COURS 15 - PATHOS TUMORALES COLIQUES Flashcards
pathologies tumorales bénignes - polypes : décrire l’épidémiologie
- fréquents : on les trouve chez 25-33% des individus lors de la coloscopie de dépistage pour les 50 ans et +
pathologies tumorales bénignes - polypes : décrire leur morphologie macroscopique (2 types possibles)
- pédiculés : au bout d’une tige
- sessile : sans tige, aplati sur la muqueuse
pathologies tumorales bénignes - polypes : nommer les morphologies microscopiques possibles (4)
- adénomateux
- hyperplasique/festonné
- hamartomateux
- inflammatoire (pseudopolype)
pathologies tumorales bénignes - polypes : définir le polype adénomateux
excroissance d’épithélium dysplasique
pathologies tumorales bénignes - polypes : décrire les risques de transformation maligne du polype adénomateux
- les risques augmentent en fonction de la taille du polype et de la présence d’éléments villeux à l’histologie
- les petits polypes avec éléments tubuleux seulement sont moins a risque
pathologies tumorales bénignes - polypes : nommer les sous-types des polypes adénomateux
- tubuleux (80% des cas)
- tubulo-villeux
- villeux
pathologies tumorales bénignes - polypes : définir le polype hyperplasique
- excroissance d’épithélium colique normal
pathologies tumorales bénignes - polypes : décrire la taille du polype hyperplasique
- de petite taille (5 mm de diamètre)
pathologies tumorales bénignes - polypes : ou retrouve-t-on le polype hyperplasique (3)
- colon distal
- rectum
- sigmoide
pathologies tumorales bénignes - polypes : décrire le potentiel malin du polype hyperplasique
- le polype hyeprplasique simple/typique est sans potentiel malin et n’a aucune signification clinique
pathologies tumorales bénignes - polypes : définir polype festonnée
polype hyeprplasique typique qui présente des changements dysplasiques ou adénomateux (polype mixte)
pathologies tumorales bénignes - polypes : comparer la taille des polypes hyperplasique et festonné
- festonné souvent de plus grande taille
pathologies tumorales bénignes - polypes : ou retrouve-t-on les polypes festonnés
au colon droit surtout
pathologies tumorales bénignes - polypes : décrire le potentiel malin des polypes festonnés
ils sont capable de transformation maligne → ils sont considérés comme adénomateux
pathologies tumorales bénignes - polypes : décrire l’aspect histologique des polypes hamartomateux
présence d’un stroma avec hyperabondance de lamina propria et de glandes kystiques
pathologies tumorales bénignes - polypes : combien retrouve-t-on généralement de polypes hamartomateux
le plus souvent unique
pathologies tumorales bénignes - polypes : chez qui retrouve-t-on généralement des polypes hamartomateux (2)
- enfant
- dans certaines formes de polypose
pathologies tumorales bénignes - polypes : définir polype inflammatoire/pseudopolype
muqueuse normale ou inflammée qui prolifère dans les maladies inflammatoires intestinales (MII)
pathologies tumorales bénignes - polypes : décrire le potentiel malin des polypes inflammatoires
nul → ils sont bénins
pathologies tumorales bénignes - polypes : décrire la présentation clinique (3)
- souvent asymptomatiques
- si la muqueuse est friable ou ulcérée (ex : polype de grande taille, > 1 cm) :
- rectorragies, surtout si le polype est au colon gauche
- anémie par spoliation chronique, surtout si le polype est au colon droit
pathologies tumorales bénignes - polypes : décrire la présence de sang dans les selles en présence d’une anémie par spoliation chronique
- il n’y aura pas nécessairement de sang visible à l’œil nu, mais la recherche de sans dans les selles pourrait etre positive
pathologies tumorales bénignes - polypes : comment se fait le Dx
coloscopie
pathologies tumorales bénignes - polypes : comment se fait le Tx (3)
- polypectomie lors de la coloscopie
- analyse histologique de l’échantillon
- suivi par colosocpies
pathologies tumorales bénignes - polypes : pourquoi doit-on faire une polypectomie
a cause du pouvoir de transformation maligne des polypes
pathologies tumorales bénignes - polypes : comment se fait la polypectomie
on utilise une anse froide ou diathermique avec cautérisation
pathologies tumorales bénignes - polypes : comment est déterminé la fréquence des coloscopie de dépistage dans le suivi (3)
- résultat de la coloscopie
- résultat de la patho des tissus réséqués
- ATCD personnels et familiaux
syndromes génétiques familiaux - définir
conditions génétiques entrainant le dev de multiples polypes, souvent > 100
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : décrire sa fréquence (2)
- cest la polypose la plus fréquente
- elle touche 1 personne sur 5000, autant H que F
