chap. 11 - problèmes psychosociaux Flashcards

1
Q

Chez les ados aujourd’hui, il y a une diminution d’alcool, cigarette et drogue, mais augmentation de…

A

vaping

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Q

Vrai ou faux: Les garçons sont plus nombreux dans la consommation.

A

Vrai: (26 vs 23%)
→ ¼ des élèves du secondaire ont affirmé dans une étude en 2013 avoir déjà consommé de la drogue

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3
Q

Quelles sont des raisons de consommation chez les ados?

A
  • Curiosité; veulent savoir l’effet
  • Imiter les autres; contagion
  • Manque d’éducation concernant les dangers associés
  • Pression ressentie des autres
    → surtout chez les filles
  • Transition dans la vie adulte
  • Solution aux problèmes, pour se sentir mieux
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4
Q

L’utilisation de drogues chez les ados est généralement motivée apr des facteurs ___

A

Internes (curiosité, transition à la vie adulte)

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5
Q

Quels symptômes liés à la dépendance sont similaires chez les adolescents et l’âge adulte?

A
  • Tolérance qui augmente, sevrage avec des symptômes physiques, etc.
  • Par contre, les adolescents sont plus vulnérables au processus de la dépendance
    → L’abus a plusieurs effets sur eux
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6
Q

Vrai ou faux: L’adolescent commence typiquement par des drogues illégales et plus intenses.

A

Faux: L’adolescent commence généralement par l’utilisation de drogues légales pour ensuite aller vers d’autres drogues ou des combinaisons de celles-ci
→ 50% qui essaient la marijuana vont utiliser des drogues « plus puissantes »
→ à quel point la moralité développée va influencer la prise de décision de consommation; «la marijuana est légale, mais est-ce la meilleure décision d’en consommer?»

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7
Q

Quels sont les 3 stades de dépendance?

A

1) Dépendance précoce
- La dépendance peut débuter à un jeune âge suivant une simple expérimentation
2) Dépendance intermédiaire
- Elle est caractérisée par une accumulation de conséquences qui ont des répercussions négatives chez l’adolescent
3) Dépendance avancée
- Les conséquences deviennent de plus en plus importantes et observables à l’extérieur

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8
Q

Élabore sur le premier stade de dépendance.

A

1) Dépendance précoce
- La dépendance peut débuter à un jeune âge suivant une simple expérimentation
- Une première utilisation survient habituellement vers les âges de 11 et 12 ans
- Survient souvent suite à la pression des pairs, ou la curiosité, fait dans le groupe d’amis
- Les parents sont aussi des modèles importants dans la consommation

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9
Q

Élabore sur le deuxième stade de dépendance.

A

2) Dépendance intermédiaire
- Elle est caractérisée par une accumulation de conséquences qui ont des répercussions négatives chez l’adolescent
- Plus la dépendance est présente, plus il y a un changement de priorités, d’attitude et une augmentation du déni chez l’adolescent
- Amènent des difficultés légales, émotionnelles et physiques à la maison, à l’école, avec les amis et au travail
émotionnelles: plus irritable à la maison, va s’isoler
l’école: quand ils consomment pendant l’école, mauvaise scolarité
- la consommation commence à prendre plus d’importance dans le fonctionnement et la vie de l’ado

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10
Q

Élabore sur le troisième stade de dépendance.

A
  • Certains parents ne reconnaissent même pas que l’adolescent consomme des drogues jusqu’à ce stade
    → soit le parent ne pose pas les bonnes questions, est naïf, pense que son adolescent est un good kid, ne reconnaisse pas la consommation de l’enfant
  • Les conséquences deviennent de plus en plus importantes et observables à l’extérieur de lui
  • La douleur émotionnelle, les difficultés d’estime de soi et de la solitude augmentent considérablement avec la prise de drogues
    → va avoir honte et se sent coupable parce qu’il sait que ce n’est pas une manière efficace de gérer, et il sait que si les gens dans son entourage savent, ils vont vouloir intervenir
  • L’intervention est cruciale, sinon la dépendance va prendre de plus en plus d’ampleur
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11
Q

Selon l’étude Marijuana trajectories in Canada youth: Association with substance use and mental health, quels sont les 5 groupes distincs to consommateurs?

