Cours 11 Flashcards

1
Q

Relations interpersonnelles définition

A

Liens plus ou moins intimes qu’entretiennent ensemble deux personnes ou plus

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Q

Relations impersonnelles définition

A

relations dans lesquelles il n’y a pas création de lien entre les personnes

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3
Q

Interaction définition

A

action, échange ou influence réciproque entre deux personnes ou plus

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4
Q

Perspective évolutionniste : importance des groupes

A

Selon la perspective évolutionniste, les êtres humains ont développé des stratégies sociales qui favorisent la conception, la protection des individus et la survie de l’espèce.
+ de chance de survivre en groupe, mais aussi en tant qu’individu quand on se regroupe, quand on a des relations : question de survie

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5
Q

6 Fonctions des relations interpersonnelles

A
1- Attachement
2- Intégration sociale
3- Soutien
4- Guidance
5- Sentiment d'utilité
6- Sentiment de compétence
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6
Q

Attachement

A

les autres peuvent être un soutien pour nous quand on vit des difficultés importantes. La présence des autres nous sécurise

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7
Q

Intégration sociale

A

Le fait de pouvoir partager des activités avec les autres

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8
Q

Soutien

A

Le fait de savoir que quand on a besoin d’aide, on peut compter sur qqun. L’attachement c’est quand on vit quelque chose de difficile, l’autre est sécurité. Soutien c’est quand on a besoin d’aide

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9
Q

Guidance

A

conseils. les autres qui nous servent de modèles. on se réfère aux autres quand on ne sait pas quoi faire (+ dans l’info que j’obtiens des autres)

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10
Q

Sentiment d’utilité

A

quand on aide les gens, on se sent utile. C’est valorisant d’être utile pour qqun

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11
Q

Sentiment de compétence

A

Quand on se fait reconnaître par les autres. Encouragements qui on un impact sur nous : nous valorise

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12
Q

Attirance initiale entre deux personnes : 4 facteurs qui favorisent le rapprochement entre 2 personnes

A

1- Les motivations sociales
2- La proximité et la familiarité
3- L’apparence physique
4- La similitude et la complémentarité

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13
Q

Motivation sociales : besoin d’affiliation

A

Lorsque la personne éprouve un besoin d’affiliation…
 Elle cherche à établir et à maintenir plusieurs relations interpersonnelles satisfaisantes
 Elle a tendance à adopter des comportements actifs et de contrôle social
 Elle trouve les activités sociales très plaisantes
 Elle communique plus avec les autres
 Elle réagit plus positivement en compagnie des autres
 L’accent est mis sur la quantité (étendue) des contacts sociaux

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14
Q

Motivation sociale : besoin d’intimité

A

Lorsque la personne éprouve un besoin d’intimité…
 Elle cherche à établir des relations chaleureuses caractérisées par la confiance et la confidence
 Elle a tendance à adopter des comportements sociaux plus passifs et peu contrôlants
 Elle est susceptible d’éprouver un plus grand sentiment de bien-être
 L’accent est mis sur la qualité (profondeur) des contacts sociaux.

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15
Q

Motivation sociale : besoin de relation à autrui

A

Lorsque la personne éprouve un besoin de relation à autrui…
 Elle cherche à établir des liens affectifs étroits avec d’autres personnes
 Elle tente de créer des liens significatifs avec une personne qui représente à ses yeux une source fiable de sécurité
 Elle désire être comprise et acceptée par l’autre
 Elle désire que l’autre lui accorde de la valeur
 L’accent est mis sur le sentiment de sécurité

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16
Q

Motivation sociale : besoin instrumental

A

Lorsque la personne éprouve un besoin instrumental…
 Elle peut chercher soutien ou guidance auprès d’autrui afin de recevoir de l’aide pour faire face à une difficulté perçue
 Toutefois, quand un tel besoin se manifeste, ce ne sont pas toutes les personnes qui vont activement rechercher de l’aide. Un déterminant majeur de la recherche d’aide est la confiance accordée à autrui
 L’accent est mis sur la résolution d’un problème
Ça se peut que parfois, on ait un besoin instrumental, mais qu’on n’ose pas chercher de l’aide

