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PSY 2065 - Processus cognitifs > Cours 8 : Connaissances conceptuelles > Flashcards

Cours 8 : Connaissances conceptuelles Flashcards

1
Q

Qui suis-je ?

nous permet de reconnaitre des objets, des évènements et de faire des inférences à propos de leurs propriétés

A

Connaissance conceptuelle

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Q

Qui suis-je ?

«représentation mentale d’une classe ou d’un individu» (Smith 1989)

«Catégories d’objets, évènements, d’idée abstraites » (Kiefer & PulvermUller, 2012)

A

Concept

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Q

Qui suis-je ?

consiste à considérer des objets divers comme équivalents selon certaines caractéristiques (Cèbeetal., 2004).

A

Catégorisation

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4
Q

Qu’est-ce qui ajoutés ensemble = concepts ?

A

catégorie + représentation mentale (signification) = concept

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5
Q

Quelles sont les 4 composantes de la connaissance ?

A
  • Mémoire sémantique : stock les connaissances
  • Connaissance conceptuelle : permet de reconnaitre et de faire inférences
  • Concept : représentation mentale
  • Catégorisation : processus permettant de placer en groupes
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6
Q

Quelles sont les 3 utilités des catégories ?

A
  • Faciliter l’encodage, la représentation, la récupération et le raisonnement
  • Aide à comprendre les cas individuels qui ne correspondent pas à une catégorie
  • Fournir infos
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7
Q

Pourquoi qualifie-t-on les catégories comme “Pointeurs vers la connaissance” ?

A
  • Fournissent ++ d’infos générales sur un objet
  • Permettent d’identifier les caractéristiques particulières
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8
Q

Quelles sont les 3 approches de la catégorisation ?

A
  • Approche définitionnelle
  • Approche des prototypes
  • Approche des exemplaires
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9
Q

Que veut l’approche définitionnelle de la catégorisation ?

A

Déterminer l’appartenance à une catégorie selon que l’objet répond à la définition de la catégorie.
=> critères qu’un membre de la catégorie devrait avoir

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10
Q

Quelle est la critique de l’approche définitionnelle ?

A
  • Ne fonctionne pas bien
    => tous les membres d’une catégorie n’ont pas les mêmes caractéristiques qui les définissent
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11
Q

Qui suis-je ?

Les catégories ne peuvent être définies par des éléments strictes, mais regroupé par ensemble, qui partage des traits communs

A

Ressemblances familiales

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12
Q

Qui suis-je ?

Une représentation moyenne du membre “typique” d’une catégorie.

Caractéristiques spécifiques qui décrivant les membres de ce concept.

A

Prototype

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13
Q

Qu’est-ce qu’une différence entre un membre et la moyenne (prototype) ?

A

Variations au sein d’une catégorie et différences de typicalité

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14
Q

Que montre l’étude de Rosch sur l’approche des prototypes ?

A

Plus le chiffre est bas, plus le membre est similaire au prototype
=> haute typicalité
=> grande ressmblance de famille

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15
Q

Qu’est-ce qu’une faible vs haute typicalité ?

A

Faible : le membre de la catégorie ne ressemble pas étroitement au prototype de la catégorie.

Haute : le membre de la catégorie ressemble étroitement au prototype de la catégorie.
=> Membre “typique”

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16
Q

Quelle est la relation entre la prototypicalité et la ressemblance de famille ?

A

Forte relation positive entre prototypicalité et ressemblance de famille

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17
Q

Lorsque les éléments ont une grande quantité de chevauchement avec les caractéristiques des autres éléments de la catégorie, la ressemblance de famille de ces éléments est …

A

élevée

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18
Q

Approche des prototypes :

Grand chevauchement =

VS

Faible chevauchement =

A

Grand chevauchement = forte ressemblance de famille

Faible chevauchement = faible ressemblance

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19
Q

Quel effet suis-je ?

les objets prototypiques sont traités préférentiellement.

A

Effet de typicalité

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20
Q

Que montre l’étude de Smith et al. sur l’effet de typicalité (pomme vs pomme-grenade)?

A

éléments hautement prototypiques sont plus vite rappelé

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21
Q

Quels sont les 3 constats sur les objets prototypiques de l’approche des prototypes dans la catégorisation ?

