chap 10 Flashcards

1
Q

Qu’est ce que l’apprentissage par observation (ou l’apprentissage social)?

A

se caractérise par le fait qu’un observateur regarde le comportement d’un modèle et modifie ensuite son propre comportement.
- On peut apprendre sans s’en rendre compte
- On peut enseigner sans s’en rendre compte

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2
Q

Qu’est ce que le comportement contagieux?

A

c’est un comportement plus ou moins instinctif ou réflexe que déclenche la manifestation du même comportement chez un autre individu.
ex : Bâiller, peur, fou rire, direction du regard

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3
Q

Qu’est ce que l’intensification du stimulus

A
  • c’est une autre forme rudimentaire d’influence sociale relevant de l’orientation contagieuse. Ici, la probabilité qu’un individu manifeste un comportement donné se modifie parce que celui-ci dirige son attention vers un objet ou un endroit particulier en raison du comportement d’un autre individu.
    Comportements instinctifs: Manger, boire, se reproduire
  • l’attention est porter vers kkl chose parce que kkl est aller vers la chose. ex : si kkl se dirige vers la table de nourriture, je regarde, ça détourne mon attention vers la table donc j’y vais.
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4
Q

Qu’est ce qu’une réponse émotionnelle vicariante?

A

C’est une réponse émotive issue d’un CC et résultant de l’observation de ces mêmes réponses chez d’autres personnes. Peut se manifester de 2 façons:
1) L’expression d’un sentiment de peur par d’autres personnes peut agir comme un SI qui déclenche un sentiment de peur chez l’observateur.
ex : méduse (SN)=air craintif chez l’autre (SI)=crainte personnelle (RI) donc ensuite méduse (SC)=crainte personnelle (RC)

2)Une forme de conditionnement d’ordre supérieur dans lequel les réaction émotives d’autres personnes agissent comme des stimuli conditionnels (SC) plutôt que comme des SI.
ex : air craintif chez d’autre (SN1)=évènement effrayant (SI)= crainte personnelle (RI) par ce fait, air craintif chez l’autre (SC1) s’associe à la crainte personnelle (RC) mtn, si kkl chose provoque de la peur, méduse (SN2) = air craintif chez d’autre (SC1) qui est déjà associé a crainte personnelle (RC). Alors, méduse (SC2) mtn = crainte personnelle (rc)

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5
Q

Dans le cadre du CO, qu’est ce que l’acquisition?

A

Apprendre des contingences en observant le comportement d’autrui (un modèle) sans reproduire ce comportement. (ex la violence)
Demande que l’on porte attention au modèle

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6
Q

l’acquisition dans le CO requiert qu’on porte attention au modèle. Quelles sont les 4 facteurs qui déterminent si on porte attention ou non à un modèle?

A

1) Notre sensibilité aux conséquences du comportement d’un modèle (conséquences positive de mettre une certaine crème sur le visage)
2) Renforcement du comportement de l’observateur
3) Compétences chez l’observateur (parler francais)
4) Traits spécifiques du modèle (ressemblance, admiration) (on porte plus attention aux personne qu’on respecte / admire / nous ressemble)

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7
Q

Qu’est ce que l’éxécution de quelque chose?

A

Réfère à la façon dont l’apprentissage par observation se concrétise en comportements. (s’éfectue enfin)

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8
Q

Quelles sont les 3 manières dont le renforcement et la punition contribuent à la modification des comportements?

A

1) Renforcement (ou punition) vicariante: on est +/- susceptibles d’exécuter un comportement modélisé après en avoir observé le renforcement (ou la punition)
2) La conséquence pour l’observateur d’exécuter le comportement modélisé. (si crème de la pub rend peau belle, va racheter)
3) L’expérience passé acquise par l’observateur par les renforcement ou punition selon les contextes d’imitation (gros mots maison/avec amis)

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9
Q

Qu’est ce que l’imitation vraie?

A

reproduire par observation de façon identique ce que que quelqu’un fait

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10
Q

Qu’est ce que l’imitation généralisée?

A

la tendance à imiter un nouveau comportement en l’absence d’un renforcement précis pour le faire. Donc, = une personne va imiter 1 comportement d’une personne mais va aussi imiter tous les comportements de cette même personne.

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11
Q

Les animaux peuvent-il imiter?

A

Certains oiseaux et grands singes semblent capable d’imiter fidèlement mais l’imitation vraie est rare chez les espèces autres que l’humain. Dure à distinguer selon l’intensification du stimuli (vers où l’attention est porté)

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12
Q

Explique l’expérience sur les enfants et l’agressivité de Bandura sur la poupée bobo (poupée gonflable).

A
  1. regarder le film (adultes agressifs envers Bobo), puis accès à la poupée Bobo dans une pièce.
  2. Il y a 3 groupes et 1 groupe témoin :
    - Un groupe observant un modèle qui est renforcé (félicité) par un autre adulte de son comportement agressif
    - Un groupe observant un modèle qui est puni (réprimandé par un autre adulte) suite à son comportement agressif
    - Un groupe observant un modèle qui n’est ni puni ni renforcé suite à son comportement agressif
    - un groupe témoin
  3. Après le film, enfants mis dans un local rempli de jouets (dont Bobo)
    résultats : les enfants des 3 conditions ont reproduit bcp des comportements agressif vu dans le film (imitation vraie) mais en plus, on attaquer la poupée de manière différente, pas montré dans la vidéo (créativité) et ont démontré plus d’intérêt pour fusil en plastique
    Groupe témoin = aucun comportement agressif
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13
Q

Explique l’experience du modèle de Hicks sur les enfants et l’agressivité.

