cours 8 Images mentales Flashcards

1
Q

Quelle est la diff entre représentation mentale et images mentales?

A

1.La représentation verbale: connaissance exprimée sous la forme du LANGAGE

2.L’image mentale: représentation analogue à l ’information sensorielle (toutes les modalités, pas slmt sous forme visuelle)
-c un complément à la représentation verbale

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2
Q

Quelles sont les noms des 2 théories présentant l’ évidence des images mentales dans les tâches cognitives?

A

1.Théorie des propositions (Pylyshyn)

2.Théorie « analogue » (Kosslyn, Shepard)

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3
Q

Qu’Est-ce que la théorie des propositions (Pylyshyn)?

A

TOUTE connaissance est exprimée par des PROPOSITIONS SÉMANTIQUES, y compris les connaissances dans l’espace

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4
Q

Qu’est-ce que la théorie « analogue » (Kosslyn, Shepard)?

A

Il existe un système de traitement des informations visuelles (et autres MODALITÉS SENSORIELLES) qui est spécialisé et qui utilise une REPRÉSENTATION ANALOGUE

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5
Q

Expliquez les tâches de balayage mental par Kosslyn et Pomerantz 1977.

1.tâche/phase

2.hypotheses

3.résultats

4.conclusion

A

1.Tâche:
*phase apprentissage: dizaine d’emplacements à mémoriser (sur une carte fictive)
*Phase test : enlever carte et faut faire opération mentale

2.Hypotheses:
*Si encodé ces objets sur la carte sous forme IMAGE MENTALE: ils devraient faire le parcours en fonction de la distance qui sépare les 2 objets
*S’ils ont encodé l’emplacement des objets sous forme langagiere (drapeau en bas droite, à coté église…): il ne devrait pas y avoir de diff de temps de parcours en fonction des objets

3.Résultats :
* Le TR augmente en fonction de la distance réelle qui sépare les objets sur la carte.

4.Conclusion :
* Le balayage mental fonctionne comme le balayage visuel.

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6
Q

Quelles sont les critiques de l’étude de balayage mental par Kosslyn et Pomerantz 1977? Cmt eske l’étude de Reed, Hock & Kockhart, 1983 a-t-elle permis de contrer cette critique?

A

1.Critiques:
-Pt quils ont devine objectif de la recherche (ils ont prédit intention chercheurs)

2.Étude de Reed, Hock et Kockhart:
-La tache est plus difficile pour vérifier quil ny a pas ce biais
-À l’aide d’une spirale irréguliere (on doit apprendre exactement ou se trouve chq objet sur la spirale, c diff de devinez distance exacte ds ce cas)
-Ils ont obtenu le meme résultat (on a donc pas transformé en code langagier)

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7
Q

Quelle est la diff entre traitement séquentiel et parallèle?

A

1.Représentation parallèle: Représentation de la connaissance dans laquelle PLUSIEURS items peuvent être traités en MÊME TEMPS
-surtt pour info visuelle

2.Représentation séquentielle: Représentation de la connaissance dans laquelle UN SEUL item peut être traité à la fois

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8
Q

Expliquez l’étude de Nelson et Smith 1973 pour déterminer si on fait un traitement parallèle ou séquentiel.

A

1.Propriétés des visages manipulées:
* 5 caractéristiques: oreilles, sourcils, yeux, nez, bouche
* Valeurs: grand, moyen, petit

2.Tâche:
* Donner aux sujets:
– une DESCRIPTION VERBALE d’un visage (D-V)
– un DESSIN d’un visage (V-V)
* Montrer un visage test aux sujets
* Réponse: décider si le visage test correspond au visage initial

3.Ils ont divisé la tâche en diff blocs afin de vérifier si le nb de caracs quon manipule va faire varier le temps de réaction

3.Hypothèses:
-On croit que condition V-V serait plus rapide, car comparaison directe ds leur tete (traitement de comparaison en parallele)
-Si c parallèle: le temps réaction devrait etre le meme peu importe le nb de propriétés à comparer
-Si c séquentielle (DV) :si on augmente le nb de propriétés à comparer, alors temps devrait etre plus long

4.Résultats:
-Condition V-V :
*trjs meilleur TR que D-V
*temps de réaction est stable peu importe le nb de caracs (puisquil s’agit du traitement parallèle)
-Condition D-V :
*temps de réaction plus lent que pour VV
*plus il y a de caracs à vérifier, plus le TR augmente

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9
Q

Expliquez l’étude sur les tâches de rotation mentale par
Shepard et Metzler 1971.

