cours 2 MS et reconnaissance Flashcards

1
Q

Donnez quelques caracs de la mémoire sensorielle/registre sensoriel.

1.___ étape du traitement de l’info

2.Conserve l’information sensorielle…

  1. Stockage ….
  2. Permet d’avoir un ___ de traitement de l’info pour ___; si …le matériel…
A

1.Première étape du traitement de l’info

2.Conserve l’information sensorielle non-analysée
(brute)

  1. Stockage très bref et transitoire
  2. Permet d’avoir un délai de traitement de l’info pour y porter attention; si on y porte pas attention, le matériel disparaît et n’est pas reconnu
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Q

Quel est le rôle de la mémoire sensorielle dans la vie de tous les jours? Donnez qq ex.

A

1.Rôle : persistance sensorielle

2.Ex:
-Suivre les chgts ds les stimuli
-Cinéma (Images consécutives une apres lautres, tres rapide, 25-30 images par ms)
-Comprendre un mot après sa disparition (ex: individuellement, mot avec plusieurs syllables, chq partie doit etre intégrée pour ensuite etre interprété )

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3
Q

Est-il vrai que la mémoire sensorielle concerne slmt le sens de la vision et de l’audition?

A

Non, ça concerne TOUS les sens.

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4
Q

Quels sont les 2 sens qui ont été le plus étudiés pour la mémoire sensorielle?

A

1.Mémoire sensorielle VISUELLE, MSV (ou iconique)

2.Mémoire sensorielle AUDITIVE, MSA (ou mémoire échoïque)

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5
Q

Expliquez l’expérimentation de Sperling (1960) portant sur les limites/capacité de la MSV pour la condition 1, soit le rapport COMPLET.

1.stimuli
2.participant doivent…
3.résultats
4.interprétations possibles
5.hypothèses

A

1.Stimuli: Groupes de lettres présentées très brièvement (50 msec; clignement de yeux) par un tachitoscope

2.Participant: rapporter toutes les lettres qu’ils pouvaient se rappeler

3.Résultats:
1) Bonnes réponses M = 4,5 lettres, peu importe si on présentait 5 lettres ou plus
2) Résultats précis quand moins de 5 lettres, mais quand le nombre de lettre augmente, bonnes réponses restaient autour de la moyenne de 4,5 lettres

4.Interprétations possibles:
1. Les sujets ont enregistré (perçu) toujours
seulement 4,5 lettres
2. Les sujets ont enregistré plus de lettres, mais ont
oublié une partie

5.Hypothèse de Sperling:
- La MS enregistre plus de stimuli, mais ils se dégradent
rapidement au moment du rappel. Il y aurait donc plus info dispo ds MS que nb info rappelé

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6
Q

Expliquez la technique de rapport PARTIEL (condition 2) de l’expérimentation de Sperling.

1.Stimuli:

  1. La rangée à rapporter était ___ avant l’exposition
  2. Après un intervalle variable (…), … indique quelle rangée il faut rapporter

4.Hypothèses de départ:

5.Le nombre de lettres disponibles dans MS =

A

1.Stimuli: 3 rangées de 4 lettres chacune: 12 lettres total

  1. La rangée à rapporter était inconnue avant l’exposition
  2. Après un intervalle variable (de 0-1000 ms), un son (aigu, intermédiaire ou grave) indique quelle rangée il faut rapporter

4.Hypothèses de départ:
1) Si l’information dans toutes les rangées reste encore disponible en MS, le sujet peut simplement sélectionner une
rangée, ou une autre, et la rapporter.
2) Si la mémoire sensorielle enregistre seulement 3-4 lettres au total de cette matrice, le sujet pourra rapporter seulement 1-2 lettres de chaque rangée.

5.Le nombre de lettres disponibles dans MS = Le nombre de lettres rappelées X 3 rangées

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7
Q

Donnez les résultats pour le rapport partiel et comparez-les avec ceux du rapport complet (étude de Sperling).

A

1.La mémoire sensorielle contient plus d’information disponible que les participants pouvaient se rappeler (ex, dans la tâche du rapport complet)

2.La trace en MSV se dégrade rapidement

3.Le max en MSV = 9 items de dispo (à 0 sec), mais se dégrade rapidement (après 300 ms, il y a bcp moins items de dispo)

4.Pour rapport complet = 4,5 items

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8
Q

Expliquez l’étude de Sperling sur le rapport de lettres et de chiffres.