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : décrire sa pathogénèse
- la mutation du gene APC sur le chromosome 5 est impliqué dans sa pathogénèse
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : qu’entraine cette polypose
- le dev de plus de 100 adénome coliques
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : quand se manifeste les polypes
aussi tot que dans l’enfance
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : décrire le risque cancéreux
le risque de dev un cancer du colon avant 40 ans est de 100% sans Tx ou suivi
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : nommer 2 formes différentes de la FAP pouvant entrainer des manifestations extracoliques
- syndrome de gardner
- syndrome de turcot
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : définir le syndrome de gardner
- polypose familiale adénomateuse accompagnée de tumeurs desmoides et ostéomes
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : Tx du syndrome de gardner (2)
- colectomie
- multiples résections tumorales desmoides lorsqu’elles sont symptomatiques
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : définir le syndrome de turcot
- polypose familiale adénomateuse accompagnée de tumeurs du SNC (glioblastomes, médulloblastomes)
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : décrire la forme atténuée de la FAP (3)
- forme plus bénignes
- les patients ont moins de polypes (entre 10 et 100)
- l’évolution vers la néo colique se fait plus tardivement (55 ans vs <40 ans)
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : comment se fait le Dx (2)
- gastroduodénoscopie
- sigmoidoscopie (ou coloscopie courte)
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : pourquoi le gastroduodénoscopie est elle utile au Dx
car il y a un risque de néo gastro-duodénale associé
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : quand fait on une sigmoidoscopie
chez les Pz ayant une histoire fmailiale positive, on en fait une chaque année des 10-12 ans
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : comment le fait le Tx (2)
- proctocolectomie prophylactique au moment du Dx (lorsque la sigmoidoscopie confirme l’apparition de polypes)
- counseling familial avec un médecine généticien obligatoire
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale génétique (FAP) : nommer les issues possibles de la procotolectomie prophylactique (3)
- iléostomie permanente
- anastomose iléoanale avec création d’un réservoir (poche iléale)
- anastomose iléorectale
syndromes génétiques familiaux - polypose de Peutz-Jeghers : décrire ses caract (2)
- caractérisée par des polypes de types hamartomateux au niveau du grele
- présence de taches brunatres au niveau de la muqueuse buccale
syndromes génétiques familiaux - polypose de Peutz-Jeghers : quel gene est muté
le gene STK11/LKB1 sur le chromosome 19
syndromes génétiques familiaux - polypose de Peutz-Jeghers : décrire le risque de néo (2)
- risque accru (90% à 40 - 50 ans)
- les néo coliques sont toutefois indépendantes des hamartomes qui se dev surtout au niveau du grele
syndromes génétiques familiaux - polypose de Peutz-Jeghers : vers quel age se fait le Dx
entre 20 - 40 ans
syndromes génétiques familiaux - polypose de Peutz-Jeghers : nommer les cancers y étant associés (3)
- estomac ou pancréas (40%)
- sein (50%)
- ovaires (10-20%)
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale juvénile : décrire sa fréquence
rare
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale juvénile : qu’entraine-t-elle
des polypes hamartomateux au niveau du colon
syndromes génétiques familiaux - polypose familiale juvénile : décrire le risque de néo
malgré le caractère hamartomateux des polypes (donc bénins), il y a une incidence accrue de néo chez ces patients
syndromes génétiques familiaux - polypose hyperplasique : qu’implique-t-elle (3 caractéristiques)
présence de polypes festonnées multiples (> 5) de grande taille (> 1 cm) localisés entre autres au colon proximal
syndromes génétiques familiaux - HNPCC/syndrome de Lynch :
vrai ou faux : il s’agit de la plus rare des anomalies génétiques liées au cancer du colon
FAUX : la plus fréquente
syndromes génétiques familiaux - HNPCC/syndrome de Lynch :
vrai ou faux : c’est une polypose a proprement parler
expliquer
FAUX
ce n’est pas une polypose a proprement parler, car ce syndrome n’entraine par la formation de multiples polypes comme dans la PAF
syndromes génétiques familiaux - HNPCC/syndrome de Lynch : nommer les genes en cause (5)
- MLH1
- MSH2
- MSH6
- PMS2
- EPCAM
syndromes génétiques familiaux - HNPCC/syndrome de Lynch : dans quoi sont normalement impliqués les genes en cause
