Cours 12 - La 3e vague de l'approche cognitivo-comportementale Flashcards

1
Q

Que vise la première vague de la théorie cognitivo comportementale?

A

La première vague vise directement le
changement des comportements problématiques. Elle repose en grande partie sur les principes du conditionnement classique et du conditionnement opérant.

Cognitivisme

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2
Q

Quel est l’objectif de la 2e vague?

A

La deuxième vague a pour objectif de permettre à la personne en thérapie de prendre conscience de ses pensées automatiques et de ses croyances irrationnelles afin de les modifier. Pour ce faire, la restructuration cognitive sera utilisée.

Maintenant fusionner
Cognitivo comportementale classique qui se base sur la première et deuxième vague

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3
Q

Quel est le buts des approches de la 3e vague?

A

Les approches de troisième vague cherchent quant à elles à agir sur la relation qu’une personne entretient avec ses symptômes.

Ne s’est pas fusionner, elle est différentes, différents objectifs

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4
Q

Donner 3 exemples de TCC de troisième vague?

A

1 - La thérapie d’activation comportementale pour la dépression
2 - La thérapie basée sur la pleine conscience
3 - La thérapie d’acceptation et d’engagement

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5
Q

Que veux dire ACT?

A

(ACT pour Acceptance and Commitment Therapy)

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6
Q

Quel est le but de l’Act?

A

Son but n’est pas de supprimé la souffrances des gens, mais bien d’accueillir ses ressentis et ses pensées inconfortable afin d’agir comme on le veux dans différents contexte. C’est ce qu’on appelle la flexibilité psychologie

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7
Q

Qu’est ce que la flexibilité psychologique?

A

D’accueillir ses ressentis et ses pensées inconfortable afin d’agir comme on le veux dans différents contexte

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8
Q

Nommé les 6 processus utilisé dans l’act

A

1 - La défusion cognitive
2 - Les valeurs
3 - Les actions engagées
4 - L’acceptation
5 - Le moment présent
6 - Le soi observateur

Les 6 permettent la flexibilité psychologiques

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9
Q

Quels sont les deux outils de L’ACT?

A

1 - La matrice
2 - Les 6 processus thérapeutiques de l’hexaflex

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10
Q

Quel est la proposition globale de L’ACT?

A

La proposition consiste à « moins lutter contre » et à « plus oeuvrer pour ».

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11
Q

Quel sont les 4 case de la matrice?

A

1 - Action de lutte : c’est ce qu’on fait pour fuir, diminuer ou éviter la souffrance

2 - Souffrance : ce à quoi on ne veut pas penser ou ce que l’on ne veut pas ressentir

3 - Actions engagés : ce qu’on fait pour avancer vers nos valeurs

4 - Valeurs : ce qui est important pour nous ou pour soi

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12
Q

Qu’est ce que l’action de lutte dans la matrice?

A

Action de lutte : c’est ce qu’on fait pour fuir, diminuer ou éviter la souffrance

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13
Q

Qu’est ce que la souffrance dans la matrice?

A

Souffrance : ce à quoi on ne veut pas penser ou ce que l’on ne veut pas ressentir

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14
Q

QU’est ce que les actions engagés dans la matrice?

A

Actions engagés : ce qu’on fait pour avancer vers nos valeurs

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15
Q

Qu’est ce que nos valeurs dans la matrice?

A

Valeurs : ce qui est important pour nous ou pour soi

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16
Q

Quels sont les 4 sens des flèches de la matrice?

A

En haut : expérience des 5 sens
En bas : activité mentale
À droite : s’approcher
À gauche : s’éloigner

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17
Q

Dans quel sens est ce que la matrice veux nous amener?

A

Lutter moins
L’acte nous amène a travailler et a essayer de s’approcher à ce qui est important pour nous,

Premier axe aller plus vers la droite que vers la gauche, ont veux s’approcher davantage de nos valeurs que de la souffrance

Deuxième axe etre plus en contact avec nos sens (plus vers le haut que vers le bas)

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18
Q

Qu’est ce que la défusion cognitive?

A

Il s’agit d’un processus de distanciation qui consiste à concevoir les pensées pour ce qu’elles sont et non pour ce à quoi elles réfèrent ou pour ce qu’elles prétendent être.

Possible d’avoir certaines pensées qui nous disent certaines choses qu’on n’est pas capable de faire et qu’on peut malgré tout faire les choses en question qu’on voudrait faire

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19
Q

Qu’est-ce que le processus de distanciation? Dans la defusion cognitive

A

C’est de prendre une distance avec nos pensées. C’est une distance entre nos pensées et nos comportements. Nos pensées ne sont pas des faits, c’est le produit de notre esprit.