1.Métho
2.Q de recherche
3.Hypothèses
4.Résultats
5.conclu

A

1.MÉTHO:
-Il y avait 6 items chiffres et 6 lettres
-Rapport partiel: l’indice (tonalité son) précise au sujet s’il doit rapporter les chiffres ou les lettres (e.g., son bas = chiffres)
-Puis on compare avec le rapport complet

2.Q de recherche: Les items dans la MSV sont-ils déjà catégorisés (comme des lettres/chiffres) ou sont-ils brutes?

3.HYPOTHÈSES:
1) Si l’information dans MSV est catégorisée, le rapport partiel
devrait montrer des meilleurs résultats que le rapport complet
2) Si l’information dans MS n’est pas catégorisée, le rapport
partiel devrait être semblable au rapport complet

4.Résultats:
-Pour calculer items dispo on a fait X2 items rapportés pour tâche de rappel partiel (car 2 catégories)
-La performance était SEMBLABLE dans le rapport partiel et dans le rapport complet (autant mauvaise)

5.Conclusions:
-Les participants ne pouvaient pas bien rapporter
l’information selon les catégories de chiffres et de lettres.
-L’information en MS = BRUTE ET NON CATÉGORISÉE

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9
Q

Expliquez ce quon a pu conclure quant à la MSV grâce aux études de Spearling.
1.Capacité
2.durée
3.forme

A

1.La capacité de la MSV :
-Environ +/- 9 items dispo, mais on en rapporte +/- 4,5

  1. Pendant combien de temps peut-elle conserver l’information
    -Environ 300 millisecondes
  2. Sous quelle forme conserve-t-elle l’information ?
    - Brute et non-catégorisée
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10
Q

Expliquez les diff concernant la mémoire sensorielle auditive vs celle visuelle (par rapport aux types d’info qu’elles traitent)

A

1.La perception visuelle traite l’information qui change
dans l’ESPACE

2.La perception auditive traite l’information qui change
dans le TEMPS
-Le langage, la musique et d’autres sons sont étendus
dans le temps

3.Les demandes pour la MSV et MSA sont différentes
-On ne peut pas ré-écouter le même son si on a mal
entendu (mais on peut jeter un coup d’oeil plusieurs
fois sur une chose qu’on a mal vu…!)

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11
Q

Expliquez l’étude de Darwin, Turvey et Crowder
(1972) concernant la tâche des 3 oreilles.
1.3 items…
2.tâche rapport complet
3.tâche rapport partiel

A
  1. 3 items d’info auditives diff données ds 3 oreilles diff (D, G/D soit centre et D)

2.Tâche du rapport complet:
* Rapporter TOUS les stimuli

3.Tâche du rapport partiel:
* Intervalle de temps variable (0 à 4 s)
* Un indice visuel (lumière G ou D) précise quelle oreille à rapporter (donc rapporte info de slmt 1 oreille)
*on fait X3 pour savoir nb info auditif dispo

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12
Q

Quels sont les résultats et conclusions de l’étude de Darwin, Turvey et Crowder(1972) concernant la tâche des 3 oreilles.

A

1.Supériorité du rapport partiel, jusqu’à environ 4 sec de délai

2.Dans la MSA, l’information se dégrade moins rapidement
que dans la MSV (1 sec vs 300 msc)
-On garde donc info plus longtemps, mais moins items dispo pour auditive VS pour visuel

3.Mais moins d’information disponible en MSA vs MSV (5 items
vs 9)

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13
Q

Expliquez l’étude de Massaro (1970) concernant l’effet de masquage sur le traitement de sons.

A

1.Masquage: Empêcher le traitement d’un premier stimulus par la présentation d’un 2e stimulus – le masque.

2.Q de recherche: Quelle est la durée minimale de maintien de
l’information dans MSA pour qu’elle soit traitée efficacement ?