- genes normalement impliqués dans le processus de réparation des anomalies génétiques
syndromes génétiques familiaux - HNPCC/syndrome de Lynch : décrire l’impact de la mutation des genes normalement responsables de la réparation des anomalies génétiques (2)
- s’il y a formation d’un polype, la transformation de celui-ci en cancer sera potentiellement accélérée puisque la réparation des anomalies ne pourra pas etre faite adéquatement
- le croissance et la transformation des en adénocarcinomes des polypes est donc accélérée
syndromes génétiques familiaux - HNPCC/syndrome de Lynch : différencier le Lynch 1 du Lynch 2
- lynch 1 : entraine exclusivement un risque accru de néo au colon est au rectum
- lynch 2 : entraine aussi un risque accru de néo touchant d’autres organes (estomac, intestin grele, utérus, ovaires, voies urinaires, seins, pancréas, foie, voies biliaires)
syndromes génétiques familiaux - HNPCC/syndrome de Lynch : comment se fait le Dx (3)
- en se fiant aux critères d’amsterdam
- la présence d’instabilité microsatellite en histopatho est aussi suggestive de HNPCC
- la présence d’un cancer colorectal et d’un/pls cancers aossicée a Lynch (en meme temps ou non) doit aussi soulever la possibilité d’un syndrome de lynch et entrainer une eval en génétique medicale
syndromes génétiques familiaux - HNPCC/syndrome de Lynch : nommer les critères d’amsterdam (3)
- il doit y avoir dans la famille :
- 1 cancer colorectal ou de l’endomètre avant 50 ans
- des cancers colorectaux ou lynch sur 2 générations successives
- 3 membres d’une meme famille atteints d’un cancer colorectal ou lynch, et l’un de ses patient doit etre parent du 1er degré de 2 autres
syndromes génétiques familiaux - HNPCC/syndrome de Lynch : comment se fait le suivi (4)
- coloscopie à tous les 2-3 ans a partir de 20-25 ans (ou a l’age du premier Dx de cancer dans la famille, moins 5 ans)
- une OGD a ch 3-5 ans
- recherche de H pylori lors de la premiere OGD
- surveillance de l’endomètre, des ovaires, des voies urinaires et de la peau en raison du risque de néo associé au lynch
syndromes génétiques familiaux - polypose fam associée au gene MUTYH : définir
polypose a transmission autosomique récessive
syndromes génétiques familiaux - polypose fam associée au gene MUTYH : qu’entraine-t-elle (2)
- entraine la formation de multiples adénomes au niveau colorectal
- augmente le risque de cancer colorectal
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : décrire sa fréquence (2)
- très fréquent
- touche jusqu’a 5% de la population
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : qui est davantage touché (4)
- sa fréquence augmente avec l’âge
- H > F
- Noirs > Blancs
- plus prévalent chez les Px atteints d’acromégalie, MII, diabète ou syndrome métabolique
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : décrire le pronostic
variable selon le stade du cancer
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : nommer les facteurs de risque épidémiologiques (4)
- obésité + syndrome métabolique
- tabagisme
- alcool
- viandes rouges ou cuites au bbq, charcuteries
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : nommer les facteurs protecteurs (3)
- activité phys régulière
- diète riche en fibres
- apport suffisant en Ca
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : nommer les facteurs prédisposants (4)
- polypose familiale
- MII, surtout la colite ulcéreuse ou la maladie de Crohn colique
- ATCD perso de polype adénomateux/festonné ou de cancer colorectal
- ATCD fam de polye adénomateux/festonné ou de cancer colorectal
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : de quoi dépend le risque associé aux MII (4)
- étendue de la colite (pancolite vs colite gauche)
- durée de la maladie (1%/année après 10 ans)
- présence d’inflammation mal controlée
- présence de cholangite sclérosante primitive (chez certains Px)
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : décrire les cancers en lien avec les MII
peuvent etre agressifs et multiples
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : quelle stratégie doit etre adoptée lors de la présence d’une MII (2)
- dépistage avec des biopsies multiétagées a la recherche de dysplasie
- chromoendoscopie si disponible
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : comparer la fréquences des cancers sporadiques vs avec histoire fam positive
- 80% des cas sont sporadiques
- 20% ont une histoire fam positive
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : parmi les 20% de cancer ayant une histoire familiale positive, quel % a une histoire de polypose familiale (PAF, PAFA, HNPCC, MUYTH)? que représente l’autre partie?
