Cours 4 Flashcards
Comment est le cadre des scéance d’une évaluation selon l’approche cognitivo-comportementale?
Durée de 50 minutes, les psychologues donnent des rdv aux heures et cela permet 10 minutes pour écrire des notes, fait un rapport d’évaluation. Utile aussi pour prendre un temps pour voir comment cette personne me fait vivre les choses. Etre prêt à recevoir la prochaine personne.
Style : Vas être typiquement une personne expressive, qui peut se permettrent des intonations dans la voix, peut froncer les sourciils et dire que l’on comprend. Expressif dans son non verbal. Peut importe ce que le patiet dit. Pas de neutralité. Personne directive et structuré. Il y a un plan de match, vas demander des précisions, il est active. Pose des questions, il prend une certaine place. Il vas rechecher la collébaruion, veut travailler en équipe, on vas sentir qu’il se comporte de facon empatique, qu’il est chaleureux, empathique
Structure : Beaucoup de personne stressé au début, on démontre une sensibilité, moi je me sens pas stressé, je suis content de vous voir, J’ai prévue aujourd’hui que l’on se penche sur vos difficulté pour avoir une idée très claire de vos difficulté, pour voir comment ils se sont maintenue. Une prochaine fois je voudrais voir votre histoire de vie. À la troisième rencontre, je vous proposerais des idées de méthode de travail, je vous expliquerais mon ressenti. Partage de la compréhension
1. évaluation des difficultés de la personne
2. Évaluation de l’histoire de la vie
3. Partage notre compréhension clinique que l’on a de ses difficultés
4. Intervention de psychothérapie
Fréquence : une fois par semaine, certaine place ont une limite de rencontre (15, surtout au public)
Sur quoi se base l’Évaluation lors des scéance selon l’approche cognitivo-comportementale?
- Accueil et établissement du cadre
- Motif de consultation et historique : Pourquoi maintenant, histoire de vie
- Évaluation cognitive et comportementale : On veut une image précise et claire de l’individu
- Utilisation de questionnaires ou d’outils d’évaluation : Instrument de mesure valide, rigoureuse, étudie de manière précise, permet d’avoir une msure de base pour voir le développement, voir si notre traitement fonctionne. Est ce qu’on est sur la bonne voie? est ce qu’il se détériore. Typiquement les 3 première rencontres sont surtout de l’Évaluation. Permet une compréhension clinique. Évaluation continue. On essaie de concentrer la phase de concentration sur 3 périodes parce que mrs gervais veut aller mieux. Mesure transparente, pas de cachette,
Pas de test projectif (image, réponse sugérer, on sait pas ce que sa signifis) - Analyse fonctionnelle / compréhension clinique : Contre l’idée de faire un dx. descriptions des comportements ou des symptomes ou difficultés CE n’est pas une étiquette c’est une descriptions
- Définition des objectifs thérapeutiques : Je veux avoir plus confiance en moi! (au travail, dans sa famille?)
- Planification des interventions : espacer les rencontres, pour ne pas y mettre fin trop brusquement
- Proposition d’exercices entre les séances : Avoir a travaillé en dehors des rencontres, chaque fois que tu es en colère noter quand ou et pourquoi, dès le début, devoir
- Établissement d’une alliance thérapeutique : La personne doit se sentir écouter, créer un environnement propice à l’Échange
RÉSUMÉ ÉVALUATION
Avec Mon Esprit Unique, Analyser Donne Plus de Perspectives Éclairées.
- Accueil et établissement du cadre
- Motif de consultation et historique
- Évaluation cognitive et comportementale
- Utilisation de questionnaires ou d’outils d’évaluation
- Analyse fonctionnelle / compréhension clinique
- Définition des objectifs thérapeutiques
- Planification des interventions
- Proposition d’exercices entre les séances
- Établissement d’une alliance thérapeutique
Comment fonctionne l’analyse fonctionnelle et la compréhension clinique?
Il met en évidence les différentes composantes qui influencent un comportement spécifique :
1- Antécédents : Ce qui précède le comportement (les déclencheurs ou les situations).
2- Cognitions : Les pensées ou croyances de la personne. ( Je suis pas en couple car personne est ma hauteur Je ne suis pas en couple parce que personne m’aime)
3- Affects : Les émotions ressenties.
4- Actions : Les comportements spécifiques réalisés par la personne. ( amener à changer de comportement)
5- Conséquences : Les résultats ou répercussions des actions sur la personne ou son environnement.
L’objectif de cette analyse fonctionnelle est de comprendre les éléments qui influencent les comportements, afin d’amener la personne à changer de comportement, ici en lien avec le fait de l’aider à voir plus de personnes. Cette intervention vise probablement à encourager une plus grande socialisation ou interaction.
Quel sont les 4 facteurs de l’analyse fonctionnelle?
Facteurs prédisposants: Élément qui rendent la personne plus disposé, plus vénérable ou plus à risque à..
