Cours 3 - Structure identitaire Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la race?

A

caractéristiques phénotypiques visibles.
o Nous partageons 99.8% le même bagage génétique.
o Le mot race n’a pas vraiment sa place en science parce qu’il a été prouvé qu’il n’y a pas de race. Toutefois, il est encore beaucoup utilisé, parce que quand on perçoit les autres, on aperçoit vraiment son apparence physique pour juger une personne. On catégorise selon l’apparence physique

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2
Q

Qu’est-ce que l’ethnie?

A

caractéristiques culturelles (population humaine).
o Vraiment utilisé quand on veut différencier les gens des uns des autres. Toutefois, pas de consensus parce qu’on se sait pas sur quoi se baser pour les catégoriser dans les groupes ethniques. On se base alors sur la race pour être plus clair,

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3
Q

Expliquez pourquoi l’ethnie ne fait pas consensus et pourquoi le mot race est toujours utilisé

A
  • La notion d’ethnie ne fait pas consensus, puisque la division des différents groupes ethniques n’est pas claire.
  • En dépit du fait que la notion de race soit contestée, il reste que les dissemblances et les similitudes sautent aux yeux… et créent des nous et des eux, des familiers et des étrangers. On se base sur l’apparence physique.
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4
Q

Qu’est-ce que le sexe

A

caractéristiques biologiques et physiologiques mâles et femelles.

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5
Q

Qu’est-ce que le genre? Expliquez la première définition

A

(1) caractéristiques psychosociales masculines et féminines;
o Des hommes avec des personnalité plus féminines ou des femmes avec personnalité masculine. la personnalité peut nous influencer dans nos choix et goûts. EX: traits de personnalité masculinité, agir la raison par-dessus les émotions, agressif (fonceur), leadership.
o OU comment la personne se sent. Un homme peut se sentir plus interpellé par des traits ou choses féminines

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6
Q

Expliquez la deuxième définition du genre

A
  • (2) rôles qui sont déterminés socialement, comportements, activités et attributs qu’une société considère comme appropriés pour les hommes et les femmes.
    o Stéréotypes reconnus par rapport aux femmes ou aux hommes
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7
Q

Expliquez la différence entre orientation sexuelle et identité de genre

A

o Orientation sexuelle : Manière dont une personne se sent à l’égard des personnes d’un sexe en particulier (ou les deux), à la fois physiquement et émotionnellement. Attirance sexuelle ou émotionnelle
o Identité de genre : Manière dont une personne se sent par rapport à son genre ainsi que son corps et les façons de se comporter qui d’après sa perception sont liées à ce corps

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8
Q

Qu’est-ce qu’un état confessionnel

A

quand les différents systèmes du gouvernement sont très liés avec la religion. EX: les écoles primaires et secondaires étaient dirigées par la religion.

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9
Q

Quelle est la disintction importante à faire dans la religion comme facteur identitaire?

A
  • À distinguer de la religion comme pièce du patrimoine
    o On peut s’identifier aux aspects du patrimoine (traditions, valeurs) religieux, mais qui ne sont plus vraiment associées à la religion (EX: fêter Noël alors qu’on ne fête pas les autres fêtes religieuses)
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10
Q

Pourquoi est-ce que la langue peut créer des problèmes identitaires

A

o La majorité des pays connaissent une diversité des langues à l’intérieur de leurs frontières; (EX : les accents du Québec)
o Une même langue peut être parlée de plus, très souvent, une même langue peut être parlée dans d’autres pays ou par différentes ethnies.

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11
Q

Expliquez le rôle social comme facteur identitaire

A
  • Ce facteur réfère à la façon dont l’individu se comporte dans les rôles sociaux qu’il occupe
    o C’est quoi le rôle de la personne comparativement aux autres personnes, le rôle d’un père par rapport à ses enfants, etc. Plus le rôle est présent dans la vie de la personne, plus il prendra de la place dans l’identité
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12
Q

Expliquez la cause et l’idéologie comme facteur identitaire

A
  • Ce facteur réfère à une idée, une philosophie, un programme; tout ce que émotivement ou rationnellement programme; tout ce que, émotivement ou rationnellement, nous sommes portés à croire juste ou avantageux
    o Les choses qui nous tiennent à cœur, qu’on croit et qu’on veut porter attention
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13
Q

Expliquez le pays et la géographie comme facteur identitaire

A
  • Le pays est un espace géographique délimité juridiquement par des frontières.
    o L’endroit où on habite. Certains critères pour être un pays (avoir des frontières géographiques, juridiquement limitées, etc.) Plusieurs endroits ne répondent pas à tous les critères, ce qu’on appelle des Nations. EX: Les territoires du Nord-Ouest. Le Québec.
  • La reconnaissance ultime est l’appartenance à l’Organisation des Nations unies (ONU). Il y a actuellement 197 pays reconnus par l’ONU.
  • Cette identité, fort englobante, peut subir une certaine érosion en raison de l’importance que peuvent prendre, à l’intérieur des frontières géographiques les identités l’intérieur des frontières géographiques, les identités particulières qui y prolifèrent sous le couvert d’ethnies, de diversité de langues ou d’héritages culturels.
    o On peut s’identifier à notre pays. Ça donne un point de repère. Peut être difficile de s’identifier au pays à cause de la diversité qui provient du pays d’origine. Généralement, on ne se réfère pas toujours au pays
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14
Q

