Cours 7 Flashcards

1
Q

Pourquoi stade « opératoire » concret ?

A

Car c’est à cet âge qu’apparaissent les vraies opérations de la pensée (intériorisées). Cela correspondant à l’âge primaire (école). L’enfant atteint une première forme de rationalisme de pensée logique qui se rapproche de la norme. L’enfant a atteint une certaine maturité et est prêt à apprendre. La pensée de l’enfant est devenue réversible.

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2
Q

Définir le terme “opération”.

A

L’opération est un schème, une action intériorisée (représentative) devenue réversible. C’est une action quelconque de source perceptive, motrice, ou intuitive : elle découle d’un schème :
- trouver le plus grand/petit
-regrouper des objets
- imaginer un déplacement dans l’espace
- additionner des quantités
Coordination de deux opérations du même genre en une troisième (action faite au moins mentalement dans les 2 sens) : regrouper/séparer des objets : classification, ajouter/enlever : opération additive. Addition/soustraction, Réunion/ Partition.

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3
Q

Par quoi le stade opératoire concret est-il marqué ?

A

Apparition d’une première forme de logique concrète. Elle résulte de la construction d’opérations (schèmes, actions intériorisées devenues réversibles).

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4
Q

Comment la parenté de certaines activités joue-t-elle un rôle dans la résolution d’opération ?

A

Les opérations n’existent pas à l’état isolé, elles se coordonnent en structures :
- même contenu d’application
- même procédures
- résultats similaires
Ouvre la voie à la compréhension sur d’autres calculs : certaines opérations s’appliquent aux mêmes choses.

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5
Q

Définir l’intuition articulée.

A

Désigne cette capacité qu’a le jeune enfant de mettre en rapport les contenus de son expérience (les états successifs de la réalité qu’il perçoit, qu’il se représente ou qu’il transforme) au moyen d’additions préopératoires, de déplacements non encore regroupés en structure, de sériations partielles.

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6
Q

Quels processus sont utilisés par l’enfant lors d’une tâche de classification ?

A
  • intuition articulée : les collections non figurales sont de simples collections et pas des classes : relation d’inclusion.
  • intuition simple (primaire) : il confond extension (liste de tous les membres) et compréhension, logique et spatiotemporel. Pas de catégorisation : alignements, scènes, objets collectifs.
  • quantification de l’inclusion : penser au même temps sur le tout et la partie pour les comparer. « Y’a-t-il plus de pommes ou plus de fruits ? ». (Manque de) réversibilité : chaque fois qu’il y a une coordination il y a une conservation (retrait d’une partie pour la comparer au tout. L’enfant ne peut pas coordonner deux opérations élémentaires.
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7
Q

Quels sont les processus utilisés pour lors d’une tâche de sériations ?

A
  • intuition simple : manque de réversibilité de la pensée.
  • réussite opératoire : caractérise l’entrée au stade opératoire. -> Réversibilité : coordination (ib) et conservation (a>b)
  • intuition articulée : réussite par raisonnement
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8
Q

Citer les 2 structures de groupement.

A

I. La classification : groupement additif des classes. Réversibilité : inverse/négation
II. Les sériations : groupement des relations asymétriques transitives. Réversibilité : réciprocité.

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9
Q

Quelles sont les découvertes/compréhension au stade opératoire concret sur la notion de nombre ?

A
  • aspect cardinal (cf. slide 13)= classification vs. ordinal (2, 3, 4, 5, …)= sériation
  • conservation : à 7 ans, il comprend que là où c’est long ≠ là où y a plus ! Avant il confond les nombres et l’espace. Il différencie : nombre/espace, logico-mathématique/infralogique, transformation/états statique. Nombre = invariant. Nouvelle structure : groupe.
  • intuition simple et intuition articulée (cf. slide 14).
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10
Q

En quoi consiste les opérations spatiotemporelles ?

A
  • la quantité de matière (d’un verre à l’autre avec forme différente)
  • le poids (une grosse balle en mousse vs petit carré en plomb)
  • la longueur (2 barres pas mises parallèle)
  • le volume (verre on met des boules dedans : même volume ?)
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11
Q

De quoi sont constituées les structures logiques élémentaires ?

A

Des inclusions et sériations

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12
Q

Par quoi sont précédées les opérations logiques ?

A

Par des intuitions simples puis articulées

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13
Q

Que synthétise le nombre ?

A

Les opérations d’inclusion et de sériation. Si opération infralogique : classification -> partition, sériation -> déplacements

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14
Q

Qu’engendre en résumé le développement du stade opératoire concret ?

A

La compréhension des notions de quantité de matière (7ans), de poids (9ans), de volume (11 ans) mais aussi de longueur (8 ans).

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15
Q

Qu’est-ce que l’invariant des opérations logico-mathématiques ? et l’invariant pour les opérations infralogiques ?

A
  • opérations LM : le nombre

- opérations infralogique : la mesure

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