Facteurs précipitants : Moment précis qui a perdu l’équilibre ou les difficultés on gagné en importance (deuil, naissance, difficultés financière, surcharge),
Facteurs déclencheurs : Déclencheur endroits clos, il faut que cela précède les émotions ou sentiment de quelqu’un, exemple colère quand ca se passe pas comme il veux. Déclenche des émotions là tout de suite
Facteurs de maintien
Quels sont les 4 grilles et modèle utilisé par les psychologues pour faire une analyse fonctionnelle?
1- Modèle de Basic Idea
2 - Modèle de SECCA (analyse synchronique)
2.5 - Modèle de SECCA (analyse diachornique)
3 - Grille de Fontaine et Ylieff
4 - Grille de Kanfer et Saslow
Qu’est ce que le modèle BASIC IDEA
Le schéma présente le modèle BASIC IDEA, un cadre utilisé pour analyser et comprendre les différents aspects du comportement d’une personne en contexte thérapeutique. Voici un résumé des éléments clés du modèle :
- B (Behavior) : Comportement – l’image nette du comportement, y compris son intensité et sa forme.
- A (Affect) : Affect – les émotions ressenties par la personne.
- S (Sensation) : Sensations physiques – par exemple, mains moites, tension dans le corps.
- I (Imagery) : Imagerie mentale – les images ou métaphores que la personne utilise pour décrire ses pensées (comme se sentir “au bord du précipice”).
- C (Cognition) : Cognition – pensées et croyances de la personne.
- I (Interpersonal) : Relations interpersonnelles – l’état des relations sociales, qu’elles soient harmonieuses ou tendues.
- D (Drugs) : Substances – usage de drogues, médicaments ou d’autres substances qui influencent le comportement.
- E (Expectation) : Attentes – du processus thérapeutique ou des résultats.
- A (Attitude) : Attitude du thérapeute – comment le thérapeute se sent vis-à-vis du cas, par exemple, s’il se sent compétent pour aider.
Ce modèle est utilisé pour identifier les divers aspects qui peuvent influencer le comportement d’une personne et permettre au thérapeute de mieux orienter l’intervention clinique.
BASIC IDEA
- B ehavior
- A ffect
- S ensation
- I magery
- C ognition
- I nterpersonal
- D rugs
- E xpectation
- A ttitude
Expliquer le modèle SECCA synchronique
Analyse synchronique (Actuel, maintenant) :
Elle se concentre sur ce qui se passe dans le moment présent et est structurée selon cinq éléments :
1. S (Situation) : La situation ou le stimulus déclencheur.
2. E (Émotion) : L’émotion ressentie par la personne.
3. C (Croyances) : Les croyances personnelles ou les cognitions qui influencent la perception.
4. C (Comportements et Conséquences) : Les comportements qui découlent de la situation et les conséquences associées.
5. A (Anticipation) : Les attentes ou anticipations concernant l’avenir.
Exemple donné : Lors d’une réunion, la personne est en colère (émotion) car elle pense que les autres sont incompétents (croyance), ce qui la conduit à argumenter (comportement). Ensuite, elle anticipe que la réunion sera une perte de temps (anticipation).
Expliquer le modèle SECCA diachronique
Analyse diachronique (Évolution au fil du temps) :
Cette analyse se concentre sur l’évolution du problème au fil du temps. Elle examine les éléments historiques et structurels liés à la situation, incluant :
- Données structurelles possibles : Facteurs biologiques, génétiques, ou structurels sous-jacents.
- Facteurs déclencheurs initiaux : Les événements ou situations qui ont initialement provoqué le problème.
- Événement ayant précipité le trouble : Une situation particulière qui a fait ressortir ou empirer le trouble.
- Facteurs historiques de maintien : Les habitudes ou schémas qui, au fil du temps, ont renforcé le problème.
- Autres problèmes : Problèmes associés ou contextuels, qui peuvent influencer la situation.
- Traitements précédents : Les interventions ou traitements déjà tentés (psychothérapie, médicaments, etc.).
- Maladies physiques : Problèmes de santé ou conditions médicales qui pourraient influencer la situation.
Ce modèle permet d’analyser le comportement à un instant donné (synchronicité) ainsi que son évolution à travers le temps (diachronicité), pour avoir une vue globale du problème.
A quel facteurs est ce que l’on ajoute cet élément : La personne a un historique familial de dépression.
- Données structurelles possibles ou facteurs prédisposant
Elle a commencé à ressentir des symptômes après la perte de son emploi.
Facteurs déclencheurs initiaux, facteurs précipitant
Une rupture sentimentale a aggravé son état.
Événement ayant précipité le trouble, événement déclencheur
L’isolement social et un mode de vie sédentaire contribuent à maintenir les symptômes.
Facteurs de maintien :
La personne présente également des troubles anxieux.
Autres problèmes : autre que ce pourquoi elle consulte
Elle a essayé une thérapie cognitive-comportementale, sans résultat durable
-Traitements précédents : .TOUT ce qu’elle a déjà essayer, médication ou hypnose