CONSISTE À CHANGER LA RELATION QU’ON ENTRETIENT AVEC NOS PENSÉ

20
Q

Vrai ou faux, nos pensé sont des faits?

A

Faux, nos pensées ne sont pas des faits, c’est le produit de notre esprit.

21
Q

Qu’est-ce que les valeurs?

A

Elles renvoient à ce qui est important, à ce qui donne un sens à notre vie.

22
Q

Comment faire la différence entre nos objectifs et nos valeurs?

A

Différence entre valeur et objectifs

Objectif de Sophie d’être en couple n’est pas réussi, peut être penser a demander à d’autre personne en dehors de ce contexte

SI mon objectifs est d’être en couple, je peux continuer à avancer vers mes objectifs même si ca ne marche pas. On peut toujours continuer d’avancer vers nos valeurs

On ne peut pas atteindre une valeur

23
Q

Comment peuvent être vue la souffrance et les valeurs?

A

Comme les deux faces d’une même pièce

24
Q

Pourquoi et comment est ce que la souffrance et les valeurs sont lié?

A

Liés parce que si quelque chose nous fait souffrir c’est que cela touche quelque chose pour moi.

Exemple être seul, me rend triste, mais j’ai un anxiété sociale

Exemple : Ma valeur est de réussir mes études mais une autre de mes valeurs c’est la famille et en ce moment de fin de session on arrive pas à concilier les deux.

Exemple : Personne franche et transparente, personne qui prend soin des autres (est ce que je lui dit que je trouve pas beau, même si ca vas la blesser)

25
Q

Donnez 3 conflits de valeurs pouvant causer de la souffrance.

A

1 - Deux valeurs qui entre en conflits (culpabilité, honte, anxiété)

2 - De ne pas vivre en accord avec ses valeurs

3 - Agir en accord avec ses valeurs mais être souffrant quand même (Etre en relation avec les autres c’est une valeur pour nous mais c’est anxiogène pour nous)

26
Q

Qu’est ce que les actions engagées?

A

On parle ici d’actions en harmonie avec nos propres valeurs

Action faites avec notre corps (physique, observable pour les autres)

Sophie partage des informations, action engagé de nous enseigne (elle mime et met de l’intonation)

27
Q

Nommez 3 types d’obstacles aux actions engagées.

A

1 - Obstacle cognitif : Tu ne peux pas faire ca, les autres vont te juger et te rejetter (stratégie de la diffusion cognitives, prendre nos distance face à cela. Je prend une distance face aux obstacle cognitifs)
2 - Obstacle émotionnelle : Stratégie de l’acceptation.
3 - Obstacle extérieur ( j’attend un document important qui me permettrait d’avancer vers mes valeurs, l’obstacle est extérieur à moi) la stratégie est la résolution de problème, on étudie la stratégie de résolution de problème. (liste de solution potentielle)

28
Q

Qu’est ce qu’un obstacle cognitif?
Et quel est sa stratégie?

A

Obstacle cognitif : Tu ne peux pas faire ca, les autres vont te juger et te rejetter (stratégie de la défusion cognitives, prendre nos distance face à cela. Je prend une distance face aux obstacle cognitifs)

29
Q

Qu’est ce qu’un obstacle émotionnelle?
Et quel est sa stratégie?

A

Stratégie de l’acceptation.

30
Q

Qu’est ce qu’un obstacle extérieur?
Et quel est sa stratégie?

A

(J’attend un document important qui me permettrait d’avancer vers mes valeurs, l’obstacle est extérieur à moi) la stratégie est la résolution de problème, on étudie la stratégie de résolution de problème. (liste de solution potentielle)

31
Q

Vrai ou faux, Les actions engagées peuvent avoir pour conséquence immédiate d’augmenter notre souffrance.

A

Vrai,
Exemple : Imaginons que je chante très bien, et j’aimerais faire une carrière dans ca pour faire du bien aux autres avec ma voix mais j’ai très peur de chanter devant les autres, c’est difficile à vivre pour moi.

32
Q

Qu’est ce que l’acceptation?

A

Elle permet volontairement à tout ce que l’on pense et ressent, même ce qu’il y a de plus douloureux, d’être présent et ressenti, sans évitement ni fuite

33
Q

Exemple : Tu es en train de tirer contre un monstre, qui représente ta souffrance (anxiété, tristesse, etc.). Tu tires de toutes tes forces parce que tu veux éviter de tomber dans un ravin (le pire des scénarios). Mais ce combat constant t’épuise.
Que serait la leçon selon l’acceptation?

A

La leçon : au lieu de lutter sans cesse contre cette souffrance, accepte qu’elle est là. Lâche la corde. En arrêtant de résister, tu peux consacrer ton énergie à d’autres choses et mieux vivre avec cette souffrance, sans qu’elle prenne tout ton espace mental.

