Cours 3 Flashcards

1
Q

Étapes générales dans la formation d’impressions

A

Graphique p.6
Observation/apparence physique, comportement et contexte/Attribution/Dispositions/intégration/impressions

Biais confirmatif en dessous d’attribution et dispositions

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Q

Jugement rapide

A

Passer d’apparence physique, comportement et contexte directement à impression (sans réflexion)

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3
Q

Analyse approfondie

A

Passer par l’ensemble des boîtes et des cercles

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4
Q

3 circonstances qui nous font utiliser l’analyse approfondie

A

1) Lorsqu’on a beaucoup d’info sur la personne
2) Lorsqu’on a beaucoup de temps
3) Quand on est très motivé

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5
Q

Observation (Dans le graphique)

A

Première chose que l’on remarque lorsqu’on voit quelqu’un → Apparence physique, comportement et contexte

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6
Q

Attribution (Dans le graphique)

A

Analyse et inertprète

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7
Q

Disposition (Dans le graphique)

A

avec l’analyse et l’interprétation fait à l’attribution : on comprend quelque chose de la personne

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8
Q

Intégration (Dans le graphique)

A

Combiner les différentes dispositions qu’on connaît sur une personne pour se faire une idée générale

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9
Q

Biais confirmatif

A

servent à réviser notre impression pour qu’elle concorde avec nos croyances (réinterprète ce qu’on a vu)
Notre expérience de vie va venir influencer nos jugements de l’autre

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10
Q

ÉTUDE : rapidité de la formation d’une impression
Plusieurs groupes exposés à des photos pour se créer une impression avec soit un temps limité ou un temps illimité
Quels ont été les résultats?

A

Corrélation positive : qu’on ait 0.1 seconde ou un temps illimité : le résultat reste le même.
Il n’est pas nécessaire d’avoir tout notre temps pour juger quelqu’un ou se faire une première impression : cela se fait en une fraction de seconde.

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11
Q

Observation : Influence de l’apparence physique dans la formation d’impressions : 4 caractéristiques

A

1) L’apparence physique est le premier indice qu’on a pour se former une impression
2) Nous avons des idées préconçues p/r à certaines caractéristiques physiques
(ex. : selon une étude, les hommes obèses étaient perçus comme + faible, paresseux et dépendants)
3) La beauté physique, particulièrement un beau visage, amène une variété d’attentes positives : impression que lorsque c’est beau, c’est plus sain
4) La beauté physique de l’autre influence notre attitude envers cette personne

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12
Q

Informations pour former nos impressions à travers les expressions émotionnelles

A

6 émotions universelles :

La joie, la colère, la tristesse, la surprise, le dégoût, la peur

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13
Q

Informations pour former nos impressions à travers le regard

A

Les yeux envoient des messages sur la qualité de l’interaction et de la relation.
Selon une étude :
Regard maintenu : perçu comme honnête, direct, amical, aimable ou intéressé
Regard fuyant : perçu comme non-amical, louche, évasif, indifférent ou timide
Etc.
Déprend aussi du contexte culturel : chaque culture interprète les regards différemment

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14
Q

Informations pour former nos impressions à travers 5 autres choses

A
  • Les gestes
  • Les mouvements
  • Les postures
  • Les comportements
  • Le toucher
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15
Q

Influence du contexte pour se former une impression

A
  • Voir une partie d’une photo ou la voir en entier ne donne pas tjrs la même interprétation (exemple du boxeur)
  • Violoniste qui joue dans le metro → le contexte dans lequel les choses se passent change notre interprétation et peut aussi nous mener en erreur
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16
Q

Définition attribution

A

Jugement porté sur une personne, une situation, un événement. Interprétation personnelle de la réalité

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17
Q

Attribution de l’observateur

A

Attribution faite pour les autres

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18
Q

Attribution de l’acteur

A

Attribution faite pour soi-même

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19
Q

Définition attributions causales

A

But : déterminer les causes d’un comportement, d’un événement, d’un succès ou d’un échec ou expliquer un manque de contrôle sur l’environnement