A

1.Tâche:
-Jugement de similarité sur des objets tridimensionnels
-On présente rapidement les patrons aux sujets 1 à la fois, puis on dit au sujet, quil faut garder en tete pour ensuite comparer au 2e

2.Hypothèse:
-Selon la proposition image mentale, on ferait une rotation mentale pour comparer les 2 objets (encodé sous forme visuelle) : plus angle est grand, plus rotation est longue
-Si on encode verbalement, on doit vérifier la liste des caracs verbales

3.Résultats :
* Le TR augmente avec la différence angulaire (donc plus l’angle est grand, plus TR augmente)

4.Conclusion : Le jugement repose sur une rotation qui respecte les règles d ’une rotation physique sur des objets réels – images mentales

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10
Q

Quelle est la diff entre tâche avec ou sans interférence?

A

1.L’interférence : quand une tâche implique deux opérations dans la MÊME MODALITÉ

2.Pas d’interférence : quand une tâche implique des opérations dans 2 MODALITÉS DIFFÉRENTES

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11
Q

Expliquez l’étude de Brooks (1968) concernant l’interférence pour la tâche VISUELLE (1ere partie de l’étude).

A

1.Tâche VISUELLE:
* Une courte présentation d’une IMAGE
* Parcours mental de l’image
* Indiquer pour chaque coin (si extrémité = oui si intérieur = non)

  1. 3 modes de réponse :
    1)Verbal : dire oui/non.
    2)Manuel : main gauche (oui) droite (non).
    3)VISUO-manuel : pointer oui ou non

3Prédictions:
- TR plus court si l’encodage d’un stim et la réponse
impliquent des modalités différentes (condition 1)
- TR plus long si un stim et la réponse impliquent la même
modalité (condition 2 et 3)

4.Résultats:
-Condition 3 (VISUO-manuel): TR bcp plus long que les 2 autres
-Condition 1 (VERBAL) : TR le plus court
-Pk diff : car INTERFÉRENCE lorsque meme modalité!!

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12
Q

Expliquez l’étude de Brooks (1968) concernant l’interférence pour la tâche VERBALE (2e partie de l’étude).

A

1.Tâche VERBALE:
* Une courte présentation d’une phrase
* Examen mental de la phrase et indiquer si les mots qui la composent sont des noms (« nouns » en anglais).

  1. 3 modes de réponse :
    1)VERBAL : dire oui/non.
    2)Manuel : main gauche (oui) droite (non).
    3)Visuo-manuel : pointer oui ou non
  2. Prédictions: temps de réponse
    - plus court si l’encodage d’un stim et la réponse
    impliquent des modalités différentes
    - plus long si un stim et la réponse impliquent la même
    modalité

4.Résultat :
-Augmentation temps de réponse pour VERBAL (condition 1) causé par INTERFÉRENCE

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13
Q

Donnez les conclus des 2 parties de l’étude de Brooks (1968).

A

1.Globalement le traitement du langage est bcp plus efficace

2.Mais ici, on s’intéresse surtt à la comparaison des diff modalités de réponse :
-on a pu s’apercevoir que lorsque même modalité entre tâche et mode de réponse, il y a INTERFÉRENCE, ce qui AUGMENTE le TR (nuit à la perfo)

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14
Q

Quelles sont les diff mesures utilisées en neurosciences cognitives?

A

1.Flux sanguin cérébral (cerebral blood flow) :
-augmentation du flux sanguin associé à augmentation de l’activité dans une partie du cerveau.

