Chapitre 11 les problèmes psychosociaux Flashcards

1
Q
  1. Comment Jessor et Jessor (1977) ont-ils nommé cette idée d’interrelation entre les problèmes psychosociaux à l’adolescence?
A

Le syndrome de problèmes de comportement.

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2
Q

Je suis un facteur d’ordre personnel, familial, social ou environnemental qui diminue les probabilités d’apparition d’un problème psychosocial, peu importe la situation. Qui suis-je ?
a) Le facteur de risque
b) Le facteur de protection
c) Aucune de ces réponses

A

c) Aucune de ces réponses

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3
Q
  1. À l’adolescence, on classe généralement les problèmes psychosociaux en trois grandes catégories. Nommez-les.
A

a) Les problèmes de comportement extériorisés.
b) Les problèmes de comportement intériorisés.
c) La consommation de substances psychoactives.

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4
Q
  1. À quoi réfère la notion de comorbidité en matière de problèmes psychosociaux à l’adolescence?
A

On parle de comorbidité pour qualifier la présence simultanée de multiples problèmes chez une même personne.

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5
Q
  1. Quelles sont les deux trajectoires du modèle * à double trajectoire de Moffit (1993)?
A

La trajectoire persistante et la trajectoire limitée à l’adolescence.

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6
Q
  1. Comment expliquer que des adolescents suivent une trajectoire de délinquance limitée à l’adolescence?
A

Ces adolescents désirent combler l’écart entre leur maturité biologique et leur maturité sociale. Dans un corps d’adulte mais avec les privilèges d’un enfant, ceux-ci sont en quête d’autonomie et de privilèges du monde adulte (consommer de l’alcool, acheter des vêtements à leur goût, conduire une voiture, sortir dans les bars, etc.). Pour ce faire, ils s’insèrent dans des groupes de pairs déviants (qui incluent notamment des adolescents qui suivent la trajectoire persistante) et imitent leurs comportements pour accéder à des ressources qui leur permettent de combler cet écart (voler de l’argent, obtenir des fausses cartes, etc.).

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7
Q
  1. Vrai ou faux? Lorsque les adolescents ont autour de 15 ans, il peut être difficile de distinguer ceux quisuivent la trajectoire persistante de ceux qui empruntent la trajectoire limitée à l’adolescence en matière de délinquance.
A

Vrai

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8
Q
  1. Dans le modèle de la coercition familiale, que se passe-t-il chez l’enfant lorsque le parent se retire d’une situation qui a dégénéré et dont l’enfant a été l’initiateur (fin du cycle)?
A

L’enfant est, en quelque sorte, récompensé pour son comportement aversif (il a « gagné », car son parent se retire).

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9
Q
  1. Quel est le facteur de risque qui semble le plus déterminant dans l’apparition des conduites délinquantes chez les filles?
A

La victimisation sexuelle.

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10
Q
  1. Quelle est la différence entre l’anxiété et le stress?
A

L’appréhension d’une situation dangereuse ou menaçante par opposition à la présence réelle ou imminente d’une telle situation.

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11
Q
  1. Je suis un ensemble de symptômes affectifs, cognitifs et somatiques qui affectent négativement les individus dans plusieurs domaines de leur vie. Qui suis-je ?
A

La détresse psychologique.

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12
Q
  1. Expliquez comment la présence d’anxiété chez le parent peut faire en sorte que l’adolescent adopte également des pensées et des comportements anxieux.
A

Un parent anxieux, sans nécessairement s’en apercevoir, communiquera à son enfant le message que le monde est rempli de dangers et qu’il faut faire très attention. Le parent anxieux décourage également son enfant de faire face à de nouvelles situations potentiellement dangereuses, amenant ainsi l’enfant à éviter de plus en plus de situations nouvelles.

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13
Q
  1. Vrai ou faux? Les parents ont raison de s’inquiéter du fait que les adolescents utilisent les médias sociaux, car les études ont démontré qu’il y a une forte corrélation positive entre ceux-ci et les symptômes dépressifs à l’adolescence.
A

Faux. Une méta-analyse effectuée par McCrea et ses collaborateurs en 2017 révèle une corrélation positive, mais petite, entre l’utilisation des médias sociaux et les symptômes dépressifs à l’adolescence.

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14
Q
  1. Quelles sont les principales composantes de l’approche cognitive comportementale?
A

a) La transmission d’informations sur les manifestations cognitives, physiques et comportementales du problème d’adaptation aux adolescents et à leur famille.
b) La restructuration cognitive.
c) L’entraînement à la résolution de problèmes.
d) Les techniques de relaxation.

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15
Q
  1. Vrai ou faux? Entre 2011 et 2018 au Québec, on a observé une baisse de la consommation dutabac, d’alcool et de cannabis chez les élèves du secondaire.
A

Vrai.

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16
Q
  1. Quelles sont les quatre composantes de la recherche de sensations fortes?
A

a) La recherche d’excitation et d’aventure (désir de s’investir dans des activités qui impliquent de la vitesse ou du danger).
b) La recherche d’expériences nouvelles (désir de voyager, d’interagir avec des gens de différentes cultures).
c) La désinhibition (tendance à se sentir moins contraint par les normes et les attentes sociales).
d) La susceptibilité à l’ennui (aversion envers la routine ou les choses prévisibles).

17
Q
  1. Quelles sont les trois sources d’information qui permettent aux parents de savoir ce que leur adolescent fait lorsqu’il est hors de leur vue?
A

a) La révélation spontanée de l’enfant
b) La sollicitation parentale
c) Le contrôle parental

18
Q
  1. Que s’agit-il de faire auprès des adolescents lorsqu’on adopte une approche de réduction des méfaits de la consommation de SPA?
A

Leur fournir l’information qui leur permet de prendre connaissance des conséquences négatives de leur consommation de SPA et leur fournir des outils pour réduire ces conséquences au maximum