Chapitre 5 -Sexualité Flashcards

1
Q

L’adolescence, avant d’être un statut social se situant entre l’enfance et l’âge adulte, avant d’être un stade psychologique à la frontière de la dépendance et de l’autonomie affective, est un
________ amené par l’événement « puberté ».

A

État somatique

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2
Q

Vrai ou faux?
L’apparition des pulsions sexuelles associées à la maturité ne correspond pas au début de la sexualité, étant donné que celle-ci se manifeste déjà pendant l’enfance.

A

Vrai

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3
Q

Depuis longtemps, on observe l’intérêt marqué du jeune bébé pour l’exploration de son corps, y compris ses organes génitaux. Vers quel âge reconnaît-on que les bébés des deux sexes répondent physiquement à la stimulation de leurs organes génitaux par une réaction qui s’apparente à un plaisir érotique?

a. Vers 4 mois.
b. Vers 6 mois.
c. Vers 8 mois.
d. Vers 10 mois.

A

a. Vers 4 mois.

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4
Q

Certains enfants de deux ou trois ans cherchent à voir les organes génitaux de leurs pairs ou à montrer les leurs. En règle générale, ces explorations relèvent de la
_______, un peu comme c’est le cas des expériences du jeune bébé sur son propre corps.

A

Curiosité

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5
Q

Vrai ou faux?

Selon Drapeau et Cloutier, la sexualité adulte peut totalement s’expliquer par ses origines biologiques.

A

Faux

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6
Q

Si l’on conçoit la sexualité comme un ensemble comportemental déterminé par des facteurs tant biologiques que psychologiques, on est amené à constater une évolution : depuis l’enfance, où certaines conduites étaient déjà présentes, jusqu’à l’âge adulte, où surgissent certains besoins de filiation et d’expression d’amour, en passant par l’adolescence, où apparaissent des pulsions nouvelles. Cette dernière perspective se nomme :

a. perspective évolutionniste.
b. perspective développementale.
c. perspective normative.
d. perspective écologique.

A

b. perspective développementale.

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7
Q

Vrai ou faux.
Les problèmes des adolescents en matière de sexualité sont mis de l’avant encore de nos jours, malgré le fait que la sexualité soit une composante normale du développement à cette période de la vie.

A

Vrai

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8
Q

Vrai ou faux.

L’utilisation du terme normatif signifie « prescription d’un âge “idéal” pour l’apparition de tel ou tel comportement ».

A

Faux

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9
Q

Toutes les personnes n’expriment pas leur sexualité de la même manière et n’ont pas les mêmes expériences. Toutefois, les habiletés à penser de manière critique, à prendre des décisions, à maintenir ou à créer des relations saines avec les autres, tout en appréciant son corps et sa sexualité, forment les fondations de la santé sexuelle.
Steinberg a énoncé quatre fondements de la santé sexuelle de l’adolescent. En voici trois. Quel est le quatrième?
a) Accepter son corps.
b) Accepter ses désirs sexuels.
c) Comprendre que les activités sexuelles sont des actes volontaires.

A

d) Adopter des comportements sexuels sécuritaires

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10
Q

Qui suis-je? Je suis la manifestation comportementale des désirs, des pulsions et des instincts sexuels.

a. Le comportement sexuel.
b. La déviation sexuelle.
c. La santé sexuelle.
d. Aucune de ces réponses.

A

a. Le comportement sexuel.

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11
Q

Selon Cloutier et Drapeau, la

_______ est sans doute le comportement sexuel le plus répandu et le plus fréquent à l’adolescence.

A

Masturbation

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12
Q

Selon Cloutier et Drapeau, la pratique de la masturbation est beaucoup moins condamnée qu’autrefois. Toutefois, ils affirment que les messages que la société envoie aux jeunes relativement à cette pratique demeurent ambigus. Expliquez en quoi les messages véhiculés par la société concernant la masturbation sont ambigus.