Expliquez la nation comme facteur identitaire

A
  • Une nation réfère à un ensemble d’individus qui ont un passé commun (histoire), un partage d’expériences collectives et un partage de valeurs similaires. Ces individus ont un sentiment d’appartenance et un attachement à une certaine culture qui peuvent être renforcés par le partage d’une langue d’une religion ou d’une race d’une langue, d’une religion ou d’une race.
    o Personne qui se retrouvent sur un même territoire. La nation n’est pas juridiquement limités, elle peut être un groupe de personnes dans un pays. EX: Les Acadiens.
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15
Q

Quelles sont les 3 caractéristiques d’une nation

A

 1. Histoire: ancêtres communs, événements historiques, gens marquants.
 2. Symboles: pour affichés une identité (chansons, drapeau)
 3. Une nation est plus précis, les gens se ressemblent plus (différence avec le pays, où c’est plus général)

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16
Q

Qu’est-ce que le régionalisme

A
  • Les pays modernes, encore plus les pays anciens, sont divisés en régions qui, à des degrés fort différents, servent d’identité. Ces régions sont en compétition entre elles, d’identité. Ces régions sont en compétition entre elles, parfois en compétition avec l’identité nationale
    o EX: En Belgique, il y a les flamands et les Wallons. Le régionalisme est encore plus précis qu’une nation. C’est encore plus proche de nous. Plus un facteur identitaire est précis, plus la personne pourra se l’approprier (Elle se définira plus clairement)
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17
Q

Qu’est-ce que la classe sociale

A
  • La classe sociale est un facteur sociologique qui permet de déterminer un ensemble vaste d’individus partageant certains critères liés à une position sociale hiérarchisée ou non
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18
Q

Quele est la différence entre classe sociale et rôle social

A

o À ne pas confondre avec le rôle social. Ici, la classe parlerait plus d’une façon de se classer dans la société, plutôt que le rapport que les gens ont. Quand on parle de hiérarchie, ce n’Est pas une hiérarchie où quelqu’un est supérieur, c’est seulement qu’on peut classer en un ordre précis (ça pourrait être l’ordre de scolarité, l’argent possédé, etc)

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19
Q

Expliquez le travail et l’école comme facteur identitaire

A
  • L’identité professionnelle ne se limite pas à un nom de profession ou d’entreprise. De même, l’identité scolaire ne se limite pas à un nom de programme ou d’université.
    o Ça va au dela de ça. On s’identifie à un groupe de personne qui possède les mêmes intérêts, qui partagent une passion commune.
  • Il y a de multiples manières de se définir professionnellement ou académiquement.
    o en fonction des relations entre les gens, valeurs de l’institution, relié à la performance de l’entreprise.
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20
Q

Expliquez comment une équipe sportive, une vedette ou un logo peut être une identité sociale

A
  • Il s’agit d’une tendance de la nature humaine à la sociabilité, à briser la solitude et à se retrouver avec des semblables… contre des «eux» qui peuvent servir d’ennemis pour l’occasion et qui ont pour fonction de réconforter le «nous» qui nous englobe.
    o Le simple fait de savoir qu’on fait parti d’un groupe est très rassurant. Il y a des gens à qui on peut se référer. EX: Les souliers permettent de se sentir dans un groupe, le groupe amènent un sentiment de sécurité.
  • Ça peut être simplement la partisannerie qui unit certaines personnes autour d’une équipe sportive ou autour d’une vedette.
  • Ça peut aussi être des noms de marques, des logos, des symboles de gang.
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21
Q

Quelles sont les 4 types de structures identitaires

A

intersection, dominance, compartimentalisation et fusion.

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22
Q

Qu’est-ce que l’intersection

A
  • Une adolescente qui joue au violon. Comment peut-elle intégrer ceci comme un tout?
  • La personne, dans l’intersection, va se considérer seulement comme appartenir aux deux groupes ensemble. Son identité se résume à une combinaison des deux facteurs.
  • Elle n’est pas une adolescente, ou violoniste, mais seulement quand ça concerne les deux.
  • La personne va considérer comme étant son endogroupe ceux qui ont la même combinaison de caractéristiques.
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23
Q

Qu’est-ce que la dominance

A
  • La deuxième caractéristique va nuancer la caractéristique principale. Si on lui demande quel genre d’adolescente elle est, elle va parler de jouer du violon.
  • Si on lui demande son endogroupe, ce sera le groupe des adolescents. Elle clarifie son idée avec le violon. Le B n’est pas considéré seul, il est considéré avec la caractéristique principale
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24
Q