A

1) Les utilisateurs abstinents (29%)
- consommer 1 fois par curiosité et arrêter
2) Les utilisateurs occasionnels (27%)
- consomme de temps en temps
3) Les utilisateurs « décroissants » (14%)
- consommation assez fréquente et on tente de diminuer la consommation peut-être en raison d’intervention
4) Les utilisateurs « croissants » (20%)
- consommation qui augmente
5) Les utilisateurs chroniques (11%)
- consommation à un stade très ancrer

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12
Q

Comment est-ce que l’environnement influence la consommation selon l’étude Peer influence on adolescent alcohol and other drug use outcomes?

A
  • L’environnement familial est un facteur important dans le développement des problèmes de drogues et d’alcool, mais pas autant pour le succès d’un traitement
  • Par contre, la qualité du groupe de pairs a permis de prédire, de manière indépendante, des résultats positifs quant à l’abstinence
    → à quel point que si on a un groupe de pairs qui ne consomme pas, va être un facteur de protection pour l’adolescence
    → Avoir moins de quatre amis utilisant les drogues et alcools permettait de prévoir l’abstinence un an suivant l’étude
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13
Q

Défini la résilience.

A

«Adaptation positive malgré un contexte de risque»

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14
Q

Vrai ou faux: Les facteurs de protection (résilience) demeure le même pendant la vie.

A

Faux: Les facteurs évoluent pour l’enfant qui devient adolescent

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15
Q

Quelles sont différentes caractéristiques pour mesurer la résilience (des groupes)? (4)

A
  • Jeune par ex., intelligence et empathie
    intelligence: capacité de raisonné et d’utiliser sa logique
    empathie: considérer l’Expérience émotionnelle d’autrui
  • Famille, par ex., engagement des parents quant à l’éducation de vie
    → le plus engager le moins que l’enfant est à risque
    → éducation de vie: choix d’amis, gestion de conflits, etc.
  • Communauté, par ex., logement abordable et école de bonne qualité
    → aussi le quartier: quand on évolue dans un quartier avec des comportements moins à risque, il y a moins de chances de développer ces mêmes comportements
  • Culturelle et sociétale, par ex., intolérance de la société vis-à-vis de la violence
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16
Q

Quels sont des indicateurs fréquents de problèmes de santé mentale à l’adolescence?

A
  • Incapacité de concentrer
  • Diminution dans la performance
  • Troubles de comportements dans la salle de classe
    → peut aussi se transférer au travail
    → bruyant, manque de respect, s’en fou de son contexte
  • Suspensions fréquentes
  • Absentéisme, spécialement pour être avec les ami(e)s
    → si c’est très répétitif, ca peut être sérieux
  • Difficulté à se lever le matin
  • Être en retard souvent pour l’école ou des classes spécifiques
  • Plaintes somatiques récurrentes, nausées, maux de tête, étourdissements
  • Tendance à vouloir se coucher ou se reposer souvent
    → *il faut être en mesure de mettre ces indicateurs en contexte et les regrouper
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17
Q

__ à __% des ados vont répondre aux critères de diagnostiques d’un problème psychosocial

A

10 - 20%

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18
Q

Pourquoi est-ce que les risques d’un problème psychosocial augmente à l’adolescence?

A
  • Ceci est dû à l’intensité des changements sur tout les plans pendant cette période et est davantage une exploration transition
    → changements hormonaux, familiaux, chez les amis, qui font en sorte que l’ado doit s’ajuster
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19
Q

Qu’est-ce qu’un facteur de risque vs un facteur de protection?