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17
Q

Proximité et familiarité : étude dans des résidences universitaires

A

Étude dans des résidences universitaires.
On a demandé aux étudiants : « Dans votre résidence, qui sont les 3 personnes avec qui vous avez le plus d’interactions, de relations.
Résultats :
1- Les personnes choisies sont + souvent des voisins immédiats
2- Les personnes des appartements centraux sont rapportées plus souvent comme ami
3- Les personnes des appartements 1 et 5 sont + souvent choisi par ceux de l’étage
4- La probabilité décroît à mesure que la distance augmente

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18
Q

Conclusion de l’étude sur la proximité et la familiarité dans les résidences universitaires

A

La proximité augmente les opportunités de se rencontrer, d’interagir, de se connaître et de développer des liens

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19
Q

Étude sur la proximité et la familiarité dans les résidences universitaires explications

A

1- Accessibilité des autres
2- Dissonance cognitive : vivre à côté de qqun que je n’aime pas = alors on va essayer de trouver des points positifs
3- Familiarité
4- Similitude : généralement, les gens qu’on côtoient on déjà des points de similarité avec nous

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20
Q

Étude de Moreland et Beach : demandé à 4 assistantes de faire semblant d’étudier/de participer à un cours et évaluer ensuite l’attirance des autres élèves envers ces assistantes : résultat et explication

A

Plus l’assistante avait passé de temps en classe, plus elle était venu de fois : plus elle était évalué comme attirante

Explication : effet de la simple exposition

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21
Q

Effet de la simple exposition définition

A

Quand on voit quelque chose souvent, on mémorise l’image de la personne. Plus on mémorise, plus il nous paraît familier. On a l’impression de plus le connaître, juste parce qu’on a plus mémorisé

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22
Q

Limites de la proximité et de la familiarité

A

1- Si la première impression est défavorable, la proximité et la familiarité peuvent diminuer l’attraction

2- La surexposition peut diminuer l’attraction (être trop souvent exposé à qqchose)

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23
Q

Apparence physique : rôle dans l’attirance entre deux personnes : plusieurs études le démontrent

A

 Dans les agences de rencontre, ce sont les individus séduisants qui sont le plus souvent choisis, et ce, quelles que soient leurs autres caractéristiques
 Les belles personnes sont plus populaires
 Comparativement aux gens moins beaux, les gens beaux sont considérés comme étant plus gentils, dignes de confiance, sensibles, intéressants, sociables, excitants, indépendants, forts et sexys.
 Les beaux garçons sont perçus comme plus masculins et les belles filles comme plus féminines
 Les bébés de 1 an montrent une préférence marquée pour les beaux adultes
 Les mères accordent plus d’attention, prennent plus dans leurs bras et touchent plus souvent leur bébé s’il est beau
 Les professeurs à qui on montre une photo d’un bel enfant pensent que cet enfant est plus brillant et qu’il a plus de chances de réussir à l’école
 Les belles personnes ont plus de chances de recevoir de l’aide
 Les belles personnes qui font signer une pétition reçoivent plus de signatures que les personnes moins belles
 Les belles personnes ont de meilleur emploi et de meilleurs salaires
 Les accusés attrayants qui ont commis des délits ont des sentences moins sévères (sauf si leur belle apparence les a aidés à commettre le crime)

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24
Q

Pourquoi une belle apparence physique mène à l’attirance?

A

1- Le plaisir de regarder une belle personne
2- La croyance que ce qui est beau est également bon
3- Le profit découlant du fait d’être associé à une belle personne

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25
Q

Qu’est-ce qu’une belle personne?

A

Il n’y a pas de critères universels : les goûts varient d’une culture à l’autre, au sein d’une même culture et selon les époques.
Cependant, plusieurs recherches démontrent que l’évaluation globale que nous faisons de la beauté varie très peu.
Par exemple, lorsque nous montrons une photo à deux personnes, la majorité du temps, elles sont d’accord quand elles évaluent la beauté, et ce, même si la personne jugée est d’un groupe ethnique différent du leur.
La méthode la plus utilisée pour évaluer la perception de la beauté physique est de montrer des photos à des participants, puis de leur demander de choisir celle qu’ils préfèrent ou de les évaluer (voir les exemples qui suivent).

