DDBC, Chapitre 3.2 : Impacts sur le site Flashcards
Quels sont les principaux impacts environnementaux négatifs des bâtiment sur les écosystèmes, les bassins versants et les populations humaines ? (6 items)
- La perturbation du site ;
- L’érosion et le dépôt de sédiments ;
- La pollution de l’eau ;
- La perte d’éléments du paysage ;
- La création d’îlots de chaleur ;
- La pollution lumineuse.
En quoi la construction perturbe-t-elle les sites ? (2 items)
Les activités de construction perturbent les sites car elles peuvent :
1. détruire des habitats fauniques ;
2. être préjudiciables à la biodiversité en éliminant la végétation indigène présente sur le site.
Quels sont les avantages de la mise en valeur de la végétation indigène ? (3 items)
- Permet le mouvement des animaux sauvages et la biodiversité régionale de la flore ;
- Augmente la valeur des propriétés ;
- Contribue au bien-être global de la communauté.
Quel type de bâtiment devrait être privilégié afin de minimiser les impacts sur le site ? (2 items)
Les bâtiments compacts aux empreintes réduites et incorporant le paysage naturel tant dans le design du bâtiment que dans celui de l’aménagement du site.
Nommer quelques moyens qui permettre la préservation de sites non-développés. (3 items)
- La réalisation d’un développement dense ;
- L’utilisation de murs mitoyens ;
- La réduction des surfaces pavées
Comment l’augmentation de la densité permet-elle d’augmenté l’efficacité énergétique ?
On augmente l’efficacité énergétique du bâtiment en réduisant la surface de son enveloppe par rapport à sa surface de plancher.
Nommer quelques mesures visant à éviter de perturber le site. (4 items)
- La réutilisation d’une dalle sur sol existante ;
- La création d’un micro-climat en incorporant des plantations matures existantes comme partie intégrante du svstème de ventilation ;
- L’ajustement des fondations autour des systèmes radiculaires en place ;
- La préservation de spécimens d’arbres, mis
en valeur comme éléments architecturaux importants.
Nommer quelques stratégie d’aménagement du site a coordonner avec les ingénieurs civil. (6 items)
- Résister aux préceptes du génie civil qui considèrent l’eau de pluie comme « quelque chose à enfermer dans un tuyau ». L’eau de pluie est naturelle et devrait être dispersée et absorbée sur le site ;
- Éviter les bordures et les ponceaux ;
- Éviter l’asphalte (Remplacer par la pierre concassée ou d’autres matériaux perméables) ;
- Respecter les pentes naturelles du terrain et les arbres lors de la planification des terrains de stationnement ;
- Préserver le plus grand nombre d’arbres possible ;
- Planter deux nouveaux arbres pour chaque arbre abattu pour faire place à la construction.
Nommer quelques exemples de stratégie en lien avec la perturbation du site fondées sur les principes de développement durable. (5 items)
- Concevoir des développements denses et compacts pour minimiser la perturbation du site ;
- Éviter d’implanter les bâtiments dans des secteurs sensibles au plan écologique ou à proximité de tels secteurs ;
- Incorporer des toits verts au design des bâtiments ;
- Implanter les nouveaux bâtiments sur des parties du site qui sont déjà endommagées ;
- Conserver tous les éléments naturels du site.
La réduction au minimum de la perturbation du site lors de la construction et l’utilisation de divers éléments de design permettent d’éviter quels effects négatifs sur le site ? (2 items)
1.L’érosion ;
2. La contamination des sédiments.
Quels sont les effets négatifs de l’excavation, du nivellement de terrain et autres activités de construction ? (4 items)
- L’érosion ;
- La dégradation de la propriété ;
- La contamination des eaux souterraines ;
- La contamination des eaux de surface.
Le contrôle structural et la stabilisation des sols doivent être prévus en tenant compte de quels éléments ? (2 items)
- L’érosion pour le cycle de vie complet du bâtiment. ;
- La sédimentation pour le cycle de vie complet du bâtiment.
Nommer quelques techniques permettant la stabilisation des sols en fournissant un contrôle structural. (7 items)
- La plantation au moyen de semences permanentes ;
- La plantation au moyen de semences temporaires ;
- Le paillis ;
- Les diques de terre ;
- Les clôtures anti-érosion ;
- Les collecteurs et trappes à sédiments ;
- L’emploi d’éléments pavsagers.