3.Avant expérimentation :
-Entraînement pour identifier 2 sons: aigu 870 Hz et bas 770 Hz

4.L’expérimentation:
1)Présentation du son test (20 msec)
2) Délai (0, 40, 80, 160, 250, 350, 500 ms)
3) Masque (son intermédiaire 820 Hz) Durée; 500 msec
4) Réponse (le sujet rapporte le son test), il doit donc se rappeler du son test et que le masque n’ait pas interféré

5.But de la variation de l’intervalle de délai entre test et masque = pour voir à partir de quel moment le masque ne va plus affecter la reconnaissance de son

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14
Q

Quels sont les résultats et conclusions de l’étude de Massaro (1970) concernant l’effet de masquage sur le traitement des sons?

A

1.La performance des sujets dépendait de la durée du délai ENTRE le son test et le masque:
-Mauvaise quand le délai était court (pas traitement de l’info)
-Meilleure quand le délai augmentait

2.Avec un délai de 250 ms et plus, la performance n’était plus affectée par le masque

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15
Q

Quelles sont les diff entre mémoire sensorielle auditive et visuelle?

A

1.Mémoire sensorielle visuelle:
-Durée très BRÈVE (300 ms), mais grande capacité (+-9 dispo)
-Les stimulations visuelles sont généralement plus PERSISTANTES dans l’environnement, il serait inutile de les conserver plus longtemps

2.Mémoire sensorielle auditive:
-Plus DURABLE(2-4 sec), mais capacité plus limitée (+-5)
-L’information auditive étant plus TRANSITOIRE, la MSA doit
maintenir l’information plus longtemps

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16
Q

Quel est le rôle de la mémoire et de l’enregistrement sensoriel?

A

On ne peut pas traiter toute l’information sensorielle qui nous atteint à un moment précis, donc la MS sert à garder TEMPORAIREMENT une partie de cette information

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17
Q

Est-il vrai que la reconnaissance de formes permet la reconnaissance d’une forme malgré quelle soit en mvt, qu’elle bouge sur elle-meme ou quon la voit selon diff perspectives?

A

Oui

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18
Q

Est-il vrai que la plupart des choses quon reconnait ns sont inconnus?

A

Non, c’est plutot : la plupart des choses quon reconnait ns sont connus (donc on utilise souvent la MLT pour la reconnaissance des formes).

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19
Q

Expliquez le processus de reconnaissance des formes en se basant sur le modèle de traitement de l’info.

A

1.Input : info passe par nos sens -»

2.Maintien temporaire ds la MS -»

3.Filtre -»

4.RECONNAISSANCE DE FORMES (puis interaction bidirectionelle avec sélection, MCT, MLT)

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20
Q

Qu’Est-ce que la théorie des gabarits?

A

1.Reconnaissance des formes s’effectue par l’appariement de la forme à un gabarit; (template matching)

2.processus par lequel un MODÈLE MÉMORISÉ est surimposé sur une forme donnée pour vérifier jusqu’à quel point ces formes se ressemblent (degré de recouvrement)

3.Gabarits = des entités holistiques

21
Q

Expliquez 1 des problématiques liés à la théorie des gabarits.

A

Si on a un chevauchement exact = on reconnait la forme, MAIS si ce nest pas exactement la meme copie (même si c la meme forme) alors ce nest pas le meme gabarit (donc on ne serait pas censé reconnaitre la forme selon la théorie), MAIS, ds la vraie vie on est capable de reconnaitre que c la meme forme.

22
Q

Expliquez l’expérimentation de Phillips (1974) concernant la théorie des gabarits.

A

1.Présentation aux sujets de 2 formes abstraites, l’une après l’autre:
1)Forme 1 (pendant 1 sec)
2)Intervalle variable (de 20, 60, 100, 300, 600 ms)
3)Forme 2 était identique ou différente et: superposée ou déplacée

2.Réponse de sujet (est-ce-que la Forme2 est la meme que Forme1?)

23
Q

Quels sont les résultats de l’expérimentation de Philips (1974) concernant la théorie des gabarits?