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26
Q

Étude de Cunningham : caractéristiques du beau visage féminin : des participants masculins américains devaient évaluer cinquante photos de visages féminins. Le chercheur a ensuite analysé les évaluations faites par les participants. Il a remarqué que les visages qui sont plus appréciés possèdent des caractéristiques spécifiques :

A
	Grands yeux
	Yeux éloignés l’un de l’autre
	Petit nez
	Petit menton
	Lèvres larges
Associés aux caractéristiques qu’on trouve chez un bébé. Selon les auteurs, le fait qu’une femme possède ces caractéristiques inspire à l’homme que la femme est douce et ils ont + envie de la protéger, de la cajoler.

 Os de la joue haut et large
 Joues étroites
 Grand sourire
 Sourcils hauts
 Pupilles dilatées
Grands sourires = semble sympathique. Sourcils hauts et pupilles dilatées = signes de soumissions.
Dans le visage d’une personne, certains aspects de la physionomie nous inspirent quelque chose de positif.
+ la personne est symétrique, + elle est attirante (impression de parfait).

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27
Q

Étude de langois, roggman et musselman : méthode de la photo composite : étude déroulement + explication

A

20 photos + 1 que toute est mélangé (photo composite). On demande d’évaluer : la photo composite à été la mieux évalué, pourquoi?

1- la photo composite comporte moins de défaut : le défaut de chaque personne individuellement finie par disparaître.

2- Si je prends toutes les images : + familier. Mémorise visage plusieurs personnes : nous permet de créer un phototype. Quand on voit qqun, on le compare à notre phototype (mis en commun de tous les visages qu’on a déjà vu : qu’on a donc mémoriser : qui sont plus familiers : donc plus attirant) pour évaluer la beauté. + cette personne ressemble à notre phototype, + on la trouve attirante.

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28
Q

Conclusion : 2 grandes choses qui font qu’on trouve une personne belle

A

1- Expérience de vie personnelle, ce qu’on a vu dans notre vie

2- Approche évolutionniste

29
Q

Beauté, cerveau et théorie de l’évolution

Visages symétriques et quelques données à ce sujet

A

Au cours de l’évolution, les comportements qui assuraient le plus grand succès reproductif de l’espèce ont été sélectionnés. Ainsi, chez les animaux, la femelle signale par diverses stratégies la période ou elle peut être fécondée. La femme fait elle exception à cette règle? Selon la théorie de l’évolution, les femmes devraient être plus attirantes quand elles sont fertiles. Des chercheurs se sont intéressés à la question.
- Quelques données de recherche…
 Les asymétries naturelles du visage et du corps sont réduites pendant la phase d’ovulation : la femme fertile est plus symétrique. Or, la symétrie est un indicateur de « bons gènes ».
 Les hommes et les femmes trouvent plus attirants les visages symétriques
 Les hommes jugent les femmes plus attirantes pendant les jours de fertilité
 Lorsqu’un homme hétérosexuel regarde une belle femme, les zones de son cerveau qui sont activées sont les mêmes que celles qui sont activées lorsqu’il reçoit un renforcement (comme gagner de l’argent) ou lorsqu’il ressent un bien-être dû à l’effet d’une drogue.

30
Q

Croyance que ce qui est beau est également bon

A

Des études ont montré que les gens beaux sont souvent perçus (impression/illusion qu’on a) par les autres comme étant plus sociables, heureux, intelligents, doués, en bonne santé mentale, etc.

Il est cependant important de noter que les qualités que nous attribuons aux belles personnes dépendent aussi de nos valeurs culturelles. Par exemple, en Corée (culture collectiviste), les gens beaux sont perçus comme plus intègres et plus attentifs aux autres (dépend de ce que notre culture considère comme étant une qualité).