Qu’ext-ce que la compartimentalisation

A
  • Dépend de la saillance du contexte. Si l’adolescente est avec son école secondaire, elle va s’identifier avec les adolescents. Quand elle est dans son orchestre, la saillance du contexte va faire ressortir son identité de violoniste.
  • Son endogroupe va changer selon le contexte. Pourrait arriver qu’un contexte montre les deux caractéristique (EX: son orchestre est composé de musicien adolescent, alors les deux caractéristiques seront les principales)
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25
Q

Qu’est-ce que la fusion

A
  • La personne pense à elle selon toutes ses caractéristiques, peu importe le contexte. Elle sera pleinement une adolescente et pleinement une violoniste, dans tous les cas.
  • Son endogroupe est composé des personnes soit adolescent, soit violoniste, soi les deux. (Différence avec l’intersection, où on devait posséder les deux pour être dans l’endogroupe).
  • La fusion, quand la personne pense à elle-même, elle va penser à tout ce qui peut être relié aux deux caractéristiques.
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26
Q

Expliquez la différenciation cognitive en contexte d’intersection

A

o Ignorer. Elle ignore une partie des informations qu’elle connait d’elle-même pur se concentrer sur les informations cohérentes entre elles. Simplifier la façon dont elle se voit.

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27
Q

Expliquez le renforcement en contexte de dominance

A

o Favoriser. La personne va favoriser une des deux identités pour vivre moins d’incohérence. Cela permet de diminuer le malaise

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28
Q

Expliquez l’isolement cognitif en contexte de compartimentalisation

A

o Séparer. La personne va penser d’elle différement selon le contexte. Si le papa est avec son enfant, il se pense seulement comme père en ce moment. La différence avec intersection, c’est que la o Séparer. La personne va penser d’elle différement selon le contexte. Si le papa est avec son enfant, il se pense seulement comme père en ce moment. La différence avec intersection, c’est que la

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29
Q

Expliquez la transcendance en contexte de fusion

A

o Ajouter. La personne va ajouter une information dans le but d’expliquer l’incohérence. Il va continuer avec sa vision mais va ajouter quelque chose pour être meilleur. EX: j’ai mes limites, je ne peut pas tout faire.

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30
Q

Dans quel ordre (moins à plus) est-ce que la complexité cognitive de chacun des structure et la dissonance cognitive est?

A
  1. intersection
  2. dominance
  3. compartimentalisation
  4. Fusion
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31
Q

Qu’est-ce que la différenciation

A

o Niveau de reconnaissance de l’incohérence
o Est-ce que la personne est capable de voir les incohérences dans ce qui la définit. Certaines personnes ne voient pas le conflit et si on ne le voit pas, on ne sera pas capable de le traiter et analyser profondément.

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32
Q

Qu’est-ce que l’intégration

A

o Niveau de résolution de l’incohérence
o Est-ce que la personne est capable de combiner des info ensemble pour réduire l’incohérence? Trouve-t-elle des solutions?

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33
Q

Pourquoi y-a-til cet ordre de complexité?

A

o Intersection: vont faire peut d’intersection et de différenciation.
o Dominance: même chose, mais nuance: dans l’intersection, la personne limite les infos. Dans la dominance, la personne va ordonner les informations qu’elle va analyser. Il considère plus d’informations
o Compartimentalisation: beaucoup de différenciation mais peu d’intégration. Elle adapte selon le contexte, elle ne va pas intégrer les infos ensemble
o Fusion: beaucoup des deux. elle cherche des liens entre ses caractéristiques.

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34
Q

L’identité repose sur deux volontés de l’individu

A

o S’intégrer dans un espace collectif/groupe (sentiment d’appartenance, être compris, se faire guider, etc.). Rejoint l’identité sociale/J33
o Se démarquer dans ce même espace collectif (se faire une place dans le groupe, exprimer ses goûts, etc.). Rejoint l’identité personnelle/Moi

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35
Q

Quelles sont les 3 étapes de la comparaison

A

o 1. Comparaison: notre identité est construite en se comparant. (Endogroupe, ressemblance)
o 2. Comparaison aux exogroupes (différences)
o 3. Ces informations nous amènent à nous connaitre.

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36
Q

Quels sont les trois processus identitaires et quels sont leur rôle commun?

A

Rôle contribuer à la construction de l’identité
o Processus sociocentrés : Traitement des informations relatives aux groupes (on réfléchit sur nous-même par rapport au groupe)
 Catégorisation sociale
 Auto-catégorisation
o Processus égocentrés : Traitement des infos relatives aux individus (on réfléchit sur nous-même en tant qu’individus)
 Comparaison sociale
 Attribution
o Processus relationnels et dynamiques : Traitement de l’interaction entre individu et contexte
 Diverses théories

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37
Q

Qu’est-ce que la catégorisation?

