cours 2 Flashcards

1
Q

quels sont les 3 types d’abus, 4 types de négligence, le type de violence auquel les enfants peuvent être exposé en contexte familial et la violence envers les enfants qui est considéré interpersonnel, mais non exclusse à la famille

A
  • ABUS PSYCHOLOGIQUE (= VERBAL ; ÉMOTIONNEL)
  • ABUS PHYSIQUE
  • ABUS SEXUEL
  • NÉGLIGENCE ÉMOTIONNELLE
  • NÉGLIGENCE PHYSIQUE
  • NÉGLIGENCE SANITAIRE
  • NÉGLIGENCE ÉDUCATIONNELLE
  • EXPOSITION À LA VIOLENCE CONJUGALE
  • Intimidation des pairs
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2
Q

définition abus psychologique

A

L’abus psychologique fait référence aux comportements ou propos qui génèrent la peur ou la honte chez l’enfant. Ceci peut faire en sorte qu’iel se sente isolé et rabaissé

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3
Q

exemples d’Abus psychologique

A

Menaces (p. ex. « tu vas le regretter, tu vas voir, je vais te faire mal sinon »)

Insultes (p. ex. « criss tu es tellement laid»)

Humiliation (p. ex. « poche de même ça ne se peut pas ! »)

Destruction d’objets (p. ex. jouets) ou blessure animaux de compagnie

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4
Q

définition abus physique

A

L’abus physique fait référence à l’utilisation de la force délibérée de manière non-consentante (enfant peut pas dire «oui, fait moi mal» dès qu’il a force abus physique) sur l’enfant. Elle peut causer des douleurs ou des blessures permanentes.

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5
Q

exemples d’abus physique

A

Pousser ou bousculer

Frapper, gifler, pincer, brûler, blesser avec un objet (p. ex. ceinture)

Lancer des objets sur l’enfant

Étrangler ou attacher l’enfant

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6
Q

quelle est la forme la plus grave d’abus physique

A

infanticide

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7
Q

définition abus sexuel

A

L’abus sexuel fait référence à l’exposition inappropriée à des contacts, activités ou comportements d’ordre sexuel, sans consentement valide (tout enfant de moins de 12 ans aucun enfants a droit de consenter à aucune activité sexuelle) de la part de l’enfant.

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8
Q

pourquoi dans plusieurs cas les enfants ne sont pas conscients de l’abus

A

Pas de prevue concrete ni les mots pour dire ce qui arrive

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9
Q

comment l’agresseur peut faire en sorte que l’enfant ne dévoile pas l’abus

A
  • Faisant croire que c’est bien/bénéfique ce qui arrive. Alorsl’enfant accepte ou le croit parce que c’est une personne de confiance
  • Enfant aussi ne peut rien dire par peur de représaille/menace
  • Certains agresseurs vont s’assurer qu’enfant éprouve du Plaisir pendant l’abus enfant va vivre une discordance (est inconfortable et vit qqch de quand mm agréable) cette confusion fait que l’enfant ne voudra pas en parler avec un adulte
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10
Q

Exemples d’abus sexuel

A

Attouchements sexuels ou « caresses » (avec ou sans pénétration)
Ceci inclut l’agresseur sur l’enfant ou une demande pour que l’enfant s’y adonne

Exposition à du matériel sexuel (p. ex. pornographie) peut être réfléchis ou par aussi negligence (ex: oublier de fermer ordi et enfant est exposé à contenu pornographique, parents ne ferme pas la porte ou font pas attention au bruit chevauchement entre negligence et abus)

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11
Q

quels sont les âges de consentement:

A

avant 12 ans pas de consentement sexuel
12-13 ans: consentement de 2 ans moins 1 jour de plus qu’eux
14-15 ans peuvent donner consentement s’il a max de 5 ans moins 1 jours de differences 5 ans et plus considéré comme abus
16 ans et plus peuvent donner consentement à n’importe quell adulte, mais pas de relation de pouvoir

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12
Q

définition négligence émotionnelle

A

La négligence émotionnelle fait référence au fait de ne pas répondre aux besoins émotionnels de l’enfant, telles que l’affection, l’attention, le soutien et la compétence. Enfants ont tendance à ne pas se sentir aimé et vont avoir plus de difficulté à gérer leurs émotions  pas appris à les identifier ou les considéré (vont les tasser)