A
  1. Effet de typicalité : objets prototypiques sont traités préférentiellement
  2. Les objets prototypiques sont nommés plus rapidement (appellation)
  3. Les membres de la catégorie prototypique sont plus affectés par un stimulus d’amorçage
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22
Q

Que montre l’étude de Rosch sur la couleur verte ?

A

Entre un vert amorce un vert hautement prototypique

*TR plus court pour vert plus primaire

*TR plus long pour couleurs vertes mais pas correspondantes au prototype

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23
Q

Quels sont les 4 effets dans l’approche des prototypes dans la catégorisation ?

A
  • Ressemblance de famille
  • Typicalité
  • Appelation
  • Amorçage
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24
Q

Quel effet de l’approche des prototypes suis-je ?

La présentation d’une stimulation modifie les réponses à des stimulation présentées par la suite.

A

Amorçage

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25
Q

Quel effet de l’approche des prototypes suis-je ?

Les membres d’une catégorie se ressemblent de plusieurs manières.

A

Ressemblance de famille

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26
Q

Quel effet de l’approche des prototypes suis-je ?

Les individus répondent plus rapidement pour des membres qui sont plus typiques dans la catégorie.

A

Typicalité

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27
Q

Quel effet de l’approche des prototypes suis-je ?

Les personnes sont plus promptes à lister certains objets plus que d’autres.

A

Appellation

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28
Q

Quels sont les résultats expérimentaux de l’effet d’appellation ?

A

Les items à haute-prototypicalité sont nommés en premier lorsque les individus listent des exemples d’une même catégorie (Mervis 1976).

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29
Q

Quels sont les résultats expérimentaux de l’effet d’amorçage ?

A

Jugements plus rapides pour la discrimination couleur identique-différente pour des items à haute-prototypicalité (Rosch 1975b).

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30
Q

Quels sont les résultats expérimentaux de l’effet de typicalité ?

A

Temps de réactions plus rapides pour des phrases tels que ‘un moineau est un oiseau’ (haute-prototypicalité) comparé à ‘une autruche est un oiseau’ (faible-prototypicalité) (Smith 1974)

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31
Q

Quels sont les résultats expérimentaux de l’effet de ressemblance de famille ?

A

Évaluations plus élevées pour des items à haute prototypicalité lorsque les personnes doivent évaluer à quel point un membre d’une catégorie appartient bel et bien à celle-ci (Rosch, 1975a).

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32
Q

Qu’est-ce qui différencie l’approche des exemplaires de prototypique ? (3)

A
  • Concept = plusieurs exemples (exemplaire)
    Concept = 1 seul prototype
  • Exemples sont des membres réels de la catégorie
    Prototype : moyenne abstraite des membres
  • Exemplaire : représentation pas abstraite
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33
Q

Comment l’approche prototypique est similaire à l’approche des exemplaires ?

A

Représenter une catégorie ne la définit pas.

34
Q

Apprentissage avec l’approche des exemplaires :
Plus la similarité intra-catégorielle est forte …

A

plus la catégorisation est rapide

35
Q

Apprentissage avec l’approche des exemplaires : qu’est-ce qui influence la catégorisation rapide ?

A

forte similarité intra-catégorielle
=> les membres de la catégorie se ressemblent

Faible similarité inter-catégorielle
=> ne ressemblent pas aux autres catégories

36
Q

Quels sont les points avantageux d’utiliser des prototypes ?

A
  • Explique les effets de typicalité.
  • Implique également des représentations abstraites.
  • Les prototypes peuvent mieux fonctionner pour les grandes catégories.
37
Q

Quels sont les points avantageux d’utiliser des exemple ?

A
  • Explique les effets de typicalité
  • Implique des représentations concrètes.
  • Les exemples peuvent mieux fonctionner pour les petites catégories.
  • N’élimine pas des informations pertinentes.
  • Mieux pour les catégories plus variables.
  • Plus important avec l’apprentissage.
38
Q

Pour bien comprendre comment les gens catégorisent les objets, il faut considérer … (2)

A
  • Propriétés des objets.
  • Apprentissage et expérience des percepteurs.
39
Q

Quelles sont les 2 approches des relations entre les catégories ?