A
  • Activité mentale qui consiste à organiser des éléments dans un ensemble en fonction de critères communs
    o Un processus = activité mentale
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38
Q

Quelle est une limite de la catégorisation

A

Trop de généralisation, risque d’erreur dans les catégorisations des autres. On ne doit pas trop généraliser, il est parfois pertinent d’aller un peu plus précisément

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39
Q

Quelles sont les deux étapes de la catégorisations?

A

Élaboration des catégories

Utilisation des catégories

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40
Q

Expliquez les 3 sous-étapes de l’élaboration des catégories

A

 catégorisation basée sur le sujet
• La personne elle-même choisit comment les catégories vont être formées. EX: les jeunes et les vieux, on peut décider qui est vieux et qui est jeune et choisir les barèmes. Des catégories un peu floues, sans consensus, peuvent être considéré comme basée sur le sujet. (Chacun décide qui est un québécois selon ses propres critères).
 catégorisation basée sur l’objet;
• Les catégories s’imposent d’elles mêmes. Si on catégorise les gens par leur couleur de cheveux, ce critère est bien précis.
 catégorisation basée sur l’interaction entre le sujet et l’objet.
• La personne doit faire une évaluation d’un objet. on doit évaluer chacune des personnes/objets selon des critères selon nous.

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41
Q

Dans l’utilisation des catégories, on a deux processus. Expliquez les

A

 Induction : permet de classer les gens dans une catégorie

 Déduction : on sait déjà dans quelle catégorie elle se trouve et à partir de ça on peut décrire les gens

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42
Q

Qu’est-ce qu’un stéréotype

A
  • Stéréotype : Croyance qu’une personne entretient à propos des caractéristiques des membres d’un groupe.
    o Si on demande de décrire, on va dire un stéréotype. Stéréotype = série d’information qu’on a sur un groupe. Un stéréotype est un schéma pour tout un groupe social. On peut changer un stéréotype plus facilement que des catégories
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43
Q

Lors de la catégorisation, les gens ont tendance à être soumis aux phénomènes d’assimilation et de différenciation. Expliquez les

A

o Assimilation : Accentuation des ressemblances entre les individus appartenant au même groupe
 Généralisation. L’impression que tous les gens de la catégorie sont très semblables
o Différenciation : Accentuation des différences entre les individus appartenant à des groupes différents
 On compare 2 groupes entre eux et on focus sur les différences

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44
Q

Si on ocmbine l’assimilation et la différenciation, qu’est-ce qu’on amène?

A
  • La combinaison de ces deux phénomènes amène les gens à percevoir à tort que les membres de l’exogroupe sont très différents de ceux de l’endogroupe.
    o Si on a l’impression que les gens dans deux groupes distincts sont très semblables mais les deux groupes sont très différents, cela peut avoir des impacts négatifs.
    o Les façons de décrire chaque quartier à Montréal est un exemple.
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45
Q

Qu’est-ce que l’autocatégorisation et ses trois niveaux?

A
  • Le processus de catégorisation appliqué à soi peut se dérouler à trois niveaux (Turner et al., 1987) : à trois niveaux (Turner et al., 1987) :
    o Niveau supra ordonné: l’individu se catégorise comme être humain; il réalise des comparaisons entre l’espèce humaine et d’autres espèces.
    o Niveau intermédiaire: l’individu se catégorise comme membre d’un groupe; il réalise des comparaisons intergroupes.
    o Niveau subordonné: l’individu se catégorise comme une personne singulière; il réalise des comparaisons interpersonnelles et des comparaisons intragroupes.
46
Q

Qu’est-ce que la dépersonnalisation

A
  • Dépersonnalisation : Perception de l’individu comme étant un exemplaire d’une catégorie sociale; qui possède un ensemble de possède les traits stéréotypiques qui définissent son endogroupe
    o Je suis pareil aux personnes dans mon groupe. Rejoint le niveau intermédiaire (je fais des comparaisons entre les membres de mon groupe, intergroupe.). Revient aussi à l’identité sociale, je suis les normes et valeurs de mon groupe.
47
Q

Que signifie le sentiment d’unicité

A

Perception de l’individu comme étant un être unique qui possède un ensemble de caractéristiques qui lui est propre et qui n’est partagé par personne d’autre
o Je fais ressortir des éléments qui me différencient des autres. Rejoint l’identité personnelle
o Pas une des deux dimensions qui est meilleure que l’autre, tous les deux ont des bons et mauvais
o Dépersonnalisation: Tout le monde dans une entrepris est traitée de la même façon. toutefois, si on veut se dépasser et bien performer, on aura pas de récompense parce que tout le monde est pareil
o Unicité : j’ai un A+ et je me fais féliciter, mais être le seul a avoir A+ peut être négatif, parce que c’est pas juste.