A

1) Intervalle court ET formes identiques:
-sont bien reconnues avec fort % (près de 100%) rép correctes

2) Formes déplacés:
-oscille autour de 60 % rép correctes peu importe intervalle

3)Plus de réponses réussites si forme meme place que si déplacée

4)Résultat pour temps de réaction:
-rapide pour formes identiques ET court intervalle
-plus intervalles est long moins il y a un haut % rép correctes

5)Implication de la mémoire sensorielle dans la reconnaissance des formes; superposées vs mal-ajustées

24
Q

Quelles sont les conclusions de la théorie des gabarits en tenant compte des résultats de Philips (1974)?

A

1.La MÉMOIRE SENSORIELLE peut être utilisée pour un appariement rapide des gabarits si les deux formes sont séparées par moins de 300 msec ET qu’elles sont présentées au même endroit. (Selon Phillips 1974)

2.MAIS: dans la vie quotidienne?? Plusieurs limites:
* On doit ajuster pour la position, la taille, orientation, etc.
* Grande variabilité des formes perçues
* Pas de description alternative (ex: figure ambiguë)

25
Q

Donnez une définition de la théorie des traits ainsi que les 2 étapes la composant.

A

1.Def: Les stimuli sont définis comme une combinaison de CARACTÉRISTIQUES ÉLÉMENTAIRES (feature analysis)

2.Étape 1 dans la reconnaissance: détecter et combiner des éléments essentiels d’un objet, les caractéristiques qui sont particulières aux formes, qui les distinguent.

3.Étape 2: L’identification de l’objet se fait par la comparaison de ces caractéristiques avec celles enregistrées en mémoire

**Ici on s’intéresse à la MLT

26
Q

Expliquez la théorie de Gibson 1969 concernant la théorie des traits.

A

1.Théorie présenté ds ouvrage : «Principles of Perceptual Learning and Development»

2.L’apprentissage perceptuel se fait au moyen d’une
LISTE DES TRAITS qui distinguent les formes entre elles

3.Si on prend l’ex des lettres:
-Ex de traits: ligne droit horizontale, verticale…
-ds tableau de traits : si une lettre a certaines propriétés, il y a un point noir
-Une lettre est représentée ds la MLT selon une combinaison de traits
-pas une même liste de traits pour 2 lettres

27
Q

Quels sont les critères d’un trait selon Gibson?

A
  1. Les traits doivent être réellement DISCRIMINATOIRES, présents dans certains éléments de la série et pas dans d’autres, de façon à offrir un contraste
  2. L’identité des traits doit rester INCHANGÉE malgré les
    modifications de luminosité, de taille et de perspective
  3. Les traits doivent produire une forme UNIQUE pour chaque lettre
  4. Le NOMBRE de traits proposés doit être raisonnablement PETIT
28
Q

Expliquez l’étude de Gibson, Shapiro et Yonas (1968) pour validé/testé les critères de Gibson pour les traits.

A

1.Présenter à des sujets des paires de lettres (ex: GW)

2.Participant doit indiquer le plus rapidement possible
si les lettres sont pareilles ou différentes

3.Résultats:
-Le TR augmente lorsque les lettres de la paire partagent beaucoup de caractéristiques élémentaires (car plus diff à discriminer)
- G et W : 458 msec
vs
-P et R : 571 msec

29
Q

Expliquez l’expérience de Egeland (1975) concernant la théorie des traits.

A

1.Participants: Enfants d’âge préscolaire

2.entrainement de paires de lettres similaires: R-P

3.2 groupes (voir diapo 23):
-Groupe 1: trait distinctif en rouge
-Groupe 2: couleur uniforme noire

4.Tâche: Identifier les 3 lettres parmi 6 lettres qui correspondent à la cible

5.Test 1: immédiatement après l’entraînement
VS Test 2: une semaine plus tard

6.RÉSULTATS: Groupe 1 > Groupe 2

7.DONC, les enfants ont été aidé dans leur apprentissage de porter attention à un TRAIT DISTINCTIF

30
Q

Expliquez l’expérience de Neisser (1964) par rapport aux traits.

A

1.Tâche:
-recherche visuelle d’une cible parmi des distracteurs (liste de lettres)

  1. Trouver le « Z » parmi des lettres semblables au Z (liste 1),
    ou différentes du Z (liste 2)

3.Résultats:
-Cible trouvée beaucoup plus rapidement dans la liste 2 que
1, car traits plus distinctifs

31
Q

Est-il vrai que plusieurs obs expérimentales appuient la théorie des traits pour la perception des objets simples (ex: lettres)?