2.Les potentiels évoqués (ERPs):
-mesurent l’activité électrique cérébrale à l’aide d’électrodes sur surface du cerveau
-temps est très précis

  1. TEP (tomographie par émission de positrons):
    -mesuré à l’aide de substance radioactive

4.IRMf (fMRI) :
-étude surtt questions touchant patho
-scan

5.Techniques 3 et 4:
-Permettent de trouver résolution spatiale tres défini ds cerveau pour certains traitements
-localisation de l’encodage plus précise que méthodes 1 et 2

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15
Q

Expliquez l’Étude de Roland & Friberg, 1985 portant sur l’activation cérébrale lors de diff tâches (impliquant ou non des images mentales) à l’aide du flux sanguin cérébral.

A

1.Mesure: flux sanguin cérébral

2.Trois tâches réalisées par les participants:
1) Calculer mentalement (pas image mentale)
2) Balayer le souvenir d’un jingle (image mentale auditive)
3) Imaginer visuellement une marche dans son quartier (image mentale visuelle)

3.Résultats: une augmentation du flux sanguin au niveau du cortex visuel dans la tâche 3), mais pas dans les tâches 1) et 2).

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16
Q

Quelle zone du cerveau traite les info visuelles?

A

1.Traitement initial info visuel à V1

2.Le lobe occipital est associé à l’activité mentale et traitement info visuelle

17
Q

Expliquez l’étude de Godenberg, et al. (1987) sur l’activation cérébrale lors de formation d’images mentales (à l’aide du flux sanguin cérébral).

A

1.Mesure: flux sanguin cérébral

2.Tâche: apprendre et ensuite rappeler des mots concrets

3.Deux groupes de sujets:
1) apprendre les mots en les écoutant;
2) apprendre les mots en formant des IMAGES MENTALES

4.Résultats:
– Le rappel : meilleur pour le Groupe 2 (car double mémorisé : encodage verbal et image mental)
– Lobe occipital: une augmentation du flux sanguin pour le Groupe 2 durant les rappels

18
Q

Expliquez l’étude de Le Bihan et al., 1993 sur l’activation cérébrale lors d’image mentale visuelle (IRMF).

A

1.Mesure: IRMf (fMRI)

2.Deux types d’essais:
1) Stimuli visuels réels,
2) Stimuli imaginés

3.Résultats:
-Lorsque stimulus visuel réel: tres grande activation de v1
-Mais lorsque image mentale (stimulus imaginé) : plus petite activation de v1

19
Q

Expliquez l’étude de Kosslyn et al., 1993, 1995 sur l’activation cérébrale lors d’image mentale visuelle (TEP) selon les tailles des images.

A

1.Mesure: PET (TEP)

  1. Tâche: demander aux sujets de créer des images mentales de différentes tailles (ex: papillon et éléphant)

3.Résultats:
– V1: taille d’activation selon la taille d’un stimulus
imaginé (ex: taille activation plus grande pour éléphant imaginé que pour papillon imaginé)

20
Q

Expliquez l’étude de Kreiman et al., 2000 concernant les neurones impliquées ds l’imagerie mentale (électrode).

A

1.Mesure: réponse des électrodes implantées dans le
lobe temporal médian des patients sévèrement épileptiques

2.Tâche:
1) perception visuelle : stimuli réels
2) images mentales : stimuli imaginés

3.Ces résultats démontrent:
* les représentations d’images mentales existent;
* les images mentales utilisent les MÊMES AIRES CÉRÉBRALES (et mêmes cellules) que la vision
* la perception et l’imagerie partagent des mécanismes similaires, mais moins activation lorsque imaginé

21
Q

Expliquez le cas du patient R.M. (Farah et al., 1988) et le cas du patient C.K (Behrmann et al., 1994).