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13
Q

exemples de négligence émotionnelle

A

Manque d’intérêt ou de validation quant au monde interne de l’enfant

Manque de soutien lors d’expériences émotionnellement demandantes

Manque d’affection pouvant donner l’impression qu’il n’y a pas d’amour

Manque d’encouragement lors de nouvelles expériences / défis

Désengagement / désintérêt à passer du temps de qualité avec l’enfant

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14
Q

définition de négligence physique

A

La négligence physique fait référence au fait de ne pas répondre aux besoins alimentaires, vestimentaires, hygiéniques ou de logement de l’enfant.

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15
Q

Exemples de négligence physique

A

Ne pas bien nourrir l’enfant (p. ex. oublier des repas)

Ne pas fournir des vêtements appropriés (p. ex. absence de manteau en hiver)

Ne pas laver l’enfant (p. ex. baigner l’enfant qu’une fois semaine)

Logement non vivable (p. ex. excréments de rats partout dans l’appartement)
Si beaucoup de déménagement enfant ne va pas ressentir qu’il a un «chez soi»
Parents qui ne font pas attention d’où garde medicaments, drogue, alcool…

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16
Q

quelle est la nuance que l’on peut retrouver dans la négligence physique

A

Jamais tomber dans jugement, mais garder oeuil ouvert.
Si famille a pas les moyens concrétement considerer comme negligence, mais va pas le prendre comme ça  va surtout donner des ressources aux familles, parce que voit l’intérêt du parent à prendre soin du jeune

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17
Q

définition de négligence sanitaire

A

La négligence sanitaire fait référence au fait de ne pas répondre aux besoins de santé physique ou mentale de l’enfant.

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18
Q

exemples de négligence sanitaire

A

Ne pas faire de suivi auprès d’un professionnel malgré les recommandations

Ne pas donner les médicaments prescrits à l’enfant

Ne pas apporter son enfant à la clinique malgré symptômes importants

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19
Q

Définition de négligence éducationnelle

A

La négligence éducationnelle fait référence au fait de ne pas fournir de surveillance ou d’encadrement nécessaire pour assurer la scolarisation de l’enfant. Enfants doivent être à l’école à partir de l’âge de 6 ans jusqu’à ses 16 ans

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20
Q

exemples de négligence éducationnelle

A

Manque de suivi avec le personnel enseignant ou éducateurs

Aucune aide aux devoirs

Manque d’intérêt quant à la présence constante de l’enfant en classe

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21
Q

définition d’exposition à la violence conjugale

A

L’exposition à la violence conjugale fait référence au fait que les enfants sont affectés directement ou indirectement par la violence conjugale entre les figures parentales. Peut être considéré comme de l’abus ou de la negligence si plus directe (abus), indirecte (negligence)

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22
Q

Exemples d’exposition à la violence conjugale

A

Voir un parent frapper un autre

Entendre des cris et insultes entre les parents

Côtoyer parents pris dans une dynamique de violence
Ceci peut être pendant la grossesse et/ou après la naissance. Mm dans uterus enfant entend des cris ou vit stresse de la mère peut impacter physiquement et psychologiquement l’enfant.

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23
Q

définition de l’intimidation

A

L’intimidation fait référence à des gestes, interventions ou commentaires qui menacent, blessent, humilient, excluent socialement ou privent quelqu’un de sa dignité. La victime peut être sous l’emprise d’une personne ou d’un groupe et a de la difficulté à se défendre. De manière répétée, ceci peut impacter l’estime de soi.

24
Q

exemples d’intimidation

A

Physique (frapper, pousser, trébucher, etc.)

Verbale (insulter, menacer, se moquer, etc.)

Sociale (exclure, répandre rumeurs, dévoiler secrets, etc.)

Matérielle (détruire, voler, vandaliser objets, etc.)