A

Oui

32
Q

Qu’est-ce que les études sur la théorie des traits a permis de montrer?

A
  1. Plus de confusions perceptives pour distinguer des
    lettres qui partagent beaucoup de traits
  2. Distinguer des lettres qui partagent plusieurs traits
    prend plus de temps (Gibson et al., 1968)
  3. En présentation rapide, difficile de discriminer des
    lettres qui se ressemblent (traits communs).
33
Q

Quelles sont les limites de la théorie des traits?

A

1.On peut reconnaître des formes dont les traits sont manquants
-Par exemple, lorsque objets sont cachés, mais cerveau est capable de récupérer info manquante
-ex: triangles se chevauchant (voir diapo 26)

2.Le tout est plus que la somme des parties (Gestalt):
-la forme holistique, le tout, constitue une forme globale
qui possède ses caractéristiques propres et qui ne peut
pas être identifiée simplement par l’examen de ses
parties.
-La perception d’un objet nécessite qu’on puisse décrire
la façon dont les traits sont groupés

3.Les mêmes composantes pour des objets différents
-les memes traits (ex: cube) peuvent etre regroupés diff pour formés objets diff

34
Q

Qu’Est-ce que les théories structurelles?

A

1.Les théories structurelles reposent sur les théories des traits (nécessité de définir les traits)

  1. MAIS: Les théories structurelles insistent sur le
    REGROUPEMENT et les RELATIONS entre les traits
  2. L’interprétation d’une forme dépend de l’idée qu’on a de la façon dont les parties (les lignes) se regroupent.
35
Q

Quelles sont les étapes de traitement pour décrire les théories
structurelles?

A
  1. Analyse des CONTOURS de l’objet (base perception visuelle)
  2. SEGMENTATION et IDENTIFICATION des catégories de composantes élémentaires selon leur ORGANISATION (principes de la gestalt).
  3. COMPARAISON avec les organisations de composantes mémorisées (Ds MLT, il y a traits abstraits mais leur relation est aussi représentée)
  4. Reconnaissance: objet est reconnu comme un tout composé des caractéristiques.
36
Q

Expliquez les principes de l’organisation de la Gestalt.

A

1.La forme ou l’objet est un tout complexe

2.Elle est plus qu’un ensemble de caractéristiques élémentaires

3.Le processus de reconnaissance de formes organise l’information (groupement perceptif) selon certains principes

37
Q

Nommez 4 principes de la gestalt.

A

1.Principe de similarité:
-ex: on groupe lignes de X et lignes de O

2.Principe de proximité:
-les lignes qui sont plus proches sont regroupées

3.Principe de fermeture:
-meme si partie manquante, on percoit qd meme la forme comme complète

4.Principe de continuité:
-percevoir 2 figures plutot qu’un pour quelles soient continues

38
Q

Qu’est-ce que le modèle des composantes de Biederman?

A

1.Seuls 35 géons sont nécessaires pour décrire les
objets du monde Biederman (1985)

2.Géons: figures simples tridimensionnelles (traits géométriques abstraits) qui se combinent avec d’autres pour réaliser des formes tridimensionnelles

3.Ce sont les ARRANGEMENTS, RELATIONS, entre les
composantes qui définissent des objets différents

39
Q

Complétez la phrase ci-dessous:
La ___ est primordiale à la reconnaissance de formes

A

La SEGMENTATION est primordiale à la reconnaissance de formes

**segmentation = individualisé les géons

40
Q

Expliquez l’expérience des images dégradées par Biederman (1985).
1.tâche:
2.ds les 2 types …
3.2 conditions
4.hypothèse
5.résultats

A

1.Tâche : Sujets doivent nommer les images dégradées

2.Dans les 2 types d’images: 65% du contour des dessins sont
enlevés

  1. 2 conditions:
    * Type 1: Retrait du milieu des segments du contour (l’info sur les relations entre les traits est conservée).
    * Type 2: Retrait des parties autour des sommets du contour (l’info sur les relations est manquante = pas de segmentation).