31
Q

Croyance que ce qui est beau est également bon explications

A

1- Cela double le plaisir d’être avec la personne (c’est le fun parce qu’elle est belle, et elle a ++ qualités)

2- Cela produit un effet d’attente personnelle (prophétie qui s’autoréalise → beau = impression + de qualité

32
Q

Profit d’être associé à une belle personne : effet d’assimilation

A

En général, quand une personne est vue avec une personne séduisante, la personne moyenne est évaluée plus favorablement de la part des autres.
Biais dans notre évaluation : tendance à faire une évaluation qui combine les deux personnes en même temps.

33
Q

Profit d’être associé à une belle personne : effet de contraste

A

Lorsque la personne moyenne et la personne séduisante sont vues successivement, la personne moyenne est évaluée de manière plus négative de la part des autres. On ne peut pas faire d’évaluation combiné parce qu’on ne les voit pas en même temps : on observe ++ les différences.

34
Q

Attirance entre deux personne : Similitude définition

A

jumelage de deux personnes qui partagent des points communs

  • Similitude est plus courante que complémentarité
  • “qui se ressemble s’assemble”
35
Q

Types de similitudes (4)

A

1- Similitude sociodémographique
2- Similitude de la personnalité
3- Similitude de l’apparence physique
4- Similitude des intérêts

36
Q

Similitude sociodémographique

A

âge, sexe, milieu, lieu qu’on fréquente : environnement social

37
Q

Similitude de la personnalité

A

caractéristiques personnelles semblables, exemple : plus sportif, intellectuel, etc.)
Ce facteur est celui qui favorise le +++ la relation de couple

38
Q

Similitude de l’apparence physique

A

même genre d’apparence = style vestimentaire, coiffures, etc.
L’apparence physique a plus une influence à l’adolescence, après, l’importance de la similitude de l’apparence physique s’en va tranquillement

39
Q

Similitude des intérêts

A

Aimer le même genre d’activités, de loisirs, goûts similaires. Les gens peuvent donc partager des moments ensembles. Certaine idée du renforcement : confirme que tu n’es pas seul, renforcement dans tes goûts et intérêts.

40
Q

Complémentarité définition

A

Jumelage de deux personnes compatibles, mais ayant es caractéristiques opposées :

  • les deux personnes doivent se compléter
  • “les contraires s’attirent” (mais doivent se compléter)
41
Q

Types de complémentarité (4)

A

1- Complémentarité de la personnalité
2- Complémentarité du style comportemental
3- Complémentarité des habiletés ou des secteurs d’activité
4- Complémentarité des ressources

42
Q

Complémentarité de la personnalité

A

Ne doit pas être trop différent par contre.
Complémentarité dans 1 seul trait (pas personnalité au complet).
Exemple : dominant/soumis

43
Q

Complémentarité du style comportemental

A

Comportement de 2 colocs, par exemple : 1 bon pour gestion menu, l’autre finance

44
Q

Complémentarité des habiletés ou des secteurs d’activité

A

Personnes qui ne travaillent PAS dans le même métier = éviter compétition et conflits qui pourraient suivre

45
Q

Complémentarité des ressources

A

2 personnes qui ont des ressource à apporter à l’autre (exemple : H + vieux qui a une vie bien établie avec de l’argent et qui peut donc prendre doin d’une famille et F + jeune qui peut avoir des enfants).

46
Q

Théories des types d’amour

A

Le chercher a pris toutes les définitions de l’amour dans la littérature et il s’est rendu compte qu’il y avait 3 caractéristiques primaires de l’amour (comparaison couleurs primaires/secondaires) et 3 caractéristiques/définitions secondaires de l’amour (2 primaires mélangées ensemble)

47
Q

3 types d’amour primaires

A

1- Eros (passion)
2- Ludus (jeu)
3- Storge (amitié)

48
Q

3 types d’amours secondaires

A

1- Mania (possessivité)
2- Agape (altruisme)
3- Pragma (rationalisation)

49
Q

Éros (passion)

A

Importance de l’apparence physique et de la composante sexuelle. Désir d’une relation intense

50
Q

Ludus (jeu)

A

pas d’investissement émotionnel, de révélation de soi ou d’engagement. L’amour et la sexualité sont une partie de plaisir. (Personnes qui ne s’engagent pas)

51
Q

Storge (amitié)

A

amour qui se développe lentement, prudemment et qui mène à un engagement durable

52
Q

Mania (possessivité)

A

amour caractérisé par l’obsession et la jalousie. Sentiment de perte de contrôle. Besoin constant d’être rassuré

53
Q

Agape (altruisme)

A

amour centré sur l’autre et qui n’attend rien en retour. (N’existe pas dans la vie courante : pas dans la vie amoureuse du moins.