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20
Q

Définition attributions dispositionnelles

A

But : déterminer les caractéristiques d’un individu à partir d’une action qu’il vient d’accomplir

21
Q

Définition attributions de responsabilité

A

But : déterminer le niveau de responsabilité d’un individu p/r à un acte qu’il a commis ou à un événement qui s’est produit

22
Q

Types de théories : Théories de l’attribution définition et 4 théories impliquées

A

Définition : quelque chose qui vient avant l’attribution → sert à comprendre comment on fait une attribution
4 théories impliquées :
- Théorie des inférences correspondantes
- Théorie de la covariation
- Approche pragmatique
- Approche du traitement de l’information

23
Q

Type de théories : Théories attributionnelles définition et 2 théories impliquées

A

Définition L quelque chose qui vient après l’attribution → conséquences qui découlent de nos attributions
2 théories impliquées :
- Théorie de la motivation à l’accomplissement
- Théorie de la résignation acquise

24
Q

Théories des inférences correspondantes

A

Graphique p.9
L’action de la personne est jugée p/r à
1) Est ce que la personne avait le choix de faire cela?
2) Est-ce qu’on s’attend à ce comportement dans la vie?

25
Q

On peut appliquer la théorie des inférences correspondantes dans 1 seul contexte particulier à 3 caractéristiques. Quelles sont-elles?

A

1) Seulement pour les attribution dispositionnelles
2) Doit être fait par un observateur
3) On se base sur 1 seule observation

26
Q

Dans quel cas avons nous aucune information réelle sur la personne?

A

Lorsque la personne n’a pas le choix et qu’il y a des attentes

27
Q

Définition effet distinctif

A

Conséquence qui découle uniquement de l’action que la personne à choisie de faire en comparaison aux autres actions que la personne aurait pu faire
Exemple : choisir de sortir un jeudi soir dans 1)une discothèque 2)un restaurant ou3)un cinéma entraînera des conséquences différentes pour chaque choix : des effets distinctifs.
Les effets distinctifs permettent de mieux comprendre les intentions de la personne

28
Q

La théorie des inférences correspondantes est utile seulement pour ?

A

les premières impressions

29
Q

Théorie de la covariation : dans quel contexte avec 3 caractéristiques est-ce qu’on peut l’appliquer?

A

1) On l’utilise lorsqu’on fait une attribution causale
2) Peut-être pour l’attribution fait par un observateur ou un acteur
3) Il nous faut plusieurs informations/observations

30
Q

Consensus

A

Le comportement de la personne observée est comparé au comportement des autres personnes.
Si semblable aux comportements des autres : consensus élevé
Si non-semblable aux comportements des autres : consensus faible

31
Q

Distinction

A

Le comportement que la personne observée adopte p/r à l’entité est comparé au comportement qu’elle adopte p/r à d’autres entités
Si la personne agit de la même manière pour toutes les entités : distinction faible
Si la personne agit de cette manière seulement pour cette entité : distinction élevée

32
Q

Constance

A

Le comportement de la personne observée à ce moment précis est comparé au comportement qu’elle adopte à d’autres moments semblables
Comportement tjrs pareil : constance élevée
Comportement unique : constance faible

33
Q

Inférences rôle

A

S’il nous manque des info pour examiner l’une ou l’autre des 3 dimensions, les inférences vont nous servir à combler les vides.

34
Q

Manière qu’on attribue le comportement dans la théorie de la covariation (4 options)

A

1) À la personne : si le consensus est faible (la personne est la seule à faire ce comportement
2) À l’entité : si la distinction est élevé (la personne a un comportement particulier avec cette entité)
3) Aux circonstances : si la constance est faible (la personne a un comportement différent maintenant avec cette entité)
4) À plus d’un de ces facteurs

35
Q

Approche pragmatique

A

Cette approche stipule que nous raisonnons en utilisant des raccourcis mentaux. Ceux-ci nous permettent de faire des attributions plus rapidement et avec moins d’efforts cognitifs.