A

1.Patient R.M.:
-dommage aux lobes occipital & pariétal
-Perception normale (reconnait les objets quon lui présente)
-Imagerie troublée (ex: Diff à faire tache de jugement vrai ou faux par ex eske pamplemousse plus grand que orange)

2.Patient C.K.:
-agnosie visuelle
-Perception troublée (diff à identifier/reconnaitre des objets)
-Imagerie normale (il pouvait dessiner correctement objet)

3.Ces 2 cas montrent qu’il est possible d’avoir une dissociation entre la perception et l’imagerie

22
Q

Expliquez les mécanismes impliqués ds l’imagerie et la perception (Behrmann et al., 1994).

A

1.L’imagerie:
-implique processus DESCENDANT
-Implique traitement HAUT niveau, nécessitant mémoire

2.Perception :
-traitement niveau BAS (ex: identif objet)
-Traitement ASCENDANT : commence par recevoir info visuel…

3.Lorsque prob imagerie : prob ds représentation en mémoire

4.Pour les 2 cas présentés ds autre flash, il y a prob ds traitement, mais mécanismes impliqués sont diff

23
Q

Donnez les résultats de l’exercice où on doit imaginer la position correspondante des aiguilles d’une horloge, et surtout l’angle entre les aiguilles (et lequel est le plus gros) lorsquon donne deux numéros (et ce le + rapidement possible).

A

1.Le TR dépend de la grosseur de l’angle:
-Lorsque les 2 horloges avaient angles plus grands de diff, temps réaction plus court (donc ressemble processus visuel phys)

2.Diff interind de l’utilisation de l’imagerie:
-Il y avait certains sujets qui étaient globalement plus rapides que d’autres (grande variabilité interind)
-Certains ind ont une meilleure capacité image mentale vs d’autres (peuvent former plus rapidement images mentales)

24
Q

Expliquez l’étude portant sur la mémoire des images de
Shepard (1967).

A

1.Tâche:
* Apprendre les images versus les mots
* Test: reconnaissance-mémoire sur les paires des images ou des mots. Indiquer quelle a été présentée.

2.Résultats:
* Groupe “images”: 87% correcte 1 semaine après.
* Groupe “mots”: la reconnaissance moins bonne.

3.Conclusion: la construction des IMAGES MENTALES AIDE LA MÉMOIRE

25
Q

Expliquez la théorie du double codage (Paivio).

A
  1. La mémoire est améliorée lorsque les items peuvent être
    à la fois représentés par des codes mnémoniques visuels et verbaux.

2.Le système VISUEL: spécialisé au traitement de l’information des objets et événements CONCRETS.

3.Le système VERBAL: contient l’ information ABSTRAITE et
linguistique des items.

4.Deux systèmes cognitifs indépendants:
-Des items pourraient être stocké en codes verbaux ou en images visuelles ou en deux.

5.Les mots CONCRETS bénéficient d’un DOUBLE ENCODAGE:
-Des images et des mots concrets peuvent être représentés verbalement et visuellement (2 codes possibles).
-Des mots abstraits n’ont normalement qu’un type de représentation (un code verbal)

26
Q

Expliquez les mécanismes activés selon la théorie du double encodage (Paivio).

A

1.Lorsque stimuli verbal -» on active système verbal

2.Lorsque stimuli visuel -» on active systeme visuel

3.Pour certains items (ceux CONCRETS) : on a représentation en double formes (ce qui est avantageux pour mémoire et traitement)
-Donc les 2 systèmes sont en interaction

27
Q

Expliquez l’étude de Paivio (1965) vérifiant sa théorie du double encodage.

A

1.Tâche:
-Apprendre 4 paires de mots:
* CC (e.g. livre/table)
* CA (chaise/justice)
* AC (liberté/jupe)
* AA(beauté/vérité)
**C: concret vs A :abstrait

2.Rappeler les listes

3.Résultats: réponses correctes moyennes (sur 16
paires)
-CC : 11.41
-CA : 10.01
-AC : 7.36
-AA : 6.05

4.DONC : résultats plus élevés pour paire de mots CONCRETS

28
Q

Expliquez l’étude portant sur les stratégies d’association pour l’apprentissage, avec vs sans images mentales de Bowerman et Winzenz 1970.