- 5%
- l’autre 15% ont des facteurs génétiques inconnus → on sait cependant que le risque est doublé s’il y eu un cancer ou un polype chez un parent de 1er degré
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : décrire la physiopatho (2)
- accumulation progressive de mutations (héritées ou sporadiques) qui affectent des genes régulant la croissance normale des cellules
- la transformation maligne d’une polype adénomateux ou festonné a un adénocarcinome se fait sur pls années
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : quels genes peuvent etre touchés par les mutations a l’origine du cancer (5)
- APC
- p53
- genes de réparation (MLH1, MLH2)
- MYH
- KRas
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : nommer les parties du colon pouvant etre touchées ainsi que la fréquence (5)
- colon droit : 30%
- transverse : 15%
- descendant : 5%
- sigmoide : 25%
- rectum : 20%
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : de quoi dépend la présentation clinique de la néo colique
de sa localisation
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : décrire la présentation clinique lorsque situé au colon proximal (3)
- saignement, souvent occulte (recherche de sang occulte [RSOSi] dans les selles pourra etre +)
- anémie ferriprive
- masse abdo (si avancé)
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : décrire la présentation clinique lorsque situé au colon distal (7)
- saignements ou rectorragies
- chang du calibre des selles
- chang dans la fréquence des selles / diarrhée / constipation
- mucus dans les selles
- douleurs abdo
- occlusion intestinale (si la lumiere colique est diminuée)
- masse abdo (si avancé ou si fécalome du a l’obstruction)
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : comment se fait le Dx
- coloscopie
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : décrire l’utilité de la coloscopie pour le Dx (4)
- méthode la plus sensible
- permet la confirmation par biopsie
- permet la résection des polypes
- permet le tatouage a l’encre des lésions suspectes si indiqué
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : nommer les techniques radiologiques utilisées pour le dépistages et non pour le Dx (3)
- coloscopie virtuelle par tomodensitométrie
- recherche sans sang occulte dans les selles (RSOSi)
- lavement baryté : Rx avec contraste (peu utilisé)
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : que comprend le bilan d’extension si un cancer est découvert (4)
- TDM thoraco-abdomino-pelvien avec contraste
- dosage CEA a des fins de suivi
- IRM pelvienne/rectale si néo du rectum, parfois endoendo rectale
- scintigraphie osseuse et/ou TEP-scan au besoin (si métastases suspectées)
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : comment établit-on le stade du cancer
avec la classification TNM
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : que permet le stade du cancer (2)
d’orienter le pronostic et de choisir le Tx adapté
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : décrire la classification TNM (3)
- T : envahissement de la tumeur
- dépend des couches atteintes (muqueuse, sous-muqueuse, musculeuse, séreuse ou organes à proximité)
- N : envahissement lymphatique/ganglions (nodule)
- dépend du nb de ganglion atteints
- M : envahissement veineux (métastase)
- dépend de la présence ou non de métastases
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : ou trouve-t-on en premier des métastases (2)
- souvent d’abord au biveau hépatique et pulmonaire
- peut aussi etre pulmonaires seules si cancer du rectum en raison de son territoire de drainage veineux
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome :
vrai ou faux : la présence d’un ou pls ganglions atteints signifie automatiquement un stade 4, tout comme la présence de métastases
FAUX :
atteinte ganglionnaire = automatiquement un stade 3
il est par contre vrai que la présence de métastase = automatique un stade 4
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : Tx possibles (4)
- Cx
- chimioTx
- radio-Tx + chimio Tx
- résection parfois possibles pour métastases hépatiques
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : comment se fait le Tx par Cx (2)
- si in situ : polypectomie
- sinon : exérèse Cx segmentaire incluant les territoires de drainage lymphatiques/ganglions
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : décrire l’utilisation de la chimioTx selon le stade (4)
- stade 1 : non requise
- stade 2 : discutable
- stade 3 : avantages nets a l’utiliser dans l’arsenal Tx
- stade 4 : à visée palliative
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : quand utilise-t-on le mix radioTx/chimioTx
en préop pour le cancer rectal
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : utilité du dépistage
- le dev d’un adénocarcinome se fait sur 5-10 ans : la prévention permet donc de réduire le nb de cancer et de décès en précédant précocement a la résection des polypes adénomateux
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : quand débute le dépistage (2)
- a partir de 50 ans dans la pop genérale
- si ACTD familiaux : a 40 ans ou 10 ans avant l’âge d’apparition du cancer colorectal chez le proche atteint (celui qui vient le plut tot des deux)
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : de quoi dépend le choix de la méthode de dépistage utilisée (2)