36
Q

Théorie de l’économie cognitive

A

Graphique p.11
Part d’une conclusion, pour ensuite aller chercher l’info nécessaire.
L’événement et ensuite, directement identification d’une cause plausible, avant même de regarder les indices confirmatifs ou la présence d’un lien de cause à effet

37
Q

Théorie de la motivation à l’accomplissement

A

Événement → Attribution → Dimension causales (Lieu de causalité, contrôle, stabilité) → Conséquences cognitives et affectives → Motivation résultante
La combinaison du lieu de causalité, du contrôle et de la stabilité va avoir des conséquences cognitives et affectives qui vont déterminer la motivation

38
Q

Lieu de causalité

A

Est-ce que la cause est la personne, ou quelque chose d’autre : cause interne ou externe

39
Q

Contrôle

A

Est-ce que la personne à l’impression qu’elle aurait pu contrôler la situation : contrôle ou incontrôlable

40
Q

Stabilité

A

Est-ce qu’on a l’impression que la même chose nous arrive souvent : stable ou instable

41
Q

Conséquences cognitives associée à laquelle des 3 dimensions?

A

Stabilité

42
Q

Impact de la stabilité (stable/instable) sur motivation lors d’un succès ou d’un échec

A

Pour un succès :
Une cause stable → attentes positives → augmentation de la motivation
Une cause instable → attentes incertaines → sans impact sur la motivation
Pour un échec :
Une cause stable → attentes négatives → diminution de la motivation (résignation acquise)
Une cause instable → attentes incertaines → pas d’impact sur la motivation

43
Q

Conséquences affectives associée auxquelles des 3 dimensions?

A

Lieu de causalité et contrôle

44
Q

Impact du lieu de causalité et du contrôle sur motivation lors d’un succès ou d’un échec

A

Pour un succès :
Cause interne (contrôlable ou non) → Fierté et augmentation de l’estime de soi → augmentation de la motivation
Cause externe (contrôlable ou non) → Ne touche pas au soi → Sans impact sur la motivation
Pour un échec :
Cause interne et contrôlable → culpabilité → Augmentation de la motivation
Cause interne et incontrôlable → hone et diminution de l’estime de soi → diminution de la motivation (“Ce de ma faute et je ne peux pas rien faire”)
Cause externe (contrôlable ou non) → ne touche pas au soi → pas d’impact sur la motivation

45
Q

Théorie de la résignation acquise : Définition résignation acquise

A

État psychologique qui résulte de la venue fréquente d’événements désagréables perçus comme incontrôlables par la personne qui les vit, et menant à des états émotionnels, cognitifs et motivationnels déficitaires
Il faut que la personne vive de manière fréquente des événements désagréables et incontrôlables pour que cela ait lieu

46
Q

Conséquences observables de la résignation acquise

A

auto-attributions négatives (“je ne suis pas capable, je ne suis pas bonne”), tristesse, passivité, apathie, inhibition, etc.

47
Q

ÉTUDE de Seligman et Maier : 3 groupes de chiens
1) Chocs évitables (contrôlables)
2) Chocs inévitables (incontrôlables)
3) Groupe témoin (pas de choc)
Phase 1 : les chiens du groupe 2 ne peuvent rien faire
Phase 2 : les chiens peuvent changer de côté pour arrêter les chocs
Résultat?

A

Les chiens du groupe 1 apprennent vite et changent de côté, alors que les chiens du groupe 2 ne font rien → résignation acquise

48
Q

ÉTUDE : application de la théorie de la résignation acquise au phénomène de la dépression

A

Personnes optimistes : événements positifs attribués à : eux-mêmes, ils sont fiers (attribution interne, stable, globale)
Événements négatifs attribués aux causes externes

Personnes pessimistes : contraire d’optimiste → + à risque de dépression