4.Hypothèse: les objets qui sont plus difficiles à segmenter seront aussi plus difficile à identifier

5.Résultats:
-type 1: identifier ds 70% des cas
-type 2: identifier ds 50% des cas
-résultats concordent avec hypothèse

41
Q

Quels sont les 3 effets/modèle expliquant le rôle du contexte ds la reconnaissance des mots?

A

1.La reconnaissance de mots - L’effet de supériorité du mot

  1. Le modèle d’activation interactive
  2. L’effet de supériorité de l’objet
42
Q

Qu’est-ce que l’effet de supériorité du mot (Anderson, 1995)?

A

Une lettre est traitée plus efficacement si elle est
présentée dans un mot (donc ds un contexte)

43
Q

Expliquez la Tâche d’identification (Cattell,1985).

A

1.Présentation très brève (10 msec)de lettres

2.Rapporter toutes les lettres possibles

  1. 2 conditions:
    * dans la condition lettres (ex., SPBO – ERNT - AQWO)
    * dans la condition mots (ex., RAME - LOUP - CASE), ici les lettres forment un mots

4.Résultats:
-Condition lettre: 4-5 lettres rappelés
-Condition mots: 3-4 mots rappelés (donc plus de lettres)

5.Conclusion : Le mot facilite la reconnaissance des lettres

44
Q

Expliquez l’expérience de Reicher (1969) sur l’Effet de supériorité du mot.

A

1.1ere étape : Présenter 1 des Trois conditions:
1) Condition Mot (ex: work)
2) Condition Lettre isolée (slmt lettre ex: K)
3) Condition Non-mot (OWRK)

  1. 2e étape: masque
  2. 3e étape: choisir laquelle de 2 lettres alternatives faisait partie de la présentation de départ (ex: dire si c’était K ou D qui avait été présentée)

4.RÉSULTATS:
* Les participants ont fait moins d’erreurs et ont été
plus précis dans la condition mot que dans les
conditions non-mot et lettre

5.Effet de supériorité du mot;
- exemple d’un traitement TOP-DOWN

45
Q

Qu’est-ce que le modèle d’activation interactive?

A
  1. la perception visuelle implique le traitement
    parallèle.
    -Le traitement visuel est spatialement parallèle, par ex., les 4 lettres d’un mot sont traitées simultanément
  2. la reconnaissance a lieu en même temps dans les 3 niveaux d’abstraction

3.Les 3 niveaux interagissent pour déterminer ce que nous
percevons, tel que représentés par les flèches bidirectionnelles

4.Traitement top-down entre les niveaux Mots et Lettre

5.Les 3 niveaux d’abstraction sont:
Input visuel -» NIVEAU TRAIT «-» NIVEAU LETTRE «-»NIVEAU MOT

6.2 types de connexions : inhibitrice et excitatrice

46
Q

Quelles sont les diff entre connexions inhibitrices et excitatrices selon le modèle d’activation interactive?

A

1.Connexion excitatrice:
-Une réaction à un indice positif pour un concept, comme lorsqu’une ligne verticale renforce la possibilité qu’une lettre soit un K

2.Connexion inhibitrice:
-Une réaction à un indice négatif pour un concept, comme lorsque la présence d’une ligne verticale fournit un témoignage négatif pour la lettre C

47
Q

Qu’est-ce que l’effet de supériorité de l’objet?

A

1.Le contexte favorise également la reconnaissance de formes incluses dans un objet.

2.La perception d’objet n’est pas seulement le résultat de l’analyse de caractéristiques simples comme des lignes.

  1. L’organisation des éléments qui composent les objets influence la reconnaissance

4.Objet familier sont favorablement reconnus

48
Q

Expliquez l’étude de Weisstein et Harris, 1974 sur l’effet de supériorité de l’objet.

A

1.Est-ce que la barre diagonale en A est incluse dans les stimuli B et C? (voir diapo 49)

2.Résultats dans leur étude:
-plus facile de reconnaitre la ligne diagonale dans le stimulus B que dans le stimulus C
-Pourquoi? Car B est un objet bien formé/cohérence (ressemble à un cube) vs C qui ressemble à rien de familier
-Donc B devrait avoir un impact contextuel (top down) pour faciliter la reconnaissance du trait A