48
Q

Qu’est-ce que la catégorisation croisée

A

processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à deux catégories sociales

49
Q

Qu’est-ce que la catégorisation multiple

A

Processus par lequel une personne prend conscience qu’elle appartient à plus de deux catégories sociales

50
Q

Qu’est-ce que la comparaison sociale

A
  • En l’absence de normes objectives définies, nous déterminons et évoluons nos habiletés et nos caractéristiques personnelles en nous comparant aux autres.
    o On s’évalue nous-même, en tant qu’individu. Se comparer à des gens équivalents à nous. Un groupe pertinent = un groupe qui est au même niveau que nous
51
Q

Qu’est-ce que la comparaison ascendante

A

Se comparer à des personnes supérieures à soi

o On peut se comparer et briser notre estime, mais cela peut aussi devenir un objectif et source de motivation

52
Q

Qu’est-ce que la comparaison descendante

A

Se comparer à des personnes inférieures à soi
o Augmentation de l’Estime de soi même, mais perte de motivation parce que à quoi ça sert de se forcer si je suis déjà le meilleur?

53
Q

Expliquez la théorie qui met l’accent sur la similitude

A
  • La Théorie des processus de comparaison sociale postule que «qui se ressemble s’assemble». Et si la ressemblance est faible dans un premier temps, elle doit s’accentuer au cours du temps
  • Il existe chez tout individu une tendance à évaluer ses opinions et aptitudes personnelles. On a besoin de savoir de quel niveau on est et qu’est-ce qu’on fait.
54
Q

Quelles sont les 3 façons d’évaluer nos opinions et aptitudes selon la théorie qui met l’accent sur la similitude?

A

o 1. Par des moyens objectifs non sociaux. (EX : nombre d’erreurs commises) Sinon…
o 2. En les comparant avec les opinions et aptitudes des autres. Sinon…
o 3. La personne a de la difficulté à se définir

55
Q

Vrai ou fois? Dans la théorie basée sur la similitude, la tendance à se comparer décroît à mesure qu’augmente la différence entre soi et l’autre.

A

Vrai. - Si le seul terme de comparaison possible est très éloigné, l’évaluation manquera de précision subjective.
o Ici, on montre l’évidence que le point de référence doit être pertinent. Plus on ressemble, plus la comparaison est précise

56
Q

Qu’est-ce que la divergence intergroupe

A

Quand dans notre groupe, les membres sont très différents des uns des autres et on aura de la difficulté à trouver des points communs

57
Q

Qu’est-ce que la pression à l’uniformité

A

Pression pour ramener les gens du groupe à se ressembler plus

58
Q

Que sont les trois façons de ramener l’uniformité

A

 1. La personne elle-même tente de ressembler aux autres
 2. La personne influence les autres pour qu’elles lui ressemblent
 3. La personne cherche d’autres critères comparer les autres et trouver des points communs
- Pour les aptitudes, la pression à l’uniformité ne débouche pas sur un état d’équilibre car il existe un mouvement unidirectionnel vers le haut, une tendance à vouloir toujours faire mieux (qui n’existe pas pour les opinions). Nous n’arrivons donc jamais à un état de repos social (équilibre)

59
Q

Dans la théorie de la similitude, de quoi dépendent les pressions à l’uniformité?

A

o l’importance du groupe pour l’individu; (Plus le groupe est important pour nous, plus on fait d’effort pour garder une certaine uniformité pour éviter les conflits)
o la pertinence de l’opinion ou de l’aptitude pour le groupe.

60
Q

Qu’est-ce que la théorie de la comapraison qui met l’accent sur la différence?

A
  • La référence à autrui conduit à de la différenciation lorsqu’elle fait peser une menace sur l’identité. La restauration de cette identité se fait à travers la recherche de la différence, de l’altérité, de la création puis de l’accentuation de l’hétérogénéité
61
Q

Quelles sont les 4 étapes de la théorie de la comparaison qui met l’accent sur la différence?

A

o L’individu se sent infériorisé par rapport aux autres membres du groupe (menace à son identité).
 On prend la différence et on la met de l’avant pour valoriser ce qu’on est
o Il y a divergence, création de nouveaux critères dans les façons de penser, de sentir, d’agir. façons de penser, de sentir, d’agir.
o Il y a tentative de faire reconnaître et de faire accepter ces nouveaux critères (cela englobe le prosélytisme, le recrutement ou le rassemblement des personnes qui sont ou sont devenues semblables afin d’avoir plus de poids dans la lutte pour faire admettre la légitimité de ces nouveaux critères).
o Il y a tentative, lorsque les nouvelles dimensions sont admises socialement, de les substituer aux critères primitifs afin de renverser en sa faveur une situation initialement défavorable tentative de substituer à « l’ordre ancien » un «ordre nouveau».