A

Le monde adulte semble réticent à banaliser cette pratique de peur que les adolescents en abusent et se détournent de la ‘vraie’ sexualité. D’autre part, face aux risques que peuvent représenter les relations sexuelles à un âge encore influencé par une certaine nonchalance, la masturbation représente une alternative intéressante, exempte de risque.

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13
Q

Outre le mythe de la « crise adolescente » selon lequel le passage de 12 à 18 ans est nécessairement marqué par un profond tumulte dans la vie personnelle, un autre mythe concernant les adolescents d’aujourd’hui semble vouloir s’enraciner : celui de __________________.

A

La précocité sexuelle généralisée

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14
Q

Vrai ou faux?
Presque tous les jeunes reconnaissent qu’une pénétration pénis-vagin, ainsi que la plupart des autres actes de nature sexuelle sont des relations sexuelles.

A

Faux

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15
Q

Vrai ou faux.
Selon une enquête réalisée en 2010 par l’ESCC, 30 % des 26 000 élèves âgés de 15 à 17 ans ont affirmé avoir déjà eu des rapports sexuels. La subdivision par province montre que les chiffres sont moins élevés au Québec qu’ailleurs au pays.

A

Faux, + élevé

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16
Q

Les dernières enquêtes confirment qu’il n’existe pratiquement plus de différence entre les garçons et les filles sur le plan de la prévalence de l’activité sexuelle. Les garçons semblent toutefois amorcer plus ____________ leur trajectoire, mais par la suite, les écarts ___________.

a. tard; s’accentuent.
b. tardivement; s’effacent.
c. tôt; s’effacent.
d. tôt : s’accentuent.

A

c. tôt; s’effacent.

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17
Q

Selon Cloutier et ses collaborateurs, quel est l’âge moyen au moment des premières relations sexuelles?

a. 13 ou 14 ans.
b. 14 ou 15 ans.
c. 16 ou 17 ans.
d. 18 et plus.

A

c. 16 ou 17 ans.

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18
Q

Vrai ou faux.

Avoir des relations sexuelles avant l’âge de 15 ans peut être considéré comme étant précoce.

A

Vrai

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19
Q

On qualifie parfois les jeunes de _______ pour préciser que ces derniers ont rarement plusieurs partenaires à la fois et que c’est plutôt la durée relativement courte de leurs relations amoureuses qui explique le nombre de partenaires qu’ils ont fréquentés.

A

Monogames en série

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20
Q

Selon Boyce et ses collaborateurs (2003), quel est le motif le plus fréquemment invoqué par les jeunes pour avoir des relations sexuelles?:

a. La volonté d’expérimenter.
b. La volonté de perdre sa virginité.
c. L’amour.
d. La curiosité.

A

c. L’amour.

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21
Q

Selon Boyce et ses collaborateurs (2003), quelles sont les raisons les plus souvent invoquées par les filles pour s’abstenir d’avoir des relations sexuelles?

a. Elles ont l’impression de ne pas être prêtes et de ne pas avoir rencontré la bonne personne.
b. Elles ont l’impression de ne pas être prêtes et afin d’éviter une grossesse.
c. Elles ont l’impression de ne pas être prêtes et veulent rester vierges.
d. Elles ont l’impression de ne pas être prêtes et n’ont pas encore eu d’occasion.

A

a. Elles ont l’impression de ne pas être prêtes et de ne pas avoir rencontré la bonne personne.

22
Q

Selon Boyce et ses collaborateurs (2003), _________________est la raison la plus souvent invoquée par les garçons pour s’abstenir d’avoir des relations sexuelles.

A

Ne pas avoir eu l’occasion

23
Q

Il a été observé que, chez les garçons, le niveau de
________ était corrélé avec le niveau d’activité sexuelle. Chez les filles, les taux d’
________ sont associés à l’intérêt sexuel, mais pas nécessairement aux comportements sexuels eux-mêmes.

