Chapitre 8 - La famille Flashcards

1
Q

Pendant l’enfance, quel est le principal agent de socialisation?

a. Les pairs.
b. Les professeurs.
c. La famille.
d. Les médias.

A

c. La famille.

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2
Q

Le style parental peut être défini comme…

A

Une constellation d’attitudes qui créent un climat émotif à travers lequel s’expriment les comportements parentaux

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3
Q

Quelle est la figure essentielle dans le domaine de l’étude des styles parentaux?

a. Erikson.
b. Dykens.
c. Marcia.
d. Baumrind.

A

d. Baumrind.

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4
Q

Maccoby et Martin (1983) ont suggéré une typologie qui s’appuie sur deux dimensions, considérées comme indépendantes. Quelles sont ces deux dimensions?

a. La sensibilité et le contrôle.
b. La sensibilité et l’engagement.
c. L’engagement et le contrôle.
d. Le contrôle et le respect.

A

a. La sensibilité et le contrôle.

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5
Q

Vrai ou faux?
Plusieurs études empiriques montrent que le lien entre le contrôle du parent sur son enfant et le développement des compétences de l’enfant n’est pas linéaire. Autrement dit, il semble que l’excès de contrôle ou son absence ne soit pas optimal sur le plan du développement de l’enfant.

A

Vrai

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6
Q

1) La combinaison d’un contrôle actif et d’une faible sensibilité donne lieu à un
_______.
2) La combinaison d’une faible sensibilité et d’un faible contrôle donne lieu à un _______.
3) Le ________ concerne les parents qui accordent beaucoup d’attention aux besoins de leur adolescent, sans beaucoup affirmer leur autorité parentale.
4) Les parents de ______
posent des standards élevés au jeune tout en faisant preuve de flexibilité.

A

1) Style parental autocratique
2) Style parental désengagé
3) Style parental permissif
4) Style parental démocratique
p. 153-154

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7
Q

L’étiquette attribuée originellement au style démocratique est authoritative. Ce terme a été traduit en français par l’expression « style démocratique », qui est imparfaite puisqu’elle…

A

… laisse entendre que les parents et les enfants disposent exactement du même poids décisionnel dans la famille, ce qui n’est pas le cas.
p. 154

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8
Q

Lequel des énoncés ci-dessous est faux?
La typologie des styles d’autorité parentale en quatre catégories ne manque pas d’intérêt, mais, en tant qu’outil pour situer la relation parent-adolescent, elle comporte au moins les quatre limites suivantes :
a. Il n’existe probablement pas de parent qui corresponde à un style pur; la plupart des comportements parentaux puisent dans un mélange de styles.
b. Elle a été établie sur un échantillon trop restreint et peu représentatif de l’ensemble de la population.
c. Un parent peut adopter un style différent selon les circonstances ou l’enjeu en cause.
d. Cette typologie ne rend pas compte du fait que le jeune exerce une influence sur le style de son parent.

A

b. Elle a été établie sur un échantillon trop restreint et peu représentatif de l’ensemble de la population.

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9
Q

Vrai ou faux?
Selon Cloutier et Drapeau, ce ne sont pas nécessairement les comportements des parents démocratiques en eux-mêmes qui importent, mais bien le contexte émotionnel ou le climat dans lequel s’inscrivent ces comportements.

A

Vrai

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10
Q

Globalement, le style parental démocratique est associé à l’adaptation la plus positive chez le jeune. Nommez deux raisons qui expliquent en quoi ce style est associé à une adaptation positive chez le jeune.

A

1) Établit un meilleur équilibre entre le contrôle et l’autonomie
2) Permet d’engager des échanges qui permettent aux enfants d’exprimer leurs points de vue, développant ainsi leurs habiletés cognitives, leur jugement moral et leur empathie.

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11
Q

En ce qui a trait à l’exercice du rôle parental selon les contextes culturels, Steinberg affirme que…

a. les bénéfices liés au style parental démocratique ne transcendent pas les différences entre les cultures.
b. les bénéfices liés au style parental démocratique transcendent les différences entre les cultures.
c. les quatre styles d’autorité parentale sont observés seulement dans les cultures nord-américaines.
d. aucune de ces réponses.

A

b. les bénéfices liés au style parental démocratique transcendent les différences entre les cultures.