25
Q

qu’est-ce qui est le plus commun lorsqu’une personne vit de la victimisation

A

Plus commun de vivre un cumul de traumas qu’un seul trauma isolé

26
Q

qu’est-ce qui aurait un effet plus important lors de la victimisation n

A

Plus commun de vivre un cumul de traumas qu’un seul trauma isolé

Associé a des conséquences plus complexes, diffuses et tenaces

27
Q

INDICES QU’UN ENFANT SERAIT VICTIME DE VIOLENCE diapo 17 (9)

A

L’enfant ne semble pas avoir de domicile fixe ou dit avoir été mis à la porte
L’enfant ne semble pas bien nourri ou « oublie » souvent ses repas
L’hygiène de l’enfant laisse à désirer
L’enfant n’est pas habillé convenablement selon la saison
L’enfant n’est pas soigné lorsqu’il est blessé ou malade
Le parent refuse d’offrir les consultations nécessaires
L’enfant manque de stimulation au niveau langagier, moteur, social ou intellectual: ne parle pas avec lui, jouer, le laisse de côté
L’enfant ne bénéficie pas d’une routine de vie
L’enfant fréquente peu ou pas l’école

28
Q

INDICES QU’UN ENFANT SERAIT VICTIME DE VIOLENCE diapo 18 (8)

A

L’enfant s’isole, se replie sur soi-même ou n’a pas d’amis
L’enfant à des propos dénigrant à son égard
L’enfant à de la difficulté à se contrôler, est réactif, violent ou agressif
L’enfant fugue ou intimide les autres
L’enfant consomme de l’alcool ou des drogues
L’enfant s’auto-mutile ou à des idéations suicidaires
L’enfant à des troubles alimentaires
L’enfant à des comportements sexuels ne correspondant pas à son stade de développement psychosexuel (comportements sexuels précoces)

29
Q

INDICES QU’UN ENFANT SERAIT VICTIME DE VIOLENCE diapo 19 (9)

A

L’enfant parle souvent de la mort (paroles, dessins, jeux, etc.)
L’enfant dit être ou semble épuisé
L’enfant semble apeuré, toujours alerte, sursaute à « rien »
L’enfant est fatigué ou dit ne pas bien dormir (insomnie, cauchemars)
L’enfant reproduit des comportements violents à ses amis
Présence de blessures inexpliquées, et peut tenter de les cacher
L’enfant a peur ou ne souhaite pas retourner à la maison
L’enfant se protège lorsqu’on tente de s’approcher de lui (brusquement)
L’enfant refuse qu’on le touche / examine (p. ex. contexte médical)

30
Q

INDICES QU’UN ENFANT SERAIT VICTIME DE VIOLENCE diapo 20 (9)

A

L’enfant montre des changements dans son comportement (p. ex. sommeil, appétit, relationnel, troubles de comportements, etc.)
L’enfant semble constamment stressé ou anxieux
L’enfant éprouve des difficultés scolaires
L’enfant a une faible estime de soi
L’enfant mentionne avoir des douleurs aux organes génitaux
L’enfant a une infection transmises sexuellement ou par le sang (ITSS)
L’enfant à des maux de ventre/tête inexpliquées (somatisation)
L’enfant a de l’incontinence (régression)
L’enfant mentionne que son intimité personnelle n’est pas respectée à la maison

31
Q

quoi faire lors du dévoilement d’un enfant (7)

A

Demeurer calme devant l’enfant
Le laisser parler librement
Écouter l’enfant ouvertement et ne pas le juger
Être rassurant pour lui
Lui dire qu’il a pris la bonne décision en vous parlant de ses difficultés
Lui faire comprendre que vous le croyez
Noter dès que possible les paroles de l’enfant

32
Q

quoi éviter lors du dévoilement d’une enfant

A

Lui promettre que vous garderez secret ce qu’il vous a raconté
Interroger indûment l’enfant, particulièrement dans les situations d’abus sexuels et physiques (des questions suggestives pourraient influencer l’enfant et ainsi nuire à l’intervention du DPJ)

33
Q

La loi prévoit que la sécurité ou le développement d’un enfant PEUT ÊTRE compromis (3) :

A

fugue;
non-fréquentation scolaire;
délaissement de l’enfant par ses parents à la suite d’un placement en vertu de la Loi sur les services de santé et les services sociaux.