A

1) testostérone

2) hormones

24
Q

Vrai ou faux?
Selon Cloutier et Drapeau, le lien étroit observé entre la durée des fréquentations et la probabilité d’être actif sexuellement appuie l’hypothèse d’une influence prépondérante du contexte social sur le début des activités sexuelles.

A

Vrai

25
Q

Vrai ou faux?
Selon Cloutier et Drapeau, les parents sont certainement une source d’influence déterminante sur le plan des comportements sexuels des jeunes, mais la façon dont agit cette influence peut prendre des formes diverses.

A

Vrai

26
Q

Plusieurs auteurs ont observé que les jeunes issus de familles séparées, notamment les filles vivant dans une famille monoparentale, ont tendance à être plus actifs sexuellement que leurs pairs dont les parents sont ensemble. Comment ces auteurs expliquent-ils cette situation?

A

Ce serait lié au stress considérable vécu au sein de la famille, et aux conditions fréquentes de pauvreté, de conflits et à la diff. des parents à assurer une supervision parentale très active.
Les conditions défavorables stimuleraient chez l’ado. un besoin de compensation l’incitant à rechercher des gratifications à court terme et à s’engager + à fond sur le plan émotionnel.

27
Q

Dans la société d’aujourd’hui, les adolescents sont exposés fréquemment à du matériel sexuel, que ce soit à la télévision, dans les magazines ou sur Internet. De nombreux auteurs s’intéressant à la sexualité adolescente soutiennent à ce propos que la société envoie des messages contradictoires relativement à la sexualité. Expliquez brièvement en quoi ces messages sont contradictoires.

A

Le côté attirant, excitant et séduisant de la sexualité est + souvent exploité, alors que l’on passe sous silence les risques qui y sont associés. Ou plutôt on ne retrouve ce type de sensibilisation que sur des plateformes plus sérieuses et spécialisées, moins populaires,

28
Q

Selon le Conseil permanent de la jeunesse (2007) : « L’orientation sexuelle, définie en fonction du sexe des personnes, représente…

A

l’attirance tant physique qu’émotive qu’une personne éprouve pour une autre personne.

29
Q

Quels sont les termes que les auteurs utilisent pour désigner l’ensemble des personnes ayant une orientation sexuelle autre qu’hétérosexuelle ou s’interrogeant sur leur orientation?

a. Minorité sexuelle, diversité sexuelle, le sigle LGBTQ.
b. Allosexuel, diversité sexuelle, dimorphisme sexuel.
c. Diversité sexuelle, minorité sexuelle, divergence sexuelle.
d. Aucune de ces réponses.

A

a. Minorité sexuelle, diversité sexuelle, le sigle LGBTQ.

30
Q

Les distinctions entre les diverses orientations sexuelles paraissent limpides; cependant, le fait de déterminer qui est homosexuel, bisexuel ou hétérosexuel n’est pas aussi simple que ce qu’on peut penser de prime abord. De nos jours, on reconnaît que l’orientation sexuelle se situe plutôt sur un continuum, les travaux d’un certain auteur ayant mis en lumière les nuances qui existent sur ce plan. Comment cet auteur se nomme-t-il?:

a. Boyce.
b. Tanner.
c. Kinsey.
d. Kaplan.

A

c. Kinsey.

31
Q

Complétez les phrases en choisissant les termes appropriés :
1) Toute activité consentie mutuellement, qui implique des contacts génitaux ou une excitation sexuelle avec une personne même s’il n’y a pas d’orgasme, porte le nom de
_________.
2) Le terme ________ se définit comme toute étiquette que les individus sélectionnent personnellement et à laquelle sont attachées des perceptions et des significations sociales et historiques.
3) Le terme _______ renvoie au désir d’avoir des relations intimes et sexuelles ou d’établir un lien amoureux avec un sexe ou les deux sexes.