62
Q

Qu’est-ce que la théorie de la comparaison qui articule similitude et différence

A
  • Selon le Modèle de la conformité supérieure de soi, pour un ensemble défini d’individus, il existe en général une importante tendance de chacun à affirmer qu’il est lui-même plus conforme aux normes en vigueur dans cet ensemble que ne le sont, de façon générale, les autres personnes
63
Q

Quel est le processus de la conformité supérieure de soi? (3 étapes)

A

o 1. L’individu tend à se valoriser face aux autres.
o 2. Il y a un conflit entre:
 le désir de plaire;
 la volonté de préserver son identité personnelle.
o 3.Il n’ y a qu’une seule façon de solutionner ce conflit : c’est de s’affirmer comme étant en plus grande conformité que les autres aux normes sociales.
 Je fais comme les autres, mais je le fait encore plus que vous. On peut se montrer semblable aux autres tout en indiquant qu’on est différent dans notre similitude (Je crois au parti québécois, mais encore plus que vous!!! J’ai une carte de membre)

64
Q

Qu’est-ce que l’attribution?

A
  • Jugement (inférence) porté sur un événements, interprétation personnelle de la réalité
    o L’attribution, c’est ce que la personne pense qui s’est passé.
    o Plus on a d’infos sur l’événement, plus notre attribution va être juste. L’attribution est une inférence, ce qu’on suppose, avec les infos qu’on a, qui est arrivé
65
Q

Quelles sont les deux facettes de l’attribution

A
  • Une attribution peut être faite
    o Par soi-même : attribution de l’acteur et auto-attribution
    o Pour autrui : attribution de l’observateur ou hétéro-attribution
     les attributions que les autres ont à notre égard peuvent nous affecter.
66
Q

Vrai ou Faux? Si l’acteur et l’observateur disposent des mêmes informations, l’auto-attribution et l’hétéro-attribution sont relativement semblables.

A

Vrai

67
Q

Qu’est-ce que le biais de complaisance

A

tendance à attribuer nos succès à des facteurs internes et nos échecs à des facters externes (Quand on se juge soi-même

68
Q

qu’est-ce que l’Erreur d’attribution fondamentale

A

Tendance à exagérer l’importance des facteurs internes et à sous-estimer l’influence des facteurs externes dans l’explication du comportement d’autrui (Quand on juge quelqu’un d’autre

69
Q

Qu’est-ce que le Biais de responsabilité injustifiée

A

Tendance à porter le blâme à la victime

70
Q

Qu’est-ce que la croyance en un monde juste

A

Croyance selon laquelle chacun est responsable de ce qu’il lui arrive. L’univers envoie un message, Dieu n’est pas content, etc.

71
Q

Qu’est-ce que l’autodépréciation

A

La personne émet, sincèrement ou non, des jugement sdéfavorables à son propre égard

72
Q

Qu’est-ce que la résignation acquise

A

Réponse apprise résultant de l’exposition répétée à des situations désagréables ou douloureuses impossibles à combattre, fuir ou éviter.
o Situations désagréables ou douloureuses
o Situations désagréables ou douloureuses.
o Situations perçues comme incontrôlables par la personne.
o États émotionnels, cognitifs et motivationnels déficitaires.
o Passivité, apathie, inhibition

73
Q

Quelles sont les tendances à tenir compte de l’information selon la position de la personne dans la situation dans l’attribution?

A

o Mais, dans les faits, nous n’avons pas tendance à tenir compte des mêmes informations….
 Acteur: tendance à se juger lui-même à partir de ce qu’il voit: le contexte en premier, lui-même en second.
 Observateur: tendance à juger autrui à partir de ce qu’il voit: l’acteur en premier, le contexte en second.

74
Q

Qu’est-ce que l’Attribution sociale

A
  • La personne peut aussi faire des attributions en fonction des caractéristiques des groupes sur lesquels elle porte un jugement (endogroupe ou exogroupes).
75
Q

Qu’est-ce que le favoritisme endogroupe

A

Évaluation plus positive de l’endogroupe que de l’exogroupe

76
Q

Qu’est-ce que le favoritisme exogroupe

A

Évaluation plus positive de l’exogroupe que de l’endogroupe

77
Q

Qu’est-ce que l’eurreur d’Attribution ultime

A

Un comportement désirable est attribué à une causalité interne lorsqu’il est fait par un membre de l’endogroupe et à une causalité externe lorsqu’il est fait par un membre de l’exogroupe. Dans le cas d’un comportement indésirable, c’est l’inverse qui se produit. Nous amène à garder une vision négative de l’exogroupe et positive pour l’endogroupe

78
Q

Que veut dire Breakwell par rapport aux processus dynamiques et relationnels?

A
  • Breakwell suggère que deux processus sont à la base du développement de l’identité
79
Q

Qu’est-ce que l’assimilation-accomodation?

A

l’assimilation désigne l’absorption d’informations nouvelles dans la structure de l’identité; l’accommodation se réfère à l’ajustement qui se produit dans la structure existante pour placer cette information.

80
Q

Qu’est-ce que l’évaluation?