A
  1. enfant regarde bataille a la tv mais avec homme adulte à coter de eux qui, sois encourage ou agit fâcher de ce qui a à la tv
    Résultats :
  2. l’agressivité n’avait pas lieu chez les gars, mais seulement quand l’adulte présentait des mood fâché face a la bataille et se trouvait dans la mm pièce, si adulte quitte la pièce = comportement agressifs
  3. Chez les filles, quand l’adulte homme avait mood fâcher face a la bataille, pas d’agressivité quand il est dans la pièce, quand il quitte la pièce, filles moins agressives que les garçons, sauf si modèle est une femme, là, elles seront plus agressives
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14
Q

Vrai ou faux, plusieurs études démontrent que l’observation de comportements violents augmente significativement la probabilité qu’une personne manifeste des comportements agressifs.

A

vrai

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15
Q

vrai ou faux, les hommes sont plus susceptibles d’exprimer les effets de l’exposition à des jeux vidéos violents alors que les filles apprennent la violence, mais affichent une plus forte tendance à inhiber les comportements violents, SAUF en présence d’un facteur d’incitation à la violence.

A

vrai

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16
Q

Qu’est ce qu’une règle?

A

une description verbale d’une contingence = si l’on exécute un comportement précis dans un contexte donné, il en résultera une certaine conséquence.
Ex.: «Si l’on brûle un feu rouge, on écopera d’une contravention

17
Q

Qu’est ce qu’une instruction?

A

Une façon de répondre est formulée.
Ex.: « Ne brûlez pas un feu rouge, sous peine d’écoper d’une contravention» ou «Ne brûlez pas un feu rouge!»

18
Q

Vrai ou faux, les règles / instructions = utiles pour exécuter un nouveau comportement complexe (ex. construire un modèle d’avion)

A

vrai

19
Q

Qu’est ce qu’un comportement régi par des règles?

A
  • Un comportement découlant d’une exposition à des règles
  • Son acquisition est beaucoup plus rapide que celui d’un comportement résultant de l’expérience des contingences (observation)
20
Q

Explique ce qu’est la correspondance dire-et-faire.

A
  • degré de correspondance entre ce qu’on dit qu’on va faire et ce qu’on fait vraiment
  • Parent on rôle a jouer la dedans : sidise kkl chose et le font pas, on px intérioriser cette tendance
  • Pour aider à respecter règles personnelles = être précis dans les objectifs = au lieu de dire je vais étudier auj on dit je vais étudier entre 2h et 7h sur tel cours, donc précis et augmente probabilité de réussir, indiquer moment, lieu, ce qui doit être faitplus spécifiquement
  • certain se met des conséquences = pas de night out
21
Q

Quelles sont les inconvenients des règles?

A

1) Est souvent moins efficace que mise en pratique concrète ex natation, programmation
2) Parfois insensible aux contingences de renforcement : rend rigide au renforcement, créer souffrance

22
Q

Explique quelle problème la thérapie de l’acceptation et d’engagement essaie de résoudre.

A

La culture introduit en un individu un ensemble de règles à propos des difficultés psychologiques:
Les problèmes psychologiques sont révélés par la présence de sensations, de pensées et sentiments désagréables. Ces expériences désagréables sont des «signaux» indiquant l’existence d’une déficience (manque de confiance en soi) à laquelle on doit remédier afin de se sentir bien.
La solution : évacuer les pensées et sentiments négatifs (symptômes) pour mener une vie satisfaisante

23
Q

Comment fonctionne la thérapie de l’acceptation et d’engagement fonctionne?

A

Cette thérapie postule que les règles sont généralement inefficaces.

= propose de cesser la «lutte» et «se pencher» sur leurs symptômes (accepter les pensées et leurs sentiments tels qu’ils sont), pour pouvoir s’engager à pratiquer des activités qui leur plaisent.

24
Q

Explique brièvement la matrice de la thérapie d’acceptation et d’engagement.

A

Le but est d’accepter sa souffrance et entreprendre des actions engagées vers ce que la personne aime, selon ses valeurs. Donc essayer aller vers le haut et a droite, vers les actions engagées, de passé de la souffrance /lutte vers les actions engagées a partir des valeurs.

25
Q

Explique les 6 processus lié a la perte de flexibilité psychologique (rigidité). En d’autre mots, les choses à éviter.

A
  1. la fusion cognitive : considère pensées = réalité
  2. l’évitement expérientiel
  3. les pensées axé sur le futur/passé : being/doing mode
  4. le soi conceptualisé : qui suit des règle rigides
  5. manque de clarté dans valeurs
  6. l’inaction, impulsivité, évitement
26
Q

Explique les 6 processus lié a la flexibilité psychologique. En d’autre mots, les choses à promouvoir.

A
  1. défusion cognitive : pas croire aux pensées negative
  2. acceptation des émotions
  3. flexibilité attentionnelle, contact avec présent
  4. le soi comme contexte : ouvert au changement
  5. clarté des valeurs
  6. l’action engagée :accepter sentiments, s’engager faire des choses qu’on aime,