33
Q

La loi prévoit que la sécurité ou le développement d’un enfant EST considéré comme compromis : citoyen toujours signaler cas abus sexuels et physiques et le reste optionnel, mais pour professional obliger de signaler tout les cas (6)

A

abandon;
négligence;
mauvais traitements psychologiques;
abus sexuels;
abus physiques;
troubles de comportement sérieux.

34
Q

qu’est-ce que la population normal DOIT signaler et ce qu’elles PEUVENT signaler

A

doivent signaler toutes les situations d’abus sexuels et d’abus physiques, et ce, même si elles jugent que les parents prennent des moyens pour mettre fin à la situation; c’est au DPJ d’évaluer si ces moyens sont adéquats;
peuvent signaler les autres situations pouvant compromettre la sécurité ou le développement d’un enfant.

35
Q

qu’est-ce que les professionnels DOIVENT faire lors de maltraitance

A

doivent, dans l’exercice de leurs fonctions, signaler au DPJ toutes les situations visées par la LPJ;
doivent signaler toutes les situations d’abus sexuels et d’abus physiques, et ce, même si elles jugent que les parents prennent des moyens pour mettre fin à la situation; c’est au DPJ d’évaluer si ces moyens sont adéquats;
peuvent signaler les autres situations pouvant compromettre la sécurité ou le développement d’un enfant

36
Q

en quelle année la LPJ a été adopté

A

1977

37
Q

détails sur la LPJ (4)

A

Loi québécoise établissant les droits des enfants et des parents et les principes directeurs des interventions sociales et judiciaires en matière de protection de la jeunesse

La LPJ s’applique aux enfants qui vivent des situations compromettant ou pouvant compromettre leur sécurité ou leur développement et ayant besoin de protection

Lors de la prise de décision de mesures volontaires ou judiciaires, les besoins moraux, intellectuels, affectifs et physiques de l’enfant, son âge, sa santé, son caractère, son milieu familial doivent être considérés, puisque l’enfant est ici sujet de droit

Toute décision prise doit favoriser le maintien de l’enfant dans son milieu familial

38
Q

en quelle année la DPJ a été crée

A

1979

39
Q

détails de la DPJ

A

La LPJ confie aux directeurs de la protection de la jeunesse la responsabilité de recevoir les signalements d’enfants en danger (donc la DPJ applique la LPJ)

Cette responsabilité de signalement s’avère par ailleurs une obligation pour tout citoyen

Les mesures doivent se faire en considération des droits de l’enfant et des parents

L’intervention d’un directeur a pour but ultime de mettre fin à la situation de danger potentiel à laquelle l’enfant est exposé et d’éviter qu’elle ne se reproduise

40
Q

comment signaler à laDPJ

A

Par téléphone ou par écrit, 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24

Ne nécessite pas la certitude absolue qu’un enfant est en besoin de protection. Lorsque vos propres observations ou propos et confidences de l’enfant vous donnent des motifs raisonnables de croire que sa sécurité ou son développement est ou peut être compromis, vous devez signaler, sans délai, la situation au DPJ, selon la LPJ.

On vous demandera votre nom et vos coordonnées en tant que signalant. Ces renseignements demeureront confidentiels et ne pourront être dévoilés.

On vous demandera tous les renseignements que vous connaissez et qui permettent d’identifier l’enfant.

On vous demandera de transmettre les renseignements que vous connaissez sur la situation que vit l’enfant qui vous portent à croire que sa sécurité ou son développement est ou peut être compromis.

41
Q

quelles sont les informations è avoir en main lors d’un signalement à la DPJ (6):

A
  • coordonnées de l’enfant
  • Les faits qui vous inquiètent
  • les caractéristiques de ces faits
  • facteurs de vulnérabilité de l’enfant
  • Capacité et volonté des parents face à la situation
  • ressources déjà présentes?
42
Q

quels sont les coordonnées de l’enfant à avoir en main lors d’un signalement

A

Nom complet
Date de naissance / âge
Adresse et numéro de téléphone
Nom des parents
Gardiens (avec qui demeure l’enfant)
École / milieu fréquenté
Autres enfants impliquées? Si oui, noms complets et âge.