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12
Q

Vrai ou faux?
Une pratique parentale qui peut sembler intrusive selon une perspective nord-américaine peut, du point de vue des personnes vivant dans des cultures asiatiques, posséder des caractéristiques désirables qui seront d’ailleurs associées à des bénéfices chez les adolescents.

A

Vrai

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13
Q

En général, il est démontré que le niveau socioéconomique est lié aux pratiques parentales. Ainsi, les parents ayant un niveau socioéconomique élevé utilisent plus de techniques de ________, alors que les parents ayant un niveau socioéconomique faible recourent davantage à des
_________.

A

1) Contrôle psychologique

2) Punitions physiques

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14
Q

Selon Bronfenbrenner (1979), le faible statut socioéconomique d’une famille constitue un terrain propice à l’apparition d’une série d’autres facteurs de risque. Donnez deux exemples de facteurs de risque qui sont liés à un faible statut socioéconomique.

A

1) Stress liés à l’$
2) Le fait de vivre dans des quartiers moins sécuritaires
p. 158

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15
Q

Définissez la notion de niche développementale utilisée par certains auteurs et donnez un exemple.

A

Définition: Le fait que les parents ajustent leurs stratégies éducatives en fonction du contexte dans lequel ils vivent.

ex: Adopter des pratiques parentales plus restrictives, + punitives dans des milieux plus dangereux afin de protéger le jeune deviendrait une stratégie optimale dans ce contexte.
p. 159

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16
Q

Lequel des énoncés ci-dessous est faux?
Dans la famille, le passage de l’enfance à l’âge adulte se traduit par…
Veuillez choisir une réponse :
a. une diminution de l’asymétrie entre parents et adolescent.
b. une augmentation de la mutualité entre parents et adolescent.
c. des rapports basés davantage sur la réciprocité et la coopération.
d. des rapports devenus totalement égaux.

A

d. des rapports devenus totalement égaux.

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17
Q

Vrai ou faux?
Comme le démontre la croyance populaire, les recherches indiquent clairement que les conflits majeurs, intenses et agressifs entre les parents et les adolescents sont la norme.

A

Faux

18
Q

Les recherches montrent que les discordes entre les parents et les adolescents concernent surtout des questions que l’on pourrait qualifier de mineures. Toutefois, des enjeux plus profonds peuvent leur être sous-jacents. Donnez un exemple d’enjeu profond qui peut se cacher sous ces conflits en apparence mineurs.

A

Ex: Garder un oeil sur les choix vestimentaires de son adolescente peut traduire un préoccupation à l’égard de la sexualité et de la sécurité de la jeune fille.
p. 160

19
Q

Selon Cloutier et Drapeau, quelle est une des raisons expliquant les conflits entre les parents et les adolescents?

A

La divergence d’opinion à propos de ce qui relève de sujets personnels et de ce qui relève plutôt des conventions sociales et des enjeux moraux.
p. 160

20
Q

Vrai ou faux?
Selon Cloutier et Drapeau, la fréquence des conflits diminue au cours de l’adolescence; cependant, les affects qui sont associés aux affrontements entre le jeune et ses parents tendent plutôt à augmenter, particulièrement vers le milieu de l’adolescence.

A

Vrai

21
Q

Les recherches démontrent que les conflits ne sont pas un indicateur de problèmes sérieux et durables sur le plan des relations parents-adolescent. On assiste plus à un processus de ______ qu’à une ________.

A

1) transformation de la relation

2) rupture émotionnelle

22
Q

Lequel des énoncés ci-dessous est faux?
De façon générale, les études menées sur les relations des adolescents avec leur père et leur mère indiquent que…
a. les jeunes des deux sexes se confient plus à leur mère qu’à leur père, particulièrement pour ce qui est des sujets personnels.
b. les pères sont plus engagés dans des interactions conflictuelles avec les jeunes que les mères.
c. l’accompagnement scolaire des adolescents et la supervision de leurs travaux sont largement du ressort des mères.
d. les jeunes prêtent une influence plus grande à leur mère dans leur prise de décision.

A

b. les pères sont plus engagés dans des interactions conflictuelles avec les jeunes que les mères.