A
  • Facteur de risque : « Facteur qui prédispose les individus ou les groupes à l’apparition de conséquences négatives. »
    augmenter la probabilité que la personne va avoir un trouble de santé mentale ou des symptômes important
    Facteur de protection : « Facteur qui diminue la probabilité d’apparition des conséquences négatives en présence du risque. »
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20
Q

Qu’est-ce qu’un problème extériorisé?

A
  • Problèmes extériorisés : « Problème psychosocial qui se manifeste par des symptômes tournés vers l’extérieur du sujet tels que l’agressivité, les conduites antisociales et la délinquance. »
    → TDAH, trouble de conduite, trouble oppositionnel
21
Q

Qu’est-ce qu’un problème intériorisé?

A
  • Problèmes intériorisés : « Problème psychosocial qui se manifeste par des symptômes tournés vers l’intérieur du sujet tels que l’anxiété, l’inhibition sociale et la dépression. »
    → anxiété généralisé, anxiété sociale, anxiété de séparation, trouble de panique, TOC, l’humeur (dépressive, manie, inhibition sociale), défis à rentrer en relation avec les autres
22
Q

Qu’est-ce que la délinquance juvénile?

A
  • « Ensemble des interactions commises par les individus d’âge mineur, incluant les actes criminels et les comportements qui violent les lois qui s’appliquent aux mineurs. »
  • plus qu’on ai jeune quand on fait notre premier act délinquant, plus que les acte délinquant à l’âge adulte vont être grave
  • Pour les adolescents, cette réalité peut être plus ou moins présente à travers le temps
  • Petite proportion d’adolescents qui commettent des la violence criminelle
    → baisse de la criminalité juvénile
    → La précocité de l’activité antisociale est à considérer pour l’évolution des conduites de délinquance graves
23
Q

Comment pouvons-nous expliquer la délinquance juvénile avec la maturation cérébrale?

A
  • Le lobe préfrontal qui n’est pas à maturité en est la cause (cause biologique)
  • Ce lobe est « responsable de la régulation déficiente des comportements à risque à l’adolescence »
  • Moins bonne capacité de jugement et de résister à une récompense
    → augmentation de « la probabilité des conduites impulsives et déviantes»
24
Q

Nomme les 4 facteurs explicatifs de la prise de risque à l’adolescence.

A

1) Facteurs biologiques
2) Facteurs psychologiques
3) Facteurs sociaux
4) Facteurs psychopathologiques

25
Q

Élabore sur les facteurs biologiques comme facteurs explicatifs de la prise de risque à l’adolescence.

A
  • La fonction hypothalamo-hypophyso-gonadique est activé lors de la puberté qui entraîne des changements physiques pouvant amener une faible estime de soi et le rejet de lui-même (s’exclut de groupe de manière plus négative, pas pour une bonne raison, typiquement en raison de faible estime de soi)
  • Peut entraîner des comportements de colère qui méritent conséquences de la part de l’autorité
  • Manifestations verbales : « Je suis stupide! »
  • Manifestations physiques : troubles alimentaires, tentatives de suicide, etc.
    → L’insécurité ressentie chez l’adolescent l’amène à projeter sa frustration de façon internalisée (dépression et anxiété) ou externalisée (délinquance et violence)
26
Q

Élabore sur les facteurs psychologiques comme facteurs explicatifs de la prise de risque à l’adolescence.

A
  • L’identité, les traits personnalité, la prise de décision et le contrôle de soi (des comportements) influence la prise de risque à l’adolescence
  • Les adolescents qui ont une faible résistance aux influences des amis vont prendre davantage de risques, et ce, de façon significative
    → la moralité du groupe devient importante
  • Les adolescents qui ont un statut social « bas » et qui sont « sensibles à la récompense » (dopamine) vont être plus facilement influencés pour obtenir l’approbation et l’admiration du groupe d’amis
    → sensible à la récompense, p.ex: dès qu’on a un encouragement, on a un bon feeling, on va donc continuer le comportement
  • Peu importe la forme de violence au sein des relations parents-enfants ayant commencé dès l’adolescence
    → Les adolescents qui sont les moins agréables, les moins consciencieux et ayant une faible stabilité émotionnelle ont plus tendance à avoir des relations conflictuelles avec leurs mères
27
Q

Élabore sur les facteurs sociaux comme facteurs explicatifs de la prise de risque à l’adolescence.