A
  • Organisation hiérarchique
  • Approche connexionniste
40
Q

Quels sont les 3 niveaux hiérarchiques de catégorisation ?

A
  1. plus abstrait (concept) => supra-ordonné
  2. Le plus utilisé => intermédiaire
  3. Spécifique => subordonné
41
Q

Qu’est-ce qui caractérise le niveau supérieur (supra-ordonné) quant aux similarités intra/inter ?

=> ex : instrument de musique VS meuble

A
  • Faible similarité intra-catégorielle;
  • Très faible similarité inter-catégorielle
42
Q

Qu’est-ce qui caractérise le niveau intermédiaire ?

=> ex : guitare

A
  • Forte similarité intra-catégorielle;
  • Faible similarité inter-catégorielle
43
Q

Qu’est-ce qui caractérise le niveau subordonné ?

=> guitare électrique

A
  • Très forte similarité intra-catégorielle;
  • Forte similarité inter-catégorielle.
44
Q

Évidences que le niveau de base est spécial : que montre l’étude de Rosch sur les informations retenues ?

A
  • Au dessus du niveau intermédiaire : perte importante d’infos
    => pertes de caractéristiques (abstraction des concepts)
  • En dessous du niveau intermédiaire : peu de gain d’infos
    => très spécifique (prend manipulation et compréhension)
45
Q

Quelle est la différence entre les experts et les non experts sur l’utilisation des niveaux hiérarchiques ?

A

Expert : utilisent plus niveau spécifique

Non expert : utilisation niveau intermédiaire

46
Q

Niveaux hiérarchiques : que permet la vulgarisation ?

A

Passer d’un niveau subordonné à un niveau intermédiaire

47
Q

Comment sont organisés les concepts ?

A

en réseaux sémantique
=> représentent la façon dont ceux-ci sont organisés dans l’esprit.

48
Q

Dans les réseaux sémantiques, que représentent les noeud ?

A

catégorie / concept

49
Q

Que schématisent les réseaux sémantiques ?

A

La façon dont les concepts et les propriétés sont associées dans l’esprit

50
Q

Qui suis-je ?

Les propriétés partagées sont uniquement stockées dans des nœuds de niveau supérieur.

A

Économie cognitive

51
Q

Dans les réseaux sémantiques ;

a) où sont stockées les propriétés générales/partagées ?

b) où sont stockées les exceptions ?

A

a) noeuds des niveaux supérieurs (supra-ordonné)

b) noeuds inférieurs

52
Q

Par quoi est déterminé le temps de récupération d’une information ?

A

déterminé par la distance qui est parcourue à travers le réseau
=> catégories rappelées plus rapidement (lien direct)

53
Q

Comment se déroule l’activation dans les réseaux sémantiques ?

A

Activation d’un noeud => activité s’étend sur tous les liens

=> les concepts activés sont amorcés et plus facilement accessibles

54
Q

Que veut l’Approche connexionniste ?

A

Création de modèles informatiques pour représenter les processus cognitifs

55
Q

Quel est le traitement utilisé par l’approche connexionniste ?

A

Traitement distribué parallèle
=> Connaissance représentée dans l’activité distribuée de nombreuses unités.

56
Q

Quels sont les 3 types d’unités de l’approche connexionniste ?

A
  • Unités d’entrée : activées par stimulation environnement
  • Unités cachées : reçoivent entrées des unités d’entrée
  • Unités de sortie : reçoivent entrées unités cachées
57
Q

De quoi dépend l’activation des unités ? (2)

A
  1. le signal provenant de l’unité d’entrée
  2. les poids de connexion
58
Q

Quelle est la logique des modèles connexionnistes ?

A
  • Débutent par associations au hasard (+/- cerveau, mais vrai dans simulations)
59
Q

Comment se créer un apprentissage dans les modèles connexionnistes ?

A

Lorsque 2 cellules sont activées ensemble de façon répétée
tendent à devenir associées
=> activité d’une facilite l’activité de l’autre

60
Q

Comment fonctionne l’activation des unités ?