23
Q

Lequel des énoncés ci-dessous est faux?
En ce qui concerne la relation mère-fille,…
a. les jeunes filles disent n’aborder qu’un nombre limité de sujets avec leur mère même si la communication avec elle est toujours satisfaisante.
b. les mères sont perçues par les jeunes filles comme des figures d’autorité, mais la distance mère-fille est moins grande que celle père-fille.
c. elle implique une combinaison d’autorité et d’égalité, d’intimité et de conflits.
d. les jeunes filles tiennent plus tête ouvertement à leur mère.

A

a. les jeunes filles disent n’aborder qu’un nombre limité de sujets avec leur mère même si la communication avec elle est toujours satisfaisante.

24
Q

Lequel des énoncés est faux?En ce qui concerne la relation mère-fils,…

a. les jeunes garçons se confient davantage à leur père qu’à leur mère.
b. la distance mère-fils est plus grande que celle père-fils.
c. l’intimité dans la dyade mère-fils est plus grande que dans la dyade père-fils.
d. tous ces énoncés sont faux.

A

c. l’intimité dans la dyade mère-fils est plus grande que dans la dyade père-fils.

25
Q

Vrai ou faux?
Selon Cloutier et Drapeau, la dyade père-fille est la relation la plus distante parmi toutes les dyades et engendre un nombre élevé de conflits.

A

Faux

26
Q

Vrai ou faux?
Au Canada et aux États-Unis, bien que le taux de natalité soit en décroissance et que le nombre d’enfants uniques soit en hausse, la plupart des familles comptent plus d’un enfant.

A

Vrai

27
Q

Cloutier et Drapeau décrivent les relations avec les frères et les sœurs comme étant…

a. empreintes d’un nombre élevé de conflit.
b. plus chaleureuses que conflictuelles.
c. mutuellement satisfaisantes.
d. à la fois chaleureuses et conflictuelles.

A

d. à la fois chaleureuses et conflictuelles.

28
Q

Avec l’âge, les relations fraternelles se transforment. Expliquez brièvement en quoi consiste cette transformation.

A

Le dév. d’une identité propre à chacun peut entraîner une diminution de l’intérêt pour des activités communes
et
le détachement progressif de la famille peut entraîner une diminution de la rivalité fraternelle.

29
Q

Certains auteurs ont proposé une typologie des relations fraternelles basée sur deux dimensions, soit…

a. la proximité et la compétition.
b. la coopération et l’hostilité.
c. la proximité et l’hostilité.
d. la coopération et la compétition.

A

c. la proximité et l’hostilité.

30
Q

Lequel des énoncés ci-dessous est faux? Sélectionnez la bonne réponse.
Cloutier et Drapeau tirent certaines conclusions en ce qui concerne la position dans la fratrie (aîné ou cadet) et le fait que celle-ci soit composée ou non de personnes du même sexe, dont…
a. le fait que les enfants sont plus satisfaits et se querellent moins avec leur aîné qu’avec leur cadet.
b. le fait que les relations frère-frère sont plus intenses et offrent plus d’intimité et de chaleur.
c. le fait qu’un jeune qui jouit du soutien affectif d’un frère ou d’une sœur plus âgé est mieux adapté.
d. le fait qu’une grande différence d’âge peut diminuer l’intimité entre les frères et les sœurs.

A

b. le fait que les relations frère-frère sont plus intenses et offrent plus d’intimité et de chaleur.

31
Q

Vrai ou faux?
Certaines recherches démontrent que la vie dans une famille où règnent les conflits et l’hostilité est souvent plus nuisible au développement du jeune que la vie dans une famille séparée.

A

Vrai

32
Q

Lequel des énoncés ci-dessous est faux?
Depuis une trentaine d’années, la transformation des familles touche tous les pays industrialisés, et particulièrement le Québec, où la famille vit de nombreuses transformations d’une ampleur et d’une rapidité surprenantes. La famille québécoise présente un nouveau visage, attribuable, entre autres,…
a. à la hausse du nombre des divorces et des séparations.
b. à l’augmentation du nombre des familles monoparentales et recomposées.
c. à la baisse de la fécondité.
d. au recul du mariage.
e. aucun de ces énoncés n’est vrai.

A

e. aucun de ces énoncés n’est vrai.