A
  • L’adolescent a tendance à se mettre de la pression pour être comme les autres
    → p.ex: suivre le style vestimentaire
  • Le groupe social permet de rassurer et de déculpabiliser, ce qui amène des prises de risque plus importantes
    → p.ex: faire graffiti tout seul pendant la fin de semaine, quand on en parle avec les amis, on est rassuré («t’en fais pas, tu ne va pas te faire prendre») donc on continue le comportement
    → c’est rare qu’un ado te call out sur ton comportement
  • Les adolescents ont plus tendance de fumer, boire et se droguer avec le groupe de pairs qui a ces mêmes comportements (c’-à-d., le conformisme social)
    contagion social: si on voit un ami avec des idées suicidaires ou des comportements de s’automutiler, ce concept démontre que le reste du groupe va adopter les mêmes comportements
28
Q

Élabore sur les facteurs psychopathologiques comme facteurs explicatifs de la prise de risque à l’adolescence.

A
  • La sensation qui est ressentie dans les comportements à risque à l’adolescence permet d’éliminer ou de réguler les différentes pulsions d’excitation et les tensions qui sont difficilement tolérables à l’adolescence (Michel et al., 2001)
  • Le narcissisme et la faible estime de soi sont un précurseur aux comportements qui sont qualifiés comme asociaux et inadaptés
29
Q

Quelles sont des caractéristiques d’une délinquance persistante avec l’âge? (8)

A
  • La précocité
  • La fréquence
    → plus qu’on a des comportements fréquents de délinquance, plus qu’on continue avec le temps
  • La stabilité
  • La diversité
    → si on fait plusieurs comportements différents (manque de respect, vol, mettre feu, etc.), la délinquance va persister
  • Les délits contre la personne
    → si on veut offenser les personnes
  • L’intensification avec le temps
  • Les motifs utilitaires
    → être délinquant parce que ça m’amène qqch à moi, c’est utile
30
Q

Les incidences des conduites suicidaires varient dans… (3)

A

Le temps; l’espace; et en fonction du sexe de la personne

31
Q

Il y a plus de suicide chez les ___ que chez les ___.

A

Hommes; femmes
- parce que les moyens qu’ils utilisent sont plus fatal
- Les femmes font plus de tentatives, mais avec des moyens moins fatal
→ typiquement médicaments qui va avoir des effets secondaires très mauvais: brûlures dans l’estomac

32
Q

Quelles sont des statistiques à propos des conduites suicidaires chez les ados?

A
  • Baisse chez les jeunes Canadiens âgés entre 10 à 19 ans (avant 2020)
    → 7% ont eu des idéations suicidaires (14 à 15 ans)
    → 3% ont attenté à leur vie
    → 27% ont tenté de récidiver suite à une première tentative malgré que le taux soit plus élevé dans les premiers mois
    → il faut remettre en place les interventions pour soutenir l’enfant
33
Q

Qu’est-ce qu’un trauma vicariant?

A
  • En parlant de types de situations de suicides, ou en observant
34
Q

Quels sont des facteurs de risque à considérer pour les conduites suicidaires? (3)

A
  • Facteurs prédisposants
  • Par ex., vulnérabilité au suicide par l’histoire familiale
  • des pathologies dans la famille comme la schizophrénie, bipolaire, etc.
  • Facteurs « contribuants »
  • Par ex., abus de drogues ou d’alcool
  • pas dans le même état rationnel
  • Facteurs déclencheurs
  • Par ex., événement de vie stressant
  • séparation, déménagement, trauma important
    quand on combine tous les 3, peu importe si on a eu des conduites suicidaires dans le passé, on va être extrêmement vulnérable
35
Q

L’automutilation est souvent utilisé pour ___ parce que la ___ ___ n’est pas bonne chez l’enfant.

