne renvoient pas tant au monde extralinguistique qu’aux opération internes du langage

Dans les analyses grammaticales classiques, THE + N (l’emploi de l’article défini devant un nom N) s’interprète comme ‘un renvoi à un objet, une personne, un phénomène connus’

En se servant du monde pour expliquer le fonctionnement d’un outil grammatical, on décrit directement la réalité externe des ‘choses’ et internedes sentiments ou des pensées.

Une analyse métaopérationnelle révèle que THE renvoie avant tout à un ensemble d’opérations de détermination déjà effectuées dans l’esprit de l’énonciateur. C’est cet ‘avant’ plus abstrait qui assure l’unité des différents emplois de THE.

e.g.

Now he was in his coffin, the sleepwalking boy woke up.

Nous ne pouvons comprendre (et donc identifier dans la réalité) sleepwalking boy, que par référence à une présentation initiale du garçon en question…

Cette présentation a été menée dans le contexte-avant, où l’enfant a été identifié comme s’ppelant Henry et comme walking in his sleep…

Tout cela présuppose un travail énonciatif anétieur, hors duquel boy ne saurait être comprise

C’est cela que THE marque : le lien à un déjà posé et le dépassement de cette étape descriptive initiale.

39
Q

métaphorisation (n.)

A

lorsqu’une idée relativement simple et concrète est appliquée à un autre domaine, généralement plus complexe et abstrait
[ang. metaphorical shift]

40
Q

Énonciateur

A

celui qui est à l’origine de la structuration de l’énoncé (ie. narrateur). Concept abstrait.

41
Q

Co-énonciateur

A

la cible du discours de l’énonciateur. Il provient de l’énonciateur lui-même puisque c’est lui qui choisit son destinataire.

42
Q

Énoncé

A

se distingue d’une phrase; une phrase doit être correctement formée par rapport à la
grammaire de la langue dans laquelle elle est émise. Mais un énoncé est toute suite, écrite ou
sonore, émise par un énonciateur avec une intention de communication, susceptible d’être
décodé par un locuteur de la langue. Énoncer c’est associer un sujet et un prédicat. Le mot sujet
peut correspondre à trois choses (le sujet parlant, le sujet grammatical, le sujet de l’énoncé) mais en linguistique c’est le dernier qui nous intéresse, aussi appelé thème de l’énoncé. (ie. La souris est mangée par le chat: le COD est thématisé). Faire un énoncé, c’est dire quelque chose de quelque chose. Ce que j’en dis, c’est le prédicat.

43
Q

Prédicat

A

Le verbe et ses compléments

44
Q

Relation prédicative (RP, ou lien SP)

A

faire le lien entre le sujet et le prédicat. La nomenclature
pour le noter est <S-P>. ie. <The cat - eat the mouse> On ne prend pas en compte les conjugaisons et modifieurs dans la nomenclature, seulement base verbale + complément. I saw him yesterday devient <I + see him yesterday> Même la négation n’est pas précisée dans la notation. Une relation prédicative est validée ou invalidée. On parlera de validation ou nonvalidation de relation prédicative, pas de vrai ou pas vrai. C’est conforme à la réalité telle qu’elle veut être présentée par l’énonciateur. Les relations prédicatives non-validées ont une négation;</S-P>

les relations prédicatives validées peuvent être interrogatives, impératives. Tous les énoncés avec modifieurs type modal présentent une relation prédicative avec des degrés de validation, sont invalidés.

45
Q

Locuteur/co-locuteur:

A

dans une situation d’interlocuteur. Le locuteur parle, les co-locuteurs
peuvent prendre la parole. Le statut du locuteur est identifiable et interchangeable avec le colocuteur. Le narrateur n’est pas identifié; ce n’est donc pas un locuteur. Il a juste un statut
linguistique de narrateur et on parlera donc d’énonciateur

L’énonciateur choisit son sujet, son prédicat, détermine son sujet (en choisissant le déterminant,
des modifieurs). Déterminer le prédicat c’est lui choisir un temps, un aspect, éventuellement une
modalité.

46
Q

In a way, /this was exactly what she’d prayed for when much younger/, trapped in her room while drunks roared in the yard and kitchen.

A

Le segment souligné est un énoncé complet et complexe
dans un passage de récit. il est composé de la proforme
déictique this en position sujet du verbe (ou de la copule) be
qui est au prétérit simple (ou aspect zéro) suivie d’une
proposition subordonnée à valeur d’attribut du sujet introduite
par la proforme what organisée autour du verbe pray au past
perfect et comportant un circonstant temporel (complément circonstanciel de temps) when much younger.

-Plusieurs propositions imbriquées l’une dans l’autre (repérables grâce au nombre de verbes). Sont-elles coordonnées par une conj de coord ou subordonnées (une dépend de l’autre)?

-Passage de récit (≠ discours) vu par le prétérit (temps du récit), qui retranscrit les pensées de
Delphine. Hybridité entre le récit et la réflexion interne. Il s’agit du discours indirect libre.
Formellement, récit (pas de guillemets, prétérit, troisième personne du singulier) avec éléments du contenu de l’énoncé ramené au moment d’énonciation du personnage.

  • Relation prédicative: < she - pray for this >
47
Q

disours direct

A
48
Q

discours indirect

A
49
Q

discours indirect libre

A
50
Q

un constituant

A

maximal : la phrase
minimal : le mot

sinon, des propositions [clauses], si sujet + prédicat, et des syntagmes [phrases], sinon