43
Q

que veut-on dire par «les faits qui vous inquiètent»

A

Propos ou confidences de l’enfant
Observations des gestes ou attitudes de l’enfant et/ou des parents
Blessures ou marques observées chez l’enfant

44
Q

les caractéristiques de ces faits

A

Fréquence
Actuel ou passé
Depuis quand
Niveau de danger
Témoin

45
Q

facteurs de vulnérabilité de l’enfant

A

Conséquences sur l’enfant
Présence d’handicap physique ou intellectuel
Réaction de l’enfant face à la situation
Caractéristiques personnelles (forces/limites) pertinentes

46
Q

Capacité et volonté des parents face à la situation

A

Parents conscients ou non
Caractéristiques personnelles (forces/limites) des parents (p. ex. abus de substances)
Initiative des parents quant à la recherche d’aide

47
Q

Ressources déjà présentes?

A

Membre(s) pouvant aider (p. ex. conjoints, famille élargie, amis, voisins, etc.)
Ressources intervenantes (p. ex. CSSS, milieu scolaire, organismes communautaires, etc.)

48
Q

quoi faire lors du signalement pour les situations d’abus sexuels ou d’abus physiques

A

Identification de l’auteur (p. ex. lien, nom, âge)?
Contact encore présent avec cette personne ou non?
La police a-t-elle été avisée?

49
Q

quelles sont les facteurs que la DPJ doit prendre en considération à la suite d’un signalement (4)

A

la nature, la gravité, la chronicité et la fréquence des faits signalés;

l’âge et les caractéristiques personnelles de l’enfant;

la capacité et la volonté des parents de mettre fin à la situation qui compromet la sécurité ou le développement de l’enfant;

les ressources du milieu pour venir en aide à l’enfant et à ses parents.

50
Q

quelles sont les 2 décisions que la DPJ peut prendre à la suite de son analyse de la situation

A

Le signalement n’est pas retenu;
Le signalement est retenu pour évaluation.

51
Q

que se passe-t-il si le signalement n’est pas retenu

A

la dej met fin à son intervention. Doit aviser de sa décision de ne pas retenir le signalement. les renseignement que vous avez fournis sont importants et seront conservés pour une période de 2 ans ou jusqu’à ce que l’enfant ait atteint l’âge de 18 ans, selon la période la plus courte

52
Q

que se passe-t-il si le signalement est retenu et les 2 décisions possibles

A

DPJ devra procéder à l’évaluation de la situation et des conditions de vie de l’enfant et décider si sa sécurité ou son développement est compromis

2 décision possibles après évaluations:
- la sécurité ou le développement de l’enfant n’est pas compromis
- la sécurité ou le développement de l’enfant est compromis

53
Q

que fait la DPJ si la sécurité ou développement jugé comme compromis

A

Lorsque la sécurité ou le développement de l’enfant est compromis, le DPJ prend la situation de l’enfant en charge et doit déterminer les mesures à mettre en place pour assurer sa protection et aider ses parents à corriger la situation

54
Q

dans quel cas la DPJ doit vous informer que la situation a été prise en charge

A

Si vous êtes un professionnel travaillant auprès des enfants, un employé d’un établissement du réseau de la santé et des services sociaux, un enseignant, une personne œuvrant dans un milieu de garde ou un policier, et avez fait le signalement, le DPJ doit vous informer que la situation a été prise en charge.

55
Q

en bref, quelles sont les étapes du processus du signalement (6):

A

1) Réception et traitement du signalement

2) Évaluation de la situation de l’enfant

3) Choix de mesures de protection

4) Mise en place des mesures de protection

5) Révision de la situation

6) Liaison avec des ressources

56
Q

si le signalement n’Est pas retenu ou que la sécurité ou le développement de l’enfant n’est pas compromis, qu’est-ce qui est possible que la DPJ fasse

A

Lorsque le signalement n’est pas retenu ou que la sécurité ou le développement de l’enfant n’est pas compromis, il est possible que l’enfant ou ses parents aient besoin d’aide.

Si tel est le cas, le DPJ doit les informer des ressources disponibles dans leur milieu (CSSS, organismes communautaires ou autres) ainsi que des modalités pour y avoir accès.

Le DPJ doit assurer la liaison avec ces ressources, de façon personnalisée, si l’enfant et ses parents y consentent.