A

Régulation; régulation émotionnelle
→ un soulagement rapide mais c’est pas une vrai solution
→ apprendre aussi à tolérer la détresse ou même juste un stress

36
Q

Quand est-ce que l’anxiété est normale vs devient pathologique?

A

Normale
- Tout le monde ressent de l’anxiété!
- Étendue de léger à panique, et ce, selon la personne et la situation
panique: tout d’un coup, grande anxiété, des symptômes physiologiques
- Situations non familières et défis, il est naturel d’en ressentir
→ p.ex: première présentation orale
- Peut même être motivant
Pathologique
→ Intense, prolongée et hors proportion vis-à-vis la situation
→ stressé ou anxieux à long terme
→ p.ex: voir un chien à une maison et éviter la maison en entier c’est hors proportion
- Affecte la personne au quotidien et sa joie
- Peut apparaître soudainement ou graduellement

37
Q

Quels sont les types d’anxiété?

A
  • Anxiété généralisée
    → craintes d’être bon dans tout ce qu’on fait, du future, la santé de soi et autrui
  • Troubles obsessifs-compulsifs
    → MAIS, dans le DSM ce trouble a une section à part entière que l’anxiété
  • Phobies
    → phobies spécifiques, peur irrationnel (pas un vrai danger)
  • Phobie sociale (anxiété sociale)
    → craintes à la peur du jugement des autres personnes, d’être moqué
    → plus souvent mentionné, on catastrophise avec des pensées noires/blanches
  • Attaque de panique
  • Troubles de stress post-traumatique
    → peut aussi être vicariant
38
Q

Quels sont des signes et symptômes de l’anxiété?

A
  • Inquiétude excessive la plupart des journées et pour plusieurs semaines
    → p.ex: si on s’inquiète plusieurs fois pendant une journée, pendant les semaines, etc.
  • Le trouble se retrouve à quel point il y a une altération dans le fonctionnement de la personne, si c’est une grande altération comparativement à auparavant
  • Trouble du sommeil la nuit et fatigue durant la journée
  • Difficulté de concentration
  • Irritabilité
39
Q

Quelles sont des causes d’anxiété chez l’ado?

A
  • performance scolaire, hausse de responsabilité, médias sociaux, attentes des parents, puberté, pression sociale, vulnérabilité biologique, caractère imprévisible (futur), faire des amis, motiver les pulsions sexuelles et déterminer son orientation
40
Q

Quels sont des traitements/interventions pour un ado avec l’anxiété?

A
  • Consulter un professionnel de la santé mentale qui va évaluer les symptômes, diagnostiquer (si c’est le cas) et créer un plan d’intervention pour aider la gestion de l’anxiété
    → évaluation assez rigoureuse pour cibler le bon traitement
  • Thérapie cognitivo-comportementale où il y a apprentissage de nouvelles façons de penser et d’agir dans les situations causant de l’anxiété
  • Le thérapeute apporte soutien en enseignant des nouvelles compétences, comme les techniques de relaxation et de respiration
    → les interventions vont être adapté avec le temps et selon le client
    → on va apprendre des nouvelles compétences pour bien gérer l’anxiété
    → l’exposition c’est le traitement fondamental; on commence plus petit et on continue d’augmenter
  • La seul façon de confronter l’anxiété c’est de la tolérer
  • Le parent doit aussi apprendre à tolérer son enfant en détresse parce que ça n’amène pas de bon résultat
41
Q

Quelles sont des stratégies pour l’anxiété?(2)