54
Q

Pragma (rationalisation)

A

Sens pratique. Recherche d’un partenaire possédant des caractéristiques précises dans des domaines comme l’emploi, l’âge, la religion, etc.

55
Q

Nombre final de type d’amour?

A

Si on continu avec la théorie des couleurs : nb infini des définitions de l’amour. Chaque individu a donc sa propre définition de l’amour, il n’en existe pas seulement une.

56
Q

Quel est le jumelage idéal entre 2 partenaires amoureux?

A
  • Avoir des conceptions de l’amour différentes = pas l’idéal : ne favorise pas une bonne relation
  • Avoir des conceptions de l’amour identiques = pas l’idéal, mais moins pire que différente. Pas l’idéal pcq empêche évolution → monotonie, stagnation
  • Avoir des conceptions de l’amour qui comportent des ressemblances = IDÉAL. Pas identique, mais on se ressemble → favorise relations : permet à chaque personne et au couple d’évoluer.
57
Q

Différences H-F pour les 6 types d’amour

A

 Eros : égal pour les hommes et les femmes
 Ludus : plus les hommes que les femmes
 Storge : plus les femmes que les hommes
 Mania : plus les femmes que les hommes
 Agape : égal pour les hommes et les femmes
 Pragma : plus les femmes que les hommes

58
Q

DIfférences H-F pour les 6 types d’amour conclusion

A

Ces différences entre les hommes et les femmes sont en lien avec le point de vue sociobiologique : l’amour plus ludique de l’homme et l’amour plus pragmatique, durable et possessif de la femme favoriseraient conjointement le succès de la reproduction et de la protection de l’espèce.

59
Q

Théorie de l’ouverture de soi

A

Théorie sur la discussion, sur l’ouverture entre 2 personnes : on se dévoile

60
Q

Ouverture de soi définition

A

Processus qui consiste à dévoiler délibérément (on décide de le faire) des informations sur soi qui sont à la fois significatives et inconnues de l’autre

61
Q

2 dimensions de l’ouverture de soi

A

1- Étendue : éventails de sujets partagés (la quantité de sujet qu’on partage_
2- Profondeur : degré d’intimité des informations divulguées

62
Q

Théorie de l’ouverture de soi graphique

A

p.38

63
Q

Facteurs menant à l’engagement graphique

A

p.38

64
Q

Sur quoi s’appui les facteurs menant à l’engagement?

A

S’appuis sur béhaviorisme et économie : ils ont inspirés théorie de l’échange social : quand on est en relation, celle-ci doit nous apporter quelque chose, sinon, nous n’aurons plus la motivation

65
Q

Facteurs menant à l’engagement : Bénéfices

A

ce qu’on retire de la relation VS Coûts : désavantages de la relation
Il faut qu’à la base on ait + de bénéfices que de coûts pour continuer. TRÈS SUBJECTIF comme évaluation

66
Q

Facteurs menant à l’engagement : niveau de comparaison

A

attentes personnelles, anciennes relations

SI le résultat est égal ou supérieur au niveau de comparaison : on sera satisfait

67
Q

Facteurs menant à l’engagement : autres options

A

les autres personnes avec qui on pourrait être en couple
Investissements : favorisent le maintien de la relation : investissement = TOUT ce que j’ai déjà mis en place dans cette relation : temps, énergie, etc.

68
Q

Style attributionnel des couples

A

Les gens qui sont dans des situations de couples heureuses ou malheureuses ne feront pas les attributions de la même manière
Explication/image p.39