34
Q

Vrai ou faux, dans le contexte de l’ACT (thérapie d’acceptation et d’engagement), l’acceptation signifie la résignation ou la tolérance d’une émotion négative.

A

FAUX, Dans le contexte de l’ACT (thérapie d’acceptation et d’engagement), l’acceptation ne signifie pas la résignation ou la simple tolérance d’une émotion négative. Il ne s’agit pas de « supporter » l’émotion avec un sentiment d’impuissance ou de passivité (comme rouler des yeux ou se forcer à la tolérer), mais plutôt d’accueillir activement et volontairement cette émotion, comme si on la prenait à bras ouverts.

35
Q

Comment on devrait voir ses ressenties selon le principe de l’acceptation?

A

Cela implique une attitude bienveillante envers ses propres ressentis, même s’ils sont douloureux, en leur laissant de l’espace sans chercher à les repousser ou à lutter contre eux. L’idée est d’accepter leur présence comme une part normale de l’expérience humaine.

36
Q

Vrai ou faux, Acceptation n’est pas synonyme de résignation ou de tolérance

A

VRAI

37
Q

Qu’est ce que le moment présent?

A

La prof explique l’importance de vivre le moment présent, en prêtant attention à ce que nous ressentons à travers nos cinq sens plutôt qu’en étant perdus dans nos pensées ou préoccupations. Elle donne l’exemple simple de manger un bol de céréales avec pleine conscience : sentir la température de la cuillère, écouter les sons produits par la cuillère et le bol, savourer le goût des céréales, et remarquer leur texture.

Cette pleine conscience peut aussi s’appliquer à des activités quotidiennes comme marcher dehors et être attentif aux sensations du vent, au bruit sous nos pieds ou aux odeurs environnantes. L’idée est d’être pleinement présent et moins distrait par nos pensées.

38
Q

Quel est le but de la stratégie du moment présent?

A

Cette catégorie de stratégies permet d’accroître notre capacité à faire la distinction entre notre expérience sensorielle et notre expérience mentale. Elle a pour but de développer la conscience de notre expérience du moment.

39
Q

Qu’est ce que la stratégie du soi observateur?

A

Il s’agit d’adopter un point de vue sécuritaire et cohérent à partir duquel observer et accepter toutes nos expériences.

Le soi observateur implique de prendre une perspective extérieure sur soi-même, comme si nous étions des spectateurs de nos propres actions. Cela permet de se détacher des attentes et des étiquettes pour agir de manière plus libre et alignée avec ce que nous voulons réellement.

40
Q

Que permet d’avoir un approche flexible dans notre sens de soi-même?

A

Elle parle de l’importance d’avoir un sens stable de soi-même, tout en restant flexible dans notre identité. Être rigide dans notre perception de nous-mêmes, comme se limiter aux étiquettes données dans l’enfance (« tu es drôle », « tu es timide »), peut poser problème. Une approche plus flexible permet d’accepter le changement et de s’adapter aux situations nouvelles.

41
Q

Vrai ou faux, La rigidité du sens de soi peut être problématique au même titre que l’est l’absence d’un soi stable.

A

La rigidité du sens de soi peut être problématique au même titre que l’est l’absence d’un soi stable.

42
Q

Que peut provoquer les étiquettes reçus à l’enfance dans notre identité?

A

Lorsqu’on nous attribue des caractéristiques spécifiques (par exemple, “drôle” ou “sérieux”), cela peut influencer la manière dont nous nous percevons et nous comportons. Ces attentes peuvent venir des autres, mais aussi de nous-mêmes.
Rigidité identitaire : Si nous restons fixés sur ces étiquettes, cela limite nos comportements et notre développement personnel. Par exemple, une personne étiquetée comme “sérieuse” pourrait se priver d’explorer des comportements plus spontanés ou humoristiques.

43
Q

Quels ont été les métaphore utilisé pour expliqué le soi observateurs? (2)

A

Marionnette : Imaginer que nous dirigeons une marionnette qui nous représente. Cela nous aide à envisager des actions sans les contraintes habituelles.

Acteur jouant notre rôle : Réfléchir à ce que nous souhaiterions qu’un acteur fasse en jouant notre vie dans un film. Cette approche aide à visualiser des comportements alternatifs ou à sortir de nos schémas habituels.

44
Q

Dans le cadre du soi observateurs, la prof illustre ses propos avec René et François, expliquer.

A

René et François : Ces deux étudiants illustrent comment l’apparence ou les croyances personnelles influencent nos comportements. René, malgré des caractéristiques physiques jugées “désavantageuses”, utilise le charme et l’humour pour séduire, montrant une grande flexibilité. François, en revanche, malgré un attrait physique considéré comme “avantageux”, manque de confiance et agit avec retenue, montrant une rigidité dans son image de soi.

45
Q
A