A

elle implique l’attribution d’une valeur aux éléments qui sont assimilés dans l’identité. Considère une nouvelle information mais désigne si c’Est quelque chose d’important ou non

81
Q

Grotevant examine le dev de l’identité dans différents domaines. la probabilité qu’une personne s’engage dans un travail identitaire depend de l’interaction entre: 3

A
  1. caractéristiques individuelles
  2. facteurs contextuels
  3. processus de formation de l’identité dans d’autres domaines
82
Q

Expliquez les caractéristiques individuelles (6 cara.)

A

estime de soi, contrôle de soi, résilience, l’ouverture, capacités cognitives, identités actuelles

83
Q

Quelles sont les 3 facteurs contextuels

A

croyances et attentes culturelles, groupes sociaux primaires, le type de communication dans la famille

84
Q

Dans les processus selon grotevant, l’accent est mis sur le caractère transactionnel du processus. Expliquez

A

le contexte influence continuellement la personne en développement, et la personne influence continuellement le contexte dans lequel elle évolue. Autrement dit, il y a plusieurs choses qui influencent notre identité. Ce n’est pas 1 chose qui influence tout, c’est l’interaction entre eux qui influencent

85
Q

Quels sont les trois styles de traitement d’information de Berzonsky?

A

o Style orienté vers l’information : la personne explore activement et évalue l’information pertinente avant de s’engager.
o Style orienté vers la norme : la personne se centre sur les attentes normatives d’autres personnes significatives pour elle.
o Style orienté vers la diffusion : la personne tend à retarder et à faire traîner les choses jusqu’à ce que des valeurs hédonistes dans la situation immédiate lui dictent une voie de comportement.
 Valeurs hédonistes = les valeurs où la personne recherche le plaisir. Si c’est une info qui lui fait du bien, elle aura plus tendance à l’accepter.

86
Q

Expliquez le type de formation d’identité pour les individus orientés vers l’information

A

sont ouverts au feedback et ils sont prêts à réviser leurs schémas d’eux-mêmes. Ils ont une perception de soi qui est bien différenciée et intégrée. flexibilité cognitive dans leur perception de soi

87
Q

Expliquez le type de formation d’identité pour les individus orientés vers la norme

A

ont une théorisation de soi plus dogmatique et ils défendent leurs croyances centrales. Ils ont une perception de soi plutôt rigide. Une idée arrêtée et précise et ne vont pas chercher à mieux se connaitre. Ils ne changent pas leur perception d’eux-mêmes même s’ils ont des nouvelles informations

88
Q

Expliquez le type de formation d’identité pour les individus orientés vers le diffusion

A

présentent des schémas de caméléon aux influences situationnelles. Cependant, les modifications impliquent des actes éphémères de conformité verbale ou comportementale. Ces individus ont une perception de soi manquant de cohérence et d’unité. Mettent plus de poids sur leur identité sociale que leur identité personnelle. Ces personnes n’ont pas une vision claire d’eux-mêmes. Difficulté à assimiler les informations nouvelles. Ils traitent plus les informations positives. Utilisent des distorsions, réarrange pour interpréter d’une autre façon

89
Q

Vas voir le processus selon Kunnen et Bosma dans les notes

A
  • La personne et le contexte réagissent l’un à l’autre.
  • Nature itérative de ce processus : le développement de l’identité est un enchaînement de transactions : le même mécanisme se répète encore et encore, de telle façon que le développement à long terme est déterminé par une séquence de processus à court terme.
  • un cycle qui se répète constamment. Constant changement et évolution dans la façon de se percevoir
  • À chaque fois qu’il y a une interaction entre la personne et le contexte les deux sont amenés à changer La nouvelle contexte, les deux sont amenés à changer. La nouvelle identité affecte, à son tour, l’interaction.
  • Les changements dans la personne ou le contexte peuvent conduire à des changements dans les engagements.
90
Q

Qu’est-ce qu’une représentation identitaire

A
  • Action de concrétiser une réalité absente physiquement (image mentale, concept en tête)
91
Q

Qu’est-ce qu’un représentation personnelle?

A
  • Image que la personne a d’elle-même, tout en tenant compte de ses comparaisons intragroupes et intergoupes
92
Q

Queles sont les trois grandes questions de réflexions sur la représentation personnelle?

A

Formation de la représentation personnelle
Organisation des informations en mémoire
Rôles dans le traitement de l’information sur soi

93
Q

Quelles sont les éptales de la formation de la représentation personnelle? (4)

A

o L’individu se socialise et construit son identité par étapes, au cours d’un long processus qui s’exprime fortement de la naissance à l’adolescence et se poursuit à l’âge adulte
1. Caractéristiques observables : Enfance, on se compare physiquement avec les autres
2. Compétences : âge scolaire, on commence à faire des apprentissages académiques
3. Relations à autrui : Empathie, on se met à la place des autres, etc
4. Dernière étape : englobe tout, on voit l’intégration des trois te les liens entre eux à l’Adolescence. la personne est disposées à faire des liens entre les info. on appelle cela l’étape d’intégration
o une évolution en lien avec la maturité de la personne, on monte les échelon de la complexité de l’observation
o Pour l’âge adulte, voir la diapo 23 du cours 2, sur la construction des schémas de soi.