- des facteurs de risque du Px
- de la présence ou non de Sx
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : nommer les méthodes dépistage possibles (4)
- colsocopie optique
- coloscopie virtuelle (par TDM)
- recherche de sang occulte dans les selles (RSOSi)
- lavement baryté
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : quel est l’examen dépistage de choix
coloscopie optique
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : que permet la coloscopie optique dans le dépistage (2)
- de poser un Dx définitif
- de procéder a la résection des polypes
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : a qui doit etre proposée la coloscopie optique (3)
- aux Px avec ATCD familiaux ou personnels de polupes ou de cancer colorectal
- aux Px présentant des Sx suggestifs (rectorragies, anémie ferriprive…)
- aux Px ayant certaines pathos conférant un risque plus élevé (polypose, MII)
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : avantages de la colsocopie optique en dépistage (2)
- excellente sensibilité
- permet de réséquer les polypes
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : désavantages de la coloscopie optique en dépistage (4)
- couteux
- liste d’attente
- saignement post-polypectomie de 1-3%
- risque de perforation de 1/1000
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : en fonction de quoi est modulée la fréquence des colsocopies subséquentes après une coloscopie optique de dépistage (2)
- présence ou non de polype + taille et nb si applicable
- présence d’éléments villeux a la pathologie
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : fréquences des coloscopie optiques de dépistages si pas de polype ni ATCD personnel/familial significatif
refaire dans 10 ans ou choisir une autre méthode de dépistage
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : fréquences des coloscopies optiques de dépistages si 1-2 petits adénomes tubulaires
refaire dans 5 ans
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : dans quel cas doit-on refaire la coloscopie optique de dépistage dans 3 ans (3)
- présence de 3-10 polypes OU
- au moins 1 polype > 1 cm OU
- au moins 1 polype avec élément villeux ou festonné ou dysplasie de gaut grade
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : fréquences des coloscopies optiques de dépistages si plus de 10 polypes (2)
- dans moins de 3 ans
- éliminer la possibilité d’n syndrome génétique (consult en génétique medicale)
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : a qui propose-t-on une coloscopie virtuelle
- Px ave un risque normal :
- sans ATCD fam ou personnels
- sans Sx
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : décrire la sensibilité de la colsocopie virtuelle
bonne, mais moins que la coloscopie optique
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : désavantages de la coloscopie virtuelle (2)
- nécessite une prep laxative et entraine un certain inconfort (idem que coloscopie optique)
- s’accompagne d’irradiation (TDM)
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : quand doit-on refaire la coloscpie virtuelle si le dépistage est negatif
dans 5 ans
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : que doit-on faire si le dépistage est positif a la coloscopie virtuelle
- effecteur une coloscopie ooptique afin de poursuivre l’investigation et procédéer a la résection des polypes objectivés a la coloscopie virtuelle
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : a qui convient le test RSOSi dans le cadre du dépistage
- aux patients a risque normal de polype ou de cancer
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : décrire la sensibilité du test RSOSi en dépistage
moins sensible que les coloscopie optique ou virtuelle
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : avantages du tests RSOSi en dépistage (3)
- ne nécessite pas de prep laxative
- ne cause pas d’inconfort
- facilement utilisable a large échelle ans un contexte de dépistage populationnel
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : quand doit-on repasser un test RSOSi si le dépistage est négatif
dans 1 a 2 ans
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : que faire si le test de dépistage RSOSi est +
faire une coloscopie pour poursuivre l’investigation
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : définir lavement baryté (2)
- radiographie avec contraste
- examen peu utilisé de nos jours
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : inconvénients du lavement baryté (3)
- nécessite une prep laxative
- entraine un certain inconfort
- cause de l’irradiation (mais moins que la coloscopie virtuelle)
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : que faire si dépistage au lavement baryté négatif
refaire l’examen dans 5 ans
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : que faire si dépistage au lavement baryté positif
faire une coloscopie afin de poursuivre l’investigation
pathologies tumorales malignes - adénocarcinome : pourquoi est-ce que le lavement baryté est peu utilisé en dépistage de nos jours
puisque la coloscopie virtuelle est largement disponible
pathologies tumorales malignes - nommer d’autres tumeurs coliques (autres que l’adénocarcinome) (4)
- lipomes
- GIST (tumeurs stromales)
- tumeurs carcinoides
- lymphomes