A

1.Tâche:
-Apprendre des paires de mots (noms concrets)
-Rappeler les listes

2.Conditions:
a) répétition (slmt code verbal)
b) lire une phrase
c) génération d’une phrase
d) génération d’une IMAGE MENTALE

3.Résultats: réponses les meilleures pour le Groupe
d, les pires pour le Groupe a.

4.PK: Car plus on avance ds a,b,c,d on augmente les chances d’Activer le système d’image mentale

29
Q

Expliquez l’étude de Atkinson & Raugh 1975 portant sur la méthode des mots-clefs et l’apprentissage d’un vocabulaire.

A

1.Deux stades:
a) Stade 1: associer le mot étranger à un mot de la
langue maternelle, un mot clé (semblable à la prononciation)
-e.g. nom: jordin, mot-clef: jardin)
b) Stade 2: former une image mentale du mot-clef qui
interagit avec la traduction

2.Tâche: apprendre 120 mots russes en 3 jours;

  1. 2 groupes:
    – Le groupe “mots-clefs” (utilisant des mots-clefs et des images mentales)
    – Le groupe “control” (apprendre seulement la traduction des mots russes)
  2. Résultats: un jour après l’apprentissage:
    – le groupe “mots-clefs”: a donné la traduction exacte de 72% des mots russes
    – le groupe “control”: 46% des mots
30
Q

Peut-on garder en mémoire autant de détails lorsquon utilise les images mentales que lorsqu’on percoit directement l’objet?

A

1.Ex 1 : Lorsqu’on demande de mémoriser une image d’étoile (diapo 64) il est difficile ensuite de dire si une forme géométrique diff pourrait faire partie de celle-ci en utilisant slmt image mentale, mais avec la perception c facile

2.Chambers & Reisberg (1985; 1992): tâche de l’interprétation des figures ambiguës (canard/lapin):
-Lorsqu’on demande aux sjs s’il est possible d’interpréter diff leur image mentale, ils disent non, mais lorsque perception oui
-L’image mentale permet de conserver les traits essentiels, c pk il est diff de s’imaginer une autre interprétation

3.Ces exemples indiquent que parfois les images sont encodées dans une forme PROPOSITIONNELLE (donc moins de détails que perception directe)

31
Q

Expliquez ce que l’étude de Brandimonte & Gerbino 1993 a permis de montrer par rapport aux images mentales (tâche de suppression articulatoire).

A

1.Tâche de suppression articulatoire : lorsquon dit 1,2,3,4,5 -»on produit un code linguistique, ce qui créé une interférence au fait d’encoder verbalement l’image ambigue (empêche l’encodage verbal de l’image)

2.Lorsque les gens ont encodé l’image, ils étaient plus capable de la revisiter plus tard et de donner les 2 interprétations (à la figure ambigue)

3.On pense que encode en image mentale est AUTOMATIQUE (mais diff d’encoder des détails)

4.DONC Image mentale pas identique à la perception

32
Q

Pour quels troubles mentaux y a-t-il possibilité d’avoir des images intrusives comme sx?

A
  • Schizophrénie
  • Trouble obsessionnel compulsif - OCD
  • Dépression (images négatives, suicide)
  • Trouble de stress post-traumatique - PTSD (images évé)
  • Phobie sociale
  • Maladie Parkinson (hallucinations)
33
Q

Quelles sont les 2 techniques d’imagerie pour intervenir auprès d’ind avec des TM avec images intrusives (Pearson et al., 2015)?

A

1.Thérapies « imagery rescripting », « systematic desensitization » :
-Imagery rescripting: donner bonne image pour remplacer celle négative
-Systematic desensitization : on habitue aux images intrusives, pour qu’elle n’ait plus de réponse à celles-ci
- TM traités : Trouble de stress post-traumatique, Phobie sociale,Dépression

2.Exposition d’imagerie et prévention de la réponse :
- TM traité : Trouble obsessionnel compulsif