A

1) Dialogue ouvert
- Reconnaître les difficultés en étant soutenant et n’apportant pas de jugement
- Il peut être bien de discuter avec l’enseignant et tout autre adulte important dans la vie de l’adolescent
→ c’est important de l’affirmer et aussi important de travailler ensemble
- Parler ouvertement des symptômes et essayer de comprendre la façon dont il affecte son quotidien
2) Temps de qualité
- Accepter les inquiétudes, écouter les perceptions et corriger les informations erronées, être patient et positif en encourageant à affronter la situation par petites étapes
- Les parents doivent partager des expériences similaires pour normaliser

42
Q

Quels sont les 3 types de dépression?

A

1) Dépression majeure
2) Dysthimie
3) Trouble bipolaire

43
Q

Quels sont des signes et symptômes de dépression?

A
  • Ressentir de la tristesse sans raison
  • Manque d’énergie, se sentir incapable de faire de simple tâche
  • Incapacité de profiter des choses qui amènent du plaisir
    → perte d’intérêt importante
  • Un manque de désir d’être avec des amis ou membres de la famille (isolé, retiré)
  • Sentiment d’irritabilité, frustration, anxiété
  • Incapacité de se concentrer
  • Gain ou perte de poids et trop ou manque d’intérêt a mangé
  • Un changement significatif dans les habitudes du sommeil
  • Sentiments de culpabilité et d’inutilité
  • Maux de tête ou douleurs même si rien de physique n’est inquiétant
  • Peu de soucis concernant ce qui va se passer dans le futur
  • Pensées fréquentes par rapport au suicide
    pas besoin d’avoir tous les symptômes pour un diagnostic
44
Q

Quels sont les traitements/interventions pour la dépression?

A
  • Consultation avec un professionnel de la santé mentale
  • Important que le jeune se sente confortable avec le professionnel. Sinon, en discuter!
    → le lien psychologue-client est très important, si ca click pas avec le psychologue, le traitement ne va pas fonctionner aussi bien parce que le jeune ne se sent pas à l’aise à partager autant
    → il faut être capable de faire un détachement émotionnel quand le client se démontre agressif ou veut changer de psychologue
  • Remarquer tôt les symptômes et le diagnostic sont clés
    → un diagnostic pour un enfant va être minimum 10 heures, c’est très rigoureux
  • Le professionnel va compléter une évaluation complète et commencer le plan de traitement qui va comprendre:
    → La thérapie; La médication; OU Combinaison des deux
    → quand l’humeur est tellement basse, il faut commencer la médication avant la thérapie, sinon la thérapie ne va pas fonctionner aussi bien
    → éventuellement on veut baisser ou éliminer la médication avec le temps de thérapie
45
Q

Quelles sont des stratégies pour la dépression?

A
  • S’assurer que l’adolescent prend la médication tel que prescrit, si c’est le cas
  • S’assurer que l’adolescent reste actif
    → libère la sérotonine
  • Pour le parent: offrir amour et soutien et rappeler à l’adolescent de votre présence
  • Accepter la situation
  • Remarquer les signes d’avertissements et s’assurer que le traitement est suivi
    Parler avec un parent ou un professionnel si l’adolescent s’automutile ou a des idées suicidaires
46
Q

___# de jeunes entre 12 et 19 ans susceptibles de développer une dépression

A

3.2 millions

47
Q

La schizophrénie touche environ __ adolescent sur __

A

1; 100

48
Q

__ enfant sur __ reçoit les services dont il a besoin

A

1; 5

49
Q

Quelles sont des stratégies utiles pour l’ado pour entretenir une bonne santé mentale?

A
  • Écrire dans un journal
    → permet de libérer ses pensées
  • Parler à une personne
  • Être créatif (dessin, peinture, etc.)
  • S’impliquer avec d’autres ayant des intérêts similaires
  • Garder contact avec ami(e)s de longue date
    → facteur de protection
  • Monologue positif = meilleur humeur
  • Se fixer des buts (SMART)