A

1) Comportement sexuel
2) Identification
3) Attirance sexuelle et romantique

32
Q

Selon une vaste enquête québécoise réalisée en 2009, on situe à environ ___% les adolescents de 14 à 17 ans se déclarant lesbiennes, gais, bisexuels, queer ou en questionnement.

a. 4 %
b. 8 %
c. 12 %
d. 16 %

A

b. 8 %

33
Q

Vrai ou faux?
Selon Cloutier et Drapeau, la majorité des adolescents rapportant des expériences sexuelles avec des personnes du même sexe se considèrent comme homosexuels et plus de la moitié des individus homosexuels n’ont eu aucune relation hétérosexuelle durant l’adolescence.

A

Faux

34
Q

Qui suis-je? Je suis un processus de révélation de l’identité LGBTQ de l’adolescent aux personnes de son entourage.

A

‘Sortie du placard’

35
Q

Les jeunes peuvent payer cher leur franchise dans des milieux hostiles à la diversité sexuelle. Devant ce dilemme, quelle serait l’une des voies recommandées pour les aider à entreprendre une démarche d’acceptation personnelle favorisant un sentiment d’intégrité et de bien-être?

A

1) Entreprendre une démarche d’acceptation personnelle
2) procéder à un dévoilement sélectif auprès des gens susceptibles de les soutenir
3) Attendre d’être socialement + indépendant avant de l’afficher + publiquement

36
Q

Le terme ______ se définit comme un sentiment de peur et d’aversion éprouvé par certains envers les personnes qui s’écartent des attentes de la société quant à l’orientation sexuelle.

A

homophobie

37
Q

Vrai ou faux?
À partir des vastes enquêtes qui ont été menées récemment, plusieurs auteurs constatent que les adolescents d’aujourd’hui, si on les compare à ceux des dernières décennies, utilisent de manière plus régulière des méthodes de contraception. Toutefois, il reste environ 20 % de jeunes qui utilisent, en partie ou en totalité, le retrait comme moyen de contraception.

A

Vrai

38
Q

Quelle est la raisons la plus fréquemment invoquées par les adolescents canadiens de 13 et 16 ans pour expliquer le fait qu’ils n’aient pas utilisé de condom lors de leurs dernières relations sexuelles?

a. L’utilisation d’une autre méthode de contraception.
b. Le partenaire n’aime pas utiliser le condom.
c. Un abus de drogue ou d’alcool avant la relation sexuelle.
d. Le caractère imprévu de la relation sexuelle.

A

d. Le caractère imprévu de la relation sexuelle.

39
Q

L’enjeu de la contraception est plus compliqué pour les adolescents que pour les adultes, car…

a. les activités sexuelles des adolescents reflètent souvent une alternance de famine et d’abondance survenant de manière imprévisible.
b. les adolescents ne reçoivent pas toujours de bonnes informations concernant les meilleures méthodes contraceptives à utiliser.
c. les discussions concernant les méthodes contraceptives à utiliser sont très rares chez les couples d’adolescents.
d. les réponses a) et b).
e. les réponses a) et c).

A

e. les réponses a) et c).

40
Q

Vrai ou faux?
Selon certains auteurs, plus les jeunes commencent tôt leur vie sexuelle, plus ils sont susceptibles d’utiliser des moyens de contraception de manière régulière.

A

Faux

41
Q

Lequel des énoncés ci-dessous est faux concernant l’utilisation des contraceptifs chez les adolescents actifs sexuellement?

a. Une bonne communication entre les partenaires, notamment à propos de la sexualité et de la contraception, est associée à des pratiques sexuelles sécuritaires.
b. Le fait d’être engagé dans une relation amoureuse stable est associé à une utilisation moins fréquente des moyens contraceptifs.
c. Les jeunes qui se sentent compétents, qui ont de bons résultats scolaires et qui entretiennent des aspirations élevées ont plus tendance à utiliser des moyens de contraception.
d. Les jeunes dont les parents sont plus scolarisés et ont des meilleurs revenus sont plus susceptibles d’utiliser des moyens de contraception.