Nommer quelques stratégie de contrôle de l’érosion. (2 items)
- La couche arable et les semences enlevées lors de la préparation du site ont été stockées et réutilisées afin de rétablir le couvre-sol indigène ;
- Les eaux de ruissellement provenant des routes et des terrains de stationnement sont traitées sur place.
Nommer quelques exemples de stratégie de contrôle de l’érosion et de contrôle des sédiments fondées sur les principes de développement durable. (4 items)
- Réduire la perturbation du site durant la construction ;
- Préserver la végétation présente sur le site autant que possible ;
- Mettre en place des dispositifs de contrôle structural et de stabilisation des sols aui demeureront efficaces à lonq terme ;
- Faire référence aux règlements provinciaux de contrôle de l’environnement dans tous les devis.
Quels sont les avantages d’une aménagement paysager approprié ? (4 items)
- Contribue à la biodiversité locale ;
- Facilite la gestion de l’eau sur place ;
- Fourni un contrôle saisonnier de l’ensoleillement ;
- Réduit les effets des « îlots de chaleur ».
Quels sont les avantages de l’utilisation de végétation indigène ? (3 items)
- Nécessite moins d’irrigation, de pesticides et d’engrais ;
- Augmente la rétention d’eau sur le site par l’absorption et la dispersion des eaux pluviales ;
- Réduit la quantité d’eaux de ruissellement.
En quoi un architecte du paysage peut-il collaborer avec l’architecte et être bénéfique pour l’environnement ? (7 items)
- Identifier les espèces indigènes et les incorporer à tous leurs proiets ;
- Incorporer des solutions d’aménagement pavsager qui utilisent un svstème d’irrigation économe en eau ou ne nécessitent aucun arrosage ;
- Adopter un principe de non-irrigation ou de faible irrigation ;
- Adapter le design au profil existant du terrain, dans la mesure du possible ;
- Établir un équilibre entre l’excavation et le remblai et utiliser sur place les sols excavés ;
- Planter des conifères au nord, à l’est et à l’ouest des bâtiments pour les protéger du vent et leur fournir de l’ombre ;
- Planter des feuillus au sud, au sud-est et au sud-ouest des bâtiments pour leur fournir de l’ombre en été et laisser pénétrer le soleil en hiver.
Quels sont les avantages d’utiliser des végétaux dans les aménagements intérieurs ? (3 items)
Les plantes intérieures :
1. fournissent de l’oxygène ;
2. absorbent le gaz carbonique ;
3. humidifient et « épurent » l’air intérieur.
Nommer quelques exemples de stratégie d’aménagements des sites et d’aménagements paysagers fondées sur les principes de développement durable. (8 items)
- Concevoir tous les aménagements pavsagers extérieurs de facon adaptée aux précipitations et aux conditions locales relatives à l’eau afin de réduire l’entretien et d’éviter la dépendance aux pesticides et aux engrais chimiques ;
- Coordonner le concept de l’aménagement paysager avec les stratégies prévues pour l’énergie, le contrôle des eaux pluviales, la collecte de l’eau, le traitement des eaux grises, l’éclairage et le jardinage productif ;
- Concevoir un habitat pour les espèces locales dans les conditions de sol locales ;
- Éviter les surfaces gazonnées qui nécessitent plus d’eau et d’entretien que d’autres solutions ;
- Effectuer des tests de sol pour déterminer son contenu en substances nutritives et en matières organiques et les modifications qui devront y être apportées ;
- Utiliser des plantes indigènes résistantes à la sécheresse et des plantes non-indigènes auxquelles les conditions existantes du sol conviennent bien ;
- Développer un programme de compostage pour assurer l’apport continuel d’éléments nutritifs aux aménagements paysagers ;
- Prévoir des plantes d’intérieur pour améliorer la qualité de l’air.
Vrai ou faux. Les systèmes types d’aqueduc et de traitement des eaux usées municipaux et régionaux bonifient les ressources hydriques naturelles disponibles sur les sites.
FAUX. Les systèmes types d’aqueduc et de traitement des eaux usées municipaux et régionaux entraînent souvent la dégradation des ressources hydriques naturelles.