94
Q

Expliquez l’organisation des informations en mémoire (5 théories proposées)

A

o Les informations à propos de nous-mêmes sont classées dans différentes structures. Plusieurs théories ont été proposées :
 Je personnel et Moi social
 Je personnel et Moi social.
 Soi public et Soi privé.
 Connaissances sémantiques et Connaissances
• sémantiques = connaissances actuelles, précises sur nous mêmes. nom, prénom, scolarité.
• épisodiques = événements qu’on peut décrire de manière subjectives.
 Selon le contexte.
• équipe sportive, à l’école. différentes catégories d’information qui nous concerne selon le contexte dans lequel on se trouve.

95
Q

Il y quatre rôles dans le traitement de l’info sur soi. Qu’est-ce que la valorisation de soi?

A

elle pousse l’individu à élaborer des représentations positives, par le biais de sélections ou de transformations de l’information disponible.

96
Q

Qu’est-ce que la vérification dans les rôles du traitement de l’info de soi

A

elle conduit l’individu à rechercher des confirmations de ce qu’il pense déjà de lui-même, dans un souci de cohérence ou de stabilité

97
Q

Expliquez la qualité de l’évaluation de soi?

A

elle conduit l’individu à rechercher des situations lui permettant de réaliser les évaluations de soi les plus exactes possible

98
Q

Expliquez l’amélioration de soi

A

dans certaines situations, elle pousse l’individu à se comparer à des personnes jugées plus performantes ou compétentes dans le but d’apprendre quelque chose. Important de changer de vision, mais il faut tout de même garder une équilibre entre les deux. trop: instable, pas assez: limite dans un changement de contexte

99
Q

Vrai ou Faux? La valorisation de soi et la vérification nous permettent de conserver une image positive de nous-mêmes

A

Vrai

100
Q

Qu’est-ce que la représentation sociale?

A
  • Image que la personne a des catégories sociales et des groupes sociaux. (Stéréotype)
  • Les individus impliqués dans les interactions sociales sont des entités bien réelles et distinctes. Ce constat est moins évident lorsqu’on songe aux catégories sociales et aux groupes sociaux qui sont, le plus souvent, les résultats d’élaborations sociocognitives. Il faut commencer par créer une catégorie et celle-ci est créée par l’individu lui-même. Cela devient alors plus vague de déterminer une représentation d’un groupe
101
Q

Qu’est-ce qu’un élaboration socio-cognitive ?

A

Réflexion sur les connaissances acquises dans les relations sociales

102
Q

Par quoi (2) sont influencée les représentations scoiales?

A

asymétrie des positions sociales

croyances partagées par les membres d’un groupe

103
Q

Qu’est-ce que l’asymétrie des positions sociales?

A

o Les individus composant les différents groupes de la société sont impliqués dans une multitude de rapports sociaux hiérarchisés.

104
Q

Quelles sont les trois dimensions qui affectent la simétrie sociale

A

capital économique, capital cutlurel et le genre

105
Q

Vrai ou Faux ? La représentation que les gens se font de leur position et de la position des autres dans la structure sociale influence leur identité individuelle. Le fait de savoir qu’on est dans un groupe avec moins de pouvoir peut influencer notre image de nous-mêmes

A

Vrai

106
Q

Qu’est-ce que les croyances partagées par le groupe?

A

o L’environnement social ne se résume pas seulement à des individus et à des groupes sociaux. Il est aussi peuplé d’objets sociaux qui influencent les individus et les groupes qui y adhèrent.

107
Q

Qu’est-ce qu’un objet social?

A

représentation partagée par plusieurs personnes. croyance ou information que tous les individus dans le groupe adhèrent
o Les objets sociaux sont des produits des membres du groupe.
o Il faut que les informations relatives à l’objet social soient dispersées dans le groupe.
o Ils influencent les membres du groupe.
o Ces objets sociaux structurent l’interaction sociale et la médiatisent.

108
Q

Quelles sont les trois fonctions d’un objet social?

A

 susciter des prises de positions communes ou divergentes;
 jouer un rôle d’affirmation ou de distinctivité d’un groupe;
 réguler l’identité.

109
Q

Qu’est-ce qu’une représentation collective?

A
  • Ensemble des savoirs produits par une société dans sa globalité
110
Q

Expliquez le caractère transversal des représentations collectives

A
  • Caractère transversal: le concept de représentation collective pose l’existence de croyances générales qui traversent une société dans son ensemble.
111
Q

Va relire l’exemple d’une société collectiviste ou individualiste

A

ok