A

b. Le fait d’être engagé dans une relation amoureuse stable est associé à une utilisation moins fréquente des moyens contraceptifs.

42
Q

Vrai ou faux?
Selon certains auteurs, les adolescents, et plus particulièrement les adolescentes, dont les partenaires sexuels sont plus âgés utilisent des moyens de contraception de manière moins régulière.

A

Vrai

43
Q

Vrai ou faux?
Selon l’Agence de la santé publique du Canada, le groupe des jeunes de 15 à 24 ans constitue, en nombre, l’un des plus vulnérables aux ITSS au Québec et au Canada. Cependant, rares sont les adolescents qui avouent en avoir contracté une. Ainsi, deux enquêtes réalisées au Québec montrent que 2 à 5 % des jeunes actifs sexuellement affirment avoir déjà contracté une ITS.

A

Vrai

44
Q

Quels sont les deux extrêmes sur le continuum des risques de contracter une infection transmissible sexuellement ou par le sang?

A
Pas de relation sexuelles et
Pas de seringues
VS
Relations non protégées
Utilisation de seringues souillées dans un contexte de prise de drogue
45
Q

Dans une société qui valorise les études postsecondaires, la maternité à l’adolescence apparaît trop précoce; elle constitue une entrave au développement de la jeune femme qui entraînera des conséquences négatives à court et à long terme. Quels problèmes peuvent survenir lorsque la maternité et l’adolescence se rencontrent?

a. Abandon scolaire et insertion sociale et professionnelle plus difficile.
b. Rejet par la famille et les amis.
c. Délinquance et emprisonnement.
d. Aucune de ces réponses.

A

a. Abandon scolaire et insertion sociale et professionnelle plus difficile.

46
Q

Guilbert et ses collaborateurs (2004) mettent en lumière le fait que dans certaines circonstances, cet événement peut devenir une source de motivation pour la jeune fille, qui se prendra en main et créera, pour elle et son enfant, une meilleure vie. On parle alors de la « grossesse _________ » plutôt que de la « grossesse problème ».

A

projet

47
Q

Concernant l’évolution des grossesses, des interruptions volontaires de grossesse et des maternités chez les adolescentes de 14 à 17 ans, de 1980 à 2008, on constate que :

a. le taux de grossesse des adolescentes a connu une baisse de 57 % de 1980 à 1992.
b. dans les six années suivantes (1992-1998), le taux de grossesse est resté stable.
c. le plus haut taux de grossesse se situe en 2004.
d. le plus bas taux de grossesse se situe en 1995.

A

b. dans les six années suivantes (1992-1998), le taux de grossesse est resté stable.

48
Q

Vrai ou faux.
Pour la majorité des jeunes filles, la maternité n’est pas une option envisagée à ce stade de leur vie. Elles choisissent donc d’interrompre leur grossesse.

A

Vrai

49
Q

Quelles sont-elles?
Dans le cadre d’une thèse de doctorat réalisée au Québec auprès de 46 jeunes femmes enceintes âgées de 13 à 19 ans, Hamann (2002) met en lumière trois grandes catégories de motivations au désir d’enfant des adolescentes. Nommez-les.

A

1) Désir planifié
2) ‘Devenir enceinte’ accepté
3) Accident désiré

50
Q

Du point de vue médical, comparativement à la grossesse adulte, la grossesse adolescente présente, surtout chez les jeunes, des risques de santé élevés, dont notamment :

a. plus de bébés prématurités, de faible poids et présentant des anomalies physiologiques.
b. un plus haut taux de suicide et de diabète pour l’adolescente.
c. un plus haut taux de schizophrénie à l’âge adulte chez les bébés.
d. aucune de ces réponses.

A

a. plus de bébés prématurités, de faible poids et présentant des anomalies physiologiques.