A

Seuil à partir duquel elle enverra info
=> unité envoie ou pas l’info (0 ou 1/-1)

61
Q

Comment fonctionnent les connexions entrantes et sortantes des unités des modèles connexionnistes ?

A
  • Chaque unité reçoit de l’info et en envoie via une flèche
  • chaque connexion (flèches) a un poids de connexion
    => +1 : connexion excitatrice
    => -1 : connexion inhibitrice
62
Q

Quand se produit-il un signal d’erreur dans l’approche connexionniste ?

A

Différence entre l’activité réelle des unités de sortie et l’activité correcte

63
Q

Comment se déroule la propagation de retour et boucle de rétroaction dans l’Approche connexionniste ?

A
  • signal d’erreur transmis dans le circuit
  • Indique comment les poids doivent être modifiés pour que le signal de sortie corresponde au signal correct
64
Q

Quand peut-on dire qu’il y a apprentissage dans l’approche connexionniste ?

A

Lorsque les poids ont été corrigés et que le signal d’erreur est nul

65
Q

Explique le traitement parallèle des unités dans l’approche connexionniste

A

Chaque unité compare ce qui est entrant à son seuil

66
Q

Dans l’approche connexionniste, à quoi correspondent les vecteurs et les matrices ?

A

Vecteurs : entrée / sortie

Matrices : mémoire

67
Q

Qui suis-je ?

La perturbation de la performance se produit progressivement au fur et à mesure que certaines parties du système sont endommagées.

A

Dégradation gracieuse

68
Q

Représentation cérébrale : Quelle approche suis-je ?

Différentes zones du cerveau peuvent être spécialisées pour traiter des informations sur différentes catégories.

A

Approche sensori-fonctionnelle

69
Q

Qui suis-je ?

mémoire sémantique qui distingue les attributs sensoriels et mémoire qui distingue les fonctions.

A

défaut de mémoire spécifique

70
Q

Représentation cérébrale : Quelle approche suis-je ?

facteurs utilisés pour déterminer les ressemblances et les différences entre différents concepts ou items
=> forme, fonction, emplacement

A

Approche à facteurs multiples

71
Q

Représentation cérébrale : Quelle approche suis-je ?

Circuits neuronaux spécifiques dans le cerveau pour des catégories spécifiques (spécificité).

A

Approche de catégorie sémantique

72
Q

Représentation cérébrale : Quelle approche suis-je ?

Notre connaissance des concepts est basée sur la réactivation des processus sensoriels et moteurs qui se produisent lorsque nous interagissons avec l’objet.

A

Embodied approach

73
Q

Quelles sont les 2 choses impliquées dans the embodied approach ?

A
  • Neurones miroirs : déclenchent lorsqu’on fait tâche ou on observe faire même tâche
  • Somatotopie sémantique : correspondance entre les mots à des parties spécifiques du corps
74
Q

Quel trouble suis-je ?

Perte de connaissances pour tous les concepts

A

Démence sémantique

75
Q

Pas tous les membres des catégories de tous les jours ont les mêmes caractéristiques. La plupart des poissons ont des branchies, des nageoires et des écailles. Les requins n’ont pas d’écailles, pourtant ils sont toujours catégorisés en tant que poissons.

Cela pose un problème pour quelle approche ?

A

Définitionnelle

76
Q

Pour quoi l’approche définitionnelle ne fonctionne pas bien ?

A

Objets naturels (oiseaux, arbres, plantes)

77
Q

Un avantage de l’approche exemplaire par rapport à l’approche des prototypes est que l’approche exemplaire fournit une meilleure explication de… .

A

effet de typicalité

78
Q
  1. Collins et Quillian ont expliqué les résultats des expériences d’amorçage en introduisant le concept de ___ dans leur modèle de réseau.
A

propagation de l’activation

79
Q
  1. L’apprentissage a lieu dans un réseau connexionniste à travers un processus de ________ dans lequel un signal d’erreur est transmis à partir des propriétés des unités.
A

propagation arrière

80
Q
  1. Selon l’hypothèse S-F, notre capacité à différencier les êtres vivants et les artefacts dépend d’un système de mémoire sémantique qui distingue ____ et ______
A

attribut et fonction

PSY 2065 - Processus cognitifs (11 decks)

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