33
Q

La répartition des familles québécoises avec enfants de tous âges, selon la structure en 2001, permet de constater…

a. que la majorité des familles est intacte.
b. qu’on trouve autant de familles monoparentales que recomposées.
c. que la majorité des familles est recomposée.
d. qu’on trouve plus de familles recomposées que monoparentales.

A

a. que la majorité des familles est intacte.

34
Q

Dans les années 1970, les études mettaient en exergue la détresse des jeunes, leur anxiété, leur sentiment de perte ainsi que leurs problèmes de comportement. Cependant, ces études comportaient plusieurs lacunes. Nommez-en deux.

A

1) études réalisées rétrospectivement à partir de petits échantillons cliniques, non représentatifs de la population
2) Manque de contrôle de plusieurs variables (revenue familial, adaptation avant la séparation…)
p. 166

35
Q

Selon Cloutier et Drapeau, il existe bel et bien des différences entre les jeunes issus de familles séparées et ceux issus de familles intactes : les premiers présentent nettement plus de problèmes d’adaptations que les seconds. Hetherington et ses collaborateurs (1998) parlent d’un risque qui serait…

a. quatre fois plus élevé pour les enfants venant de familles séparées.
b. trois fois plus élevé pour les enfants venant de familles séparées.
c. deux fois plus élevé pour les enfants venant de familles séparées.
d. aucune de ces réponses.

A

c. deux fois plus élevé pour les enfants venant de familles séparées.

36
Q

Les effets les plus importants, trouvés de manière constante dans les différentes études portant sur les transitions familiales, s’observent sur le plan des problèmes extériorisés. Donnez deux exemples de problèmes extériorisés qu’on peut observer.

A

1) Agressions

2) Comportements antisociaux

37
Q

Vrai ou faux?
Les recherches récentes montrent que plusieurs problèmes relevés dans la période suivant la rupture existaient avant celle-ci. Par exemple, les adolescents dont les parents vont se séparer présentent déjà, avant la transition, des notes plus faibles en mathématiques et en français.

A

Vrai

38
Q

À plus long terme, la séparation conjugale peut inscrire les jeunes dans une trajectoire comportant des risques plus importants d’inadaptation. Donnez deux exemples d’effets à long terme qui sont observés chez les jeunes de familles séparées ou réorganisées.

A

1) Scolarité moindre
2) Moins d’affection pour leurs parents (surtout le père)
p. 167

39
Q

Bien que les transitions familiales soient un stress pour tous, on observe que leur impact varie grandement d’un jeune à l’autre. De nos jours, les chercheurs désirent approfondir ce qui explique cette variabilité, autrement dit les facteurs susceptibles de jouer un rôle dans l’adaptation des jeunes et des parents au cours des transitions familiales. Nommez trois ordres de facteurs pouvant expliquer cette variabilité.

A

1) Caractéristiques individuelles des jeunes
2) Processus relationnels au sein de la famille
3) Appauvrissement économique

40
Q

Lequel des énoncés ci-dessous est faux?
En ce qui concerne la séparation conjugale, les adolescents…
a. sont plus à même de comprendre la situation familiale et d’évaluer la complexité des enjeux.
b. étant eux-mêmes dans une phase d’exploration de leur sexualité, peuvent, entre autres, être troublés par la nouvelle liberté de leurs parents sur ce plan.
c. comprennent mieux les causes de la séparation, distinguent mieux ce qu’ils peuvent contrôler et ce qu’ils ne peuvent contrôler.
d. tous ces énoncés sont vrais.

A

d. tous ces énoncés sont vrais.

41
Q

Vrai ou faux?
De nos jours, les auteurs insistent sur le fait que les filles et les garçons sont également affectés par les risques que comporte la séparation; ce sont plutôt leur façon de réagir qui les distingue.

A

Vrai

42
Q

Selon Cloutier et Drapeau, quel est l’un des facteurs les plus puissants pour expliquer l’adaptation des jeunes pendant les transitions familiales, peu importe la structure familiale?

a. La qualité des relations entre les parents et leurs enfants.
b. La qualité des relations entre les parents.
c. La qualité des relations entre frère et sœur.
d. La qualité des relations entre la mère et ses enfants.

A

a. La qualité des relations entre les parents et leurs enfants.